Je propose que les grioonautes publient ici tous les faits ou évènements qu'ils jugent positifs pour le continent.
Ceci afin de contrebalancer toutes les thèses qui s'étendent en long et en large sur Grioo, à propos causes des malheurs de l'Afrique. Selon moi, les sempiternelles explications qui ne font des africains des eternels naifs manipulés par tout le monde et incapables de se mouvoir dans un système fait pour les marginaliser ou plutot leur assigner un role pas très enviable pousse les gens à la résignation.
De mème les eternelles litanies d'analyses funestes font le lit de l'afropessimisme.
Malgrés tout l'environnement négatif, des initiatives et des projets louables, initiés par des locaux naissent et se developpent.
Ces initiatives n'ont pas pour but de faire de l'Afrique une nouvelle Europe,mais de répondre aux besoins et favoriser le bien ètre des poplations locales.
Que les africains qui n'ont pas confiance en eux, prennent exemple sur les plus dynamiques.
Les diplômes des deux premières promotions d’étudiants en pharmacie de l’Université des Montagnes ont été validés par le Cameroun.
La Faculté de médecine et de sciences biomédicales (Fmsb) a accueilli un événement inédit hier, 19 février 2009. Les nommés Chougouo Kengne Rosine D., Djubang Mbadie Rina E., Foutse Yimta, Ngongang Mbantswe Eric O., Seuyap Djomo Anne et Tchanga Noumi Nadège ont été déclarés “ pharmaciens sur l’entièreté du territoire camerounais ”. Une déclaration faite par le doyen de cette Faculté, Pr. Tetanye Ekoe. Selon lui, ils ont obtenu à la satisfaction du jury, “ une épreuve de validation de leur titre de pharmaciens ”. Des pharmaciens, il y’en a au Cameroun par centaines, mais ceux-ci ont la particularité d’être les premiers à avoir été formés au Cameroun.
La cuvée des deux premières promotions d’étudiants en pharmacie de l’Institut supérieur des sciences de la santé (Isss) de l’Université des Montagnes (Udm). Les différentes thèses soutenues ne manquent pas d’intérêts. C’est le cas de la “ Contribution à l’étude de l’activité antihyperglycémiante d’annona murica Linn, plante utilisée pour soigner le diabète en médecine traditionnelle ”, défendue par Tchanga Noumi Nadège.
Ses démonstrations montre que ces feuilles dont la plante a pour fruit le corossol, ont une activité réduisant l’hyperglycémie dans les organismes vivants. Malgré les lacunes de l’étude, le jury estime que le travail est digne d’intérêt. Seuyap Djomo Anne à pour sa part étudié l’ “ Evaluation de la tenue en cyanure des aliments à base de manioc à Bangangté ”. Tandis que Chougouo Kengne R. D. a mené une “ Etude comparative de la qualité et de l’efficacité des médicaments à base d’Artemisinine et d’Artemisia annua cultivé au Cameroun ”, des substances utilisées dans la fabrication des antipaludéens. Le jury aura surtout été marqué par la “ Contribution à l’étude ethnopharmacologique dans le département du Ndé (Cameroun) ” de Foutse Yimta. “ J’ai fait une enquête ethnobotanique dans 7 villages du département du Ndé. J’ai ainsi pu identifier les composés chimiques d’environ 144 plantes… Le travail que j’ai réalisé constitue une grande bibliothèque. Parce que dans mon document, il ya environ une centaine de plantes avec une centaine de recettes. Ce sont des recettes brutes récoltées sur le terrain, auprès des tradi-praticiens. Il reste à faire des analyses pour prouver que ça soigne telle ou telle autre maladie ”, explique la désormais pharmacienne.
Ses camarades et elles n’auront pas eu la tâche facile. Après avoir vu leurs formations validées à l’université de Kinshasa, ils ont dû se faire réévaluer au Cameroun. “ Ces étudiants ont été formés à l’Université des Montagnes à Bangangté et partiellement à l’Université de Kinshasa. Ils ont voulu s’inscrire à l’Ordre national des pharmaciens du Cameroun. Mais ce n’était pas possible parce que nous demandions que leurs diplômes soient validés ”, explique le président du Conseil de l’Ordre des pharmaciens du Cameroun, Dr Nkwentei Davidson Echu. “ C’est une formation qui a subi le feu de 240 Qcm réservés à nos étudiants de Montpellier. Ils ont passé sans embûches cette épreuve-là.
Aujourd’hui, la soutenance des thèses a montré qu’ils avaient travaillé correctement. C’est une formation qui mérité d’être jugée à l’aune des résultats à savoir, très satisfaisants ”, explique Pr. Alain Terol, président du jury et doyen de la Faculté de pharmacie de l’Université de Montpellier. “ C’est une épreuve de haut niveau. Nous allons les inscrire dans l’Ordre. Nous allons afficher leurs photos au siège de l’ordre, parce que ce sont les premiers pharmaciens formés au Cameroun ”, se réjouit le président de l’Ordre. Pour Pr. Lazare Kaptue, doyen de l’Isss à l’Udm, c’est la joie, mais surtout, un événement qui amène l’Udm et la Fmsb à collaborer à jamais.
_________________ Mentalité de la cueuillette=sida économique
« nan laara an saara » :
"Si on se couche, on est mort" . Joseph Ki-Zerbo
Merci bamiléké; effectivement à force de se concentrer sur le négatif j'oublie même que chez moi en Guinée il y a des personnes qui font de belles chose utiles à la population et dans ce cas surtout à sa jeunesse!!
Je vous laisse voir la vidéo. . Ceci peut inspirer d'autres pays africains et de plus cela montre qu'une coopération directe avec d'ancienne université fonctionne bien!!! Bravo concitoyen et continue dans cette voie!! PS pour BXL aux étudiants de l'ISIB (Institut Supérieur Industriel de Bruxelles) à bon entendeur Salut!!
J'arrive d'Afrique après deux bons mois de vacances très actives. Je vous arrive donc bien ressourcée en énergie positive.
Juste encore une fois ce petit conseil : allez faire un tour de temps en temps en Afrique. Il se passe des choses sur place malgré ce qu'on veut nous faire croire, notre continent bouge et a besoin de nous. Gagnez donc de l'argent comme vous voulez, où vous voulez, mais rentrez investir chez vous. La qualité de vie y est meilleur avec pas grand chose, le mental au repos, l'angoisse d'être rejetter inexistante, enfin on se retrouve. Il y a des difficulté pour les populations locales à s'en sortir c'est vrai, mais nous pouvons chacun à notre niveau leur apporter notre concours aussi minime soit-il. Cela vaudra toujours mieux que de grands discours intellectuels vides et des pleurnichardises sur grioo, n'est-ce pas ?
Autre question : lorsque tous les Africains auront déserté l'Afrique, que les occidentaux s'y seront installés car c'est ce qui se passe aujourd'hui, lorsque au bout du compte l'Africain deviendra à terme un étranger en Afrique et n'y aura plus une parcelle pour lui, dîtes-moi, La Faute sera à qui ??? Lorsque l'Africain deviendra à terme étranger chez lui et éternellement étranger chez les autres, que se passera t-il pour nos futures générations ? Elles seront tout simplement condamnées à la mendicité et à l'esclavage.
Je vous mets en garde sur ce qui est en train de nous arriver. Ca donne à réfléchir et à se rendre compte que Sarko ou les autres devraient être le cadet de nos soucis.
Bien à vous.
Merci Bami. _________________ Freedom is not Free.
comme toujours, vous les Africains de France , vous ne savez pas ce qu'il se passe sur votre continent
et c'est pour ça qu'on lit tout et n'importe quoi !! mais avec ça , ça permet de râler et d'être les éternelles victimes !!
Je vais essayer de prendre des précautions pour te répondre. Peux-tu nous envoyer des articles ou videos sur les initiatives positives et concrètes de notre cher continent. Parce que ton message ne nous aide pas ici. Comme tu sais ce qui se passe sur le continent; si tu es honnête, il faut partager. LE TOPIC c'est Bonnes Nouvelles d'Afrique! _________________ "La seule richesse naturelle d'un pays est son peuple"
Des bonnes nouvelles ?! Sur le forum ? Damn, plus on carbure à la catastrophe, plus on vend et on se rend/se sent important. Certains posteurs se reconnaitront aisément.
Tandis qu'en annonçant de bonnes nouvelles, on risque de passer pour un grand simplet. Alors entre simplet et important, choisissez.
Pour revenir au sujet, je n'ai aucune véritable bonne nouvelles digne de ce nom a annoncer car dans le fond la situation est pourrie. _________________ Si tu diffères de moi, mon frère, loin de me léser, tu m'enrichis.
Inscrit le: 25 Mai 2005 Messages: 3244 Localisation: Derrière toi
Posté le: Mar 24 Fév 2009 17:41 Sujet du message:
Bon allez.
Pour ceux que ça intéresse d'alimenter positivement ce topic (je crois que c'est le but aux dernières nouvelles hein ) , pouvez p't'êt' aussi piocher là-dedans
Inscrit le: 25 Mai 2005 Messages: 3244 Localisation: Derrière toi
Posté le: Mar 24 Fév 2009 19:21 Sujet du message:
Dinah a écrit:
Maryjane a écrit:
Bon allez.
Pour ceux que ça intéresse d'alimenter positivement ce topic (je crois que c'est le but aux dernières nouvelles hein ) , pouvez p't'êt' aussi piocher là-dedans
Et donc poursuivre "entre personnes consentantes" !
Bonne continuation Homeboyz.
et ta participation se résume à ça ????
facile de mettre une liste de personnes ( noires bien sur) qui se distinguent dans la très grande majorité, parce que étant américains ou travaillant hors du continent africain !!!!!!
Parce que ta participation se résume à quoi sur les forums, à part critiquer ce que tout le monde écrit et exprime ici sans jamais rien apporter d'autre que tes pointages de doigts geignards qui font avancer personne ?
On va faire court Dinah. Tu n'as rien de meilleur à faire que tes dents sur tout ce qui poste ? continue alors.
Y'a juste que ça passera directement à la trappe. Soit t'es constructive pour la suite et "bonne continuation", soit tu continues à faire chier inutilement ton monde et "MERCI D'ÊTRE VENUE".
Pour ceux que ça intéresse d'alimenter positivement ce topic (je crois que c'est le but aux dernières nouvelles hein ) , pouvez p't'êt' aussi piocher là-dedans
Et donc poursuivre "entre personnes consentantes" !
Bonne continuation Homeboyz.
et ta participation se résume à ça ????
facile de mettre une liste de personnes ( noires bien sur) qui se distinguent dans la très grande majorité, parce que étant américains ou travaillant hors du continent africain !!!!!!
Parce que ta participation se résume à quoi sur les forums, à part critiquer ce que tout le monde écrit et exprime ici sans jamais rien apporter d'autre que tes pointages de doigts geignards qui font avancer personne ?
On va faire court Dinah. Tu n'as rien de meilleur à faire que tes dents sur tout ce qui poste ? continue alors.
Y'a juste que ça passera directement à la trappe. Soit t'es constructive pour la suite et "bonne continuation", soit tu continues à faire chier inutilement ton monde et "MERCI D'ÊTRE VENUE".
Bonne éclate de bac à sable.
Elle mérite vraiment d'être reprise sévèrement celle-là!franchement!....
Y'a juste que ça passera directement à la trappe. Soit t'es constructive pour la suite et "bonne continuation", soit tu continues à faire chier inutilement ton monde et "MERCI D'ÊTRE VENUE".
Je continue dans ma recherche de pays ayant le soucis de faire avancer leur nation. Ici c'est le Botswana qui certes a toujours des problèmes mais qui a entrepris des réformes pour le dévelloppement du pays et maintenant essaie de continuer sa lutte via les associations des droits à la personne de respecter les populations délaissées par ce progrès économique et social. En espérant que "l'élève" deviendra un bon "professeur"!
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J'aurai bien pu mettre ce documentaire dans actualité diaspora france mais je me dis aussi toute personne africaine qui s'en sort et vient avec de nouveaux concepts est un bon point pour l'Afrique. En espérant que son entreprise grandira et sera de renommé internationale et bien entendu que cela ait aussi des répercussions positives dans son pays d'origine ou sur le continent. Félicitations à ce jeune entrepreneur!
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Une initiative qui va dans le bon sens, celui de la transformation des ressources locales. Etape suivante : la saponification du latex pour faire des matériaux, les indiens le font de façon traditionnelle
Hévéa : Gbagbo encourage la transformation locale
Dernière mise à jour : 01 Apr 2009 - 22:06 GMT
Le Président de la République a inauguré la première usine des planteurs d’hévéas de Côte d’Ivoire à Grand-Bouboury et salué cette initiative.
Les planteurs d’hévéas de Côte d’Ivoire ont désormais une usine de traitement du latex à Grand-Bouboury (Dabou). Cette unité a été inaugurée, hier, par le Président de la République SEM. Laurent Gbagbo. A cette occasion, il a encouragé l’initiative des producteurs. Qui non seulement créent des emplois à travers les plantations, les productions agricoles mais aussi par la transformation. Ainsi les travailleurs gagnent leur pain dans les champs et dans les usines. « Le temps où nous étions seulement un pays agricole est passé. Nous rentrons dans un autre temps. Il nous faut transformer les produits agricoles avant de les vendre », a-t-il soutenu. C’est pourquoi, il a relevé qu’il faut orienter les jeunes vers le secteur privé. Car tous les secteurs peuvent rapporter de l’argent. « Il y a l’argent en Côte d’Ivoire pour investir. Seulement nous devons transformer nos idées en projets bancables. Il faut aller au développement avec des entrepreneurs qui créent des emplois », affirmera-t-il.
Avant d’encourager les hévéaculteurs à la persévérance. Poursuivant, le Chef de l’Etat a souligné que la production agricole est privée. Donc le temps des plantations d’Etat est également passé. C’est pourquoi, il faut que la production industrielle soit aussi totalement privée. Et que la production vivrière soit développée, a-t-il précisé. Une vision du Président partagée par M. Fofona Idrissa, directeur de cabinet du ministre de l’Industrie et de la promotion du secteur privé. Qui salue l’engagement du Chef de l’Etat, à faire du secteur privé, le moteur du développement de la Côte d’Ivoire. Il a insisté sur l’importance de la transformation des matières premières en produits finis. Une option pouvant permettre d’échapper aux spéculations.
La société de traitement de caoutchouc, Itca, a été créée par les planteurs d’hévéas. M. Lohoues Essoh Vincent, président du Conseil d’administration et par ailleurs président du Fonds interprofessionnel de solidarité (Fish), a annoncé que c’est la première étape de l’implantation d’une série d’unités dans les principales régions du pays. Pour réaliser cette usine, plus de 2 milliards de F ont été investis. Avec l’espoir d’obtenir un chiffre d’affaires de 9 milliards au cours du premier exercice. Il a également souligné que cette usine va concourir, entre autres, à l’amélioration des revenus et des conditions de vie des planteurs et faciliter l’écoulement de leur production. L’unité bâtie sur une superficie de 4 ha a une capacité de production annuelle de 15.000 tonnes de caoutchouc sec et granulé.
Cameroun: Bientôt, des anti-rétroviraux made in Cameroon
Léopold Chendjou
23 Mars 2009
C'est le défi que se lance une entreprise pharmaceutique basée à Douala. Une convention de prêt entre cette société et un pool bancaire a été signée vendredi dernier.
Le Cameroun producteur d'anti-rétroviraux. Ce sera possible dès 2010. C'est le défi que se donne Cinpharm, une entité du holding Cadyst-Invest, appartenant à l'opérateur économique Célestin Tawamba. Pour ce faire, une convention de prêt entre Cadys-Invest soutenu (cautionnement) par la Société Allemande d'Investissement et de Développement (Deg) et un pool bancaire constitué de Cbc (Commercial Bank of Cameroon) Ecobank, et la Bicec a été signée Cadystinvest le vendredi 20 mars dernier à Douala. D'un montant de 4 milliards de Fcfa, cet appui bancaire multilatéral est destiné à la filiale industrielle de fabrication des médicaments génériques du holding Cayst-Invest, Cinpharm. Pour Philippe Kreutz, membre du conseil d'administration de la Deg, cet engagement de son institution " apporte ainsi une contribution décisive à la relance durable de la production pharmaceutique comme secteur industriel de poids en Afrique centrale francophone " Cinpharm grâce à un contrat de partenariat technique et de transfert de technologie conclu avec un producteur indien de générique de renommée internationale (Cipla) fabriquera dans son usine de Maképé (Douala) des médicaments génériques essentiels classiques parmi lesquels des antipaludéens, des anti-rétroviraux, des antituberculeux, des antibiotiques, des analgésiques et des médicaments contre les maladies gastro intestinales, sida, tuberculose, paludisme.
Pour Célestin Tawamba, patron du holding Cadys-Invest, " près des deux tiers des décès causés par le Sida, le paludisme, et la tuberculose dans le monde surviennent en Afrique. Ces pandémies érodent le potentiel de développement économique et social du continent africain. Il est par conséquent urgent d'y améliorer l'accès aux médicaments essentiels de qualité. Nous aurons réalisé un rêve, si le Cameroun à travers notre filiale de fabrication de médicaments génériques, était le point focal de production et distribution de ces médicaments essentiels en Afrique centrale et même au-delà " Le représentant de la Cbc, une composante du pool bancaire prêteuse d'argent, estime pour sa part que les activités du Holding porte sur l'alimentation et la santé, secteurs stratégiques qui constituent pour les pouvoirs publics des axes prioritaires dans le cadre du développement, de l'économie nationale et du bien-être des populations " des activités structurantes qui ont un effet d'entraînement sur l'économie dans son ensemble et qui sont de par leur nature industrielle, source de création de valeur ajoutée, de richesse et d'emplois " L'objectif de la Cbc étant de fournir des solutions adéquates et adaptées pour résoudre le problème de financement spécifique aux investissements auxquels sont confrontés les porteurs de projets au Cameroun.
Avec ce prêt, il est question pour Cadyst-invest de consolider son vaste programme de réhabilitation et de mise aux normes de Cinpharm afin de mieux l'orienter vers la production des médicaments génériques. Avec à l'horizon 2010 la production d'une soixantaine de médicaments, 13 millions de poches de solutés, 2 millions de flacon de sirop dans ses 3 usines de Maképé (Douala).
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« nan laara an saara » :
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J'adore the Apprentice et Dragon's Den (ce sont des business reality tv shows dont les versions UK et US sont les plus populaires) et lorsque je suis tombe sur les versions Africa (ou plus precisement Nigeria) de ses 2 shows je me suis dit en voila des bonnes nouvelles.
Je n'ai pas pu voir les show car n'ayant pas access au chaines nigerianes mais au vu des trailers, de la qualite des websites et des commentaires sur les forums nigerians il est evident que le niveau de production de ces shows est excellent.
Cameroun, perpectives : le groupe FADIL à l'heure du bilan
5 sociétés face aux conseils d’administration Elles ont présenté le bilan de leurs activités au cours d’une journée marathon. Le PCA Mohamadou Bayero Fadil dirigeait les débats.Les administrateurs du Complexe Chimique Camerounais (CCC) se sont retrouvés au siège du Groupe Fadil le 30 juin 2009 pour un conseil d’administration ordinaire. Un seul point figurait à l’ordre du jour de ces assises présidées par M Mohamadou Bayero Fadil, le Président du conseil d’administration : la présentation du rapport d’activités pour l’exercice 2008 clos au 31 décembre de la même année et les perspectives pour l’année en cours.
C.C.C : les comptes sont bons
A cette occasion, le Directeur Général du CCC M. Oumarou Fadil a, dans son exposé, surtout parlé des chiffres. Il ressort dans sa brillante présentation que la production du savon en volume est passée de 22 875 tonnes en 2008 contre 19 463 tonnes en 2007 ; soit une hausse de 17,53%. La production a augmenté pour quatre principales raisons : le chiffre d’affaires à grimpé, la trésorerie est de devenue de plus en plus lisible, les matières premières sont disponibles et des investissements ont été réalisés au niveau de la chaine de production. Toujours au niveau des performances réalisées en 2008, le directeur général a parlé de la citoyenneté de son entreprise qui a procédé à des recrutements (l’effectif du personnel est passé de 183 à 203 employés).
Sur le volet perspectives, le plan d’investissements prévoit l’acquisition de nouveaux robots destinés à récupérer le savon du tapis jusqu’à l’emballage et la palettisation. Cette nouvelle technologie va réduire la masse salariale tout en augmentant la production. Elle va aussi améliorer la qualité du savon qui sera mis sur le marché. Il ne restera plus alors au service commercial de faire le reste. En termes de chiffre d’affaires, les prévisions en 2009 sont évaluées à 16.442.129.000 Fcfa.
Fondé en 1945, le Complexe Chimique Camerounais est leader incontesté dans l’agro-industrie au niveau de la sous-région Afrique Centrale. Il est spécialisé dans la fabrication du savon de ménage et plusieurs autres produits dérivés.
Sogedel : Cap vers la modernité
Une journée très chargée pour le Président du Conseil d’administration du Groupe Fadil. Après le Complexe chimique camerounais étaient également programmés, les conseils d’administration de quatre autres sociétés appartenant au Groupe. Il s’agit de la Sogedel, la Snc, la Sci-Cam et la Sifi. Face à Mohamadou Bayero Fadil, les différents responsables de ces structures ont défilé devant leur PCA pour présenter le bilan de leurs activités au cours de l’exercice 2008 et les prévisions par rapport à 2009.
La Sogedel, société générale de développement de l’élevage, a vu ses activités ralentir à cause d’un drôle d’épidémie de la peste qui a décimé une partie du cheptel. C’est ainsi que près de 850 têtes de bétail ont été clouées au sol ; entraînant de surcroît une dégringolade du chiffre d’affaires de cette société de l’ordre de 21,18%.
Pour éviter ce type de déconvenues à l’avenir, le conseil d’administration a annoncé des mesures préventives allant dans le sens de l’amélioration de la nutrition alimentaire, la santé et la génétique. C’est ce qui explique d’ailleurs les voyages effectués aux salons de l’agriculture organisés par l’European Marketing Research Center (EMRC), aux rencontres d’affaires de Bordeaux et de Paris, aux missions économiques en Israël, au salon de la S.I.A au Maroc et à la World Economic Forum de Cap Town en Afrique du Sud. Des contacts ont été pris avec une entreprise spécialisée dans l’élevage pour moderniser le Ranch de Goundjel.
SNC : de nouveaux investissements en vue
La Société Nouvelle des Cocotiers, propriétaire de l’Hôtel Le Meridien de Douala qu’on ne présente plus, s’est livrée au même exercice par le biais de son Administrateur Directeur Général M. Mamoudou Fadil. Il ressort du bilan des activités de la structure qu’il dirige que l’hôtel Le Méridien a connu une hausse de 5,64% du résultat brut de son exploitation. Cette augmentation se justifie par l’amélioration du chiffre d’affaires en chambres de l’ordre de 6,66%. Dans l’optique de satisfaire une cliente de plus en plus exigeante, des investissements évalués à plus de 200 millions de Fcfa ont été réalisés. D’autres sont au programme pour le prochain exercice en vue d’affronter la concurrence qui s’annonce rude prochainement avec la construction de trois nouveaux hôtels haut de gamme dans la capitale économique. Il s’agit plus précisément de la rénovation des restaurants le Wouri et Madiba, du Bar Cocotiers, la réfection des façades du bâtiment de l’hôtel et l’acquisition de nouveaux véhicules pour cet établissement hôtelier.
Posté le: Mer 15 Juil 2009 14:25 Sujet du message: Les ville de l'Ouest Cameroun bougent
Voici une initiative louable des communes de l'Ouest Cameroun, qui n'attendent pas tout de l'Etat.
Avis aux camerounais (et aux autres) qui passent leur temps à "étudier" le modèle chinois, jalouser les libanais, relativiser la réussite coreenne, lorgner les vietnamiens ou qui veulent imiter les ...martiens .
Des initiatives louables sont faites chez nous et si tout le monde en faisait autant dans la pays ou le continent, la situation generale serait un peu moins dramatique .
Ceux qui vont me sauter desssus pour m'accuser de propagande tribale n'ont qu'a publier le mème genre d'initiatives venues d'ailleur, il y a de la place pour tout le monde......
Citation:
Ouest : Les maires organisent un salon
Ecrit par Honoré Feukouo
15-07-2009
La ville de Bandjoun abritera la première édition du 8 au 11 décembre 2009.
La toute première édition du Salon des communes de l’Ouest (Saco 2009) va se dérouler à Bandjoun du 8 au 11 décembre 2009. L’annonce officielle a été faite le vendredi 10 juillet 2009 lors d’une conférence de presse qui s’est déroulée dans la salle des conférences de l’Uccao à Bafoussam.
Le maire Victor Fotso de la commune de Peté Bandjoun, qui est en outre le président de l’Association des communes et villes unies du Cameroun Ouest (Cvuc-o), a rappelé que cette initiative qui sera désormais annuelle et rotative au sein des 41 communes de la région de l’Ouest, vise à faciliter les contacts entre la population locale et la mairie d’une part, tout en présentant la commune dans toute sa réalité au large public, d’autre part. Au cours des différentes interventions, il n’a cessé de rappeler que le but avoué est de sensibiliser et d’inviter les élites de la diaspora, afin qu’elles viennent contribuer au développement local, en investissant au sein de ces communes. Le choix de Bandjoun pour la première édition découle, selon Charles Tchomtchoua qui est le secrétaire général des Cvuc-o, du fait que le maire Victor Fotso qui a tant œuvré pour le développement de sa commune et de son pays méritait cet honneur.
Le budget prévisionnel de cette première édition a été arrêté à hauteur de 81.837.000 Fcfa. Pour la réussite de ce salon, les organisateurs ont déjà obtenu un soutien financier venant de d’Allemagne. Le secrétaire général des Cvuc-o a également rappelé qu’en plus des 200 stands qui seront ouverts aux mairies et aux exposants divers, des réflexions sur la décentralisation, la problématique de la gestion énergétique et entreprenariale dans les communes seront menées. « La finalité étant d’impulser le développement au sein des communes, qui sera directement bénéfique pour la population locale», a conclut Victor Fotso.
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Jules Domche : «Vox Africa a été très bien accueilli au Cameroun »
Ecrit par Maurice Simo Djom
04-08-2009
Le directeur Afrique centrale de Vox Africa présente la soirée de lancement de cette chaîne qui a lieu le 4 septembre.
A quand le lancement solennel de Vox Africa en Afrique centrale ?
Nous avons prévu de lancer la chaîne de manière solennelle, pour ce qui est de la direction Afrique centrale, le 4 septembre 2009 à Yaoundé, au Hilton hôtel.
Quelles sont les articulations de cette soirée ?
Avant la soirée de lancement, nous avons prévu d’organiser une conférence de presse le 31 août 2009, où nous comptons réunir l’ensemble de la presse nationale pour échanger sur le projet Vox Africa et partager notre vision, nos ambitions. Nous allons couronner cela avec la soirée dansante à laquelle nous allons convier l’ensemble des acteurs du monde culturel, économique, politique et médiatique pour parler de Vox Africa, présenter la chaîne, les différents programmes et offrir aux potentiels annonceurs, qui seront là, les offres de lancement pour communiquer sur la chaîne. C’est une soirée au cours de laquelle nous allons permettre aux gens de mieux nous connaître, nous sommes conscients que les gens nous connaissent ; mais pas tant que cela. Nous étions dans une phase expérimentale. Actuellement que cette phase est finie, nous pouvons nous montrer au public tel que nous sommes et échanger avec des gens pour savoir ce qu’ils attendent de nous et ce que nous pouvons leur offrir.
Que ressort-il cette phase expérimentale ?
Il en ressort que Vox Africa a été très bien accueillie. Je dois dire que je dois être hypersatisfait de l’accueil qui a été réservé à cette chaîne, dans tous les pays où nous sommes présents, nous nous rendons compte que les gens apprécient ce que nous faisons. Des gens sont devenus de fidèles téléspectateurs de notre chaîne. Vox Africa promeut des idéaux qui sont ceux de tout Africain qui croit en l’Afrique. Notre chance, c’est le bilinguisme. C’est cela qui fait en sorte que nous ratissions large sur le continent africain. Les réactions viennent de partout, du Ghana, du Burundi, du Rwanda et du Cameroun, pays dont on peut se vanter de dire que c’est celui où la chaîne a son meilleur taux d’audience en Afrique.
Pourquoi le signal de Vox Africa n’est-il pas reçu dans tous les ménages ?
Le signal de Vox Africa n’est peut-être pas disponible dans tous les ménages aujourd’hui. Mais c’est une question de temps. La chaîne est récente. Elle a commencé à émettre il y a un an seulement. Je suis content de l’évolution et de notre pénétration dans les ménages pour la simple raison que cela doit prendre du temps. Vox Africa est une chaîne gratuite. Il est possible à tout le monde sur le continent africain de l’avoir. Ceux des câblo-opérateurs qui n’ont pas encore le signal peuvent se rapprocher de nous pour que nous leur donnions des paramètres pour capter ce signal.
Comment envisagez-vous la couverture de la coupe du monde 2010 ?
C’est l’événement de l’année. La chaîne panafricaine Vox Africa ne peut, sous aucun prétexte, être absent à ce grand rendez-vous. Nous sommes en train de travailler de différentes manières. Tout ce que je peux vous dire en l’état actuel des choses et que la direction générale confirmera lorsqu’elle sera ici, c’est que nous allons être fortement présents en Afrique du sud.
Je crois que leur siège ce trouve à Londres et cette chaine devrait tenter de faire de l'ombre à Africa 24 _________________ Mentalité de la cueuillette=sida économique
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Vous l'avez demandé? Des africains l'ont fait
Je crois que leur siège ce trouve à Londres et cette chaine devrait tenter de faire de l'ombre à Africa 24
Effectivement une chaine assez intéressante. J'avais suivi un débat sur les africains de la diaspora voulant rentrer de leurs pays respectifs afin de créer des entreprises ou mettre à l'oeuvre leur talent au sein de société sur place.Effectivement beaucoup d'anglophones (Nigeria et Ghana) basé en Grande Bretagne. C'est un début et on espère beaucoup de succès à cette chaine visible sur Free. _________________ "La seule richesse naturelle d'un pays est son peuple"
Nous avons demandé le direct, au plus près de l'action, est-ce que c'est fait ? Il paraît qu'il y a de la "bastonnade" dans les rues de Niamey, à cause de l'autre Tonton, c'est en direct ou pas ?
Il avait tout. Tout ce dont un journaliste peut rêver. Un formidable job de reporter sur la chaîne la plus regardée de France, des voyages aux quatre coins du monde, la confiance totale de sa hiérarchie et un salaire que bien de ses confrères lui enviaient. Il a tout laissé tomber. Patrick Fandio va enfin faire ce dont il avait vraiment envie : retourner travailler en Afrique.
Attablé devant une bière à la terrasse d’un café lors d’un bref passage dans la capitale française, il prend visiblement plaisir à parler de lui et de son nouveau projet. Il n’a plus rien d’une star de la télé. Désormais, il est un jeune chef d’entreprise qui doit à nouveau faire ses preuves. Mais il a confiance, et ça se voit.
Depuis le mois de mars, ce Camerounais de 34 ans a mis les voiles et quitté TF1. Direction Johannesburg. Avec une équipe de quatre ou cinq permanents, il est en train de créer sa propre société de production, baptisée Impala. À partir de l’Afrique du Sud, il envisage de produire des reportages et des documentaires pour l’ensemble du continent. « J’ai toujours su qu’un jour je repartirais », explique-t-il. Il était établi en France depuis 1993.
Pendant les six premières semaines, il a réalisé une quinzaine de sujets. Le premier était consacré à la visite du pape au Cameroun. Un choix dicté par l’actualité, mais porteur d’une forte charge symbolique. Pour lui, c’était un retour aux sources. Patrick Fandio a grandi, pour l’essentiel, à Yaoundé, avant de rentrer avec ses parents au village, à Bangangte, à l’âge de 14 ans. « J’ai eu une enfance très heureuse, j’étais le petit dernier, surprotégé et chouchouté », raconte-t-il.
Ce n’est que vers l’âge de 10 ans qu’il comprend que ceux qu’il considère comme ses parents sont en réalité ses grands-parents. On lui explique alors, avec les mots qu’il faut, la mort de sa mère et de son père dans des circonstances qu’il préfère garder pour lui.
Quand il passe son bac, ses « parents » sont déjà des retraités. Son grand-père, qui est de la « génération des bâtisseurs », est diplômé de l’Institut des études d’outre-mer, à Paris. Il a été directeur de cabinet de John Ngu Foncha, vice-président et Premier ministre de l’État fédéré du Cameroun occidental, mais aussi premier consul du Cameroun en France.
Tous les enfants de la famille ont fait de bonnes études. Il ne déroge pas à la règle, même s’il se fait virer pour avoir lancé un appel à la grève, puis rate, une fois, son bac. Nous sommes en 1993. Au Cameroun, l’université est perturbée par des mouvements de grève. On parle d’année blanche. Ses grands-parents décident de l’envoyer étudier en France et, pour cela, « font des sacrifices énormes ». Sa « grande sœur », en réalité une tante médecin, contribuera des années durant à sa formation, qui commence à l’université de Nancy, en Lorraine.
« Une arrivée catastrophique, se souvient-il. Je ne connaissais personne, il faisait gris et froid, je devais squatter chez des gens que je ne connaissais pas. » La vérité est qu’il ne s’est jamais vraiment acclimaté en France.
Après sa licence en communication, il veut une formation « plus concrète et plus pro ». Il n’a pas les moyens de se présenter, comme le font les autres, aux concours de plusieurs écoles de journalisme. Il n’en passe qu’un, celui du Celsa (école de communication dépendant de la Sorbonne). Il y a une petite vingtaine de places pour plus de mille postulants. Il est admis.
Son diplôme en poche, Fandio veut faire de la radio. Pas n’importe laquelle, celle des Africains, Radio France Internationale. Il tente d’obtenir la bourse annuelle qu’offre la « radio mondiale » aux étudiants en journalisme. Une fois n’est pas coutume, il échoue. Un de ses profs, Rachid Arhab, qui travaille alors à France 2, le pousse à présenter sa candidature… et lui donne un petit coup de pouce, souvent si précieux en début de carrière.
Nous sommes en 1998 et, dans l’audiovisuel, il n’est pas encore question de « diversité ». « Patrick a progressé comme n’importe quel jeune journaliste », se souvient Pascal Doucet-Bon, l’un de ses supérieurs de l’époque. S’il a réussi, ce n’est pas parce qu’il était noir, mais parce qu’il « apprenait avec une vitesse déconcertante ». « Des gars comme lui, je n’en ai pas vu souvent », ajoute Doucet-Bon.
À France 2, il parcourt le pays en tous sens et fait ses armes de reporter. Surviennent les attentats du 11 Septembre. Il a 26 ans et se retrouve propulsé dans les coins les plus chauds de la planète. En Irak, notamment.
« C’était drôle de voir la réaction des gens sur le terrain. Un journaliste noir en zone de guerre, il n’y en a pas beaucoup. Et un journaliste noir filmé par un caméraman blanc, encore moins. Au début, en Irak, j’étais un peu une curiosité », se souvient Fandio.
Mais sa carrière, il le maintient, ne doit rien à la discrimination positive. « Je refuse de me polluer l’esprit avec des questions de minorité à l’écran », insiste-t-il. Cela ne l’empêche pas de relever que, pendant dix ans, il a été le seul Noir du journal télévisé. « Si on le veut vraiment, il est parfaitement possible de dénicher d’autres journalistes noirs expérimentés, doués, ou même, pourquoi pas, médiocres, comme il en existe dans toutes les rédactions. La vraie égalité, ce sera quand nous aurons aussi le droit d’être moyens », plaide-t-il.
Il n’empêche : quand, en 2003, TF1 entreprend de le courtiser, ce n’est pas seulement parce qu’il est très bon, mais aussi parce que « la diversité » à l’écran est devenue une politique. « TF1 lui proposait un salaire hallucinant sur lequel nous n’avons pu nous aligner », regrette son ancien collègue de France 2. « Être recruté au nom de la diversité, ce n’est pas être le Noir de service ! Patrick a toujours été perçu à TF1 comme un journaliste à part entière, avec du talent et des capacités. On lui a fait confiance », commente le présentateur Harry Roselmack, originaire de la Martinique. Pour Harry, Patrick est « un type simple, accessible, très spontané, sans calcul dans ses relations ».
En 2009, ce dernier décide pourtant de « rentrer » et choisit l’Afrique du Sud, parce que « ce pays nous a fait rêver pendant toute notre jeunesse », dit-il, mais aussi parce que c’est un carrefour africain, une plate-forme. Et puis c’est là que se déroulera en 2010 la Coupe du monde de foot… « Il fallait qu’il le fasse. C’est un choix de cœur, un choix de raison, un choix militant », estime Roselmack.
Comme Patrick, il pense que si l’Afrique n’est pas très présente dans les médias audiovisuels français, c’est surtout une question d’offre : il n’y a pas assez de reportages montrant autre chose que des crises. « Je souhaite que les Africains racontent eux-mêmes leur histoire au monde », confie Fandio. Mais cette fois, il ne s’agira pas seulement d’être un bon journaliste. Pour réussir son pari, il lui faudra aussi faire la preuve de ses capacités de manager et de chef d’entreprise. Et ça, c’est une autre affaire.
BONNE CHANCE MR FANDIO Bon retour sur le continent en espérant que vous pourrez aussi avoir une structure au Cameroun un peu plus tard _________________ "La seule richesse naturelle d'un pays est son peuple"
Le troisième reportage du JT Afrique du 5/9/2009 de France O donne quelques raisons d'espérer. La SOTRA construisait déjà des BateauBus pour le transport des passagers sur la lagune Ebrié. La construction d'autobus et l'exportation du savoir-faire dans d'autres pays africains est un saut important. Pourvu que des perturbations intérieures et extérieures ne reviennent remettre tout ceci en cause. Le feu couve encore sous la cendre ...
Le dernier reportage est magnifique. Je suis admiratif devant le courage de cette dame. Les congolais de la diaspora devraient l'aider à vendre ses oeuvres à l'étranger. J'en achèterais bien, non par compassion mais parcequ'elles sont BELLES.[/url]
Inscrit le: 09 Aoû 2004 Messages: 94 Localisation: FRANCE
Posté le: Sam 05 Sep 2009 22:31 Sujet du message:
sang froid a écrit:
Le dernier reportage est magnifique. Je suis admiratif devant le courage de cette dame. Les congolais de la diaspora devraient l'aider à vendre ses oeuvres à l'étranger. J'en achèterais bien, non par compassion mais parcequ'elles sont BELLES.
Je cosigne!
SVP Diaspora Congolaise, faites connaitre le travail de cette dame; c'est possible de lui ouvrir une boutique en ligne, même sur e-bay pro; beaucoup ici acheterait ses tableaux qui expriment la persévérance.
Diaspo Co, on attend! _________________ Less is more
En effet, c'est remarquable ce qu'elle arrive à faire, ça force le respect!
Je suis aussi ravie de l'initiative ivoirienne, merci pour ces bonnes nouvelles d'Afrique! _________________ Mu mpenda mu dangwanè kanga...
J'aurai bien pu mettre ce documentaire dans actualité diaspora france mais je me dis aussi toute personne africaine qui s'en sort et vient avec de nouveaux concepts est un bon point pour l'Afrique. En espérant que son entreprise grandira et sera de renommé internationale et bien entendu que cela ait aussi des répercussions positives dans son pays d'origine ou sur le continent. Félicitations à ce jeune entrepreneur!
si yassa fastfood s'installe à paris ou en RP , le succes sera IMMEDIAT
on l'attend de pied ferme
Je connais au moins cinq restaurants sur Paris dans le même genre (enfin qui font un petit peu plus boui-boui quand même). Mais c'est une superbe initiative. _________________ youngsoldier's back
Quand on est a même de fournir, sur la durée, un produit de la qualité, un bon service a l'appui, de l'innovation de temps en temps et qu'en plus on n'y mets tout son coeur (ce qui semble être le cas) cela engendre obligatoirement de la satisfaction ventrale (faut que ca remplisse) et donc la réussite.
!!! applaudissement!!! _________________ There's only two things in life that are constant that's change and change.
Il y aura du beau monde jeudi prochain à Douala, précisément au quartier Makèpè où est située la Compagnie industrielle pharmaceutique (Cinpharm). La raison de ce fort déploiement est toute simple. C'est ce jour que le ministre de la Santé publique se fera certainement le devoir de couper le ruban symbolique marquant l'ouverture officielle de l'usine de production de médicaments "made in Cameroon." Il sera accompagné pour l'occasion, selon les informations en notre possession, des plusieurs délégations ministérielles étrangères et diplomatiques. La cérémonie de jeudi prochain sera précédée la veille d'une non moins importante : une conférence scientifique sous le thème: «la qualité du médicament : facteur de santé et de développement en Afrique.» Cette cérémonie sera parrainée par le Pr. Marc Gentilini de la Fondation Chirac.
Investissement
Grâce à ce coup de pouce du groupe Cadyst-Invest, dirigé par Célestin Tawamba, le Cameroun devrait désormais limiter ses importations de médicaments génériques. C'est du moins l'objectif poursuivi à terme par la convention tripartite de financements signés le 20 mars 2009 à Douala entre Cadys-Invest, une holding propriétaire de la filiale pharmaceutique Cinpharm, un pool bancaire camerounais (l’acteur prêteur) et la DEG allemande. Le pool bancaire camerounais, qui apporte ce prêt de 4 milliards, est constitué de la Commercial Bank of Cameroon, d'Ecobank et de la Bicec. C'est un des crédits industriels les plus importants apportés au secteur privé camerounais ces dernières années. Créé en 1988 par le laboratoire français Rhône Poulenc et racheté en 2006 par Cadyst-Invest, Cinpharm, à travers son usine de fabrication de médicaments génériques produira des antidouleurs, des antipaludéens, des antiparasitaires, des antirétroviraux et des antituberculeux. Le type de médicaments fabriqués devrait être des génériques simples.
En guise de rappel, le générique, est un médicament dont la formule est tombée dans le domaine public (après une quinzaine d'années d'exploitation exclusive par le laboratoire ayant découvert la formule), commercialisé sous la dénomination de son principe actif, indépendamment du laboratoire pharmaceutique d'origine. Il s'agit ici du médicament qui coûte extrêmement moins cher parce que le fabricant ne supporte pas, entre autres, les frais de la recherche ayant conduit à l'obtention du brevet.
Pari gagné
L'usine qui sera inaugurée le 08 avril prochain est constituée de trois unités de production permettant de fabriquer des comprimés et des sirops, des antibiotiques à base de pénicilline et des solutés massifs injectables. Le secteur pharmaceutique dans le groupe Cadyst Invest permettra par exemple, de passer à une production globale de 13,5 millions de poches de perfusion par an, contre 3,5 millions produites actuellement par la société industrielle de produits pharmaceutiques (Sipp). La synergie Cinpharm-Sipp apportera un souffle nouveau à l'industrie pharmaceutique camerounaise, une expertise et une caution dans la fabrication des médicaments génériques. L'objectif étant la modernisation de l'outil de production selon les normes de l'Oms, l’élargissement de l'offre à l'ensemble des médicaments essentiels génériques, l'offre de produits pharmaceutiques à des prix abordables pour soutenir les couches sociales les plus défavorisées, pour ne citer que cela.
Pour Célestin Tawamba, patron de la holding Cadys Invest, près des deux tiers des décès causés par le Sida, le paludisme, et la tuberculose dans le monde surviennent en Afrique. Ce qui ne saurait laisser personne indifférent. Surtout que ces pandémies érodent le potentiel de développement économique et social du continent africain. D'où l’urgence d'en faciliter l'accès au plus grand nombre. "Nous avons réalisé un rêve" se réjouit-on dans l'entourage de l'homme d'affaires. Car, à partir de l'ouverture de cette usine, le Cameroun devient le point focal de production et de distribution des médicaments essentiels en Afrique centrale et même au-delà. Le pari de l'horizon 2010 vient ainsi d'être relevé, au grand bonheur de nombreux malades.
L'unité de fabrication des génériques a la portée de toutes les bourses a été inaugurée jeudi 08 avril 2010, en présence de plusieurs délégations et d'un parterre impressionnant de personnalités
«Dormir sur la natte des autres, c'est comme si on dormait par terre.» Disait Joseph Ki-Zerbo, célèbre écrivain africain. Et Célestin Tawamba, le président directeur général de la Compagnie industrielle pharmaceutique (Cinpharm) a fait sienne cette citation, en décidant de s'investir dans la fabrication des médicaments à la portée de toutes les bourses, à partir de son pays. Et parce que l'occasion valait la chandelle, ils sont venus des quatre coins du Cameroun, mais aussi de la sous-région et même au-delà, pour assister à la cérémonie d'inauguration de l'usine de la Cinpharm. C'est donc cette unité qui sera désormais chargée de faire de ce rêve jadis, une réalité de nos jours.
«Je déclare inaugurée l'usine Cinpharm et que vive le partenariat privé-public.» C'est par cette phrase hautement porteuse d'espoirs que le ministre de la Santé publique du Cameroun, André Marna Fouda, accompagné de ses pairs, a officiellement lancé les activités de la Cinpharm. Groupes de danses, banderoles aux couleurs verte et blanche, décor féerique, tous les ingrédients ont été réunis pour faire de cette cérémonie un évènement mémorable. Mêmes les artères de Makèpé, ce quartier périphérique de Douala qui abrite les locaux de ladite usine, jonchées jusqu'à une certaine époque de nids de poule, a fait sa plus belle toilette pour accueillir ses hôtes.
Celestin TAWAMBA (08 avril 2010)
Le protocolaire
La cérémonie d'inauguration de l'usine Cinpharm a effectivement démarré par l'allocution du délégué du gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Douala. En médecin averti, le Dr Fritz Ntonè Ntonè a félicité, non sans encourager cette initiative courageuse, les promoteurs de cette unité de production de génériques 'made in Cameroon'. Il a également profité de la tribune qui lui a été offerte pour rebaptiser le carrefour qui jouxte cette société. Désormais donc, on ne parlera plus de «carrefour Rhône-Poulenc», mais de «carrefour Cinpharm». A sa suite, la parole a été donnée à Markus Geibel, le partenaire financier allemand, la Ded, qui a apporté une contribution financière de 4 milliards de FCFA dans l'édification de cette œuvre.
Dans son propos, il s'est dit heureux de participer à cette aventure. Car, Cinpharm peut être considéré comme le laboratoire pharmaceutique le plus moderne d’Afrique de l’Ouest et Centrale. Il a également loué pour le féliciter, le travail des experts indiens qui ont eu une part déterminante dans la mise en place de cette usine. «On est assuré que Cinpharm pourra fabriquer des médicaments de haute qualité qui répondent aux normes internationales. L'inauguration de ce jour permet de franchir un cap sur le chemin du succès.» Dira-t-il, avant de préciser que sa maison est fière d'être «un partenaire financier dans le projet Cinpharm et de participer ainsi à l'avenir industriel du Cameroun.»
Le MINCOM et le MINSANTE visitent les installations (08 avril 2010)
La mise en branle de la Cinpharm a aussi été motivée par la problématique de l'accessibilité des médicaments aux petites bourses. On est sans ignorer que la somme des accidents dus aux faux médicaments est importante dans des pays au sud du Sahara. Certaines entreprises avides d'intérêt se sont jetées dans la fabrication des médicaments à base de la farine sur lesquels elles marquent fort malheureusement les noms des médicaments bien connus. Ce sont donc ces produits qui, une fois reversés dans le marché local, camerounais en l'occurrence, sont rachetés par des populations aux revenus incertains. Et c'est justement ce qui a fondé l'intervention du Pr Marc Gentilini.
Ce mythe vivant dans le domaine de la médecine, professeur émérite, expert en maladies infectieuses et tropicales et de surcroît, membre du comité scientifique de Cinpharm, est venu rappeler que le trafic de faux médicaments est une réalité. Il est rentable et à l'abri de toute impunité. «Aucune loi, aucune contrainte ne vient freiner le travail des escrocs, des trafiquants qui sont des tueurs et contre lesquels nous devons tous nous investir.» soulignera-t-il.
Selon lui, et pour paraphraser Albert Einstein, le monde n'est pas difficile à vivre. Il l'est, pas à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et qui laissent faire. Raison pour laquelle, il a souhaité que cette lutte permanente contre l'indifférence doit être une affaire de tous. Et s'il y a quelqu'un qui l'a bien compris, c'est Célestin Tawamba.
Dans son adresse d'une quarantaine de minute, le président directeur général de Cinpharm est revenu sur les raisons qui ont motivé le groupe Cadyst lnvest SA a racheter l'ancien Rhône-Poulenc. Ainsi que le chemin parcouru par Cinpharm depuis 2006. «C'est vous dire que si ce fleuron technologique est bien l'aboutissement d'un rêve, d'une ambition que d'aucuns ont qualifié d'insensée, rien n'a été laissé au hasard pour autant ! Des investissements de l’ordre de 11 milliards de CFA ont été mobilisés (soit plus d’un millier de travailleur utilisés), pour transformer la vielle usine à la technologie mécanique obsolète, produisant à peine une quinzaine de produits...» Dira-t-il.
Les comprimes (08 avril 2010)
Investissement
Le complexe industriel flambant neuf qui a accueilli la cérémonie du 08 avril dernier, l'a été au terme d'un travail titanesque d'investissement, de reconstruction, d'extension et de modernisation. C'est donc, trois unités de production, à savoir l'unité de formulation générale, l'unité de fabrication des antibiotiques Bétalactamines, et l'unité de fabrication de solutés massifs, deux laboratoires d'analyse et de recherche, ainsi que d'une unité de traitement des déchets et eaux usées; le tout entièrement automatisé, à la pointe des technologies les plus récentes et répondant en tous points aux normes des bons procédés de fabrication de médicaments, telles que édictées par l'Oms, qui vient de voir le jour à Makèpé. Un investissement qui devrait intéresser le gouvernement, parce qu'il peut être considéré comme «le symbole de l'indépendance, de la sécurité et de la souveraineté du gouvernement camerounais, voire de l'ensemble des Etats de la sous région en matière de santé publique et de politique du médicament !» Répondant à cet appel de pied, le ministre de la Santé publique a clairement félicité les promoteurs de Cinpharm pour avoir accepte de s'investir dans la fabrication des médicaments, surtout à la portée de toutes les bourses. Il s'est par ailleurs engagé à soutenir cette action, parce qu'elle participe à lutter contre la vente illicite des produits pharmaceutiques et la distribution de faux médicaments. Car, soulignera-t-il, «plus la chaîne de distribution des médicaments est courte, moins il y a risques de trafics.» André Mama Fouda a par ailleurs souhaite que cette initiative fasse cas d’école au Cameroun et dans la sous-région.
FAUX MÉDICAMENTS: Un crime conte la santé
La conférence scientifique organisée le 07 avril dernier en prélude à la cérémonie d'inauguration de l'usine de Cinpharm a permis de discourir sur cette problématique.
Eminents, ils le sont tous. Les médecins et les pharmaciens qui se sont succédé au pupitre érigé pour la circonstance par les responsables de la Compagnie industrielle pharmaceutique (Cinpharm) dans un hôtel de Douala. Ils étaient là pour confabuler sur le thème: «la qualité du médicament : facteur de santé et de développement en Afrique.» C'était à l'occasion d'une conférence scientifique organisée en prélude à la cérémonie d'inauguration de l'usine de Cinpharm.
Les professeurs Eben Moussi, agrégé en pharmacologie et Marc Gentilini, président de la Croix-Rouge française, membre de l'Académie de médecine de France, professeur émérite des Maladies infectieuses et tropicales et délégué général pour l'accès aux médicaments de qualité à la Fondation Chirac; les docteurs Rose Ngono (Oms, conseillère nationale en Médicaments essentiels), Ndo (directeur de la pharmacie et du médicament au ministère de la Santé publique), Luma Namme (président de la Commission spécialisée de Pharmacovigilance), Issa Hamadjoda (pharmacien et directeur de production Cinpharm), pour ne citer que ceux-là, ont pendant près de quatre heures d'horloge, informé l'assistance sur les enjeux de la qualité et de la sécurité du médicament en Afrique, le rôle de l'autorité de régulation dans l'assurance qualité du médicament en circulation, le développement du système de pharmacovigilance, l'accès aux médicaments et à la santé de qualité, ainsi que sur le transfert des technologies dans l'industrie pharmaceutique en Afrique subsaharienne.
Exposés
La contrefaçon de médicaments est un fléau qui touche tous les continents du globe. Elle n'est pas spécifique à l'Afrique, même si cette dernière en souffre le plus. L'Organisation mondiale de la santé définit un faux médicament ou un médicament contrefait, comme un médicament dont l'identité et/ou la source ont été délibérément falsifiées.
Un grand nombre de médicaments vendus en Afrique sont malheureusement contrefaits de nos jours. C'est la raison pour laquelle, soulignent les experts, «lutter contre la contrefaçon est une responsabilité partagée impliquant les structures gouvernementales compétentes, les fabricants, les distributeurs, les professionnels de la santé, les consommateurs et le public en général.» Dans un contexte de sous développement pour la plupart des pays du continent, le facteur humain est essentiel à la croissance et au développement. Dans cette optique, rendre aisée l'accès aux soins de santé et offrir aux populations des médicaments de qualité devient un impératif de développement.
S'agissant de la qualité du médicament et donc de ce qui peut être gagné ou perdu dans une entreprise de santé publique, le Pr Eben Moussi a rappelé que les enjeux de santé publique sont nombreux, variés, complexes et interdépendants. On y retrouve le commercial, le politique et l'éthique. Il faut donc savoir investir dans la qualité. Car c'est le seul facteur qui peut permettre de gagner en notoriété dans le domaine. «En matière de qualité, il faut être organisé, fiable et responsable. Et c'est ce que les responsables de Cinpharm tentent d'obtenir en s'engageant dans cette voie.» Pour le Pr Marc Gentilini, il faut que toutes les parties s'impliquent dans la lutte contre les faux médicaments qui abondent dans nos marchés. «De tels médicaments peuvent entraîner des lésions irréversibles et provoquer une vie gâchée. Nous avons tendance à minimiser ce trafic. Pourtant, c'est un problème grave qui touche malheureusement les pays les plus pauvres.» Le Dr Luma Namme soulignera même qu'il est arrivé à plusieurs reprises que des gens décèdent simplement parce qu'ils ont pris de faux médicaments, très souvent mal dosés et qui auraient pu causer des effets indésirables. Et comme nous sommes dans un contexte de superstition, on fera immédiatement appel aux charlatans alors qu'il s'agissait simplement d'un problème clinique.
Le mieux est donc que des politiques soient développées pour faciliter l'accès des populations aux soins et surtout aux soins de qualité. Car, il est indéniable que l'accès aux soins coûte cher en Afrique. Mais il faut également multiplier des séances d'informations des populations pour les amener à aller vers les structures sanitaires. A cause de ce manque d'informations, moins de 40% de structures sanitaires périphériques sont utilisées, à en croire le Pr Eben Moussi. Il faut surtout amener les populations à tourner le dos à l'auto médicamentation qui s'est malheureusement incrusté chez nous.
T. N. _________________ La vie est un privilege, elle ne vous doit rien!
Vous lui devez tout, en l'occurence votre vie
TRADEX, Société de Trading et d’Exportation de Pétrole Brut et de Produits Pétroliers, est une société anonyme créée en 1999 par la SNH, Société Nationale des Hydrocarbures(cameroun), et des investisseurs camerounais et étrangers.
A la suite de la libéralisation du marché de la distribution des produits pétroliers au Cameroun, TRADEX S.A. a développé une stratégie dynamique visant à s’imposer parmi les piliers de la distribution sur le marché national. Elle prend désormais une part croissante dans l’approvisionnement en produits pétroliers sur le territoire camerounais qui jusque là était dominé par des multinationales.
Depuis mars 2006, TRADEX S.A. a entamé la mise en place d’un réseau de stations service qui a pour ambition à moyen terme de couvrir la totalité du territoire national. Une dizaine de stations-service sont opérationnelles et un vaste programme de constructions de nouvelles stations est suit son cours, notamment dans les villes de Yaoundé et Douala.
En passe de faire du Cameroun l’un des plus importants centres de distribution de produits pétroliers de l’Afrique subsaharienne, TRADEX S.A. poursuit parallèlement un rayonnement sous-régional. Ainsi, elle a ouvert sa première filiale au Tchad en avril 2004 et vient de créer TRADEX CENTRAFRIQUE par le rachat d’un réseau d’une vingtaine de stations-service réparties à travers tout le territoire de la République Centrafricaine.
Quelques Chiffres
22 stations-service:
9 stations à Yaoundé
7 stations à Douala.
2 stations à Kribi
1 station à Edéa
1 station à Pouma
1 station à Wum
1 station à Obala
Nombre de collaborateurs : 49 personnes dont 14 cadres
Recrutements en 2006 : 12
Nombre de pays couverts : 03
Cameroun,
Tchad
République Centrafricaine _________________ La vie est un privilege, elle ne vous doit rien!
Vous lui devez tout, en l'occurence votre vie
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