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CHAVEZ & la Révolution Bolivarienne au Venezuela

 
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Chabine
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MessagePosté le: Ven 12 Jan 2007 19:46    Sujet du message: CHAVEZ & la Révolution Bolivarienne au Venezuela Répondre en citant

Etant donné l'intérêt suscité par le processus actuellement en cours au Venezuela, je vous propose de suivre sur ce topic les informations s'y rapportant.

http://www.lariposte.com/Chavez-annonce-des-mesures-radicales-contre-le.html

Chavez annonce des mesures radicales contre le capitalisme vénézuélien


Lors de la cérémonie d’intronisation de son nouveau gouvernement, lundi, le président Hugo Chavez a annoncé une série de mesures radicales. Si elles étaient mises en œuvre, elles porteraient un coup sévère à l’oligarchie vénézuélienne et à l’impérialisme. Les annonces de Chavez reflètent l’état d’esprit des masses vénézuéliennes, leur volonté d’en finir avec le capitalisme dans le pays.

En décembre, Chavez a remporté une victoire électorale écrasante – la plus importante depuis le début de la révolution vénézuélienne. Le rapport de force est désormais très favorable aux masses vénézuéliennes. Chavez a le contrôle absolu du Parlement, ainsi qu’une base massive dans la population. Les conditions d’un renversement définitif du capitalisme sont réunies.

Dans son discours, Chavez a insisté sur l’idée que le Venezuela est entré dans une nouvelle phase, qu’il appelle « le Projet National Simon Bolivar de 2007-2021 », et dont le but est construire le « Socialisme bolivarien ». Lors de sa propre cérémonie d’intronisation, Chavez devrait donner plus de détails sur ce projet. Mais dès lundi, il a annoncé 5 points, cinq « moteurs » de la révolution : une « loi-cadre » spéciale, une nouvelle réforme constitutionnelle, un plan d’éducation populaire, la refonte des organes du pouvoir d’Etat, et enfin « l’explosion révolutionnaire du pouvoir communal ».

La loi-cadre est sans doute la plus importante des annonces. Elle permettrait à Chavez, dans l’année qui vient, de faire adopter un certain nombre de décrets. Chavez a précisé qu’un élément central de cette loi serait la nationalisation de toutes les industries clées qui ont été privatisées par les gouvernements précédents, comme par exemple la CANTV – la compagnie de télécommunications (privatisée en 1991) – et l’industrie de l’électricité. Il y a quelques mois, déjà, Chavez avait menacé de nationaliser la CANTV si la direction de l’entreprise n’alignait pas les retraites de ses salariés sur le salaire minimum.

Chavez a dit clairement ce qu’il fallait faire : « Tout ce qui a été privatisé – nationalisons-le », une proposition qui a été très applaudie. Il a précisé que l’objectif était d’établir « la propriété sociale des secteurs stratégiques des moyens de production. »

Chavez prévoit également de renforcer le contrôle d’Etat sur l’industrie pétrolière. Aujourd’hui, il y a quatre projets d’exploitation de la région pétrolière d’Orinoco, que l’Etat gère en collaboration avec les entreprises américaines Exxon Mobil, Conoco et Chevron, l’entreprise française Total, la britannique BP et la norvégienne Statoil. Dans ces opérations, l’Etat vénézuélien est minoritaire. Chavez propose donc de devenir majoritaire, ce qui renforcera le contrôle de l’Etat sur ces projets importants, qui représentent 18% de la production nationale de pétrole.

Chavez a précisé que le texte de cette loi était prêt, et qu’il serait rapidement soumis à l’Assemblée Nationale.

Il a également proposé de nouvelles réformes constitutionnelles. Sans entrer dans les détails, il a indiqué qu’il allait se baser sur le « pouvoir populaire, véritable combustible » de la révolution. Et d’ajouter : « Nous allons vers une République socialiste du Venezuela, et cela nécessite une profonde réforme de notre constitution. [...] Nous allons vers le socialisme, et personne ne nous en empêchera. » Au cours de son discours, il a explicitement fait référence aux idéaux de Marx et de Lénine.

L’une des réformes mentionnées par Chavez vise au renforcement du contrôle sur la Banque Centrale. Aujourd’hui, la Banque Centrale est indépendante. Et comme Chavez l’a dit, cette indépendance en fait un instrument du « néo-libéralisme ». C’est correct. Les dirigeants de la Banque Centrale se sont systématiquement opposés à la politique de Chavez sur l’affectation des ressources de l’Etat à la lutte contre la pauvreté et à la mise en œuvre d’authentiques réformes sociales. Ils ont utilisé l’indépendance de la Banque Centrale pour défendre les membres de l’oligarchie, qui veulent conserver leur contrôle sur les principaux leviers de l’économie.

Chavez a également annoncé le lancement d’un plan « d’éducation populaire bolivarienne ». Il a expliqué que cela « renforcerait les nouvelles valeurs et détruirait les anciennes – l’individualisme, le capitalisme, l’égoïsme. »

Il a aussi parlé de donner davantage de pouvoir aux régions les plus pauvres du pays, ce qui était une façon de souligner la nécessité de placer le pouvoir entre les mains des masses qui soutiennent la révolution. Il a dit qu’il fallait « démanteler l’Etat bourgeois » – qui est « un obstacle à la révolution » – et a indiqué qu’il fallait donner davantage de pouvoirs aux nouveaux Conseils Communaux, qui devraient se développer à la base, de façon à ce que le nouvel Etat repose sur ces Conseils Communaux.

Avant même son discours, Chavez avait déjà décidé de ne pas renouveler la licence de RCTV, une compagnie de radio-télévision qui a systématiquement soutenu toutes les manœuvres anti-démocratiques pour renverser le Président. Elle avait soutenu le coup d’Etat d’avril 2002 et le sabotage de l’industrie pétrolière, fin 2002.

Cette décision de Chavez lui a valu les critiques de l’opposition et de l’impérialisme. Ils veulent pouvoir librement comploter contre le gouvernement démocratiquement élu du Venezuela. Imaginez qu’une chaîne de télévision privée américaine appelle les généraux à renverser Bush. Comment les Républicains réagiraient-ils ? Cette chaîne de télévision serait fermée dans les 24 heures.

Autre fait significatif : le vice-président du Venezuela, Jose Vicente Rangel, a été limogé et remplacé par Jorge Rodriguez. Rangel avait fini par être considéré comme un représentant de l’aile la plus modérée de la direction bolivarienne. Il s’était notamment opposé, en août dernier, à l’expropriation des terrains de golfe de Caracas, qu’avait pourtant annoncée Barreto, le maire de la ville. A l’époque, Rangel expliquait que le gouvernement vénézuélien était le garant du respect de la propriété privée.

Les marxistes ne peuvent qu’approuver et soutenir pleinement les mesures annoncées par Chavez. Nous avons systématiquement expliqué que la révolution bolivarienne ne pouvait pas s’arrêter à mi-chemin. Soit elle avance jusqu’à l’expropriation des principaux leviers de l’économie, brisant ainsi le pouvoir de l’oligarchie et de l’impérialisme – soit l’oligarchie, utilisant son contrôle de l’économie pour saboter et miner la révolution, finira par la liquider.

La réaction de la classe capitaliste internationale aux annonces de Chavez ne s’est pas faite attendre – et ne surprendra personne. Alberto Ramos, de Goldman Sachs, a écrit que « ces annonces politiques déconcertantes constituent un tournant clair vers une politique encore plus nationaliste et interventionniste, qui risque de mener à une nouvelle érosion de la confiance des marchés et des fondamentaux macro-économiques et institutionnels du pays ». Richard La Rosa, analyste financier, déclare : « Nous nous attendions tous à des annonces radicales après la victoire du 3 décembre. Mais là, les marchés ont été complètement pris de court. Nous sommes tous choqués. » Nombreux sont ceux qui pensent que Chavez va prendre la voie suivie par Cuba au début des années 60, lorsque Castro a nationalisé l’essentiel de l’économie.

Au fur et à mesure que Chavez se déplace vers la gauche, les capitalistes – au Venezuela et à l’échelle internationale – intensifient leur campagne haineuse contre lui. C’est que leurs intérêts matériels sont en jeu. Si Chavez va jusqu’au bout, il recevra le soutien enthousiaste des masses vénézuéliennes. Ces derniers temps, Chavez parle de rendre le processus révolutionnaire irréversible. Il n’y a qu’une façon d’y parvenir : en expropriant la classe capitaliste et en construisant un Etat reposant sur la classe ouvrière.

Lorsque Chavez parle de « démanteler l’Etat bourgeois », il a parfaitement raison. L’Etat actuel est infesté d’agents de l’ancien régime. La grande majorité des hauts-fonctionnaires de l’Etat actuel étaient payés par l’ancienne administration pour servir les intérêts de la bourgeoisie. On ne peut pas leur faire confiance. Chaque jour, chaque minute, ils manœuvrent pour bloquer toute réforme progressiste. Il s’efforcent de miner la révolution, dans l’espoir de préparer le terrain à un retour de l’ancien régime. Chavez a souvent fait référence à la bureaucratie et à la corruption qui, à tous les niveaux de l’Etat, bloquent le processus révolutionnaire.

L’axe du pouvoir doit passer aux masses elles-mêmes. La seule force sur laquelle Chavez peut compter, c’est la classe ouvrière vénézuélienne, les paysans et les pauvres. Il est temps que des comités soient élus dans toutes les entreprises et les quartier ouvriers, et que ces comités soient reliés du niveau local jusqu’au national. Tel serait l’instrument qui permettrait de « démanteler l’Etat bourgeois » et de construire un « Etat révolutionnaire. »

L’UNT devrait prendre l’initiative d’organiser une Conférence nationale des travailleurs, qui discuterait des mesures concrètes à prendre pour organiser la lutte, dans les secteurs clés de l’économie, pour leur nationalisation sous contrôle ouvrier – mais aussi pour empêcher les patrons de saboter l’activité des entreprises. Une telle Conférence pourrait également entreprendre une campagne d’occupation de ces 800 entreprises dont Chavez disait, en 2005, qu’elles pourraient être expropriées.

Il est clair que le processus révolutionnaire, au Venezuela, connaît actuellement une accélération. Si la révolution va jusqu’à son terme, dans la période à venir, elle deviendra une grande source d’inspiration pour tous les peuples d’Amérique latine – et au-delà. Cela ouvrirait une nouvelle période de révolutions. C’est pourquoi tous les authentiques communistes et socialistes ne peuvent être qu’enthousiasmés par ces développements, et soutiendront pleinement la révolution vénézuélienne. Les capitalistes, à l’échelle internationale, utilisent tout leur pouvoir, leur contrôle des médias, leur pouvoir économique, etc, pour attaquer la révolution. Notre devoir, dans tous les pays, est de les contrer de toutes nos forces.

Fred Weston

Publication : mercredi 10 janvier 2007
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"Le colonialisme et ses dérivés ne constituent pas à vrai dire les ennemis actuels de l'Afrique. À brève échéance ce continent sera libéré. Pour ma part plus je pénètre les cultures et les cercles politiques plus la certitude s'impose à moi que LE PLUS GRAND DANGER QUI MENACE L'AFRIQUE EST L'ABSENCE D'IDÉOLOGIE."
Cette Afrique à venir, Journal de bord de mission en Afrique occidentale, été 1960, Frantz Fanon, Pour la Révolution Africaine
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Chabine
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MessagePosté le: Lun 15 Jan 2007 16:59    Sujet du message: Répondre en citant

"L'Axe du mal" en force ! Twisted Evil

http://www.assemblee-martinique.com/joomla/news-225/alliance_chavez-ahmadinejad_contre_la_politique_de_bush.html

Alliance Chavez-Ahmadinejad contre la politique de Bush
14-01-2007
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad poursuit sa visite en Amérique Latine, série de rencontres avec Hugo Chavez (Vénézuela), Evo Morales (Bolivie), Daniel Ortega (Nicaragua), Rafael Correa (Equateur), pour un axe à caractère anti-américain.

Le président vénézuélien Hugo Chavez et son homologue iranien Mahmoud Ahmadinejad ont annoncé samedi qu'ils soutenaient une baisse de la production de l'OPEP pour endiguer la baisse récente des prix du brut, et qu'ils étaient prêts à aider financièrement les pays qui souhaitent se soustraire à l'emprise des Etats-Unis. Twisted Evil

"Nous savons qu'il y a aujourd'hui trop de brut sur le marché", a déclaré Hugo Chavez qui recevait samedi à Caracas Mahmoud Ahmadinejad, dont le pays est lui-aussi membre de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP). "Nous avons convenu de joindre nos forces au sein de l'OPEP pour soutenir une baisse de la production et sauver le prix du pétrole", a-t-il ajouté.

Déjà venu au Venezuela en septembre dernier, Mahmoud Ahmadinejad est arrivé samedi à Caracas, première étape d'une tournée en Amérique latine destinée à renforcer les liens entre Téhéran et les gouvernements de gauche soucieux de réduire l'influence de Washington dans la région.

Déjà engagé dans un projet commun pour financer des investissements dans leurs deux pays, MM. Chavez et Ahmadinejad ont annoncé samedi que ces fonds seraient également utilisés pour développer des programmes dans des pays désireux de "se libérer" de l'emprise américaine.

"Cela va nous permettre d'étayer les investissements (...) particulièrement dans ces pays dont les gouvernements tentent de se libérer du jour impérialiste (américain, NDLR)", a déclaré Hugo Chavez. "Ces fonds, mon frère", a-t-il ajouté en référence à Mahmoud Ahmadinejad, "vont devenir un mécanisme de libération". "Mort à l'impérialisme américain!", a-t-il ensuite lancé.

Le Venezuela et l'Iran, tous deux ouvertement opposés aux Etats-Unis, ont considérablement rapproché leurs positions récemment. Hugo Chavez s'est fait le défenseur des ambitions nucléaires iraniennes, promettant de s'allier avec Téhéran en cas d'agression américaine. Mahmoud Ahmadinejad a, lui, qualifié le président vénézuélien de "champion de la lutte contre l'impérialisme".

Selon l'agence officielle iranienne IRNA, M. Ahmadinejad doit se rendre dimanche au Nicaragua pour y rencontrer le président Daniel Ortega tout juste investi, puis lundi en Equateur pour assister à la prestation de serment du président élu Rafael Correa.

Le président bolivien Evo Morales a annoncé samedi qu'il rencontrerait Mahmoud Ahmadinejad lors de cette cérémonie pour des discussions bilatérales portant sur les relations commerciales et diplomatiques entre leurs deux pays. (AP)

Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad poursuivait sa campagne anti-américaine au Nicaragua dimanche, où il devait rencontrer le président Daniel Ortega, entré en fonctions quatre jours auparavant, pour resserrer les liens avec cet autre farouche adversaire de Washington.

M. Ortega a accueilli M. Ahmadinejad samedi soir à l'aéroport, le président iranien venant du Venezuela dirigé par un autre allié, Hugo Chavez. MM. Ahmadinejad et Chavez ont décidé d'investir des milliards d'euros dans le financement de projets dans d'autres pays afin de lutter contre la domination des Etats-Unis.

Le chef de l'Etat radical iranien doit assister lundi à l'investiture du nouveau président d'Equateur Rafael Correa et rencontrer son homologue bolivien Evo Morales, deux critiques virulents de George Bush et de sa politique en Amérique latine. L'Iran est mis au ban d'une partie de la communauté internationale qui le soupçonne de dissimuler un programme d'armement nucléaire tandis que les Etats-Unis l'accusent de soutenir avec la Syrie l'insurrection irakienne. (AP)

Depuis la décision d'envoi de 21.000 soldats supplémentaires en Irak et le déblocage d'1 milliars de dollars, la communauté internationale craint que les Etats-Unis étendent le conflit irakien à l'Iran.
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Nomade
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MessagePosté le: Mar 13 Fév 2007 22:27    Sujet du message: Répondre en citant

Ce que fait Chavez est tres bien, et devrait attirer l'attention de tout ceux qui sont interesse par la politique Africaine ou par l'amelioration des conditions de vie en Afrique. A mon avis, contrairement au titre, je trouve les mesures de Chavez pas si radicale qu'il ne le paraissent (les medias americains et groupes anti-capitaliste en rajoute). Ce n'est pas de l'anti-capitalisme, mais bien du socialisme dans un contexte d'economie de marche, capitaliste. Il est, bien sur, encore posible au Venezuela de partir sa propre entreprise, d'accumuler du capitale, d'etre cote a la bourse etc. Mais, il entreprends des action tel que la nationalisation de secteur nevralgique de l'economie, il augmente la repartission de la richesse (surtout a travers des programme sociaux tel la sante), etc. Dans un contexte, de pays en voie de developpement, c'est des mesures comme celle la qui doivent etre obligatoirement appliquer. Bravo Chavez, esperons qu'il inspire nos dirigeants comateux Africains. Il faut aussi noter que peut importe les ecrits de la propagande americaines, rien ne peut contredire que le gouvernement de Chavez est elue democratiquement. D'apres ce que je vois, ses actions politiques semble avoir des repercussion dans le quotidiens du peuple (souvent des couches defavorises), ils voient et vivent les repercussions de ses mesures. C'est le soutient de son peuple qui fait sa force.
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Chabine
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Messages: 3040

MessagePosté le: Ven 13 Juil 2007 07:30    Sujet du message: Répondre en citant

Pardon de ne pas assez faire vivre ce topic, je promets de faire meuh! la prochaine fois Very Happy

La coopération Venezuela/Iran se concrétise rapidement, ils vont super vite, la 1ère visite d'Amadinejah à Chavez remonte à septembre dernier à peine ! Shocked

http://www.alterinfo.net/index.php?action=breve&id_article=678818&paa=1&zaa=

'Voitures anti-impérialistes' iraniennes pour le Venezuela
11/07/2007

Les forces armées vénézuéliennes ont reçu le premier lot de voitures assemblées à l'usine irano-vénézuélienne, baptisées par les Vénézuéliens "automobiles anti-impérialistes", annoncent les médias du Venezuela.

Deux marques de voitures, Turpial et Centauro (connues en Iran sous les noms de Saipa 141 et de Samand), sont fabriquées au Venezuela par une usine iranienne. Leur prix n'est pas trop élevé (7.906 et 11.069 dollars américains) car ces autos sont exemptes de TVA.

L'usine Venirauto, ouverte à Maracay, à 80 kilomètres de Caracas, peut fabriquer 25.000 voitures par an.

La plupart des 200 "entreprises socialistes" que souhaite créer le président vénézuélien, Hugo Chavez, seront formées sur la base d'entreprises mixtes organisées conjointement avec les pays hostiles aux Etats-Unis. Ces usines doivent être mises en exploitation d'ici à 2008 dans des secteurs tels que l'agriculture, les industries agro-alimentaire, légère, chimique, automobile et électronique, ce qui marquera une nouvelle étape de la révolution, selon M. Chavez.
Ria-Novosti
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Suwedi
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Inscrit le: 03 Mai 2006
Messages: 212

MessagePosté le: Lun 30 Nov 2009 15:22    Sujet du message: Répondre en citant

Hasta la muerte commandante Chavez! une petite illustration vidéo de la force nationaliste propre à l'Amérique du Sud qu'inspire Hugo Chavez face à la menace américaine néocoloniale! Apparemment le Gouvernement d'Obama semble suivre la même politique que Bush, les Etats-Unis ont installé 7 bases Militaires en Colombie en vue d'une attaque contre le Venezuela ! C'est un peu la vitrine sud-américaine du conflit d'intérêt entre les USA (Union des Salopes Armés : lol:) et l'Iran !
Des propos qui pèchent par la force des arguments à l’encontre d’un pays ivre de sa propre arrogance galopant à l’instar d’un cavalier aveugle vers l’abime de la guerre !
A quand à un tel dégrée de conscience dans le comportement de nos dirigeants Africains ?







Réponse de Chavez aux propos d’Obama qui accuse le Venezuela d’être le plus grand alliée des Narcotrafiquants et d'être l’une des pire dictatures du monde qui respectent aucunement les droits de l’homme ! (J’ai du essuyé les mêmes accusations une fois, c'est terrible lol Twisted Evil )



Rencontre historique entre deux leaders politiques considérés par les Etats-Unis comme les extrémités du même Axe du Mal : Hugo Chavez et Mahmoud Ahmadinejad ! Des propos justes, percutant et très symbolique que je ne peux que soutenir face à la prédation d’un impérialisme féroce et violement décomplexé !

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asher001
Grioonaute 1


Inscrit le: 15 Déc 2005
Messages: 220

MessagePosté le: Mer 02 Déc 2009 10:13    Sujet du message: Au sujet de Chavez Répondre en citant

Je ne sais pas si vous avez lu ce bouquin : "Les 7 péchés d'Hugo Chavez" et l'autre d'Eduardo Galéano: les veines ouvertes de l'Amérique latine";
je vous le conseille; je suis en train de lire les 7 péchés d'Hugo Chavez; cet homme a bien compris ce qu'il faut faire pour contrer l'impérialisme des occidentaux;
ne vous étonnez pas des médias mensonges des journaux français comme le Monde et Libération, RSF (Reportes sans Frontieres) et des chaines publiques contre Chavez; ils ont comme actionnaires des multinationales qui eux mêmes ont des intérêts dans le pétrole vénézuelen; ça casse leur ressource de revenu;

et merci pour les liens Chabine.
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