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Côte d'Ivoire : Le jeu de la « comédie internationale »

 
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Auteur Message
Hannibal
Grioonaute 1


Inscrit le: 03 Aoû 2004
Messages: 242

MessagePosté le: Mar 21 Déc 2010 10:12    Sujet du message: Côte d'Ivoire : Le jeu de la « comédie internationale » Répondre en citant

Salut à tous,

Un article ci-dessous à lire.
Relativement équilibré, mais je m'éloigne sur cette naïveté qui consiste à accorder une place prépondérante au G20 dans la construction de la nouvelle architecture internationale plus juste, dont la quasi totalité des membres consitituent les membres du Conseil de sécurité, des majorités écrasantes dans les Conseils d'administration des IFI (Institutions financières internationales), OMC...

Pourquoi, les Etats-Unis ou la France seraient plus objectifs au G20 plutôt qu'au sein du Conseil de sécurité ou à l'OMC ?

C'est bien les Etats puissants économiquement et militairement qui sont la source des désordres dans ce bas monde. La vraie révolution des Nations Unies des Peuples passe par la réhabilitation de l'Assemblée Générale, organe suprême des Nations Unies dans les textes, mais releguée au second plan par le Conseil de Sécurité. C'est à l'AG des Nations Unies de procéder à la nouvelle architecture internationale de façon à ce que les débats soient publics et un pays une voix !

Un autre point, au nom de quoi, seule l'Afrique devrait être à l'ordre du jour de cette Conférence fondatrice d'un nouvel ordre mondial. La Chine est-elle une démocratie au sens ou l'entend la déclaration des Nations Unies ? Et pourtant, elle est bien au Conseil de Sécurité. Les Etats-Unis aussi avec l'élection contestée de Bush aurait été à ce moment là intéressée par cette nouvelle donne mondiale qui fait tant défauts. Par ailleurs, il y a bien des pays du Golfe et bien d'autres qui s'éloignent des considérants des Nations Unies sur le droit à l'autodétermination des Peuples qui n'inquiètent le moins du monde nos braves redresseurs de torts dès lors que leurs intérêts y sont sauvegardés.

Enfin, un dernier point sur la Côte d'Ivoire, je me demande pourquoi, les soupçons de partialité qui pèsent sur Yao Ndré, président du Conseil Constitutionnel nommé par Gbagbo, ne pèsent t-ils pas sur celui de la CEI, M. Bakayoko, bien encarté membre de l'Opposition ?

D'accord, pour la nouvelle architecture mondiale, les constitutants ne doivent être ceux qui en sont les responsables de son déséquilibre actuel. C'est à l'AG, organe suprême de toute organisation d'être point central de tout changement. Et puis, les circonstances de la 2ème guerre mondiale sont révolus, le monde bipolaire aboli, il serait bon que les choses soient reconsidérées !


Lien : http://www.lepost.fr/article/2010/12/21/2347454_cote-d-ivoire-le-jeu-de-la-comedie-internationale.html

Citation:
Côte d'Ivoire : Le jeu de la « comédie internationale »

Depuis quelques semaines, la Côte d'Ivoire vit une situation politique préoccupante, instable et dangereuse, consécutive à l'organisation d'élections ayant dû conduire à la désignation par le peuple ivoirien souverain du président de la République de Côte d'Ivoire.


Si la communauté internationale semble unanime pour reconnaître la victoire de Mr Alassane Ouattara, le peuple ivoirien pour sa part parait très divisé, plus divisé que jamais entre les partisans du président proclamé par la commission nationale électorale indépendante (Mr Alassane Ouattara) et celui déclaré par le conseil constitutionnel de Côte d'Ivoire (Mr Laurent Gbagbo).

L'arbitrage de cette situation inédite semble très difficile.

La principale faute de Mr Laurent Gbagbo est d'avoir empêché ou tenté d'empêcher la commission électorale nationale indépendante de publier les résultats de l'élection avant de formuler ses recours auprès des instances compétentes pour faire observer fraudes et irrégularités dans le déroulement du vote.

En empêchant la proclamation des résultats par la commission électorale nationale indépendante, Mr Laurent Gbagbo a porté par là même une atteinte au processus électoral.

Quant à Mr Alassane Ouattara, en considérant les résultats de la commission électorale nationale indépendante comme l'aboutissement du processus électoral et en accusant d'emblée le conseil constitutionnel de partialité dans l'examen des recours probables portés par le candidat Laurent Gbagbo, Mr Alassane Ouattara a porté atteinte à l'objectivité et à l'indépendance des institutions en place en Côte d'Ivoire, lesquelles avaient pourtant démocratiquement accompagné le processus électoral en cours dans ce pays.

Ce même discours accusatoire de manque d'indépendance du conseil constitutionnel qui serait entièrement acquis à la cause de Mr Laurent Gbagbo a été repris en chœur par la communauté internationale, notamment la France, l'Union Européenne, les USA, l'ONU.

Comment devrions-nous observer les prises de position de la communauté internationale dans la crise actuelle en Côte d'Ivoire ?


1- Papa a dit : « Gbagbo doit partir »
L'intervention du président Sarkozy faisant un ultimatum à Mr Laurent Gbagbo de quitter le pouvoir avant la fin de la semaine dernière était pour le moins paternaliste, maladroite et mal reçue par ceux qui militent pour rompre ce lien d'ordre de la France à l'Afrique ou de sujétion de l'Afrique envers l'ex puissance coloniale.

On se rappellera que malgré les promesses faites par le candidat Sarkozy de changer les rapports de l'ex puissance coloniale avec les Etats africains (en gros sortir de la Françafrique), nous avons assisté à un renoncement regrettable à cette ambition, renoncement commandé, nous dit-on, par les pressions diverses, le réalisme des affaires, la préservation des intérêts français qui passe davantage par une coopération avec des dictateurs que par l'institution de gouvernements responsables et démocratiques...Voilà l'état actuel de la situation politique entre la France et l'Afrique.

Dès lors aucune voix politique française ne saurait être légitimement entendue par les peuples africains (surtout lorsqu'il s'agit simplement d'obéir aux ordres ou aux ultimatums de « papa ») tant que ne pointera pas à l'horizon un véritable changement global de politique française en Afrique.

Pour porter un message audible, la France doit définir une nouvelle jurisprudence dans ses relations avec les dirigeants africains et non avoir une politique à géométrie variable selon qu'il s'agisse de régler le problème de l'insoumission de Mr Laurent Gbagbo aux ordres de la métropole ou du maintien coûte que coûte au pouvoir de certains dirigeants dont la longévité est incompatible avec tout exercice sérieux du pouvoir ; voire le soutien aux fils d'anciens dictateurs pour assurer la continuité des rapports actuels de coopération entre la France et ces pays.

Sans une nouvelle jurisprudence, sans un nouveau discours, sans une nouvelle politique œuvrant pour le développement, la transparence et la responsabilité, l'intervention de la France en Côte d'Ivoire restera illégitime et inaudible comme elle le sera partout ailleurs en Afrique.


2- L'administration Obama ou les espoirs déçus !
L'administration Obama ne bénéficie pas à ce jour d'une crédibilité suffisante en Afrique. Les promesses faites par le président Barack Obama n'ont pas été suivies d'actions efficaces sur le terrain pour impulser un changement dans la gouvernance des Etats africains.

Les USA, tout comme la France, ont assisté passivement à la parodie électorale gabonaise, aux élections douteuses en République du Congo, aux gesticulations de Mr Paul Biya pour se maintenir au pouvoir au Cameroun, à la mise à l'écart de Mr Kofi Yamgnane du processus électoral au Togo etc.

La plupart des dirigeants africains ont maintenu leurs relations avec les USA, nonobstant le manque de transparence dans la gouvernance de leurs Etats.

Il serait peut-être intéressant d'entrevoir l'amorce d'une exigence de gouvernance démocratique dans la prise de position des USA en Côte d'Ivoire, mais c'est une intervention qui souffre de son retard et d'un manque véritable d'engagement et d'implication de l'administration Obama en Afrique.

3- Le manque de crédibilité des organisations régionales et internationales
Pour ce qui est de la CEDEAO ou de l'Union Africaine, il reste difficile de donner quelque crédit à une majorité de dirigeants composant lesdites communautés. Que vaut aujourd'hui la voix d'un président gabonais, nigérian, togolais, camerounais...pour donner des leçons à la Côte d'Ivoire ?

La voix de l'ONU est elle aussi viciée par la très grande variabilité de sa propre jurisprudence internationale. Elle n'a de force que celle dictée par les membres du conseil de sécurité, qui eux défendent d'avantage leurs intérêts que ceux du reste de la communauté internationale.

Il subsiste donc à ce jour de sérieux doutes sur l'objectivité et la sincérité de la communauté internationale à s'impliquer pour le changement des systèmes de gouvernement et le développement en Afrique.

Une acceptation de son rôle en Côte d'Ivoire ne saurait s'accepter que si elle annonce une volonté de faire échec au désordre et aux dictatures, pour préserver et faire valoir les intérêts des peuples africains d'abord avant toute autre préoccupation.

Sur les dix dernières années il y a eu de nombreuses échéances électorales en Afrique qui ont abouti à une véritable prostitution des processus électoraux conduisant au maintien des dictateurs ou à la transmission du pouvoir à leurs fils sans que l'intervention de la communauté internationale n'ait changé quoi que ce soit à ces processus.

Il serait temps d'organiser dans le cadre des Nations Unis et du G20 une véritable conférence internationale destinée à l'Afrique pour annoncer solennellement à l'endroit des dirigeants africains le rôle que la communauté internationale entend jouer pour promouvoir la bonne gouvernance, s'impliquer activement dans l'organisation d'élections transparentes et démocratiques afin d'amorcer et d'accompagner le développement nécessaire de ces pays et de leurs institutions.

Au lieu d'envoyer des émissaires douteux pour superviser les processus électoraux en Afrique, la communauté internationale gagnerait en crédibilité en envoyant des représentants de la société civile internationale, des associations et groupements luttant pour la transparence et le changement des systèmes de gouvernement en Afrique, en appuyant et en soutenant sans réserve l'action de ces derniers pour resserrer l'étau autour des dictateurs et autres usurpateurs de votes.

Dans le même ordre d'idées, la justice internationale devrait être compétente pour juger non seulement les génocides et autres exactions sur les populations mais aussi des détournements graves des richesses nationales et deniers publics au seul bénéfice des dirigeants et autres dictateurs.

Realchange

halison777@yahoo.fr

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« C’est la Voix des sans-voix pour dénoncer ceux qui se croient au-dessus de la Loi. Et qui se prennent pour le Roi des Rois. Les Martyrs sont morts pour la Résistance. Ils ont payé très cher pour notre Indépendance. Ce Chant pour leur exprimer notre reconnaissance. Oui, ce cri d’alarme pour nous révolter. » : Méway
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OGOTEMMELI
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Messages: 1498

MessagePosté le: Mar 21 Déc 2010 20:07    Sujet du message: Re: Côte d'Ivoire : Le jeu de la « comédie internationale » Répondre en citant

Citation:
Si la communauté internationale semble unanime pour reconnaître la victoire de Mr Alassane Ouattara,

Sur les plus de 150 Etats qui composent l'ONU, combien font-ils partie de la "Communauté internationale" et qui seraient "unanimes" pour désigner le vainqueur des élections en Côte d'Ivoire ???
La seule personne (morale) qualifiée à ce faire s'appelle le conseil constitutionnel de la Côte d'Ivoire ; d'autant que la Communauté internationale n'a aucune personnalité juridique et qu'elle est juridiquement incompétente dans les affaires intérieures de la Côte d'Ivoire...

Citation:
[...] le peuple ivoirien pour sa part parait très divisé, plus divisé que jamais entre les partisans du président proclamé par la commission nationale électorale indépendante (Mr Alassane Ouattara) et celui déclaré par le conseil constitutionnel de Côte d'Ivoire (Mr Laurent Gbagbo).


Le peuple ivoirien "paraît" seulement "divisé" : mais en réalité, il a tranché par la voix de ses institutions (en principe) souveraines...

Citation:
L'arbitrage de cette situation inédite semble très difficile.

Il suffit pourtant de s'en tenir au jugement du juge en dernier ressort des élections en Côte d'Ivoire...

Citation:
La principale faute de Mr Laurent Gbagbo est d'avoir empêché ou tenté d'empêcher la commission électorale nationale indépendante de publier les résultats de l'élection avant de formuler ses recours auprès des instances compétentes pour faire observer fraudes et irrégularités dans le déroulement du vote.

Dommage que l'auteur de l'article n'y connaisse à la loi électorale ivoirienne :
- la CEI est compétente - en première instance - pour recevoir des réclamations sur la régularité des élections qu'en principe elle a la charge d'organiser ;
- Gbagbo n'a rien empêché de ce que l'auteur prétend : la CEI n'avait pas de résultat à proclamer le jour où Bamba Yacouba a convoqué une conférence de presse inopinée pour tenter de diffuser des chiffres sortis de nulle part. C'est le président de la CEI lui même qui la indiqué le lendemain de cet incident ; ajoutant d'ailleurs qu'à 23h45' de ce même jour il n'avait toujours pas les résultats que pourtant Bamba Yacouba s'apprêtait à proclamer la veille...

Bref, la suite de son propos étant du même acabit, ie truffé d'erreurs et approximations, il reste à admettre que ce type ne sait pas vraiment de quoi il parle...
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OGOTEMMELI
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Messages: 1498

MessagePosté le: Mer 22 Déc 2010 10:23    Sujet du message: Re: Côte d'Ivoire : Le jeu de la « comédie internationale » Répondre en citant

Citation:
En empêchant la proclamation des résultats par la commission électorale nationale indépendante, Mr Laurent Gbagbo a porté par là même une atteinte au processus électoral.

C'est un mensonge, car Koudou Laurent Gbagbo n'a jamais empêché la proclamation qu'aucun résultat : c'est le manque de consensus au sein de la CEI qui a ruiné le fonctionnement de cette institution. Rappelons que c'est l'opposition qui a exigé et obtenu une telle architecture bidon d'une commission supposée "indépendante". En fait, le type d'indépendance que Bwana nous a infligée depuis 50 ans...

Par contre, l'auteur ne voit pas qu'en ayant échoué à désarmer la rébellion, voire en contribuant à l'armer, la France planquée sous l'ONUCI-Licorne a patiemment travaillé à la survenue de la crise post-électorale qui sévit en CIV. Malheureusement pour Gbagbo, il n'a pas été capable d'anticiper ce traquenard...

Woody est tétanisé par sa francophilie lorsqu'il s'agit de passer à l'offensive. Par exemple, il a eu maintes fois l'opportunité de virer la Licorne-ONUCI (notamment après novembre 2004), à la fin de leur mandat, mais l'a reconduit à chaque fois avec enthousiasme et naïveté...

Toutefois, sa capacité de réaction à l'adversité, ie sa capacité de RESISTANCE, est hors du commun : on se s'oppose pas pendant 20 ans à Houphouët (le manitou de la Françafrique) du temps de sa splendeur, sans posséder des ressources intérieures exceptionnelles : rien à voir avec un planqué, hier à l'ambassade de l'Allemagne, aujourd'hui au sultanat du Golfkaha...

Citation:
Quant à Mr Alassane Ouattara, en considérant les résultats de la commission électorale nationale indépendante comme l'aboutissement du processus électoral

La CEI n'a jamais proclamé aucun résultat : mêmes ceux de la diaspora proclamé à la RTI le lundi par Bamba Yacouba l'avaient été en infraction aux règles de fonctionnement de l'institution dont il était le porte-parole. A fortiori, les chiffres balancés au Golf Hôtel par Youssouf Bakayoko en dehors de ses fonctions (et des règles qui la régissent) n'engagent que son unique personne ; initiative illégale dont il devrait répondre devant les tribunaux de la CIV...

Citation:
[...] et en accusant d'emblée le conseil constitutionnel de partialité dans l'examen des recours probables portés par le candidat Laurent Gbagbo, Mr Alassane Ouattara a porté atteinte à l'objectivité et à l'indépendance des institutions en place en Côte d'Ivoire, lesquelles avaient pourtant démocratiquement accompagné le processus électoral en cours dans ce pays.

Au fond, ADO a abattu tout son jeu en tant que parrain des rébelles, commanditaire et bénéficiaire des crimes qu'ils ont commis en zone CNO lors des deux tours de la présidentielle : qu'il rentre à la maison se reposer un peu de ses aventures au GolfKaha. Il devra bientôt répondre de ses actes délictueux devant les tribunaux de son pays...
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Chabine
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Messages: 3040

MessagePosté le: Jeu 30 Déc 2010 23:56    Sujet du message: Répondre en citant

Merci de poster desormais sur le topic Côte d'Ivoire, Elections presidentielles Wink
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"Le colonialisme et ses dérivés ne constituent pas à vrai dire les ennemis actuels de l'Afrique. À brève échéance ce continent sera libéré. Pour ma part plus je pénètre les cultures et les cercles politiques plus la certitude s'impose à moi que LE PLUS GRAND DANGER QUI MENACE L'AFRIQUE EST L'ABSENCE D'IDÉOLOGIE."
Cette Afrique à venir, Journal de bord de mission en Afrique occidentale, été 1960, Frantz Fanon, Pour la Révolution Africaine
2011, annee Frantz Fanon
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