Le décollage économique de l'Afrique est une réalité
L’Afrique subsaharienne commence à se débarrasser de sa réputation de dernière de la classe au niveau économique. L’Occident ferait bien d’y prêter attention.
Vous avez raison de plaindre l’Afrique subsaharienne —mais peut-être plus pour très longtemps. Au cours des dix premières années du millénaire, six des dix économies à la plus forte croissance du monde (Angola, Nigeria, Ethiopie, Tchad, Mozambique et Rwanda) appartenaient à la région. Et sur huit des dix dernières années, elle a connu une croissance supérieure à celle de l’Asie.
Il est vrai, certaines de ces stars de la croissance doivent en partie leur succès à la flambée mondiale des cours des matières premières, et tout particulièrement à ceux du pétrole. Mais l’Ethiopie a réussi à croître de 7,5% en 2011, sans produire une seule goutte d’or noir (la réussite éthiopienne la plus récente en matière d’exportation: les fleurs coupées).
En finir avec les vieux clichés
Notez également que les revenus moyens en Afrique sont encore assez bas; par exemple, le revenu par habitant au Tchad est inférieur à 1.800 dollars (1.431 euros) mesuré en termes de pouvoir d’achat, soit moins d’un dixième de celui de la Pologne ou de la République Tchèque. Il faudra par conséquent des décennies de croissance pour que le niveau de vie y devienne acceptable.
Mais, selon le FMI, la région est partie pour connaître une croissance de 6% cette année, soit la même qu’en Asie. Et certains indices permettent de penser qu’un rythme sain pourra se maintenir dans un avenir proche.
En effet, selon la Banque mondiale, l’Afrique «pourrait être au bord d’un décollage économique, tout comme la Chine il y a trente ans et l’Inde, il y a vingt ans.»
Voilà qui devrait remettre en question la pertinence de la politique d’aide internationale basée sur la présomption que l’Afrique n’est toujours pas capable de sortir de son cycle décourageant de pauvreté, de gouvernance dysfonctionnelle et de violence tribale. Nous y reviendrons plus tard.
Prêt pour la surprise? Les échanges commerciaux entre l’Afrique et le reste du monde ont triplé au cours des dix dernières années. Et ce n’est pas une coïncidence si depuis 2005, l’Afrique attire plus d’investissements étrangers privés que d’aide officielle.
Considérons aussi que la part des investissements directs à l’étrangers (les plus recherchés, puisqu’ils apportent avec eux technologies et compétences de gestion) consacrés à l’Afrique sont passés de moins de 1% en 2000 à 4,5% en 2010.
L'explosion des télécoms
La preuve la plus visible de cette plus grande prospérité est peut-être l’incroyable rythme du taux de pénétration de la téléphonie mobile. Prenez le Ghana, qui, selon les critères de la Banque mondiale, a atteint, en 2011, le statut de revenu moyen.
A la fin des années 1990, le pays ne comptait que 50.000 lignes téléphoniques en état de marche dans un pays de presque 20 millions d’habitants. Aujourd’hui, les trois quarts de la population ont accès à des téléphones portables, avec service vocal et messagerie instantanée.
En fait, les sommes dirigées vers la téléphonie ont obligé les comptables gouvernementaux à revoir leurs estimations (parfois très sommaires) du revenu de la région. Dans le cas du Ghana, le gouvernement a récemment révisé à la hausse ses estimations de PIB de rien moins que de deux tiers.
Cette révolution des télécoms génère de larges bénéfices auxquels on ne s’attendait pas. Par exemple, les agriculteurs équipés de téléphones ont désormais accès à des informations opportunes sur les marchés, ce qui leur permet de négocier plus efficacement avec les intermédiaires.
Et «l’argent mobile» —les crédits transférés en toute sécurité d’un téléphone à l’autre par messagerie instantanée— rend les services bancaires possibles, là où les banques en dur sont à peine présentes.
Il n’y a pas encore de «grappe d’innovation» en Afrique. Mais le lien entre réseau de téléphonie mobile et services financiers a engendré toute une série d’entreprises orientées vers les nouvelles technologies à Nairobi, autour de Safaricom, le plus grand fournisseur de téléphonie mobile du Kenya.
La valeur des technologies sans fil, dont le potentiel n’a pas encore été complètement réalisé, encourage les entrepreneurs à voir grand. Très grand: l’entreprise indienne de télécom Bharti Airtel a payé 10,7 milliards en 2010 pour les réseaux de téléphonie mobile africaine de l’entreprise Zain Telecom, basée au Koweït.
La Zambie, qui a également rejoint les rangs inférieurs des moyens revenus l’année dernière, est une bonne illustration des transformations positives survenant en Afrique sub-saharienne.
La rançon de la bonne gouvernance
La croissance économique y a été en moyenne supérieure à 5% au cours des sept dernières années. Cela est dû en partie à la flambée cyclique des prix du cuivre, sa principale exportation.
Mais le secteur agricole zambien s’en sort aussi très bien. La production de maïs, matière première de base, a bondi de 50% en 2010. Cette moisson record illustre l’importance d’une bonne gouvernance; la distribution à point nommé d’engrais subventionnés aux petits exploitants par Accra a fait une énorme différence dans les rendements.
Le Malawi voisin, qui a longtemps subi des pénuries alimentaires et des famines, a vécu le même genre d’expérience que la Zambie. Il y a plusieurs années, le gouvernement a lancé un programme (contre les recommandations d’agences d’aide humanitaire internationales) à la fois pour subventionner les engrais et pour soutenir les prix du maïs par une politique d’achat.
Les agriculteurs malawites cultivent désormais suffisamment de maïs pour satisfaire la demande intérieure et peuvent même exporter vers le Zimbabwe voisin, véritable incarnation de la mauvaise gouvernance.
Il existe de bonnes raisons de croire que cette expansion agricole va perdurer au-delà de la flambée générale des matières premières provoquée par les demandes chinoise et indienne.
Plus de croissance, moins de guerres
Tout d’abord, l’Afrique possède 60% des terres arables non cultivées du monde. Par conséquent, si la région reste importatrice nette de nourriture, il n’existe pas de barrière économique rigide à une grande expansion de la production.
Ensuite, l’amélioration des communications et des transports permet d’étendre de façon pratique le commerce alimentaire intra-régional. D’ailleurs, Steven Haggblade, économiste spécialiste de l’agriculture à la Michigan State University, avance que la clé de la sécurité alimentaire en Afrique est dans l’augmentation des investissements dans les infrastructures rurales.
Autre raison d’être optimiste dans le domaine de la durabilité de la croissance: la réduction de la probabilité de guerre.
Scott Straus, de l’University of Wisconsin, estime que les guerres civiles africaines à la fin des années 2000 étaient à peu près deux fois moins courantes qu’au milieu des années 1990:
«Les guerres contemporaines sont généralement à petite échelle... et impliquent des insurgés divisés en factions qui, en général, n’arrivent pas à tenir des territoires de taille conséquente ou à s’emparer de capitales d’État.»
Les raisons de ce déclin de la violence organisée ne sont pas tout à fait claires. Mais il fait peu de doute que la croissance économique diminue les probabilités de guerre, et que moins de guerre signifie une meilleure probabilité de croissance.
Ce meilleur tableau économique de l’Afrique sub-saharienne doit encore se traduire par des approches plus novatrices de la région par la communauté internationale. Les Etats-Unis, l’Europe et le Japon, principaux fournisseurs d’assistance technique, de subventions et de prêts à l’Afrique, continuent largement à mettre au point leurs politiques.
Ils partent du principe que la région est embourbée dans la pauvreté et que la prévention des pires formes de dégradation humaine —la mort par maladies non-soignées, la famine, le manque d’eau potable et de sécurité physique— est une priorité bien plus haute que les problèmes plus complexes consistant à ériger des institutions soutenant la stabilité macroéconomique, les infrastructures publiques et des incitations commerciales efficaces.
Cela s’explique en partie par l’idée tenace que la croissance de l’Afrique ne peut être durable parce qu’elle dépend largement d’augmentations rapides des cours de tous les produits d’exportation, du coton au cacao en passant par le pétrole et le cuivre.
Il est certain que la flambée des cours a joué un rôle. Mais comme je l’évoque plus haut, nombre d’éléments laissent penser que, cette fois, la croissance ne sera pas éphémère.
L'atout démographique
La croissance démographique jette aussi une ombre sur l’Afrique. Calculée sur une base par habitant, si la croissance du PIB reste substantielle, elle ne l’est pas autant qu’on pourrait le souhaiter. Là aussi, cependant, les perspectives sont positives: le taux de fertilité chute presque partout en Afrique.
Mais certaines forces plus subtiles sont à l’œuvre ici, et retardent l’évolution de la réflexion sur l’aide humanitaire. Beaucoup d’organismes, gouvernementaux ou non, traditionnellement engagés dans la lutte contre la famine et autres formes de souffrance extrême, éprouvent une réticence institutionnelle à changer de cap.
Les cyniques pourraient avancer que ce changement va rendre plus difficile la collecte de fonds (autant privée que publique) —la lente progression de la capacité de production n’est pas très média-génique.
Je soupçonne que ce soit davantage lié à la nécessité de passer des stratégies connues et éprouvées de fourniture d’aide humanitaire à la tâche bien plus difficile d’encourager la mise en place d’institutions et de gérer les ambiguïtés générées par les conflits entre groupes d’intérêts.
Le verre est aux trois quarts plein. L’Afrique subsaharienne semble réellement en passe de marcher sur les traces d’autres régions et de mettre en place des économies solides sur la base d’une stabilité institutionnelle, d’une économie de marché et d’une ouverture du commerce, notamment entre pays africains.
Oui, les Africains moyens y gagneraient si les donateurs internationaux reconnaissaient eux aussi les nouvelles réalités —et les intervenants extérieurs pourraient en faire bien davantage pour accélérer le rythme des changements positifs.
Prendre une douche sans savon ni eau, ça vous dit?
Cette étonnante innovation porte un nom: drybath
Et son inventeur n’est autre qu’un jeune étudiant sud-africain de 22 ans.
Drybath est un gel qui produit les mêmes effets que le savon et l'eau.
Il diffère des gels désinfectants, rapporte International Business Times, en ce sens qu’il est biodégradable et crée un film nettoyant, hydratant et inodore.
Ludwick Marishane, étudiant à l’université du Cap, en Afrique du Sud, a eu l’idée de ce concept à l’adolescence.
«J’avais un ami qui était très fainéant pour prendre une douche, froide, de surcroît, car il n’y avait pas d’eau chaude en hiver. Il avait l’habitude de dire ceci: pourquoi n’invente-t-on pas quelque chose à mettre sur la peau et qui remplacerait les douches?», a confié Marishane.
Cette question existentielle a germé pendant quelques années. Une fois adulte, Marishane se lance dans un projet qui peut paraître fou.
Après six mois d’âpres recherches scientifiques et dermatologiques, Drybath obtient un brevet et Marishane de recevoir le prix du jeune entrepreneur de l’année 2011.
Immédiatement après avoir été brevetés, les produits DryBath ont attiré l’attention des compagnies aériennes qui s’en sont servis pour leurs passagers.
Ces produits ont également fortement intéressé le gouvernement sud-africain qui a déployé des milliers de gels aux soldats en action.
Outre l’aspect commercial, Drybath est un concept écologique et nécessaire pour les pays en voie de développement.
«Drybath est vital pour les personnes qui n’ont pas accès à l’eau. Dans un sens, il permet aussi de préserver l’or bleu», a-t-il déclaré. _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
WIMBLEDON, England — Serena Williams is back, and she looks almost as good as ever.
The 30-year-old American won her fifth Wimbledon title Saturday on Centre Court, beating Agnieszka Radwanska of Poland 6-1, 5-7, 6-2 to claim her 14th major championship.
After hitting a backhand winner on match point, she fell onto her back to the grass. She then rose with a grin as big sister Venus – another five-time Wimbledon champion – smiled and applauded, along with the rest of the crowd.
After shaking hands with Radwanska, Williams climbed into the box where her family was seated. She hugged her father, Venus, their mother and others.
"I can't even describe it. I almost didn't make it," said Williams, who has battled health issues since winning the 2010 Wimbledon title. "A few years ago, you know, I was in the hospital, and now I'm here again. It's so worth it, and I'm so happy."
Out on court, Williams had little trouble at the start, using her hard serve and powerful groundstrokes to win the first five games and run Radwanska all over the grass.
Radwanska, who was playing in her first Grand Slam final, has been ill with a respiratory problem, making it difficult for her to speak. In the second set and already down a break, the third-seeded Pole was coughing and blowing her nose during a changeover.
But she broke Williams in the next game to even the score at 4-4, and then broke again to win the second set.
Williams responded in the third set, breaking twice and serving out to win another major title.
Williams finished with 58 winners to 13 for Radwanska, including an edge of 20-3 in the final set. Williams lost only eight points on her first serve.
"Aggie played so well. That's why she has had such a great career, and so young," Williams told the crowd. "You guys should give her another round of applause because she's amazing and she did an amazing job today."
The match was played with the Centre Court roof open, and it was delayed by rain for a short time after the first set.
"Serena played too good today, but I'm just very happy to be here in the final," Radwanska said. "It was not my day. I'll try just next year. We'll see."
Later Saturday, Serena and Venus Williams will play in the doubles final.
A little more than a month ago, many started writing off Williams for good. She lost in the first round of this year's French Open, the first time she had ever exited a Grand Slam tournament so early.
But at Wimbledon, she looked every bit a champion again.
She broke her own tournament record for aces in a match with 23 against Zheng Jie in the third round. Less than a week later, she eclipsed that mark with 24 against Victoria Azarenka in the semifinals.
On Saturday, she finished with 17 aces and a record 102 for the tournament.
It was Williams' first Grand Slam title since she won at the All England Club two years ago. Shortly after winning that title, Williams cut her feet on glass at a restaurant, leading to a series of health problems, including being hospitalized for clots in her lungs.
"I never dreamt of being here again, being so down," Williams said. "Never give up. You can continue."
Williams is the first woman in her 30s to win a Wimbledon title since Martina Navratilova, who won at the All England Club in 1990 when she was 33.
In the men's final on Sunday, six-time Wimbledon champion Roger Federer will face British hope Andy Murray. The fourth-seeded Murray is trying to become the first British man to win the title at the All England Club since Fred Perry in 1936. _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Inscrit le: 29 Déc 2005 Messages: 994 Localisation: Dans Les Bras de Youssou Ndour
Posté le: Sam 07 Juil 2012 20:49 Sujet du message:
Yeah right...et ton pere avait toutes les peines du monde a financer sa campagne en 2000!!! Les Senegalais se rappellent tous de la fameuse 'marche bleue". Si ce n'etait le financement de Niasse, Bathily, Idy...tu n'allais jamais etre super Ministre!! Si apres les audits tu ne vas pas en prison, ceux qui y sont deja ne doivent pas y rester!! Tchiippp
Le patrimoine de Karim Wade : 8 milliards F cfa avant l’alternance et tellement de voitures qu’il en oublie
Lors de son face à face avec les pandores de la Section de Recherches hier mardi, l’ancien ministre d’Etat, ministre de l’Energie, Karim Wade, par ailleurs fils du président sortant, a fait savoir que son « patrimoine avoisinait les 8 milliards F cfa avant 2000 ». Il a confié que son salaire mensuel était de 15 millions Fcfa et ses revenus annexes pouvaient titiller le milliard par an.
Selon L’As, le fils de Me Abdoulaye Wade a tellement de voitures qu’il en oublie. En effet, son parc automobile est composé d’une porche Cayenne, d’une Bmw, d’une Citroën C5, de trois Gmc Denali, d’une Chervrolet, d’une Gmc Yukon, d’une Pick-up Ford. Il renseigne que ces voitures lui ont été données par ses amis du Golf et d’autres acquises à Ford Sénégal, comme peuvent le prouver des documents. Interrogé au sujet d’une Peugeot 405, il dit ne plus s’en souvenir, mais se dit disponible à faire les vérifications nécessaires. En outre, entre 1993 et 1996, Karim Wade a, selon nos sources, confié avoir acquis deux appartements à Londres qui ont été cédés par le biais d’une agence. Il a ouvert 3 comptes bancaires avant 2000 (2 à Paris et 1 à Londres). Au Sénégal, il ne dispose d’aucun bien immeuble. _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Le père de Mouss Diouf vide son chargeur sur Sandrine Diouf
Pour que Sandrine Diouf leur rende leur fils, les parents de Moustapha Diouf connu sous le nom Mouss sont prêts à tout. Ils ont engagé la bataille judiciaire non sans tirer à bout portant sur la veuve du comédien sénégalais qui malgré toutes les années passées en France, n’a jamais songé se naturaliser.
Mouss Diouf a laissé derrière lui, une veuve, deux orphelins, des parents et une…division. Illustration en est faite par les sorties au vitriol du père du comédien contre la femme de celui-ci. Selon Assane Diouf, Sandrine Diouf a enterré Mouss Diouf dans un caveau avec un nom non-musulman. « Sa femme a fait acte de désobéissance et manque de respect total. Sandrine n’a même pas pris le soin de m’informer du décès, ni de l’enterrement de mon fils qui, parait-il, est enterré dans un caveau familial près du père de Sandrine dans un cercueil sur lequel il est inscrit Pierre », déplore Assane Diouf qui souligne qu’il n’a jamais été contre leur union.
Assane Diouf qui n’en revient d’être séparé à jamais de son fis, accuse la veuve de ce dernier qui à l’en croire, a profité de sa maladie pour officialiser leur union. « Elle en a même profité pour sceller leur mariage clandestinement, car ils étaient en concubinage », révèle ce père meurtri qui ne demande qu’une chose, que son fils lui soit restitué. A ce propos, il a déposé une plainte aupres du procureur. _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Nkosazana Dlamini-Zuma élue présidente de la Commission de l'Union africaine
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Nkosazana Dlamini-Zuma élue présidente de la Commission de l'Union africaine | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique
La Sud-Africaine Nkosazana Dlamini-Zuma a été élue présidente de la Commission de l'Union africaine (UA), le dimanche 15 juillet au soir, à Addis-Abeba, lors du 19è sommet de l'institution. Quatre tours ont été nécessaires aux chefs d'Etats réunis en huis clos pour départager le match entre le Gabonais, Jean Ping, président sortant, et sa concurrente.
Au premier tour, Dlamini-Zuma a emporté 27 voix contre 24 pour Ping. L'écart n'a ensuite cessé de s'élargir. Au deuxième tour, l'ancienne ministre des Affaires étrangères sud-africaine a gagné deux partisans supplémentaires (29 voix contre 22), puis, au troisième, 33 contre 18.
A l'issue de ce troisième tour, Jean Ping s'est désisté. Il restait à son opposante à gagner le vote de confiance. En janvier dernier, la configuration était diamétralement opposée et Ping n'était pas parvenu à emporter la majorité des deux-tiers nécessaire à l'élection du président, malgré le désistement de la Sud-Africaine.
Cette fois-ci, cette dernière a su s'imposer haut la main avec 37 voix. Dès que les résultats ont été rendus publics, les partisans de la Communauté des Etats d'Afrique australe (SADC) ont explosé de joie, dans les couloirs du siège de l'UA, où se tiennent les travaux du sommet.
La bataille entre Ping et Dlamini-Zuma, qui a duré plus de 6 mois, se termine donc au premier soir du sommet, avec la victoire de la candidate du pays d'Afrique subsaharienne le plus puissant. C'est la première fois qu'un anglophone dirigera la Commission de l'UA.
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Nkosazana Dlamini-Zuma élue présidente de la Commission de l'Union africaine | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Boubacar Boris Diop : " Au Mali, nous avons perdu la bataille de l’information"
L’écrivain sénégalais Boubacar Boris Diop a déclaré samedi, au sujet de la crise qui sévit dans le Nord du Mali, que l’opinion publique sénégalaise a perdu la "bataille de l’information" en se laissant raconter ce qui se passe dans ce pays voisin par des médias français, France 24 et Tv5 notamment.
Participant, avec la sociologue malienne Aminata Traoré, à un débat sur le thème ‘’Nous sommes tous maliens’’, organisé par Enda Tiers-monde, Diop a relevé la ‘’grande illusion lyrique concernant l’Afrique’’, consistant, de la part des Africains eux-mêmes, à considérer le continent est ‘’homogène’’.
Le Nord du Mali, les grandes villes de Kidal, Gao et Tombouctou notamment, est occupé depuis mi-avril par divers groupes islamistes (Aqmi, Ansar Dine, Mujao) et le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA).
‘’La bataille que nous avons perdue, à mon avis, c’est la bataille de l’information. Vous prenez aujourd’hui n’importe quel journal télévisé, au Sénégal, l’exercice mérité d’être fait chaque soir, c’est les activités du gouvernement, c’est normal ; des ONG qui se réunissent au Fouta, au Ferlo, pour telle ou telle raison ; et puis les matchs du foot professionnel ou la lutte ; et puis on se met à balancer des éléments de France24, de Tv5, etc. sur le Mali’’, a-t-il expliqué.
‘’Nous nous considérions parfois comme un village continental alors que, pour moi, l’Afrique est le continent des lieux lointains. Nous sommes proches géographiquement, mais en même temps, du point de vue intellectuel, du point de vue mental, nous sommes très éloignés les uns des autres’’, a-t-il indiqué, prolongeant l’expression de Senghor, ‘’balkanisation’’ en parlant de ‘’balkanisation mentale’’.
Il a ajouté : ‘’Le Mali est juste à côté. On écoute ce que les reporters de France 24 ont à dire sur un pays qui est tout près. Nous, on n’a rien à dire. Et, à la fin, on ne sait même pas ce qui s’est passé. Donc, je crois que c’est la bataille de l’information qui a été perdue’’.
‘’Ce que je dis là, ce n’est pas une critique, c’est une autocritique. Nous en sommes tous là’’, a poursuivi l’écrivain, donnant comme preuve l’image qu’il avait de la situation au Mali avant un voyage effectué mi-mars à Bamako, dans le cadre de ses activités littéraires, une semaine avant le coup d’Etat qui a renversé le président Amadou Toumani Touré.
‘’Quelle est l’image que j’ai du Mali ? s’interroge Boubacar Boris Diop, avant de répondre : ‘’Au fond, c’est l’image d’une démocratie exemplaire. Le Mali a le visage de son président, Amadou Toumani Touré, un homme débonnaire, rassurant. C’est un pays où la presse est libre, il y a des syndicats, on prépare même des élections pour élire un successeur à un président qui refuse de briguer un troisième mandat. Il n’y a pas de détenus politiques’’.
Diop était alors dans la posture d’un observateur qui qualifie le coup d’Etat de ‘’totalement indigne’’ de l’idée qu’il se faisait de Amadou Toumani Touré, si bien que quand il est arrivé à Bamako, il n’était ‘’pas du tout d’accord’’ avec les critiques de ses amis maliens à l’encontre du président déchu.
‘’Pour nous les étrangers, l’actualité du Mali, vue du dehors, c’est : IBK (Ibrahim Boubacar Keita), Soumaila Cissé, Modibo Sidibé sont candidats à la Présidence. Il y a des réunions, on prépare des alliances. La bonne sauce à laquelle nous, Sénégalais, nous sommes habitués’’, dit-il, avant d’ajouter, pour insister sur l’‘’immense malentendu’’ ayant fait que les Africains en général ont raté les 100 jours entre le déclenchement de l’insurrection touarègue (12 janvier) et le coup d’Etat du 22 mars, comme ils ont raté les 100 jours du génocide des tutsis au Rwanda.
Revenant sur le thème de la rencontre, ‘’Nous sommes tous maliens’’, Boubacar Boris Diop a dit que l’intitulé relevait à la fois de la générosité envers le peuple malien et du réalisme à partir d’un certain sens du danger, de ce qui menace.
‘’Le Mali n’est pas si loin que ça du Sénégal. En même temps, dans cette formulation, +Nous sommes tous maliens+, je crois que c’est aussi exprimer un sentiment de malaise. Ça veut dire que nous sommes conscients de n’avoir pas été présents aux côtés du peuple malien quand il était dans l’épreuve’’, a-t-il souligné. _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Everybody remembers the first time with Fela. I was a preteen and it happened with my family. We were crossing Lagos’s famous Third Mainland Bridge at night on the way to the airport in Ikeja from my uncle’s house in Ikoyi when Fela’s song “Water No Get Enemy” began to play on the radio.
There is something amazing that happens when a Fela song begins to play. First the alert of blasting horns and your head rises. Then the web of polyrhythms from pounding drums that take the body in one direction and then the other so that even while sitting you begin to dance. And finally Fela’s voice, so distinctive that you have no choice but to pay attention to the words sung in its sometimes sweetly melodious, sometimes scratchy, sometimes off-key, but always moving baritone. No matter where you are, people stop what they’re doing for a moment and listen.
Fela is often called Nigeria’s conscience, but maybe he was both a little less and a little more than that. When he was alive he spoke truth to the numerous powers that were, or might have been—legions of military dictators, businessmen, even the disgruntled and sometimes despondent public—often to his own peril. He ended up in prison more than once and his mother was killed during a military raid on his house. His numerous songs from “Authority Stealing” to “Zombie” are direct and unsparing in their criticism of government. Some of them are playful in their detailing of the contradictions in Nigerian life. They are all as unflinchingly authentic as Fela himself was and perhaps the reason why Nigerians love him so.
His vocabulary has become cultural idiom—my uncles still his lyrics “shuffering” and “shmiling” to speak about day to day hardships in Nigeria—and the power of Fela is so strong some 15 years after his death that it was invoking his spirit that masses of Nigerians took to the streets earlier this year to protest the removal of petroleum subsidies. For Fela, nothing—nothing—was sacred except the ability to point out contradictions in the way that we live. And in many ways it’s fitting that one of the biggest contradictions of his existence was how his silence about the illness that killed him helped to spark a nationwide discussion about the presence and role of HIV/AIDS in Nigerian society.
If we all remember our first time with Fela, we all remember exactly where we were when he was buried. I was 14 and watched the whole funeral procession in which more than a million Lagosians marched on the small TV in my Uncle’s apartment. The reception was fuzzy, but you could see him in his bright orange suit, his body resting in a glass coffin while the masses danced around him to pay their respects.
It was his brother, a former minister of health, who announced that Fela had passed from Kaposi sarcoma, a form of cancer closely often seen in patients with HIV infections that have progressed to AIDS. The disbelief was palpable. To this day, there are people who would deny that Fela Kuti—our Fela, the people’s Fela—was HIV positive. I remember the whispers “They say it’s AIDS oh!” and the response “So this thing is real” because Fela made everything real, in death still speaking truth to the powers, both governmental and public that wanted to deny the existence of the epidemic in Nigeria. Some people I spoke to called Fela’s death our “Magic” moment, referring to Irving “Magic” Johnson whose brave decision to be open about his positive status helped to change the conversation about what it means to have HIV/AIDS in America.
But the fact that Fela has been dead for 15 years and that Magic is able to provide us with what might be the most entertaining movie-going experience at his line of eponymous theaters (everyone should try watching a summer blockbuster at the Magic Theater in Harlem) also speaks to something – HIV/AIDS is an eminently livable disease if you have the resources to live with it. Those resources were not really available in Nigeria when Fela left us. And though people are working hard to change this, they are still not as widely available as they should be today.
By all accounts Fela was not an easy man to deal with or define, and I find it interesting that the current popular portrayal of him in the media, on Broadway is one that smoothes over the roughness and eliminates the contradictions in his life that he so viciously pointed out in ours. Where would we be if Fela hadn’t succumbed to HIV/AIDS—who knows? But the greatest contradiction is that his silence about and death from the disease ultimately gave the rest of us a lot to talk about and perhaps, a better shot at living.
Uzodinma Iweala is a physician and the author of “Our Kind of People: A Continent’s Challenge, A Country’s Hope.” _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Inscrit le: 29 Déc 2005 Messages: 994 Localisation: Dans Les Bras de Youssou Ndour
Posté le: Jeu 02 Aoû 2012 02:15 Sujet du message:
L'equipe olympique du Senegal s'est qualifiee pour les quarts de finale du tournoi de football des JO!!!!! Allez les Lions!!!! Go Senegal Go!!! Let's make it happen! Bonne continuation!!!!
But de Moussa Konate(pour le moment meilleur buteur de la competition).
Inscrit le: 29 Déc 2005 Messages: 994 Localisation: Dans Les Bras de Youssou Ndour
Posté le: Ven 03 Aoû 2012 05:14 Sujet du message:
Golden Girl!!! Super congratulations to a beautiful and talented young lady!! Premiere noire americaine a gagner l'or par equipes et au concours general!! Wishing her many more successes et plein de sponsors!!!!
Gabby Douglas now has an individual all-around gold medal to go with the team gold she won with her U.S. teammates. Dubbed the "Flying Squirrel" for her impressive array of aerial skills, Douglas edged Russian gymnast Victoria Komova, who took silver. Bronze went to Aliya Mustafina of Russia by way of a tiebreaker after American Aly Raisman finished with an identical score of 59.566.
The 16-year-old Douglas scored 62.232 while Komova scored 61.973. The Russian star took the last turn on the floor and couldn't reach the score needed to overtake Douglas. Beaming after finishing a sterling turn on the floor, Douglas could only wait and watch. Komova needed a score of 15.36 or higher to pass Douglas for gold but only earned a 15.100 for a solid routine.
Douglas opened with a 15.966 on the vault, despite coming perilously close to stepping off the track on her landing. In first place after the first rotation, Douglas scored 15.733 on the uneven bars, 15.500 on the beam and closed with a 15.033 on the floor.
Douglas' all-around gold medal marks the fourth time that an American woman has won the event, including the two previous golds won by Nastia Luikin (2008) and Carly Patterson (2004). Mary Lou Retton was the first American woman to win the all-around title in 1984.
“A lot was going through my mind, I was like, ’Yes all the hard work has paid off,’” Douglas told reporters, via Bloomberg, after being award her second gold medal of the London Games. “I was speechless. Tears of joy and just waving to the crowd.”
Having performed in all rotations during the U.S. team's gold medal effort in the team competition and captured individual all-around gold, Douglas' triumph over teammate Jordyn Wieber at the U.S. Olympic Trials no longer seems like such an upset.
Entering the London Olympics, Douglas' teammate Jordyn Wieber was the favorite to win individual all-around gold. In a surprising turn of events, Wieber didn't even qualify for the individual final, finishing behind Douglas and Aly Raisman during qualification and missing out due to the two-per country rule.
Not long after Douglas won gold, Wieber congratulated her teammate on Twitter. _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Inscrit le: 29 Déc 2005 Messages: 994 Localisation: Dans Les Bras de Youssou Ndour
Posté le: Sam 11 Aoû 2012 15:22 Sujet du message:
C'est officiel, Romney a choisi Paul Ryan comme VP! Ryan est tres populaire avec la base Republicaine and that's it! The Ryan Budget plan par contre est tres impopulaire aupres des senior citizens so ceci pourrait peut-etre aider Obama a gagner la Floride!!! Les debats entre les candidats vont etre interessants!!
NORFOLK, Va. -– Mitt Romney will announce Rep. Paul Ryan (R-Wis.) as his running mate on Saturday, according to two sources with knowledge of the decision.
In a press release issued Saturday morning, the Romney campaign confirmed the decision, calling the duo "America's Comeback Team."
Ryan is a bold pick who will energize the Republican Party, but putting him on the ticket is fraught with risk and instantly puts Ryan's budget plan front and center in the 2012 campaign.
Romney will announce his choice in Norfolk on Saturday morning at the beginning of a four-day bus tour through key battleground states, the campaign said Friday night. The Weekly Standard reported earlier Friday that Wisconsin Gov. Scott Walker has been asked to be ready to make the case for Ryan beginning Saturday.
Romney's alliance with the 42-year old Ryan has become the most dramatic development of the 2012 presidential campaign. Romney had been presumed for much of the last few months to be set on a safe pick, such as Sen. Rob Portman (R-Ohio), or former Minnesota Gov. Tim Pawlenty.
But now, Romney, who is 23 years older than Ryan, will signal that he is willing to roll the dice. President Barack Obama's reelection campaign and Democratic political groups have been eager for Romney to pick Ryan, the architect of plans to slash government spending and overhaul entitlement programs that Democrats believe are political losers.
Both liberals and conservatives will be thrilled with Romney's choice.
Conservatives believe Ryan is one of the brightest, best young faces and minds who can cheerfully articulate a case for limited government while simultaneously arguing that a less expansive bureaucracy and a revamped entitlement system is the best way to preserve government aid and benefits for the poor, indigent and elderly.
Ryan's budget and his proposed changes to programs like Medicare will now be central issues that drive the presidential campaign for the remaining three months. It is one way for Romney to turn a campaign that has turned ugly and personal, often to his detriment, into a heated debate over policy.
The battle to define Ryan and his reform plan will set off a messaging war between Democrats and Republicans, the likes of which has rarely been seen.
If Romney were to win with Ryan on the ticket, he would have a mandate to make sweeping changes not only to the size of government, but to programs like Medicare and Medicaid that are products of former President Lyndon Johnson's Great Society program.
For conservatives, putting Ryan front and center will satisfy their desire to have a full-throated debate about the entire spectrum of issues that they feel are most pressing: the size of the federal government, the government's role in people's lives, the impact of the national debt on the middle class, and how to maintain a social safety net without creating a "culture of dependency" in which too many citizens receive government benefits.
For liberals, Ryan represents a chance to not just defeat Romney, but an opportunity to discredit, on the biggest stage in politics, the most wide-ranging expression of conservatives' governing principles put forward in recent political memory. Liberals will say that Romney and Ryan want to cut government spending in a way that will hurt the economic recovery and cut assistance to those who need it. Obama himself has already attacked Romney for wanting to "turn Medicare into a voucher program," a reference to Ryan's original proposal for Medicare. _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Le chanteur congolais Koffi Olomidé a été condamné, jeudi 16 août, à trois mois de prison avec sursis pour avoir agressé son producteur à Kinshasa. Ce dernier a annoncé qu'il mettait fin à ses poursuites contre le chanteur et que l'incident était clos.
Jugé jeudi 16 août pour « coups et blessures volontaires » contre son producteur, le chanteur congolais Koffi Olomidé a été condamné à trois mois de prison avec sursis par le tribunal de Paix de la Gombe, à Kinshasa. « Le tribunal (...) a établi en fait et en droit l'infraction de coups et blessures volontaires mis à sa charge, et le condamne à une servitude pénale de trois mois, assortie d'un sursis de trois mois », a déclaré le juge.
Dans le même temps, l'accusation a annoncé que la victime, le producteur Diego Lubaki, mettait fin aux poursuites. Selon l'un de ses avocats, celui-ci a qualifié la dispute d'incident malheureux. « Il a eu le temps de réfléchir mûrement seul devant sa conscience. (...) Il a souhaité se désister pour privilégier la paix sociale et rétablir la paix entre lui et celui qu'il appelle son "grand frère" », a déclaré l'un de ses avocats avant de revenir devant la cour.
Pas de "destruction méchante"
Le juge n'a par contre pas établi en fait et en droit l'infraction de « destruction méchante » - une forme de vandalisme - sur la porte de la chambre d'hôtel où se sont battus l'artiste et son producteur. Koffi Olomidé a en conséquence été acquitté de cette accusation qui aurait pu lui valoir une lourde aggravation de sa peine - jusqu'à 5 ans de prison.
L’artiste de 56 ans avait été arrêté mercredi soir dans un hôtel de luxe de Kinshasa, lieu de l’altercation. La bagarre a éclaté dans une chambre d'hôtel pour une somme d'argent que devait le producteur au chanteur. La star de la musique Soukous risquait six mois de prison et une amende de 100 000 francs congolais (88,5 euros environ) pour les coups et blessures.
Lire l'article sur Jeuneafrique.com : RDC : trois mois de prison avec sursis pour Koffi Olomidé | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Inscrit le: 29 Déc 2005 Messages: 994 Localisation: Dans Les Bras de Youssou Ndour
Posté le: Lun 27 Aoû 2012 04:13 Sujet du message:
161 Milimetres de pluie en 2h de temps! Dakar encore sous eaux! Deja 18 personnes decedees depuis le debut de l'Hivernage! Situation
tres difficile pour les populations! Courage a elles et j'ose esperer que les authorites du pays sauront apporter des solutions a moyen et long-terme aux sinistres! Cette situation ne peut plus durer!
Les pluies font quatre morts dont des jumeaux de 4 ans et un nourrisson
DAKAR - Quatre personnes, dont des jumeaux âgés de quatre ans et un bébé de deux mois, sont morts au Sénégal à la suite de pluies exceptionnelles qui ont provoqué des dégâts importants, a-t-on appris dimanche de sources concordantes.
A Diaoulé, un village dans le centre du pays, des jumeaux de quatre ans et un nourrisson de deux mois ont été tués dans l'effondrement d'une maison blessant également leur mère, a affirmé à l'AFP un responsable du groupement national des sapeurs-pompiers.
A Touba, une localité dans le centre du pays, l'effondrement de deux murs en construction sur une habitation en baraque a également fait un mort après 135 mm de pluie, selon la même source.
Les pluies de samedi ont fait des dégâts importants dont des maisons inondées, des pertes en matériel, des routes coupées notamment à Touba, Dakar et ses banlieues, a affirmé à l'AFP un responsable de l'Agence de la météorologie nationale, Mamina Camara.
Ces pluies sont exceptionnelles en durée et en intensité. Par exemple, à Dakar, 156 mm d'eau sont tombés en moins de deux heures et Rufisque, une banlieue de Dakar, a eu 88 mm en moins d'une heure, a affirmé M. Camara.
Le 14 août, neuf personnes, dont un bébé, avaient péri à Dakar en raison d'effondrements de murs ou de noyades causés par de fortes pluies.
Depuis le début de l'hivernage, des milliers de personnes ont été affectées par des inondations dans la capitale et en province d'après les médias locaux mais aucun bilan précis n'était disponible. Les plus nombreux sinistrés se comptent toutefois dans des quartiers précaires de Dakar.
Selon plusieurs spécialistes, les dégâts provoqués sont notamment liés aux défauts d'assainissement et à la mauvaise qualité des habitations installées dans des zones inondables.
Les inondations sont fréquentes pendant la saison des pluies au Sénégal, généralement de juillet à octobre.
Inscrit le: 29 Déc 2005 Messages: 994 Localisation: Dans Les Bras de Youssou Ndour
Posté le: Mer 29 Aoû 2012 03:36 Sujet du message:
Merci Mr le President d'avoir ecoute le peuple!! La PATRIE avant le Parti!
Merci et felicitations au peuple Senegalais qui a unanimement rejete le maintien d'un Senat gouffre financier.
[ Audio - Urgent ] Le President Macky Sall " Supprime " Le Sénat
Pour venir en aide aux sinistrés des inondations, le présidente Macky Sall de retour à Dakar a décidé de soumettre en procédure d’urgence un projet de loi pour la suppression du Senat. « Les ressources prévues pour cette institution, ( 08 milliards) seront consacrées à la solution des inondations (..) » a indiqué le président Macky Sall sur la Rts1 _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
L'ambassadeur gambien au Sénégal est convoqué mercredi à la Primature pour se voir notifier la protestation du Sénégal contre l'exécution de condamnés à mort en Gambie, parmi lesquels il y avait deux citoyens sénégalais, a annoncé le président Macky Sall, mardi soir à Dakar. "J'ai demandé au Premier ministre de convoquer l'ambassadeur de Gambie et de lui notifier la position de l'Etat du Sénégal. Demain (mercredi), s'il ne vient pas à l'heure indiquée, il devra quitter le Sénégal", a déclaré le président Sall, de retour de voyage en Afrique du Sud.
Le chef de l'Etat du Sénégal a dit sa consternation suite à l'exécution de ressortissants sénégalais en Gambie. "C'est avec consternation que j'ai appris cet acte ignoble. (...) Je suis surpris par le mépris des autorités gambiennes à l'égard du Sénégal."
"Mon devoir est de défendre les Sénégalais, partout où ils se trouvent. Seuls la paix et le bon voisinage peuvent prévaloir entre nos deux pays. J'appelle les autorités gambiennes à revenir à la raison", a-t-il ajouté.
A effet, le président Sall a demandé à l'Etat gambien de surseoir à l’exécution d'une peine capitale contre un autre ressortissant sénégalais, Saliou Niang, qui attend dans le couloir de la mort en Gambie. _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Yaya Jammeh : » Bilahi, Je Tuerai Les Condamnés à Mort Qui Peuplent Les Prisons Gambiennes »
Yaya Jammeh est loin d’être ébranlé ou même touché par les agitations et autres menaces voilées du Sénégal et ses organisation de société civile. Le chef de l’Etat gambien est déterminé à exécuter sa décision d’ôter la vie à ses condamnés à mort.
Dans un élément sonore posté ce jeudi par le site gambien freedomnewspaper.com Yaya Jammeh devant des imams et des membres du clergé catholique gambien jure qu’il exécutera les prisonniers. « Bilahi, Walahi, wa talhi, je tuerai les comdamnés à mort qui peuplent les prisons gambiennes. Si je ne fais pas ce que je viens de dire, prenez-moi pour un disciple de Bacchus et un consommateur de viande de porc », rage t-il.
A ce jour, 26 des 47 prisonniers ont été exécutés entre dimanche et mardi dernier. Ceux qui restent parrmi lesquels un sénégalais seront exécutés lundi prochain. _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Desmond Tutu: Bush, Blair Should Face Trial Over Iraq
LONDON -- Nobel Peace Prize Laureate Desmond Tutu called Sunday for Tony Blair and George Bush to face prosecution at the International Criminal Court for their role in the 2003 U.S.-led invasion of Iraq
Tutu, the retired Anglican Church's archbishop of South Africa, wrote in an op-ed piece for The Observer newspaper that the ex-leaders of Britain and the United States should be made to "answer for their actions."
The Iraq war "has destabilized and polarized the world to a greater extent than any other conflict in history," wrote Tutu, who was awarded the Nobel prize in 1984.
"Those responsible for this suffering and loss of life should be treading the same path as some of their African and Asian peers who have been made to answer for their actions in the Hague," he added.
The Hague, Netherlands, based court is the world's first permanent war crimes tribunal and has been in operation for 10 years. So far it has launched prosecutions only in Africa, including in Sudan, Congo, Libya and Ivory Coast.
Tutu has long been a staunch critic of the Iraq war, while others opposed to the conflict – including playwright Harold Pinter – have previously called for Bush and Blair to face prosecution at the Hague.
"The then-leaders of the U.S. and U.K. fabricated the grounds to behave like playground bullies and drive us further apart. They have driven us to the edge of a precipice where we now stand – with the specter of Syria and Iran before us," said Tutu, who last week withdrew from a conference in South Africa due to Blair's presence at the event.
While the International Criminal Court can handle cases of genocide, war crimes and crimes against humanity, it does not currently have the jurisdiction to prosecute crimes of aggression. Any potential prosecution over the Iraq war would likely come under the aggression category.
The U.S. is among nations which do not recognize the International Criminal Court.
In response to Tutu, Blair said he had great respect for the archbishop's work to tackle apartheid in South Africa, but accused him of repeating inaccurate criticisms of the Iraq war.
"To repeat the old canard that we lied about the intelligence is completely wrong as every single independent analysis of the evidence has shown," Blair said. "And to say that the fact that Saddam (deposed Iraqi dictator Saddam Hussein) massacred hundreds of thousands of his citizens is irrelevant to the morality of removing him is bizarre."
However, Blair said that "in a healthy democracy people can agree to disagree."
In Britain, a two-year long inquiry examining the buildup to the Iraq war and its conduct is yet to publish its final report. The panel took evidence from political leaders including Blair, military chiefs and intelligence officers. Two previous British studies into aspects of the war cleared Blair's government of wrongdoing.
The Iraq war was bitterly divisive in the U.K. and saw large public demonstrations. However, Blair subsequently won a 2005 national election, though with a reduced majority. _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
The Getty Images photograph was taken on Friday at a Romney/Ryan campaign event in Lancaster, Ohio.
According to Buzzfeed, a Romney spokesperson "commented that the shirt was reprehensible and has no place in this election."
This is not the first time in recent weeks that racism has been directed towards President Barack Obama.
On Tuesday, The Huffington Post reported that "a spate of symbolic protests against [the president] that have featured empty chairs and racist imagery continued this week in California, with an arrangement featuring a noose, watermelons and a birther sign."
"Go back to Kenya you idiot," read the sign that was reportedly set up along a remote road in Santa Clara County, Calif.
And last month, an Obama supporter in Texas said her Obama/Biden yard sign had been vandalized with the words "N*GGER LOVER -- Obama Sucks D*ck!"
"We have at least 4 African American families living on this street. I’m so offended," said the woman in the wake of the vandalism. "Not just because whoever did this is ignorant and misinformed and trespassed and vandalized my sign, but infinitely more for my neighbors who might have driven by and seen it.”
Correction: The anti-Obama birther sign was set up along a remote road in Morgan Hill, Santa Clara County, Calif., not Santa Clara. _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Mansa Musa Of Mali Named World's Richest Man Of All Time; Gates And Buffet Also Make List
You've probably never heard of him, but Mansa Musa is the richest person ever.
The 14th century emperor from West Africa was worth a staggering $400 billion, after adjusting for inflation, as calculated by Celebrity Net Worth. To put that number into perspective -- if that's even possible -- Net Worth's calculations mean Musa's fortune far outstrips that of the current world's richest man Carlos Slim Helu and family.
According to Forbes, the Mexican telecom giant's net worth is $69 billion. Slim edges out the world's second wealthiest man, Bill Gates, who is worth $61 billion, according to Forbes.
Some of the oldest fortunes in question date back 1,000 years. No. 7 on the list, for example, is William the Conqueror. The illegitimate son of the Duke of Normandy, William lived between 1028-1087 and gained infamy for invading and seizing England in 1066.
According to the Encyclopedia Brittanica, when Musa died sometime in the 1330s, he left behind an empire filled with palaces and mosques, some of which still stand today. But the emperor really turned historic heads for the over-the-top extravagances of his 1324 pilgrimage to Mecca.
The trip, which he embarked up on during the 17th year of the monarch's glittering reign, was hosted by the leaders of both Mecca and Cairo and apparently was so brilliant, it "almost put Africa’s sun to shame."
Musa's wealth was a result of his country's vast natural resources. The West African nation was responsible for more than half of the world's salt and gold supply, according to Net Worth. Of course, the entry also notes that the fortune was also fleeting. Just two generations later, his net worth was gone -- wasted away by invaders and infighting.
As The Independent points out, while the numbers bandied about by this newest list are shocking, many aspects of the run-down aren't surprising: there are no women included, for example, and only three of the richest men are still alive today. Americans dominate the list, however, taking 14 of the 26 spots, including slots two and three.
The "poorest" man on the list is Warren Buffet, who had a peak net worth of $64 billion. Buffet, a noted philanthropist, has since given billions of his fortune away, and Forbes now lists his net worth at closer to $44 billion.
Scroll down for the complete list of the 26 Richest Men Ever:
1. Mansa Musa I, (Ruler of Malian Empire, 1280-1331) $400 billion
2. Rothschild Family (banking dynasty, 1740- ) $350 billion
3. John D Rockefeller (industrialist, 1839-1937) $340 billion
4. Andrew Carnegie (industrialist, 1835-1919) $310 billion
5. Tsar Nicholas II of Russia (last Emperor of Russia, 1868-1918) $300 billion
6. Osman Ali Khan, Asaf Jah VII (last ruler of Hyderabad, 1886-1967)
$236 billion
7. William the Conqueror (King of England, 1028-1087) $229.5 billion
Editor's note: John Campbell is a former U.S. ambassador to Nigeria and Ralph Bunche Senior Fellow for Africa Policy Studies at the Council on Foreign Relations. This entry of Africa in Transition originally appeared here. The views expressed are his own.
It baffles me that the Western media is paying so little attention to the flooding in Nigeria. There are dramatic aerial photographs of the flooding in the Delta, and affected areas spread as far afield as Kano and Kogi states in northern and central Nigeria.
Over a million people have been displaced. In the Delta alone, tens of thousands have been moved into camps that are ill-equipped to receive them. Crop fields and fisheries in their thousands of hectares are completely flooded and destroyed. Local food shortages seem inevitable, although President Goodluck Jonathan is confident existing grain stores will be sufficient. In overcrowded camps with poor sanitation, the spread of infectious disease also seems inevitable. Deaths – direct and indirect – from flooding in Nigeria this season, may exceed the total associated with Boko Haram.
U.N. humanitarian agencies often sound the alarm about impending humanitarian crises, as they have done in the Sahel and the Horn of Africa. For example, the World Health Organization’s Africa Regional Director, Luis Gomes Sambo, on October 25, called attention to the Sahel’s need for international help to combat Neglected Tropical Diseases that have spread because of flooding in that region.
But these UN agencies are, by and large, not present in the Niger Delta. Other international NGOs, including Oxfam and the Red Cross and Red Crescent, are present, but their relative quiet is hard to understand. The Nigerian federal government in Abuja does not seem to be asking for the international assistance it clearly needs.
Meanwhile, the Western media is, almost universally, giving the flooding stories a pass. Is it a case of seeing the floods as yet another dreary story out of Africa, and Nigeria in particular, that allows news agencies to draw the conclusion that their readership would have only a limited interest?
Post by: CFR _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Obama, Tearful, Finishes Campaign In Iowa, Where It Started
WASHINGTON -- As sentimentality goes, President Barack Obama hosting the last campaign event of his political career in Des Moines, Iowa, is hard to top. The Hawkeye State launched the then-junior senator from Illinois to national prominence. And there is a movie script-like quality to having such a historic political trajectory emerge out of the frosty cornfields.
Speaking just steps from his 2008 caucus headquarters on Monday evening, it seemed at times as if the magic hadn't faded.
"I came back to ask you to help us finish what we started because this is where our movement for change began," Obama declared. "To all of you who’ve lived and breathed the hard work of change: I want to thank you. You took this campaign and made it your own ... starting a movement that spread across the country.
"When the cynics said we couldn't, you said yes we can. You said yes we can and we did. Against all odds, we did," he said.
Wiping the occasional tear from his eye, and looking over a crowd of 20,000, Obama concluded with the same story that he told on the last day of his '08 campaign: about the origins of his signature "fired-up-ready-to-go" chant. The arc of his first term in office was seemingly complete.
But if anything, the late night rally in Des Moines underscored how different Obama's first and second White House runs have been. For all its poignant undertones, Monday night marked the end of a campaign that had little of the emotional appeal of four years ago. There was no sweeping "hope" narrative, no history-making proposition, no shadows of the Bush years to escape. Instead there was a business-like approach to a daunting task: how to re-elect a president with a slate of accomplishments, but with reduced popularity, a poor economy and no novelty.
"The biggest difference between 2008 and 2012 is that the sense of the mission changed," said one Obama campaign adviser who, like nearly everyone, would discuss the campaign's inner workings only on condition of anonymity. "In 2008, there was the sense of optimism and hope around the mission -– of changing the world. In 2012, the mission is as much the clear-eyed recognition of how important stopping the other side is. It is a grimmer, more realistic sense of mission."
How Obama's aides traversed this path is a story that will be told in greater detail in the election post-mortems. But months of conversations and notes kept in documents and notepads tells part of the story. And it shows a team that, while lacking the heartstrings of 2008, stayed true to other guiding principles: data-driven decision-making and solid execution.
"There has always been a laser-like focus on the part of the campaign on how to get where they need to be," explained Hari Sevugan, who served as a spokesman for the 2008 campaign. "It was about delegates in 2008 and pathways to 270 [Electoral College votes] in 2012. "The formula, then and now, was always inspiration and energy at 30,000 feet and a no-nonsense attitude toward numbers and mechanics on the ground."
It started in the spring of 2011, when top advisers to the president conducted a series of focus groups to get a clear sense of what was in store. What they found was sobering. Voters were gloomy about their current situation. Worse, they assumed their kids would inherit poorer lots than their own. They didn't all blame the president. In fact, they still liked him. But they had to be convinced of two things: That their lives could get better and that Obama was the person who could affect that.
To accomplish those two tasks, the president's aides made a series of decisions. The first was to chart specific maps to 270 electoral votes. The second was to figure how best to operate within the boundaries of that map. The third was to unearth ways to make their campaign cash go further than their opponent's.
In December 2011, campaign manager Jim Messina unveiled five pathways to victory during a briefing with a group of reporters. Virtually every state he identified as critical has maintained that distinction, with the exception of Arizona (which, even then, was labeled a long shot). There were some miscalculations. Messina assumed that New Hampshire and Wisconsin would both remain solidly in Obama's campaign. He also gave equal weight to paths involving North Carolina (now, a reach) as those involving Ohio (less so). But the paths have largely endured.
Meanwhile, aides plotted a comprehensive messaging shift and a media campaign to complement it. In December 2011, the president delivered a speech in Kansas designed to break the conversation away from deficit reduction and the debt ceiling debacle and on to job creation and economic security. The campaign booked $25 million worth of ads for May 2012 alone to build off that message.
Again, not everything was pitch-perfect. The first two ads focused on clean energy, which would diminish as an issue outside of a few critical states (Iowa and Colorado). But the groundwork was laid.
"It's been a very disciplined campaign, incredibly focused," said former Ohio Gov. Ted Strickland, one of the campaign's top surrogates. "And they have followed their plan as far as I can tell, without any significant deviation."
The campaign began to pinch pennies. Aides booked ad purchases in bulk, instead of week by week. They gave a public okay to super PACs, despite the president's previous opposition. And they decided, like in 2008, to hoard resources, rather than share with other Democratic campaign committees.
There was one place they splurged. Aides bet big on a ground game, hoping that direct "persuasion" -- person-to-person contacts -- could move the dial a few, critical, notches.
"We never set out to run the same campaign and the organizational stuff -– which the president has always strongly believed in -- was born out of a necessity of knowing that these states were going to be one- to three-point races if we were lucky," said one top Obama campaign official.
And like 2008, staff members had conviction in their strategy. In the early summer, when a lagging jobs market had top Democrats fretting that Romney could win an election focused on the economy, aides scoffed at the proposition.
"They are operating under the Woody Allen theory that 90 percent of life is just showing up," one top campaign official said at the time. "But there is such intense scrutiny in candidates for president. If people don't feel comfortable with who you are, it is very tough. In a race that is all about economics, this guy's profile is not a great profile."
The official was right. And yet, when the campaign did put a microscope to the Romney profile -- launching attacks on his private sector record -- there were howls again. Once more, the campaign didn't budge. "Predictable [for our party]," another aide said of the criticism over the Bain attacks, "but stupid and wrong."
It was easy, of course, to ignore the second-guessing when the plan was proving fruitful. But after the first debate, the campaign's internal resolve was tested. Publicly, aides projected calm. Privately, some were stoked with anxiety over the president's performance. Internal discussions took place over whether to alter the map or message. They tinkered with the latter -- "they changed their emphasis," said one top consultant to the campaign, "not giving up on the Romney-extremism but focusing more on the shifting positions." But they struck with the former.
"Same map, tighter race," is how the aforementioned Obama campaign adviser put the post-debate mindset.
The next month was a dizzying scramble that saw the president restore some of what he gave up that night in Denver. But even after Obama gave one final slap of the lectern and wave to the Iowa crowd on Monday, the final verdict is out on whether the decisions he and his staff made were correct. The campaign is projecting confidence. Part of it is common pre-election preening. A lot of it is faith in numbers. But a good deal of it is because, while it may not have the same feel as 2008, they've been here before.
"There is no doubt about it," top adviser David Axelrod told The Huffington Post, when asked whether he felt the campaign had a leg up because of experience. "The experience of having done it helps. The people who are running our operations are the people who have been with us for five years." _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Quotidien d’un ancien président : Quand Ouattara vient à la rescousse de Me Wade
L’ancien président de la République Me Abdoulaye Wade, qui vit sa retraite à Versailles en France, serait dans la dèche. Le Pape du Sopi est dans l’attente de la valorisation de son décret relatif au statut d’ancien chef de l’Etat. D’après nos confrères de la Tribune,Abdoulaye Wade souhaite disposer d’un cabinet restreint comprenant un aide de camp, un chef de cabinet, un conseille rtechnique, deux assistantes, une voiture, un chauffeur, un cuisinier et une gouvernante.
Le président Ivoirien, Alassane Dramane Ouattara avec qui il partage l’Internationale libérale, sensible à la sollicitation de Wade, aurait décidé de le « prendre en charge le restant de sa vie », rapporte La Tribune. Toutefois, les partisans de l’ancien chef de l’Etat du Sénégal attendent l’application du décret pour leur mentor. Ils accusent Macky Sall d’avoir bloqué le dossier. _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
WASHINGTON -- President Barack Obama is firing back at a pair of Republican senators who have launched a preemptive attack against his potential nominee for secretary of state, saying that "to besmirch her reputation is outrageous."
In a series of media appearances on Wednesday, Sens. John McCain (R-Ariz.) and Lindsey Graham (R-S.C.) pledged they would do everything in their power to block the possible nomination of Susan Rice, the current ambassador to the United Nations, as secretary of state.
The senators have based their objection on Rice's role in disseminating the White House's version of events in the days immediately after the September attack on the U.S. consulate in Benghazi, Libya. At the time, Rice told several television stations that the attack, which left four Americans including the U.S. ambassador to Libya dead, was not believed to be related to terrorism.
Administration officials later acknowledged that this was incorrect, and said the misleading information was the product of incomplete "talking points" from the intelligence community, although Republicans on Capitol Hill believe the White House knew the truth sooner.
To McCain, Graham, and a small cadre of colleagues, this is enough to disqualify Rice from a cabinet-level job.
"Susan Rice should have known better, and if she didn't know better, she's not qualified," McCain said Wednesday during an appearance on Fox News. "I will do everything in my power to block her from being the United States secretary of state."
In his press conference Wednesday afternoon, Obama took umbrage with this line of attack.
"If Senator McCain and Senator Graham and others want to go after someone, they should go after me," he said. "And I'm happy to have that discussion with them. But for them to go after the United Nations ambassador, who had nothing to do with Benghazi and was simply making a presentation based on intel she had received, and to besmirch her reputation, is outrageous."
Obama also said Rice never had a choice about whether to appear on the talk shows to discuss Benghazi.
"She made an appearance at the request of the White House in which she gave her best understanding of the intelligence that had been provided to her," he said.
An Obama administration official speaking on condition of anonymity told The Huffington Post that Rice was chosen to make the appearances because of her job as a top diplomat in the administration, not because of any specific knowledge of the incident.
"The administration asked her to [make the appearances]," the official said. "And here's why: we had lost a senior diplomat, and it made sense that a senior diplomat would go out to speak to that, and contextualize it."
Although several other Republican senators have indicated that they were concerned by Rice's statements, it remains unclear whether McCain and his allies have the necessary support to prevent her from being confirmed along those lines alone.
Perhaps aware of this limitation, Republicans on Capitol Hill expanded their criticism of Rice Wednesday, saying that as U.N. ambassador she had failed to bend the will of Russia and China at the U.N. Security Council over intervention in Syria. Russia and China have remained steadfast in their opposition to such action, and have vetoed proposals to intervene on multiple occasions.
"I don't think we're doing very well in the U.N., quite frankly," Graham said at a Capitol Hill press conference earlier in the afternoon. "You know, they did a pretty good job in Libya, but since then Russia and China has been walking all over us. I'm not so sure she's the strongest advocate."
Some Democrats have said that the Benghazi-related attack on Rice brings to mind another secretary of state nominee, Condoleezza Rice: Her appointment by the Bush administration was opposed by those who felt her advancement of the mistaken notion that Saddam Hussein had weapons of mass destruction in Iraq similarly disqualified her from the office.
During a 2002 appearance on CNN, Condoleezza Rice had said that while "there will always be some uncertainty" about the intelligence, "we don't want the smoking gun to be a mushroom cloud."
When she was later nominated for secretary of state, by which point it had become clear that there were no WMD in Iraq, both McCain and Graham publicly defended her appointment despite the misstatements.
Graham and his allies denounced this comparison, saying that Condoleezza Rice's statements at the time reflected the widely agreed upon understanding of the intelligence community, while Susan Rice should have opted not to speak on the subject without more certainty.
"When it comes to Condoleezza Rice, we're not the only country that thought he was trying to get weapons of mass destruction," Graham said.
"You don't end up on every single major Sunday show without affirmatively putting yourself out there of wanting to carry forward a message on behalf of the administration," Sen. Kelly Ayotte (R-N.H.) added during the news conference. "I think there is a certain responsibility with the current position that she has to ask proper questions about what we did and didn't know at that point before she goes on." _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Vingt-quatre heures après l’offensive sur Goma, les rebelles du M23 ont pris le contrôle, mardi 20 novembre, de l’aéroport et d'une grande partie de la capitale du Nord-Kivu. Le gouverneur de la province, Julien Paluku, dit craindre "le massacre sélectif de personnalités proches du pouvoir de Kinshasa" par les nouveaux maîtres de la ville.
Goma change de mains. Après avoir pris le contrôle de l’aéroport, mardi 20 novembre au matin, les rebelles du M23 sont entrés sans résistance majeure dans la ville, abandonnée par les FARDC. Quelques tirs sporadiques se faisaient encore entendre en milieu de journée et les réfugiés congolais continuaient à arriver à Gisenyi, ville rwandaise frontalière proche de Goma.
Le gouverneur de la province du Nord-Kivu (est de la RDC), Julien Paluku, s’avoue vaincu et accuse : « Les rebelles du M23 se sont coalisés avec l’armée rwandaise pour prendre le contrôle de l’aéroport de Goma. Actuellement, ils sont rentrés dans la ville où ils contrôlent déjà plusieurs quartiers. Nos troupes se sont retranchées, pour l’instant, à Himbi, Mungungu et à Ndosho, dans la partie est de la ville ».
Suivre l'évolution de la situation en direct sur jeuneafrique.com.
L’autorité provinciale dit craindre cependant des « massacres sélectifs » par les rebelles du M23. « Certaines sources nous rapportent que les maisons des personnalités proches du pouvoir de Kinshasa sont visitées par les hommes de Sultani Makenga [chef militaire du M23, NDLR] », explique-t-il.
Kabila lance un appel "au peuple"
De son côté, le président congolais Joseph Kabila a aussitôt lancé, à Kinshasa, un appel « au peuple ainsi qu'à toutes les institutions » à se mobiliser contre l'agression dont la RDC se dit victime de la part du Rwanda voisin. « Je demande la participation de toute la population à défendre notre souveraineté », a-t-il ajouté.
Dans Goma, certains habitants sortent de chez eux pour serrer la main de nouveaux maîtres de la ville. Alors qu’à Kinshasa, les jeunes sont descendus dans les rues de la capitale pour manifester leur colère après l’annonce de la prise de la ville par les rebelles. Ce tournant dans le conflit armé à l’est de la RDC contraindra-t-il Kinshasa à accepter des « négociations directes » avec le M23 ? « Pas question », persiste Lambert Mende, le porte-parole du gouvernement. « Si nous le faisons, ce serait une façon de laver la responsabilité du Rwanda dans cette guerre », soutient-il.
À New-York, la France a déposé lundi au Conseil de sécurité un projet de résolution sur l’élargissement du mandat de la Monusco qui se limite actuellement à la protection des populations civiles. « La résolution doit être adoptée avant jeudi 22 novembre pour donner aux troupes onusiennes sur place une mission plus étendue », explique-t-on dans l'entourage de la ministre française chargée de la Francophonie, Yamina Benguigui. « Des sanctions additionnelles contre les dirigeants du M23 sont également prévues », ajoute-t-on.
_________
Par Trésor Kibangula (@Tresor_k), avec Pierre Boisselet (@PierreBoisselet), envoyé spécial à Gisenyi _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Hollywood and Nollywood actors unite in new film ‘Dr. Bello’
The casting for Dr. Bello joins together powerhouse stars Isaiah Washington, Vivica A. Fox and Jimmy Jean-Louis with Nigerian A-listers Genevieve Nnaji and Stephanie Okereke. It’s not the first time actors from either side of the pond have starred alongside each other, but producer and director Tony Abulu says Dr. Bello symbolizes a new chapter for African movies.
“This is not a film,” Abulu told theGrio. “This is a movement. This is the beginning of a new Africa.”
The Nigerian government recently created a $200 million loan fund to help finance the country’s film projects, which are often quickly produced and sent straight to DVD. That’s not to say the film industry, better known as Nollywood, isn’t already doing well. The world’s third-largest filmmaking industry produces thousands of movies every year, but the hope is that the government’s financial help will result in better quality films and a stronger international audience.
Abulu, a Nigerian-raised filmmaker who now lives in New York City, was the first to receive a loan from the fund. In March, with the $250,000 in hand and other money he fundraised, he set out to produce a film that would appeal to all audiences.
“Whether you’re white, whether you’re black, there’s a message in it specifically for every group and community,” Abulu said. “There’s a spiritual message and there’s a cultural message.”
In the film, cancer specialist Dr. Michael Durant, played by Washington, immerses himself in his work to avoid dealing with the traumatic loss of his 10-year-old daughter from cancer and the ensuing blame from his wife (Fox). In the process, he crosses paths with Dr. Bello (Jean-Louis), an uncertified Nigerian doctor who teaches Durant to look at medicine in a new way while they try to save the life of a young cancer patient. In a series of twists, Dr. Bello becomes ill and Durant must risk everything and travel to the mountains of Nigeria to find a special potion, which holds the cure.
The film was shot in both New York and Nigeria, and Abulu said the cast really enjoyed working together.
“We had a ball,” he said. “The American actors, the Nigerian Actors — it was fun. We had a wonderful time.”
Isaiah Washington, best known for his role in Grey’s Anatomy, told the New York Times the film’s opportunity to “cross-pollinate” Hollywood and Nollywood is what influenced him to get involved. He also said he wants to help make Nigerian films mainstream.
“How can I bring value to destigmatize Nigeria and destigmatize Nollywood?” he said.
Though Dr. Bello had a smaller budget than most Hollywood productions, which at times bill up to 9-digit figures, Abulu is hoping the story surpasses that. He wants to prove that Nollywood can hold its own outside of Africa, and he’s hoping Hollywood is paying attention.
“It’s not going to be easy because Hollywood doesn’t make movies to experiment,” he said. “Africa is a major risk.”
He wants to reveal a market for the continent similar to the way, he said, Tyler Perry proved there was an audience for non-violent black films.
“Nobody ever believes black folks in America will watch something that is not violent. They tell you in Hollywood, if you’re going to make a black movie, it’s got to have violence, sex and crime because they don’t believe there’s a market for anything else.”
“But Tyler Perry was able to prove there was,” he continued. “We are going to prove that people will be interested in Africa.”
Dr. Bello will open the 2012 African Diaspora International Film Fesitval tonight in New York’s Symphony Space, and Abulu is planning a major release for the film by next Spring.
With the release, he hopes to encourage more collaborations between the two film industries. But more importantly, Abulu hopes the film will help grow Nollywood into a solution for Nigeria’s economic problems.
It’s a big goal for one film, but he knows this already.
“I don’t make films for arts sake anymore,” he said. “I make films now to open doors.” _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Le Sénégal appliquera la réciprocité des visas à compter du 1er janvier 2013 (ministre)
Le Sénégal appliquera la réciprocité des visas à compter du 1er janvier 2013, a annoncé, lundi à Dakar, le ministre sénégalais des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, Mankeur Ndiaye, lors de l’examen du projet de budget de son ministère.
Selon le ministre, cette décision a été prise suite à une large concertation avec tous les ministères intéressés, notamment ceux de l'Intérieur, de l'Economie et des Finances, du Tourisme et des Loisirs.
''L'argumentaire selon lequel l'application automatique du visa pourrait influer négativement sur les lux touristiques n'est pas démontré'', a souligné M. Ndiaye.
Toutefois, compte tenu du surcroit de travail que cette mesures va entrainer, a-t-il tenu à préciser, son effectivité sera différée en juillet 2013, en attendant la mise en place du dispositif et du personnel nécessaires.
De l'avis toujours du ministre des Affaires étrangères, une dispense sera accordée aux porteurs de passeports diplomatiques et aux agents en mission officielle munis de passeports ordinaires.
La question du bénéfice du passeport diplomatique aux épouses des députés a été longuement débattue. Sur ce point, le ministre a indiqué aux parlementaires que le président de la République Macky Sall a décidé d'étendre le bénéfice du passeport diplomatique à toutes les épouses des députés.
De même, la femme député pourra en faire profiter à son époux. _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Le Sénégal appliquera la réciprocité des visas à compter du 1er janvier 2013 (ministre)
Le Sénégal appliquera la réciprocité des visas à compter du 1er janvier 2013, a annoncé, lundi à Dakar, le ministre sénégalais des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, Mankeur Ndiaye, lors de l’examen du projet de budget de son ministère.
Selon le ministre, cette décision a été prise suite à une large concertation avec tous les ministères intéressés, notamment ceux de l'Intérieur, de l'Economie et des Finances, du Tourisme et des Loisirs.
''L'argumentaire selon lequel l'application automatique du visa pourrait influer négativement sur les lux touristiques n'est pas démontré'', a souligné M. Ndiaye.
C'est qd même un minimum. _________________ Seex Anta joop name na la Afrik gerëm na la
Inscrit le: 29 Déc 2005 Messages: 994 Localisation: Dans Les Bras de Youssou Ndour
Posté le: Mar 01 Jan 2013 22:51 Sujet du message:
Painful news to wake up to en cette nouvelle annee!! C'est vraiment tragique et malheureux!! Nos condoleances aux familles eplorees et au peuple Ivoirien!!!
Ivory Coast Stampede: At Least 60 Crushed To Death In Abidjan Stadium Stampede
ABIDJAN, Jan 1 (Reuters) - About 60 people were crushed to death in a stampede outside a stadium in Ivory Coast's main city of Abidjan after a New Year's Eve fireworks display, the government said on Tuesday.
The incident took place near Felix Houphouet Boigny Stadium where a crowd had gathered to watch fireworks, emergency officials said.
One of the injured, speaking to Reuters at a hospital, said security forces had arrived to break up the crowd, triggering a panic in which many people fell over and were trampled.
"The provisional death toll is 60 and there are 49 injured," Interior Minister Hamed Bakayoko said in a statement broadcast on national television.
President Alassane Ouattara, visiting injured people at the hospital, called the incident a national tragedy and said an investigation was underway to determine what happened.
A Reuters correspondent said blood stains and abandoned shoes littered the scene outside the stadium on Tuesday morning.
"My two children came here yesterday. I told them not to come but they didn't listen. They came when I was sleeping. What will I do?" said Assetou Toure, a cleaner.
She did not know if her children had escaped unhurt.
The incident was the worst of its kind in Abidjan since 2010, when a stampede at a stadium during a football match killed 18 people.
Ivory Coast, once a stable economic hub for West Africa, is struggling to recover from a 2011 civil war in which more than 3,000 people were killed.
(Reporting by Loucoumane Coulibaly and Alain Amontchi; Writing by Richard Valdmanis; Editing by Angus MacSwan) _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Dernière Minute: La gendarmerie aurait reçu ordre d’arrêter Karim Wade au Point E
La gendarmerie serait dans la maison familiale des Wade où se trouve Karim Wade. Selon la Rfm qui donne l’information, ordre a été donné d’arrêter Karim MeïssaWade, fils de l’ancien président de la République, Me Abdoulaye Wade. Selon le reporter de la Rfm, deux gendarmes en civil sont à l’intérieur de la maison, tandis qu’une voiture de la police fait la ronde au Point E.
L’arrestation de l’ex ministreKarim Wade serait imminente . Ce dernier a déposé, ce matin, via ses avocats, une réponse à la mise en demeure de justifier ses avoirs adressée au procureur spécial de la Cour de Répression de l'Enrichissement illicite (Crei), Alioune Ndao. _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Gravissime, triste pour l'Afrique où les cas comme celui des WADE sont légion. Espérons que la Justice sénégalaise fera séreinement son travail et que cela serve d'exemple pour les autres pays africains pourris et freinés, retardés par cette gabégie.
Lu sur www.afrik.com sur K. Wade:
Citation:
..."Des preuves « surabondantes ». Karim Wade devait fournir ce lundi 15 avril des justificatifs à la justice sénégalaise concernant sa fortune personnelle. Il y a tout juste un mois, le procureur de la cour de répression de l’enrichissement illicite remettait au fils de l’ancien président Abdoulaye Wade une mise en demeure afin qu’il justifie ses avoirs évalués à plus d’un milliard d’euros. L’ancien ministre d’Etat, cité par le site Leral.net, aurait présenté des preuves « surabondantes » de l’origine licite de son patrimoine. Et de préciser que les biens mal acquis qui lui sont imputés ne lui appartiennent pas.
D’après le ministère sénégalais de la justice, le patrimoine cumulé de ce dernier atteindrait 694 milliards de FCFA, soit plus d’un milliard d’euros, l’équivalent du budget de quatre grands ministères : la Santé, l’Education, l’Energie et l’Agriculture. Dans sa mise en demeure, le procureur détaille une série de sociétés, de propriétés immobilières qui auraient permis à Karim Wade de bâtir sa vaste fortune. Le fils-Wade serait à la tête de plusieurs sociétés aéroportuaires à Malabo et à Dakar.
Au Sénégal, on assiste à une levée de bouclier contre Karim Wade. Aussi bien dans la classe politique que médiatique, l’origine des fonds colossaux du fils de l’ancien président sénégalais fait débat.
« Karim Wade doit être arrêté »
La justice sénégalaise attribue à Karim Wade des comptes bien listés et plusieurs sociétés civiles, sans compter des immeubles à Dakar, en France et au Canada. La polémique ne cesse d’enfler sur l’empire financier de Karim Wade. Et les médias locaux prennent, dans l’ensemble, position contre l’ancien ministre d’Etat.
Les journaux pro-Macky Sall ont tous donné la parole aux détracteurs de Wade-fils. « Karim Wade doit être arrêté », s’exclame dans L’AS Mame Mbaye Niang, secrétaire général national de l’Alliance pour la République (APR, de Macky Sall), indique l’Agence de Presse Africaine.
Selon Me Amadou Sall, l’avocat de Karim Wade, son client est accusé à tort. « La montagne a accouché d’une souris », a-t-il fait savoir mi-mars. A l’entendre, aucun franc n’a été trouvé dans un compte à l’étranger, malgré la mise en contribution de la Grande-Bretagne, de la France et des Etats-Unis.
Karim Wade, qui avait jusqu’au 14 avril pour prouver l’origine licite de son patrimoine, a répondu donc aux attentes de la justice. Reste, maintenant, à savoir si les documents fournis par le fils-Wade sont d’une part authentiques et de l’autre, à même de l’innocenter."
Inscrit le: 29 Déc 2005 Messages: 994 Localisation: Dans Les Bras de Youssou Ndour
Posté le: Mar 16 Avr 2013 19:09 Sujet du message:
Dilo a écrit:
Gravissime, triste pour l'Afrique où les cas comme celui des WADE sont légion. Espérons que la Justice sénégalaise fera séreinement son travail et que cela serve d'exemple pour les autres pays africains pourris et freinés, retardés par cette gabégie.
C'est plus que gravissime!! Cette famille a fait trop de mal au peuple Senegalais! Ils nous ont suce jusqu'a la moelle! Jamais gabegie n'a ete plus importante que durant les 12 ans du regne des wade. L'arrogance de karim wade, n'a d'egal que sa boulimie d'argent. Pendant que les Senegalais se battaient pour porter son pere a la Magistrature Supreme, il se la coulait douce en Europe et apres que son pere soit bien installe c'est la qu'il est venu au Senegal. Je viens d'ecouter la conference de presse du Procureur Special de la CREI, et la j'ai des envies de meurtre! Beaucoup de secteurs cles de notre economie appartiennent a ce gosse, donc ma survie, celle des miens et de mes compatriotes dependent en partie de lui si j'ai bien compris!! J'ai eu mal, tres mal! Pendant que nos hopitaux sont mal equipes, nos salles de classe surpeuplees et manquant de materiel necessaire, le panier de la menagere presque vide....renversant!
Cette affaire a mis a nu comment nos systemes financiers sont corrompus.
J'ose esperer qu'avec cette affaire nous aurons une administration republicaine au service exclusif de la Republique et pas au service des elus du moment. _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Si on en croit nos confrères de la Rfm, Lionel Messi, le prodige argentin vient de fouler le tarmac de l'aéroport Léopold Sedar Sengh or de Dakar. Messi a été accueilli par le ministre des Sports, Mbagnick Ndiaye, et Youssou Ndour, le ministre du Tourisme.
Habillé d'un t-shirt blanc, la Pulga s'est engouffré dans une 4X4 de couleur noire, après avoir salué des fans et pris quelques photos avec eux, direction la Petite Côte.
Lionel Messi est au Sénégal sur invitation de l'académie Aspire Académie. La visite du triple Ballon d'or entre aussi dans le cadre de la lutte contre le paludisme. Il devrait tenir une conférence de presse tout à l'heure à Mbour. _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Si on en croit nos confrères de la Rfm, Lionel Messi, le prodige argentin vient de fouler le tarmac de l'aéroport Léopold Sedar Sengh or de Dakar. Messi a été accueilli par le ministre des Sports, Mbagnick Ndiaye, et Youssou Ndour, le ministre du Tourisme.
Habillé d'un t-shirt blanc, la Pulga s'est engouffré dans une 4X4 de couleur noire, après avoir salué des fans et pris quelques photos avec eux, direction la Petite Côte.
Lionel Messi est au Sénégal sur invitation de l'académie Aspire Académie. La visite du triple Ballon d'or entre aussi dans le cadre de la lutte contre le paludisme. Il devrait tenir une conférence de presse tout à l'heure à Mbour. _________________ The Humanitarian My Love
Wade, une erreur dans l'histoire du Senegal!
Carpe Diem
Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure Aller à la page Précédente1, 2, 3, 4, 5
Page 5 sur 5
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum