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Special dedicace a Aragones

 
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Kennedy
Bon posteur


Inscrit le: 14 Mar 2005
Messages: 994
Localisation: T.O

MessagePosté le: Mer 28 Juin 2006 18:04    Sujet du message: Special dedicace a Aragones Répondre en citant



YOU ARE MAD!!!!!




http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-669420,36-787832@51-787853,0.html
Luis Aragones, ou la mauvaise réputation
LE MONDE | 24.06.06 | 14h53 • Mis à jour le 25.06.06 | 00h13

Les retrouvailles s'annoncent glaciales. Mardi soir, à Hanovre, à l'occasion d'un France-Espagne très attendu, il n'est pas certain que Thierry Henry serre la main ou même salue Luis Aragones, sélectionneur de l'équipe adverse. Agé de 67 ans, le Madrilène a pourtant un profil de vieux sage. Respecté dans son pays natal, l'ancien buteur de l'Atletico devenu entraîneur à succès (de Madrid à Séville en passant par Valence) est considéré comme un homme à poigne, fort en gueule, au caractère parfois difficile.


En France, Aragones a une image détestable : celle d'un odieux raciste. Une réputation qui date de novembre 2004. Lors d'une séance d'entraînement, celui que les médias espagnols surnomment "le Sage d'Hortaleza" (nom de son quartier natal à Madrid) prend à part José Antonio Reyes, coéquipier de Thierry Henry à Arsenal. "Tu vas lui montrer, à ce Noir de merde, qui est le plus fort...", murmure le sélectionneur à l'oreille du joueur. Le dérapage verbal fait le tour du monde et la FIFA, saisie du dossier, se contente de mettre à l'amende Aragones. Trois mille euros, affaire classée.

"Je n'ai pas envie d'évoquer cette histoire", déclarait Thierry Henry vendredi soir, dans les couloirs du stade de Cologne. L'attaquant français et le sélectionneur espagnol auront pourtant du mal à évacuer les questions qui ne manqueront pas de leur être posées, d'ici mardi, concernant cette "histoire".

En attendant, Luis Aragones, sélectionneur comblé après un premier tour impressionnant (victoires 4-0 devant l'Ukraine, 3-1 face à la Tunisie et 1-0 contre l'Arabie saoudite), a trouvé la bonne formule. En laissant à la maison des joueurs réputés comme Fernando Morientes ou Ruben Baraja, en faisant pleinement confiance à une génération de jeunes prometteurs (Cesc Fabregas, Fernando Torres, Sergio Ramos) appuyés de manière intermittente par quelques tauliers comme Raul, Carles Puyol ou Michel Salgado, en offrant les clés du jeu à Luis Garcia, l'élégant meneur de Liverpool, le "sage d'Hortaleza" peut voir venir.

"Je crois que l'Espagne est, à l'heure actuelle, l'une des six meilleures équipes du monde sur le plan technique", souligne-t-il. Depuis le début du Mondial, les prestations de la sélection qu'il a pris en main en août 2004 ont confirmé son jugement. Comme quoi, Luis Aragones n'est pas qu'un vil provocateur.

Alain Constant


http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-669420,36-789276@51-787853,0.html
A Madrid : "Malédiction !"

la seconde où Zinédine Zidane a marqué le troisième but de la victoire de l'équipe de France sur l'Espagne (3-1), la vaste place de Colon, à Madrid, a commencé à se vider des dizaines de milliers de jeunes venus voir le match sur l'écran géant qui y avait été installé. "Abuelo", grand-père, comme certains d'entre eux l'interpellaient lorsqu'il touchait le ballon, a fait s'abattre d'un coup de pied un silence pétrifié sur cette foule dense qui, rapidement, s'enfonçant jusqu'à la cheville dans les détritus qui jonchaient le sol, a levé le camp.


Contrairement à ce qu'avait promis l'un des quotidiens sportifs, Marca, la jeune équipe espagnole n'a pas "mis à la retraite" le retraité du Real Madrid. Pendant tout le match, les supporteurs de la plaza Colon, presque tous vêtus du maillot rouge, certains brandissant des drapeaux espagnols, avaient encouragé leur équipe, reprenant sans se lasser le spirituel hymne officiel enregistré par la sélection espagnole et son entraîneur, Luis Aragones, avant leur départ pour l'Allemagne : "On les aura, ohé, on les aura, ohé, on les aura, ohé, on les aura, éohé..."

Pour manifester leur ferveur, la majorité d'entre eux ne voyaient aucun inconvénient à saluer de cris imitant ceux du singe chaque joueur français noir qui touchait le ballon. Ce sont ces mêmes cris qu'avait dénoncés le joueur camerounais du FC Barcelone, Samuel Eto'o, après en avoir été victime, fin février, à Saragosse.

Le deuxième but français, déjà, avait plongé dans le doute les supporteurs présents, qui se promettaient pourtant d'aller bientôt "à Berlin". "Haut les mains, c'est un hold-up", avait crié l'un d'eux, contestant le bien-fondé du coup franc qui a permis à Patrick Vieira de marquer. "Ce n'est pas juste, nous étions bien partis, cette fois. Une malédiction pèse sur nous", regrettait un peu plus tard Rafael, venu consoler sa déception dans un bar de la rue Goya avec son groupe d'amis.

De fait, dans un pays où l'allégeance footbalistique va d'abord aux clubs, le parcours de l'équipe espagnole lors de la première phase (trois matches, trois victoires, huit buts inscrits) avait suscité un certain engouement. Près de 12 millions de spectateurs avaient regardé le match contre la Tunisie, soit la meilleure audience télévisée depuis quatre ans.

Une partie de l'opinion avait voulu y voir la preuve que, en dépit d'un long et heurté débat sur les nationalismes minoritaires, l'Espagne était après tout une nation. Une autre avait préféré mettre en avant la jeunesse de l'équipe espagnole, comme métaphore du dynamisme actuel du pays.

La frustration a conduit quelques-uns des spectateurs de la plaza Colon à s'affronter aux forces de l'ordre. D'autres à se faire soigner pour un excès d'alcool ou des coupures dues au verre brisé. La victoire, "ce sera pour la prochaine fois", se promet Rafael.




http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-669420,36-789275@51-787853,0.html

LE MONDE | 28.06.06 | 13h53 • Mis à jour le 28.06.06 | 13h53


Une jeunesse foudroyée. Un groupe ambitieux et talentueux stoppé brutalement dans sa course vers les sommets par des joueurs français pour la plupart plus âgés et plus forts physiquement. Voilà la jeune Espagne du vieux Luis Aragones (67 ans), équipe coup de coeur du premier tour de ce Mondial, irrésistiblement attirée vers le but adverse (19 tirs contre l'Ukraine, 24 face à la Tunisie, 19 devant l'Arabie saoudite) sortie dès les 8es de finale.


Face à Fabien Barthez, les coéquipiers de Raul n'ont tenté leur chance que sept fois, mardi à Hanovre. Un aveu de faiblesse. Et les yeux encore humides de Fernando Torres ou de Joaquin à la sortie des vestiaires en disaient long sur la détresse des vaincus.

Ils s'y voyaient déjà, en quarts de finale. Menant 1-0, les Espagnols n'ont pas su gérer cet avantage. "Sur l'action qui amène le but de Ribéry juste avant le repos, mes joueurs font une erreur en ne commettant pas de faute sur lui avant qu'il n'accélère. Quant au coup franc qui précède le deuxième but français, la prétendue faute de Puyol sur Henry n'existe pas...", a déclaré Luis Aragones, qui, après avoir annoncé à la terre entière sa certitude d'éliminer la France, semblait abattu. Comme si le poids de l'histoire l'avait rattrapé.

Vingt-deux ans jour pour jour après la "bourde" du gardien Luis Arconada en finale de l'Euro (victoire française 2-0), six ans après la défaite en quarts de finale d'un nouvel Euro (2-1 pour les Bleus), le football espagnol s'incline donc une fois de plus dans un match décisif face aux Français. Paris (1984), Bruges (2000), Hanovre (2006) sont comme trois stations d'un chemin de croix.

Si le sélectionneur espagnol a la défaite mauvaise, ses joueurs sont plus lucides. "Notre erreur a été de ne pas profiter des espaces lorsque nous menions au score. Mais nous pouvons rentrer au pays la tête haute", affirme Fernando Torres, déjà star et futur très grand joueur. "Nous avons manqué d'agressivité. Mais notre équipe a un bel avenir", assure Joaquin.

Le milieu de terrain du Betis Séville a raison : Cesc Fabregas (19 ans), Sergio Ramos (20), Fernando Torres (22), José Antonio Reyes (22) sont les plus jeunes talents d'une équipe dont la moyenne d'âge (25 ans) permet tous les espoirs. C'est aussi l'avis de Raul, qui, sur la pelouse de Hanovre, a fêté de triste manière son 29e anniversaire : "Cette expérience vécue en Allemagne va nous être très profitable. Il y a beaucoup de talents dans cette sélection. Et je veux terminer ma carrière internationale avec elle à l'Euro 2008 !"

Le mot de la fin revient au plus âgé de cette sélection, Miguel Salgado (30 ans) : "Les années à venir seront espagnoles. En attendant, la France est une grande équipe, qui a les moyens de battre le Brésil."

Alain Constant (envoyé spécial à Hanovre)
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GrandKrao
Bon posteur


Inscrit le: 17 Fév 2005
Messages: 889

MessagePosté le: Mer 28 Juin 2006 20:20    Sujet du message: Il n'y a pas qu'aragones Répondre en citant

Citation:

http://permanent.nouvelobs.com/sport/20060626.OBS3172.html


EQUIPE DE FRANCE

Le Pen critique
les Bleus, trop "colorés"

NOUVELOBS.COM | 26.06.06 | 19:03

"J'ai le sentiment qu'il y a entre la France et cette équipe de France une certaine difficulté d'être", déclare le leader du Front National.


Jean-Marie Le Pen (Sipa)

J ean-Marie Le Pen estime que la France ne se reconnaît pas totalement dans son équipe à la Coupe du monde de football, parce qu'on a "peut-être exagéré la proportion de joueurs de couleur", et appelle Fabien Barthez à chanter la Marseillaise.
"J'ai le sentiment qu'il y a entre la France et cette équipe de France une certaine difficulté d'être", a déclaré le président du Front national à Reuters, à la veille du match contre l'Espagne en huitième de finale du Mondial.
"On sent que France ne se reconnaît pas totalement dans cette équipe", a-t-il ajouté avant de s'en prendre aux choix du sélectionneur, Raymond Domenech.
"Peut-être que le sélectionneur a exagéré la proportion de joueurs de couleur, peut-être qu'il aurait dû garder dans ce domaine-là plus de mesure, peut-être s'est-il laissé entraîner par ses choix idéologiques", avance-t-il.

Barthez "choque" Le Pen

Le dirigeant du FN, qui avait jugé, avant le Mondial de 1998, "artificiel que l'on fasse venir des joueurs de l'étranger en les baptisant équipe de France", semble satisfait de voir aujourd'hui les "Bleus" chanter la Marseillaise. Sauf le gardien Fabien Barthez qui devrait être, selon lui, mis au pied du mur.
"Aujourd'hui, il n'y a qu'un seul, ou peut-être deux, qui ne chante pas la Marseillaise, c'est M. Barthez. Et les autres chantent la Marseillaise. Les autres, c'est une équipe nationale, ils sont français. M. Barthez, lui, il est français aussi mais ne chante pas la Marseillaise. Je suis tout à fait choqué par ça", explique-t-il.
"On devrait le mettre devant le choix. Quand on est membre d'une équipe nationale, on n'est pas là seulement pour gagner de l'argent, on est là pour représenter son pays", ajoute le président du FN.
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dio
Grioonaute


Inscrit le: 14 Jan 2006
Messages: 69
Localisation: belgique

MessagePosté le: Jeu 29 Juin 2006 17:48    Sujet du message: une négrophobie toute ibérique Répondre en citant

Spanish fans accused of racism

Domenech and Henry savour France's win over Spain
France coach Raymond Domenech has alleged that his players were subjected to racist taunts by Spanish fans before Tuesday's second-round match.
He said: "When I arrived with the bus there were fans making monkey chants."

The claim seems certain to reignite the racism row that has plagued Spanish football in recent years.

In 2005 Spain coach Luis Aragones was fined for making racist remarks about France's Thierry Henry and players have suffered racist abuse in La Liga games.

Aragones' comments about Henry were the most high-profile and Henry was clearly delighted that France were able to beat the Spaniards in Hanover on Tuesday.

The Arsenal striker said: "A lot of people were speculating about Aragones and I don't want to talk about it because there is no point.

"But the best answer was the win."

The first responsibilities lie with the national associations

Sepp Blatter

In November 2004 Fifa fined the Spanish Football Federation (RFEF) £44,750 after several England players were racially abused during a friendly match in Madrid.

And last year Real Zaragoza and Racing Santander fans racially abused Barcelona forward Samuel Eto'o during league matches and were subsequently fined by the RFEF.

Domenech's claims come on the day that Fifa warned they will suspend national associations who fail to impose tough new rules on racism that come into force in July.

Fifa president Sepp Blatter said the regulations - including docking points from clubs and countries whose fans are guilty of racism offences - were mandatory.

Blatter stated: "The first responsibilities lie with the national associations and if they are not doing what is expected of them then Fifa's executive committee must intervene.

"The power and the responsibility lies with Fifa and the suspension of a federation is the ultimate sanction available to the disciplinary committee."

He added: "This is a fight against a devil that still exists, unfortunately, in our sport."
_________________
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Cedric
Grioonaute


Inscrit le: 10 Mar 2006
Messages: 49
Localisation: 69

MessagePosté le: Ven 07 Juil 2006 09:31    Sujet du message: Répondre en citant

Exactement,l'équipe de France est là pour faire du sport,pour leur passion et pour nous faire rêver,non pas pour imiter des stars de la chanson.
Et tous ses abrutis qui scandent des propos racistes,imitent des cris de singes,quand est-ce-qu'ils vont comprendre qu'on est tous égaux?
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M.O.P.
Super Posteur


Inscrit le: 11 Mar 2004
Messages: 3224

MessagePosté le: Ven 07 Juil 2006 09:50    Sujet du message: Répondre en citant

Cedric a écrit:

Et tous ses abrutis qui scandent des propos racistes,imitent des cris de singes,quand est-ce-qu'ils vont comprendre qu'on est tous égaux?


Nous sommes tous egaux en droits, il faut le preciser.

Un thierry henry meilleur butteur du championat anglais 4 ans de suite, avec un salaire annuel de 8 millions d'euros, n'est pas l'egal en tout d'un pauvre type supporter d'une equipe quelconque du championat espagnol.

L'egalite de droits est ce qui compte, la loi interdit d'emmerder des gens pour son seul plaisir et de les insulter.
Encore que thierry henry est une figure de veneration dans ce monde du football, c'est pourquoi ces fans vont dans les stades, pour venerer ces joueurs, qui sont des icones.

Alors aller dans un stade insulter ces icones pour lesquels on s'y trouve, est en plus un blaspheme.
Aux responsables de prendre leurs responsabilites.
_________________
La vie est un privilege, elle ne vous doit rien!
Vous lui devez tout, en l'occurence votre vie
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