Posté le: Sam 12 Jan 2008 01:20 Sujet du message: Conaissez vous Léonora MIANO?
Je viens de lire sur un site d'informations des extraits de son nouveau roman et écouter des extraits d'interview!?
Elle me fait penser à kelman en plus light car elle me semble moins affirmative dans la "déresponsabilisation" des politiques français sur la situation dans les banlieus et le développement d'un racisme de plus en plus affirmé!
il y a toujours cette tentation de plaire aux médias français en dénigrant d'autres formes de revendications collectives des noirs en france, elle va( selon les écrits du journaliste) rendre responsable Dieudonné du comportement de la tribu Ka, bref elle suit le mouvement des médias français!
Léonora Miano: "On doit vivre ensemble, rencontrons-nous"
Par Hubert Artus (Rue89) 15H53 11/01/2008
Prix Goncourt des lycéens en 2006 pour "Contours du jour qui vient", Léonora Miano revient avec un roman surprenant. "Tels des astres éteints", plus mature encore, allie narration romanesque et essai. En s’attaquant au mouvement kémite aussi bien qu’à l’Europe forteresse, elle y poursuit sa cartographie de l’homme global autant que de l’Afrique. Léonora Miano est une des voix du "roman-monde" français. Rencontre.
Ce qui compte, c’est de raconter des histoires. La puissance de la fable. Pour la Camerounaise Léonora Miano, fable et musique sont convoquées dès qu’il s’agit de raconter des histoires. Ses deux premiers romans, "L’Intérieur de la nuit" et "Contours du jours qui vient" avaient révélé une romancière que des sujets comme les identités, les guerres, l’Afrique en jachère, l’errance ou encore les enfants perdus n’effrayaient pas. Léonora Miano, c’est une langue sombre et scintillante, mentale et réaliste, un rythme poétique et incantatoire.
Ici, la focale change. "Tels des astres éteints" se déroule au "Nord". Avec comme personnages principaux deux hommes et une femme qui viennent du "Continent". Et vivent dans "l’intra-muros" de la "Grande Ville". Le lecteur verra vite que le "Continent", c’est l’Afrique, et que les protagonistes vivent à Paris, dans l’Europe-forteresse d’aujourd’hui. L’Afrique est le seul espace tangible, les autres n’étant que des points cardinaux de complément.
Un roman sur l’Afrique à travers l’imaginaire de sa diaspora
Il y a Amok, Shrapnel et Amandla. Amok est un nanti, petit-fils d'un "traître", collaborateur des colons. Le second et meilleur ami du premier est apôtre du nationalisme noir, et n’aime que les blondes. L’un et l’autre ont grandi dans le post-colonialisme, dans la quête d’une grandeur de soi-même, dans la volonté de "trouver une appartenance compatible avec son statut identitaire hybride". Pour eux, il s’agit aujourd’hui de recréer ce monde, et de "l’habiter avec force".
Amandla, elle, est une métisse qui rêve d'un continent fantasmé. Or, "le Continent" en est encore à "chercher à imiter en tous points son suzerain d’hier". Elle succombe peu à peu aux discours qui attribuent à l’Afrique une mythologie et une histoire merveilleuse: les Africains seraient les héritiers des pharaons d’Egypte, leur puissance aurait été laminée par les pays du Nord. Pour elle, il est temps aujourd’hui de demander justice au nom d’un passé fantasmé. Le mouvement kémite, c’est pour elle.
A travers leurs pérégrinations dans la Grande Ville, chacun expose sa manière d'être un Africain émigré au Nord, chacun évoque l’Afrique de ses ancêtres. Chacun se cherche une diaspora, réelle autant qu’imaginaire.
"Tels des astres éteints" est construit comme un album, entre musique soul et jazz. Un intro, cinq partie, et un "outro". La structure est construite autour de cinq thèmes de jazz : "Afro Blue", "Straight Ahead", "Angel Eyes", "Round Midnight" et "Left Alone". De Thelonious Monk à Billie Holiday en passant par Abbey Lincoln, donc. On chantera aussi Bashung, Curtis Mauyfield, Grand Master Flash, Bobby Womack.
Soit un certain inconscient musical très eighties. Une écriture qui, ici, a des dimensions musicales, sacrées, incantatoires, classiques et métissées. Une écriture de fable moderne. "Tels des astres éteints", c’est d’abord un roman sur l’Afrique à travers l’imaginaire de sa diaspora.
"Tels des astres éteints" est un roman pour l’Afrique. C’est au "Continent" que s’adresse, parfois directement à la deuxième personne, parfois métaphoriquement, la narration:
"Tu n’es donc plus de ce monde. Tu n’y es qu’un discours. Exploitation, exploration, expiation ne forment pas seulement les rimes sonores du propos. Ils en sont la face cachée. Le sens indicible, inavoué, inconscient. (...) Les péchés que l’air du temps réprouve sans les nommer auront en toi leur absolution. C’est chez toi que l’on paie. Qui que l’on soit."
Les romans précédents de Léonoara Miano évoquaient l’Afrique de l’intérieur. Ici, elle est évoquée de l’extérieur: par les immigrés, par des Français. Les deux étant d’origine africaine. Rapidement, et c’est là le talent poétique de la jeune romancière, la narration touche toutes les composantes de notre identité. Celle de l’homme du monde moderne.
L'écriture ayant agi, alors le roman peut se permettre de se frotter à un thème risqué, surtout pour une femme: le mouvement kémite. En France, le mouvement est plus connu depuis que Dieudonné en fit son service d’ordre. Considéré comme "l’enfant monstrueux du dieudonnisme" par ses détracteurs, qui y voient l’équivalent black de ce que fut le mythe aryen pour les nazis, il s’agit d’un mouvement ésotérico-politique et ultracommunautariste, pour qui tous les noirs (appelés "kemites") descendent des Egyptiens et forment le peuple élu.
L’identité, entre sur-effacement et sur-investissement
C’est alors que le roman touche son but: l’hybridité de l’identité. Certains de nous l’affirment dans le sur-effacement, d’autres dans le sur-investissement. C’est précisément entre ces deux extrêmes que se situent les lignes que tissent le roman. Ici, l’Africain et l’Européen sont tous deux victimes… de l’image supposée qu’on fait d’eux.
Pour celui du "Continent", "les mots qu’on leur avait adressés avaient fini par façonner leur vision d’eux-mêmes, ils étaient devenus ce que Babylone disait d’eux, le mot créant la chose". Cependant que le Nord est une "société où la majorité était si ardemment conviée à s’absenter d’elle-même, ne pouvait qu’être un tremplin vers un effacement de soi plus radical. Plus définitif".
Au final, c’est sur l’identité globale que ce roman travaille. Celui où la couleur de la peau ne serait pas une revendication, mais "un hasard assumé". Ça n’a l’air de rien, mais dans une période où, aux Etats-Unis, Barack Obama se place lui-même, dans ses discours, dans une "Amérique post-raciale", le roman a son pesant de signifiant.
"Tels des astres éteints" est emmené par une écriture bien plus dense, encore, que celle des deux livres précédents de l’auteur. Ce qui frappe ici, c'est ce ton qui tient à la fois de l’essai et du narratif. D’où l’épaisseur du livre. D’où, surtout, la densité historique et littéraire. Un ton qui rappelle les grands reportages du magazine Actuel dans les années 70. Un roman qui serait un reportage et une histoire. Une écriture somme toute très moderne, qui écoute le monde de ses personnages.
Aussi, "Tels des astres éteints" doit être lu à l’aune de l’ouverture au monde que propose -timidement encore mais Saint-Germain a eu vent de l’affaire- la nouvelle fiction française. Ce fameux "roman-monde" inspiré d’Afrique, d’Asie et d’Amérique. La naissance comme hasard assumé, l’imaginaire comme seul espace global vivable.
Elle court après les prix héxagonaux, peut être ? Je l'avais vu il y a un an chez ruquier en train de déscendre les africains avec un discours de blanchiment des colonisateurs qui selon elle ne sont pour rien dans les malheurs des africains. En tout cas qu'elle continue dans cette voie, elle finira comme certains illustres prédécesseurs (senghor, l'émotion est nègre...) que vous connaissez qui après avoir fait du lecheculisme ont été tout simplement jetés à la poubelle comme des vulgaires shew-gum. _________________ Le vrai ennemi de l'homme noir est l'homme noir lui même.
Tous les écrivains africains encensés par les occidentaux ont un point en commun, devinez lequel ?
La propension à conforter ces occidentaux dans l'idée qu'ils se font de l'Afrique et des africains . Si en plus ces ecrivains dénigrent les plus virulents (ou éclairés ou lucides) de la communauté afro, c'est du pain beni .
Miano doit s'attendre à recevoir d'autres sucres. _________________ Mentalité de la cueuillette=sida économique
« nan laara an saara » :
"Si on se couche, on est mort" . Joseph Ki-Zerbo
Inscrit le: 09 Fév 2005 Messages: 122 Localisation: Somewhere over the rainbow
Posté le: Mar 15 Jan 2008 08:12 Sujet du message:
"Nous sommes obsédés par notre couleur"
Ce sont les propos tenus par Leonora Miano hier chez PPDA dans Vol de nuit
Obsédés par notre couleur non seulement en France mais en Afrique également.
C'est peut-être son cas et ça la regarde mais comment peut-elle tous nous inclure dans son délire ?
Pourquoi ne parle-t-elle pas en son nom et en son nom uniquement ?
Miano, Beyala, Kelman
Tous trois Camerounais
Une explication ??? _________________ Andu, saa andi, andinn !
"Nous sommes obsédés par notre couleur"
Ce sont les propos tenus par Leonora Miano hier chez PPDA dans Vol de nuit
Obsédés par notre couleur non seulement en France mais en Afrique également.
C'est peut-être son cas et ça la regarde mais comment peut-elle tous nous inclure dans son délire ?
Pourquoi ne parle-t-elle pas en son nom et en son nom uniquement ?
Miano, Beyala, Kelman
Tous trois Camerounais
Une explication ???
J'ai deja qualifié les agissement de ses individus de "camerouniaiserie" (voir le conflit entre Beyala et une camerounaise inconnue aussi grostesque qu'elle)
Ce pays a atteint un tel niveau de décrépitude moral que la prostitution intellectuelle y atteint des sommets. Que se soit les griots en faveur du régime ou les opportunistes de tout poil en mal de positionnenment en Occident; ils rivalisent d'imagination quand il s'agit de contenter leurs idoles.
Heureuseiment que tous les camerounais ne sont pas de ce calibre, il y a aussi feu Mongo Beti qui a lui seul fait le contrepoids de tous les petits opportunistes et autres ventrologues camerounais.
Entre Beyala qui encence les hommes blancs jusqu'a ce que l'un deux lui "botte les derrière".
Kelman et ses circonvolutions mentales pour nous dire qu'il n'est pas un nègre comme les autres.
Et Miano qui prend ses nevroses pour des verités absolues.( elle a mème osé dire que les bamilékés etaient les anciens esclaves des doualas, sa tribu, d'ou un ressentiment des premiers envers ces derniers!!! ), du délire je vous dit...
Ce n'est qu'une petite complexée qui ferait mieux d'aller voir un psy. _________________ Mentalité de la cueuillette=sida économique
« nan laara an saara » :
"Si on se couche, on est mort" . Joseph Ki-Zerbo
"Nous sommes obsédés par notre couleur"
Ce sont les propos tenus par Leonora Miano hier chez PPDA dans Vol de nuit
Obsédés par notre couleur non seulement en France mais en Afrique également.
C'est peut-être son cas et ça la regarde mais comment peut-elle tous nous inclure dans son délire ?
Pourquoi ne parle-t-elle pas en son nom et en son nom uniquement ?
Miano, Beyala, Kelman
Tous trois Camerounais
Une explication ???
J'ai deja qualifié les agissement de ses individus de "camerouniaiserie" (voir le conflit entre Beyala et une camerounaise inconnue aussi grostesque qu'elle)
Ce pays a atteint un tel niveau de décrépitude moral que la prostitution intellectuelle y atteint des sommets. Que se soit les griots en faveur du régime ou les opportunistes de tout poil en mal de positionnenment en Occident; ils rivalisent d'imagination quand il s'agit de contenter leurs idoles.
Heureuseiment que tous les camerounais ne sont pas de ce calibre, il y a aussi feu Mongo Beti qui a lui seul fait le contrepoids de tous les petits opportunistes et autres ventrologues camerounais.
Entre Beyala qui encence les hommes blancs jusqu'a ce que l'un deux lui "botte les derrière".
Kelman et ses circonvolutions mentales pour nous dire qu'il n'est pas un nègre comme les autres.
Et Miano qui prend ses nevroses pour des verités absolues.( elle a mème osé dire que les bamilékés etaient les anciens esclaves des doualas, sa tribu, d'ou un ressentiment des premiers envers ces derniers!!! ), du délire je vous dit...
Ce n'est qu'une petite complexée qui ferait mieux d'aller voir un psy.
Tout est dit,
mais ces gens qui n'hésitent pas à taper sur leurs semblables juste pour gagner le plebiscite hypocrite d'une grande partie de l'intelligentia française me font rire
Ils ne s'imaginent pas quel mal profond ils causent à l'afrique en essayant de piétiner les efforts qu'elle fait pour lever la tête!
Quand j'entends leonora miano dire dans une interview qu'elle ne vit pas en fonction de son passé, j'ai envie de lui demander, mais qui le fait? Aujourd'hui on "interdit" aux africains d'aller voir dans leur passé, avec l'argument fantoche comme quoi il faut regarder vers l'avenir, comme si l'un empêchait l'autre!!!
Quand j'entends leonora miano dire qu'en afrique les africains sont obsédés par leur couleur, je me dis est-ce-que la recherche d'un "positionnement" dans ces contrées froides nécessite de déverser des inepties simplistes et mensongères de la sorte!
Cette fille doit savoir qu'elle a une "grande soeur" dans le bountyisme, et elle est allé encore plus loin qu'elle pour plaire à ce beau monde, mais après le violent coup de pied qu'elle a reçu au fesses elle se situe aujourd'hui entre depression et amertume. On sait tous ce qui est arrivé à senghor, (lire le livre de nelson mandela pour voir comment il parle de ce nègre soumis totalement à ses maîtres)
Kelman, beyala et la nouvelle recrue, mais qui nous débarasse de cette vermine!!!
Tout est dit,
mais ces gens qui n'hésitent pas à taper sur leurs semblables juste pour gagner le plebiscite hypocrite d'une grande partie de l'intelligentia française me font rire
Ils ne s'imaginent pas quel mal profond ils causent à l'afrique en essayant de piétiner les efforts qu'elle fait pour lever la tête!
Oui tout est dit, mais penses-tu que ces soit-disant "intellectuels" Afrofrancophones ont conscience du mal qu´ils font à l´Afrique? L´Afrique? Est-ce qu´ils sont Africains?
Dans ce pays où règne un climat de "terrorisme intellectuel" (le terme n´est pas de moi mais plutôt de Esther Benbassa - http://www.monde-diplomatique.fr/2005/10/BENBASSA/12818, Odile Tobner l´emploie aussi dans "Du racisme Francais"), il n´est donné aux étrangers que le choix de l´"intégration", plutôt que de penser le développement de leur pays d´origine. Voici donc une autre "intellectuelle" Afrofrancophone dans son processus d´intégration. Se chercher, c´est une démarche individuelle et ca passe par dire ce que le maître veut entendre ou faire ce qu´il veut voir: se renier, avoir la haine de soi!!
J´ai plusieurs fois dit ici que l´AfroFrancophonie est une grande fabrique de futurs "Francais". Les jeunes dans cet ensemble sont déjà mis très tôt en condition par le système éducatif, les médias, la vision du monde qui sont essentiellement francophones. La Secrétaire des Droits de l´Homme, d´origine sénégalaise, dit ouvertement qu´elle a toujours rêvé de la France. Laquelle France est aujourd´hui SON pays, pour lequel elle travaille et verse même quelques larmes lorsque La Marseillaise retentit le 14 Juillet sur Les Champs-Elysées. Elle n´oublie pas de souhaiter néanmoins être enterrée au Sénégal. Comme quoi, on donne sa vie à la France, son pays, et sa mort à l´Afrique. Voilà comment je comprends la chose.
Pour d´autres comme la "go" dont on parle, l´assouvissement du rêve de devenir Francais passe par la haine/honte de soi en public, qu´elle présente comme autocritique des Africains eux-mêmes. Au point de s´inspirer d´un reportage télé pour écrire sur les enfants de la guerre dans ce qu´on appelle Afrique . Et être la muse d´un qui a notoirement une "obsession de bites". Surtout celles des noirs. Elle aura beau décrier notre "obsession de la couleur" en essayant de paraître Alice Walker, ca n´aucultera en rien son vide de substance littéraire.
Je préfère ne pas parler de Kelman, le manioco-dépressif des Grandes Gueules de RMC. Idem pour l´amante éconduite de Drucker.
Des intellectuels AfroFrancophones en France, il n´y en a pas à mon avis, car étant enfermés dans une démarche individuelle d´"intégration". Césaire, l´un des rares digne de ce nom, d´ailleurs continue de l´appeller "la métropole" et reste sur son île natale. Bien cà lui fait, car il évite cette corruption et flagellation ambiante des esprits.
A Didier_Daan, afrobeat, Grand Krao, bamiléké et autres, avez vous SEULEMENT lu son dernier livre ?!
Si oui, je reste surpris de la virulence et de la vacuité de vos propos, sinon, c'est juste dommage.
Quoi qu''il en soit, je pense que pour un écrivain, mieux vaut provoquer la polémique que de laisser indifférent ! Le but n'est pas d'adhérer totalement à l'oeuvre intégrale de L.MIANO et à sa pensée, mais plutôt de ne pas faire d'amalgames.
En effet, j'avais été profondément choqué par la lecture de "l'intérieur de la nuit", son premier roman : Sa description totalement carricaturale de l'Afrique noire m'a sidérer, d'autant plus que j'ai appris qu'elleà par la suite affirmer ne pas avoir mis les pieds au Cameroun depuis une dizaine d'années! Parler de ce que l'on ne sait pas, caricaturé une Afrique que l'on vit uniquement aux travers des médias français. Sans commentaires. Cela à suffit à décridibiliser totalement son ouvrage, et le message sous-jacent.
Cependant, dans le cas de son dernier livre, on ne peut pas dire qu'elle parle de quelque chose qu'elle ne connais pas. "Telles des Astres Eteints" parle de la communauté noire de france, dans tous ses paradoxes et sa diversité, et elle en fait bien parti, à moins qu'elle se soit expatrier depuis la sortie du livre, ce qui serais possible, vu sa grande "popularité" au sein de la communauté des noirs de France.... Bref, je n'irais pas plus loin, tout ce que je souhaite dire contenant son dernier ouvrage , c'est que , au vu des réactions qu'il provoque et qu'il va certainement provoquer, je suis désormais sur qu'il n'y que la VERITE qui blesse _________________ kirina.kemiludi.com
A Didier_Daan, afrobeat, Grand Krao, bamiléké et autres, avez vous SEULEMENT lu son dernier livre ?!
Si oui, je reste surpris de la virulence et de la vacuité de vos propos, sinon, c'est juste dommage.
Quoi qu''il en soit, je pense que pour un écrivain, mieux vaut provoquer la polémique que de laisser indifférent ! Le but n'est pas d'adhérer totalement à l'oeuvre intégrale de L.MIANO et à sa pensée, mais plutôt de ne pas faire d'amalgames.
En effet, j'avais été profondément choqué par la lecture de "l'intérieur de la nuit", son premier roman : Sa description totalement carricaturale de l'Afrique noire m'a sidérer, d'autant plus que j'ai appris qu'elleà par la suite affirmer ne pas avoir mis les pieds au Cameroun depuis une dizaine d'années! Parler de ce que l'on ne sait pas, caricaturé une Afrique que l'on vit uniquement aux travers des médias français. Sans commentaires. Cela à suffit à décridibiliser totalement son ouvrage, et le message sous-jacent.
Cependant, dans le cas de son dernier livre, on ne peut pas dire qu'elle parle de quelque chose qu'elle ne connais pas. "Telles des Astres Eteints" parle de la communauté noire de france, dans tous ses paradoxes et sa diversité, et elle en fait bien parti, à moins qu'elle se soit expatrier depuis la sortie du livre, ce qui serais possible, vu sa grande "popularité" au sein de la communauté des noirs de France.... Bref, je n'irais pas plus loin, tout ce que je souhaite dire contenant son dernier ouvrage , c'est que , au vu des réactions qu'il provoque et qu'il va certainement provoquer, je suis désormais sur qu'il n'y que la VERITE qui blesse
JiKeb si tu as lu mon commentaire dans le premier post, je ne réfute nullement son droit a écrire un roman, après tout elle est libre!
elle donne des interviews qui sont visibles et audibles ici:
Ce qui me gène dans les propos qui lui sont attribués et ce qu'elle raconte dans l'interview, c'est de participer à la diabolisation permanente de Monsieur Dieudonné en lui attribuant les agissements de la Tribu Ka et aussi de ceux qui dénoncent un racisme latent en france voire même qu'ils vivent au quotidient.
Au nom de la lutte contre les amalgames (fait par certains noirs en france), elle fait aussi des amalgames! le leader de laTribu ka n'as pas attendu Dieudonné pour sa croisade contre le Betar et la LDJ, et dans les banlieues ils ne sont pas tous ignorants sur L'afrique, même si certains qui en parlent n'y ont jamais mis les pieds!
Quant à la vérité, elle ne blesse pas toujours et bien souvent elle sauve de situations qui peuvent parfois tourner au drame.
Pour qu'elle soit blessante, il faut qu'elle soit entière, sinon elle conforte les mensonges!
contenant son dernier ouvrage , c'est que , au vu des réactions qu'il provoque et qu'il va certainement provoquer, je suis désormais sur qu'il n'y que la VERITE qui blesse
pas toujours, le mensonge lui aussi blesse!!!!, surtout quand il est soutenu essentiellement par une recherche vaine de positionnement égoiste et minable, dont la seule gloire qu'on pourrait y tirer c'est passer régulièrement à la télé, ensuite pouvoir montrer ses dents en public et paraître ainsi "sympa" aux yeux de ceux là (pas comme dieudonné par exemple)
Bref quand j'entends cette dame parler de l'afrique, je me demande si elle y a déjà mis les pieds! ça m'étonne qu'une africaine puisse parler de l'afrique avec autant de fantasmes (cannibalisme), moi je préfère qu'au lieu de participer de manière active au renforcement de clichés sur l'afrique au sein de la population blanche de france qu'elle se trouve un autre positionnement littéraire (même si c'est le créneau qui est porteur pour les afrofrancophones quand ils veulent être plebiscité dans les milieux littéraires français)!!
En effet, j'avais été profondément choqué par la lecture de "l'intérieur de la nuit", son premier roman : Sa description totalement carricaturale de l'Afrique noire m'a sidérer, d'autant plus que j'ai appris qu'elleà par la suite affirmer ne pas avoir mis les pieds au Cameroun depuis une dizaine d'années! Parler de ce que l'on ne sait pas, caricaturé une Afrique que l'on vit uniquement aux travers des médias français. Sans commentaires. Cela à suffit à décridibiliser totalement son ouvrage, et le message sous-jacent.
Voilà ce que je retiens de ta tentative de défense de cette demoiselle.... On est d´accord à cet effet. Je n´ai même pas envie de savoir ce qu´elle pense des mots de Pascal Sevran, inspiré par son semblant de livre, sur les bites nègres.
Quant au reste de ton post, c´est du cocolorès!! Comme dit Afrobeat, le mensonge blesse - d´où ton commentaire que j´ai cité avant. La haine de soi aussi. En outre, être partie de l´"Afrique" il y a une décénie, et écrire sur elle, n´est que bizarre, douteux, et unreliable.
Enfin, que cette "go" mèle Dieudonné au mouvement kémite, alors moi à la place de Dieudo, je lui colle un procès comme il l´a fait à Julien Dray.
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Sans commentaires. Cela à suffit à décridibiliser totalement son ouvrage, et le message sous-jacent.