Posté le: Dim 28 Mar 2010 02:13 Sujet du message: La psychologie du dictateur africain
Cet article me fait penser à un certain président fondateur qui bombardait des caporaux au poste de général de division comme ca du jours au lendemain par pure paranoïa.
Dans d'autres pays on a fait mieux, de caporal on te bombarde Président de la république.
D'autres, comme si cela ne suffisait pas et par pure ignorance et manque de clarté d’esprit entrent dans les loges de la Franc-maçonnerie occidentale croyant y trouve une protection.
Afrique : La psychologie du dictateur africain
L’observation des comportements du dictateur africain nous amène à faire un exercice psychologique c’est-à -dire essayer de se mettre dans sa tête afin de déceler ce qui l’empêche à agir normalement comme on attendrait de lui. Les dictateurs africains viennent généralement des couches pauvres de la population, peu éduqués et le plus souvent militaires de bas rang.
A la différence des grands hommes qui militent pour un idéal et qui voient leur accession au pouvoir comme l’aboutissement des années de lutte et qui désormais ont la chance de réaliser leurs desseins et ambitions pour leurs peuples, les dictateurs africains accèdent au pouvoir grâce aux forces étrangères colonialistes.
C’est ici qu’il faut dénoncer l’intelligence cynique de ces forces qui généralement portent leurs choix sur des hommes faibles de caractère, cupides, facilement manipulables manquant d’idéal et d’affection pour leurs peuples et qui le plus souvent appartiennent à des ethnies minoritaires. L’objectif poursuivi par les forces colonialistes est à tout prix d’avoir à la tête des anciennes colonies des hommes pouvant préserver leurs intérêts, qu’importent les conséquences pour les populations autochtones.
Comme un cadeau donné à un enfant qui le tient jalousement pour que les autres enfants ne le lui arrachent, le dictateur africain n’est plus prêt à lâcher le pouvoir. Vu son rang et son niveau, il n’a jamais auparavant songé à accéder à la présidence de son pays. Ceci est un facteur psychologique important. Il est donc très reconnaissant à ceux qui lui ont rendu possible l’accès au pouvoir. Le complexe d’infériorité aidant, il prend le colon pour un dieu et pour lequel il se met très volontiers au service au point même d’exterminer son peuple s’il le faut. Il semble percevoir le pouvoir comme une bénédiction divine tout d’abord sur sa personne, sa famille voire sur son ethnie.
Il se convainc donc y être pour servir à part ses maîtres étrangers, principalement les hommes et femmes de son ethnie. Lui qui ne valait rien devient tout d’un coup le premier homme important du pays. Lui qui n’avait aucune considération particulière même dans son pays se fait dérouler le tapis rouge dans les grandes capitales des pays des Blancs qui l’appellent Monsieur le Président. Quel honneur de s’entourer d’hommes blancs comme conseillers qui semblent lui accorder de l’importance ! pense-t-il.
Il ne se croit donc plus être au même rang que ses concitoyens qui dorénavant doivent être contraints de gré ou de force à l’adorer comme un Dieu. Parfois sa docilité même surprend ses maîtres étrangers qui par leur observation sont encore plus convaincus de l’infériorité des hommes dits de race noire. Lui qui n’avait jamais eu dans ses mains une centaine de milliers de FCFA peut maintenant avoir à son actif des milliards pour lesquels les comptes bancaires sont ouverts partout en Europe, principalement en Suisse mais aussi en Asie et en Amérique.
Désormais c’est tout l’argent même du pays qui parfois est sur son compte privé. Les recettes du pays au lieu d’être versées dans les caisses de l’Etat vont d’abord se faire compter dans sa maison de résidence on utilisant le pronom personnel : mon, ma ou mes au lieu de notre ou nos quand il s’agit des ressources nationales, tel mon pétrole comme un président d’Afrique centrale aime, toute honte bue, à parler. Complètement dépassé par la fonction qu’il n’est pas en mesure d’exercer, il démissionne à s’y investir. Plutôt, ce sont les vices de toute sorte qui prennent le dessus sur sa conscience, comme la cour à des femmes d’autrui l’administration des gifles.
A des ministres, les ordres détestables de tout genre dont on peut ici épargner le récit pour ne pas choquer les lecteurs nouveaux au thème. En plus, il vit dans l’obsession de perdre son pouvoir qu’il sait bien démériter. Encouragé par les faux conseils que lui donnent les hommes du sérail et appuyé par ses hommes dans l’armée, il cherche à éliminer tous ceux-là qu’il croit lui constituer un danger potentiel.
D’aucuns affirment que la préoccupation principale et journalière de certains Présidents est de répertorier les citoyens qu’il doit abattre soupçonnés du fait de leur intelligence ou volonté de contestation de faire un coup d’Etat. C’est ainsi qu’une pluie d’assassinats tombe souvent sur le pays. Les têtes pensantes y compris les professeurs, les éminents intellectuels, les avocats, les journalistes mais aussi les grands entrepreneurs et même les officiers de l’armée sont surveillés de près et assassinés au gré des soupçons souvent non fondés. Ceux parmi eux qui craignent pour leur vie se trouvent obligés de s’exiler à la grande satisfaction des dictateurs, laissant le champ libre à des hommes incompétents, corrompus et désireux de s’enrichir rapidement et qui ont mis à sac nos pays.
C’est pourquoi ils voient de mauvais œil les revendications des populations africaines pour l’instauration de la démocratie, la vraie démocratie.
Convaincus que les Africains sont des sous-hommes, donc des esclaves qui n’ont pas le droit de décider de leur propre sort, les dirigeants des pays occidentaux notamment les Français parlent cyniquement de la démocratie comme d’un luxe pour les Africains. Et pour joindre l’acte à la parole, les dirigeants français, poussés par leurs milieux d’affaires, continuent de soutenir les dictateurs sanguinaires.
Pour l’observateur perspicace, il est clair que les forces colonialistes et impérialistes, notamment françaises, ne sauraient voir de gaieté de cœur l’enracinement de la démocratie en Afrique. C’est ici qu’il faut signaler que seule la lutte sera payante pour mettre fin à ce système inhumain qui prive les Africains de leur liberté depuis des siècles. Aucun peuple ne saurait accepter les souffrances que notre race endure depuis des siècles. _________________ There's only two things in life that are constant that's change and change.
Cet article me fait penser à un certain président fondateur qui bombardait des caporaux au poste de général de division comme ca du jours au lendemain par pure paranoïa.
Dans d'autres pays on a fait mieux, de caporal on te bombarde Président de la république.
D'autres, comme si cela ne suffisait pas et par pure ignorance et manque de clarté d’esprit entrent dans les loges de la Franc-maçonnerie occidentale croyant y trouve une protection.
Afrique : La psychologie du dictateur africain
L’observation des comportements du dictateur africain nous amène à faire un exercice psychologique c’est-à -dire essayer de se mettre dans sa tête afin de déceler ce qui l’empêche à agir normalement comme on attendrait de lui. Les dictateurs africains viennent généralement des couches pauvres de la population, peu éduqués et le plus souvent militaires de bas rang.
A la différence des grands hommes qui militent pour un idéal et qui voient leur accession au pouvoir comme l’aboutissement des années de lutte et qui désormais ont la chance de réaliser leurs desseins et ambitions pour leurs peuples, les dictateurs africains accèdent au pouvoir grâce aux forces étrangères colonialistes.
C’est ici qu’il faut dénoncer l’intelligence cynique de ces forces qui généralement portent leurs choix sur des hommes faibles de caractère, cupides, facilement manipulables manquant d’idéal et d’affection pour leurs peuples et qui le plus souvent appartiennent à des ethnies minoritaires. L’objectif poursuivi par les forces colonialistes est à tout prix d’avoir à la tête des anciennes colonies des hommes pouvant préserver leurs intérêts, qu’importent les conséquences pour les populations autochtones.
Comme un cadeau donné à un enfant qui le tient jalousement pour que les autres enfants ne le lui arrachent, le dictateur africain n’est plus prêt à lâcher le pouvoir. Vu son rang et son niveau, il n’a jamais auparavant songé à accéder à la présidence de son pays. Ceci est un facteur psychologique important. Il est donc très reconnaissant à ceux qui lui ont rendu possible l’accès au pouvoir. Le complexe d’infériorité aidant, il prend le colon pour un dieu et pour lequel il se met très volontiers au service au point même d’exterminer son peuple s’il le faut. Il semble percevoir le pouvoir comme une bénédiction divine tout d’abord sur sa personne, sa famille voire sur son ethnie.
Il se convainc donc y être pour servir à part ses maîtres étrangers, principalement les hommes et femmes de son ethnie. Lui qui ne valait rien devient tout d’un coup le premier homme important du pays. Lui qui n’avait aucune considération particulière même dans son pays se fait dérouler le tapis rouge dans les grandes capitales des pays des Blancs qui l’appellent Monsieur le Président. Quel honneur de s’entourer d’hommes blancs comme conseillers qui semblent lui accorder de l’importance ! pense-t-il.
Il ne se croit donc plus être au même rang que ses concitoyens qui dorénavant doivent être contraints de gré ou de force à l’adorer comme un Dieu. Parfois sa docilité même surprend ses maîtres étrangers qui par leur observation sont encore plus convaincus de l’infériorité des hommes dits de race noire. Lui qui n’avait jamais eu dans ses mains une centaine de milliers de FCFA peut maintenant avoir à son actif des milliards pour lesquels les comptes bancaires sont ouverts partout en Europe, principalement en Suisse mais aussi en Asie et en Amérique.
Désormais c’est tout l’argent même du pays qui parfois est sur son compte privé. Les recettes du pays au lieu d’être versées dans les caisses de l’Etat vont d’abord se faire compter dans sa maison de résidence on utilisant le pronom personnel : mon, ma ou mes au lieu de notre ou nos quand il s’agit des ressources nationales, tel mon pétrole comme un président d’Afrique centrale aime, toute honte bue, à parler. Complètement dépassé par la fonction qu’il n’est pas en mesure d’exercer, il démissionne à s’y investir. Plutôt, ce sont les vices de toute sorte qui prennent le dessus sur sa conscience, comme la cour à des femmes d’autrui l’administration des gifles.
A des ministres, les ordres détestables de tout genre dont on peut ici épargner le récit pour ne pas choquer les lecteurs nouveaux au thème. En plus, il vit dans l’obsession de perdre son pouvoir qu’il sait bien démériter. Encouragé par les faux conseils que lui donnent les hommes du sérail et appuyé par ses hommes dans l’armée, il cherche à éliminer tous ceux-là qu’il croit lui constituer un danger potentiel.
D’aucuns affirment que la préoccupation principale et journalière de certains Présidents est de répertorier les citoyens qu’il doit abattre soupçonnés du fait de leur intelligence ou volonté de contestation de faire un coup d’Etat. C’est ainsi qu’une pluie d’assassinats tombe souvent sur le pays. Les têtes pensantes y compris les professeurs, les éminents intellectuels, les avocats, les journalistes mais aussi les grands entrepreneurs et même les officiers de l’armée sont surveillés de près et assassinés au gré des soupçons souvent non fondés. Ceux parmi eux qui craignent pour leur vie se trouvent obligés de s’exiler à la grande satisfaction des dictateurs, laissant le champ libre à des hommes incompétents, corrompus et désireux de s’enrichir rapidement et qui ont mis à sac nos pays.
C’est pourquoi ils voient de mauvais œil les revendications des populations africaines pour l’instauration de la démocratie, la vraie démocratie.
Convaincus que les Africains sont des sous-hommes, donc des esclaves qui n’ont pas le droit de décider de leur propre sort, les dirigeants des pays occidentaux notamment les Français parlent cyniquement de la démocratie comme d’un luxe pour les Africains. Et pour joindre l’acte à la parole, les dirigeants français, poussés par leurs milieux d’affaires, continuent de soutenir les dictateurs sanguinaires.
Pour l’observateur perspicace, il est clair que les forces colonialistes et impérialistes, notamment françaises, ne sauraient voir de gaieté de cœur l’enracinement de la démocratie en Afrique. C’est ici qu’il faut signaler que seule la lutte sera payante pour mettre fin à ce système inhumain qui prive les Africains de leur liberté depuis des siècles. Aucun peuple ne saurait accepter les souffrances que notre race endure depuis des siècles.
Quel est la source de ton article ?
Franceàfrique a écrit:
Cet article me fait penser à un certain président fondateur qui bombardait des caporaux au poste de général de division comme ca du jours au lendemain par pure paranoïa.
Dans d'autres pays on a fait mieux, de caporal on te bombarde Président de la république.
D'autres, comme si cela ne suffisait pas et par pure ignorance et manque de clarté d’esprit entrent dans les loges de la Franc-maçonnerie occidentale croyant y trouve une protection.
Sincèrement Franceàfrique,ton analyse est un peu trop simple à mon gout.Un caporal est un Homme autant que les autres ,normal qu' il est la prétention de s'accoquiner au pouvoir s'il le peut,c'est la nature humaine .Ce serait comme dire que les caporaux sont des cons pour la plupart dans ce continent.Dans ce cas comment réalisent-ils l'exploit d'etre dirigeant dans de nombreux pays.Concernant nos officiers s'ils étaient vraiment plus intelligent pourquoi des rebellions font des ravages dans nos pays.
Franceàfrique a écrit:
A la différence des grands hommes qui militent pour un idéal et qui voient leur accession au pouvoir comme l’aboutissement des années de lutte et qui désormais ont la chance de réaliser leurs desseins et ambitions pour leurs peuples, les dictateurs africains accèdent au pouvoir grâce aux forces étrangères colonialistes.
MUGABE est passé par là mais cela ne l'a pas empeché de deraper.
Mon frère;l'Afrique a ses réalités .Beaucoup de chefs d'Etat africains avaeint un idéal digne en arrivant au pouvoir.C'était des Hommes dignes comme toi et moi mais le pouvoir a ses réalités surtout dans un continent ou nous dormons sur toutes formes de richesse minière.Alors,ils survivent tant bien que mal et un chef d'Etat ne peut survivre avec quelques batons de manioc comme nous alors les dégats collateraux sont énormes,trop énormes.
Je pense que l'Afrique est comme un petit garçon qui suis un grand(l'OCCIDENT) et la cadence de celui-ci le destabilise trop souvent. Pour beaucoup d'Occidentaux ISLAM rime avec TERRORISME donc les Occidentaux peuvent etre encore plus cons.Nous ne pouvons pas immiter aveuglement une civilisation,nous avons nos propres coutumes et autres.Normal que nous ayons besoin de temps et que beaucoup d'entre nous se perdent dans ce dedalle de concept vague et complexe(DEMOCRATIE,MONDIALISATION,EGALITE DES HOMMES,ECONOMIE...).Pour l'instant ,au cours de l'Histoire,ROME a elle seule a eu plus de tyrans que toute l'Afrique reunie
Un caporal est un Homme autant que les autres ,normal qu' il est la prétention de s'accoquiner au pouvoir s'il le peut,c'est la nature humaine .Ce serait comme dire que les caporaux sont des cons pour la plupart dans ce continent.Dans ce cas comment réalisent-ils l'exploit d'etre dirigeant dans de nombreux pays.
Dans quel pays ont ils réalise cet l'exploit d'être des dirigeants au vrai sens du terme ?
Que du contraire...Que du contraire.
Aucun doute qu'un caporal soi un homme comme les autres. La n'est pas problème. Le souci c'est que "caporal" est une promotion attribuée à un soldat de 1er rang non grade, en signe de reconnaissance pour son ancienneté ou autres qualités. Il n'est, ni sous-officier, ni officier bien entendu. Si, du jour au lendemain on lui colle le grade d'officier supérieur (général de brigade (véridique)) parce que l'oncle du neveu du cousin du chef, il se retrouvera brusquement face à des responsabilités qui nécessitent, au préalable, une instruction académique sans laquelle il ne sera jamais en mesure d'imposer son autorité par son charisme et sa compétence. Un caporal non instruit disposant d'un pouvoir absolu et qui décide de s;accrocher au pouvoir enfantera un tyran. Son incompétence amusera mais surtout créera la déception au sein des troupes, particulièrement parmi les vrais officiers, ceux la meme qui un jour prendront ou tenteront de prendre le pouvoir par la force.
Citation:
Concernant nos officiers s'ils étaient vraiment plus intelligent pourquoi des rebellions font des ravages dans nos pays.
Quand le dictateur n'écoute plus la voix des urnes, la voix du peuple, alors il est quelquefois un mal nécessaires que de recourir a la manière forte. La rébellion.
Franceàfrique a écrit:
A la différence des grands hommes qui militent pour un idéal et qui voient leur accession au pouvoir comme l’aboutissement des années de lutte et qui désormais ont la chance de réaliser leurs desseins et ambitions pour leurs peuples, les dictateurs africains accèdent au pouvoir grâce aux forces étrangères colonialistes.
Citation:
MUGABE est passé par là mais cela ne l'a pas empeché de deraper.
Citation:
Mon frère;l'Afrique a ses réalités .Beaucoup de chefs d'Etat africains avaeint un idéal digne en arrivant au pouvoir.C'était des Hommes dignes comme toi et moi mais le pouvoir a ses réalités surtout dans un continent ou nous dormons sur toutes formes de richesse minière.Alors,ils survivent tant bien que mal et un chef d'Etat ne peut survivre avec quelques batons de manioc comme nous alors les dégats collateraux sont énormes,trop énormes.
Les réalités du continent sont des circonstances atténuantes qui peuvent justifier certains comportement comme le népotisme ou favoritisme ciblé et contrôlé mais ne doit pas justifier tout, notamment l'incompétence, le vol, la corruption, la terreur a l'égard du peuple, la clochardisation de ce dernier...
Citation:
(...)ROME a elle seule a eu plus de tyrans que toute l'Afrique reunie [/b]
[/quote]
Alex, inutile de remonter a Rome, informe toi sur l'Operation Condor en Amérique latine et tu verra c'est qu'est la Tyrannie avec un grand T.
Bien à toi _________________ There's only two things in life that are constant that's change and change.
Un caporal est un Homme autant que les autres ,normal qu' il est la prétention de s'accoquiner au pouvoir s'il le peut,c'est la nature humaine .Ce serait comme dire que les caporaux sont des cons pour la plupart dans ce continent.Dans ce cas comment réalisent-ils l'exploit d'etre dirigeant dans de nombreux pays.
Dans quel pays ont ils réalise cet l'exploit d'être des dirigeants au vrai sens du terme ?
Que du contraire...Que du contraire.
Aucun doute qu'un caporal soi un homme comme les autres. La n'est pas problème. Le souci c'est que "caporal" est une promotion attribuée à un soldat de 1er rang non grade, en signe de reconnaissance pour son ancienneté ou autres qualités. Il n'est, ni sous-officier, ni officier bien entendu. Si, du jour au lendemain on lui colle le grade d'officier supérieur (général de brigade (véridique)) parce que l'oncle du neveu du cousin du chef, il se retrouvera brusquement face à des responsabilités qui nécessitent, au préalable, une instruction académique sans laquelle il ne sera jamais en mesure d'imposer son autorité par son charisme et sa compétence. Un caporal non instruit disposant d'un pouvoir absolu et qui décide de s;accrocher au pouvoir enfantera un tyran. Son incompétence amusera mais surtout créera la déception au sein des troupes, particulièrement parmi les vrais officiers, ceux la meme qui un jour prendront ou tenteront de prendre le pouvoir par la force.
Citation:
Concernant nos officiers s'ils étaient vraiment plus intelligent pourquoi des rebellions font des ravages dans nos pays.
Quand le dictateur n'écoute plus la voix des urnes, la voix du peuple, alors il est quelquefois un mal nécessaires que de recourir a la manière forte. La rébellion.
Franceàfrique a écrit:
A la différence des grands hommes qui militent pour un idéal et qui voient leur accession au pouvoir comme l’aboutissement des années de lutte et qui désormais ont la chance de réaliser leurs desseins et ambitions pour leurs peuples, les dictateurs africains accèdent au pouvoir grâce aux forces étrangères colonialistes.
Citation:
MUGABE est passé par là mais cela ne l'a pas empeché de deraper.
Citation:
Mon frère;l'Afrique a ses réalités .Beaucoup de chefs d'Etat africains avaeint un idéal digne en arrivant au pouvoir.C'était des Hommes dignes comme toi et moi mais le pouvoir a ses réalités surtout dans un continent ou nous dormons sur toutes formes de richesse minière.Alors,ils survivent tant bien que mal et un chef d'Etat ne peut survivre avec quelques batons de manioc comme nous alors les dégats collateraux sont énormes,trop énormes.
Les réalités du continent sont des circonstances atténuantes qui peuvent justifier certains comportement comme le népotisme ou favoritisme ciblé et contrôlé mais ne doit pas justifier tout, notamment l'incompétence, le vol, la corruption, la terreur a l'égard du peuple, la clochardisation de ce dernier...
Citation:
(...)ROME a elle seule a eu plus de tyrans que toute l'Afrique reunie [/b]
Alex, inutile de remonter a Rome, informe toi sur l'Operation Condor en Amérique latine et tu verra c'est qu'est la Tyrannie avec un grand T.
Bien à toi[/quote]
Certe,certe frère mais la réalité ,c'est la réalité.Pour changer les choses;il faut etre capable de voir ces régimes avec lucidité.Je suis assez surpris qu'on diabolise à ce point ce continent mais je pense avec conviction que le malheur de l'Afrique vient avant tout de ces intellectuels et non de ces armés.Une armée doit etre éduqué et c'est la mission de l'Etat de remplir cette mission.Beaucoup se cantonne à une éducation militaire et stratégique avec peu de place à la DEONTOLOGIE du métier.Si les caporaux africains sont peu éduqué ,c'est d'abord parce que les régimes gagnent à ce qui demeurent ainsi.
C'est trop facille de se jeter les erreurs de tout un système qui a été bousillé dès la base.Prenant le cas Congolais;à quoi t'attndais-tu concrètement au cours de cet independance bien que quelques rares LUMUMBA étaient des Hommes exceptionnels au milieu des millions d'individus et de milliers de soldats qui n'étaient pas près à comprendre les enjeux à long terme de leur acte.L'echec de ce continent est lié à des enjeux trop lourd à assumer,il y'a cela 50 ans.
Je tiens à la fin à te préciser que ce contient est toujours dirigé pour la plupart des pays par ces Hommes d'Etat de l'ère de l'indepance.Un Homme change peu de principe après ces vinght ans.Malheureusement la plupart de nos tyrans ont vu cet époque jeune et assez ambitieux alors pour la plupart,ils vivent à cet époque et non à notre époque.Ce n'est pas qu'ils aient eu une situatition sociale pauvre mais c'est tout simplement qu'ils ne comprennent que 50 ans ce sont dejà écoulé dans ce continent et les choses devraient donc normalement CHANGER.
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