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Nana Kofi Drobo: guerisseur du SIDA

 
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Bwana K.
Grioonaute


Inscrit le: 15 Juil 2006
Messages: 78

MessagePosté le: Jeu 22 Oct 2009 19:40    Sujet du message: Nana Kofi Drobo: guerisseur du SIDA Répondre en citant

Lutte contre le SIDA: Pourquoi Drobo a-t-il été assassiné?
Transmis par adminKMM2 le 06 juin 2008 à 12:15:22 EDT
Contribution de adminKMM2

Le Sida constitue un défi pour l'humanité entière, comme la peste jadis. Les hommes ont toujours eu en ces moments de grand désarroi à livrer bataille pour survivre. Le Sida constitue cependant un cas à part. Pour l'anéantir, le combat comporte des sous-entendus, des zones d'ombre : son origine floue, le pourquoi de son existence litigieuse, les enjeux financiers colossaux qu'implique sa médication, le comportement de la "communauté internationale" par rapport à la lutte contre le fléau, tout cela soustrait cette maladie du rang normal de sa réalité première. Tous ces éléments expliquent en outre largement la vie et la mort d'un tradithérapeute d'une rare efficacité : Nanan Kofi Drobo II.

De retour des Etats-Unis où il avait pris conscience de la vraie réalité du terrible syndrome, il avait décidé d'y consacrer des recherches. Au bout de quelques années, il avait maîtrisé le monstre tueur de telle manière, que de partout lui arrivaient les malades, pour se faire traiter. Et c'est de ce succès indéniable que débutèrent les malheurs qui devaient aboutir fatalement à son élimination physique, par son collaborateur le plus proche en ce jour maudit du mardi 25 août 1992!


Le malheur débuta avec les fonctionnaires de tous genres, les nationaux (agents du ministère de la santé de son pays) et internationaux (agents de l'Organisation Mondiale de la Santé). De partout à travers le monde, lui arrivèrent les propositions mirobolantes. Le point commun de toutes celles-ci : une demande pressante de vendre le secret du guérisseur pour autant d'argent et d'avantages qu'il veut. "Mais Drobo ne voulait ni même ne pouvait vendre ce qui ne lui appartenait pas : le don du Bosom, du Kwaku Fri Shrine, du Fétiche des Ancêtres habitant le Bois Sacré de N'Woase". Mais que signifiaient ces termes pour ceux dont le seul fétiche est le dieu-argent, ceux pour qui il n'existe rien de sacré sur terre ? Le sort de Drobo aurait alors pu être meilleur si dans son propre pays, il y avait des responsables africains dignes, mais surtout conscients des enjeux, des responsables qui savaient exactement comment se pose le problème de l'Afrique, l'importance géopolitique ou financière de la maîtrise d'une telle réalité médicale, la manière concrète de la façon dont l'Afrique doit se comporter au plan mondial afin de mériter sa place dans ce que tout le monde se complaît à appeler la mondialisation. Et de ces responsables, il n' y en avait guère dans le Ghana du président Jerry John Rawlings. Malgré les innombrables succès qui ne permettaient plus le doute sur sa maîtrise du Sida, malgré les appels du pied aux autorités, manifestés à travers tout le pays par le peuple ghanéen, malgré enfin les prises de position courageuses de certains médias de l'ancienne Gold Coast, on laissa les ennemis étrangers cerner le savant africain, l'épouvanter, lui et tout son village de N'Woase, et le faire assassiner tout à fait impunément, puisque jusqu'à l'heure où nous traçons ces lignes, personne ne se soucie de savoir en Afrique ou même au Ghana, ce qui est arrivé à Drobo II ! Comme au Congo pour Lumumba, comme au Burkina pour Thomas Sankara!

Pauvre Afrique ! Combien de temps cela prendra encore pour que le continent mère de la civilisation, produise des Filles et des Fils dignes et à même de relever le défi. Pour qu'on sache de nouveau que ce continent est réellement celui qui a détenu la clé du progrès humain, et qui détient peut-être celle de la renaissance de humain ?

Ladji SIDIBE : Drobo II, l'homme qui avait vaincu le Sida. Editions Fraternité,1993

Par Bétéo D. NEBIE

Source: http://evenement-bf.net/pages/culture_51.htm (en bas de page)

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Late Nana Drobo's claim was scientific - Prof Ayisi

Accra, April 23, GNA - Nana Kofi Ayisi, Professor and Head of the Vitrology Unit of the Noguchi Memorial Institute for Medical Research (NMIMR), has said that the late Nana Kofi Drobo's claim that he discovered anti-HIV/AIDS plants was based on scientific principles.

He said it turned out that Nana Drobo selected his plants for treating HIV/AIDS patients based on the fact that the plants had been found to inhibit cancer cells and if that were true then, Nana Drobo may have been one of the first people to have tested an anticancer agent for its possible anti-AIDS efficacy.

Prof Nana Kofi Ayisi, disclosed this in an inaugural lecture at the University of Ghana, Legon on Thursday on the topic: "Sex, Viruses and Grief: A Deadly Combination that Poses the Greatest Threat to Human Health in the Twenty-First Century".

The Inaugural Lecture invites faculty members of the University, who have attained the highest point of academic achievement, that is, full professorship, to present a lecture on a topic of their choice. Prof Ayisi noted that it was unfortunate that the late Drobo failed to work with NMIMR, having agreed initially, but said the idea of the Ghana Medical Association to investigate the validity of his claim was totally a wrong approach.

He said: "As Noguchi became sidelined in the whole affair, it became clear to some of us that no immediate answers would be found for Nana Drobo's claim".

Prof Ayisi said the unusual events that followed the entire claim, which brought in Japanese delegations, might have confused Nana Drobo as to whether there were really competent scientists in Ghana to work on his discovery.

"However, Nana Drobo is partly to be blamed for not being faithful to the original arrangements I made with him, regarding the involvement of Noguchi, as to whether Nana Drobo's plants really had anti-HIV/AIDS activities or not, no one will ever know, since he is no longer with us," he said.

"Have we as a nation learnt any lesson from the tragic case of Nana Drobo, and what are our plans for pre-clinical and clinical development of claimed anti-HIV medicinal plants? Prof Ayisi asked.

He said, "we could choose to do step by step pre-clinical research before clinical trials and thus bring medical plants into mainstream medical practice".

On the other hand, he said, "we could choose to pursue the currently popular but irresponsible approach of clinical trials without proper prior pre-clinical studies and this condemned the use of medical plants to a field outside mainstream medical practice," Prof Ayisi noted.

"It is not an exaggeration to say that a single medicinal plant that is moved into mainstream medical practice has the potential to pay for the entire health budget of the nation and make the cash and carry system redundant."

In fact an investment in the development of Ghanaian medicinal plants will be the best health insurance for the people of this country," he said.

Prof Ayisi described Nana Drobo as a man, who in spite of not having formal scientific training, was esteemed in some aspects of scientific knowledge.

Source: GNA - Ghana News Agency



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Merikama
Grioonaute 1


Inscrit le: 07 Sep 2008
Messages: 254

MessagePosté le: Mar 12 Jan 2010 18:26    Sujet du message: Répondre en citant

Bétéo D. NEBIE a écrit:
Mais Drobo ne voulait ni même ne pouvait vendre ce qui ne lui appartenait pas : le don du Bosom, du Kwaku Fri Shrine, du Fétiche des Ancêtres habitant le Bois Sacré de N'Woase"

Je suis de ceux qui soutiennent que l'Afrique regorge de CONNAISSANCES inestimables. Connaissances que nous COLONISÉS sommes incapables d'appréhender, les qualifiants tour à tour de "sorcelleries", ou de "mysticisme".

Nous pensons que la médecine doit absolument être celle qui est pratiquée en Occident. Celle qui réduit une CREATURE cosmique aussi complexe qu'est l'Homme à un amas de MOLECULES, sur lesquelles les xénobiotiques thérapeutiques se doivent d'interagir pour guérir les pathologies.

Que ces CONNAISSANCES ne se perdent pas. Que nos sages dans nos villages les transmettent aux jeunes générations jusqu'à ce qu'advienne enfin la RENAISSANCE AFRICAINE, capable de les exploiter comme il se doit.
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"L’esclave qui n’est pas capable d’assumer sa révolte ne mérite pas que l’on s’apitoie sur son sort. Cet esclave répondra seul de son malheur s’il se fait des illusions sur la condescendance suspecte d’un maître qui prétend l’affranchir". THOMAS SANKARA

[Sankara = S ˁnḫ Rˁ]
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