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A New York, la communauté noire se mobilise pour Nafissatou

 
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samuel
Grioonaute régulier


Inscrit le: 28 Jan 2005
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MessagePosté le: Lun 11 Juil 2011 15:46    Sujet du message: A New York, la communauté noire se mobilise pour Nafissatou Répondre en citant

On voudrait bien voir une telle solidarite se manifester entre Noirs... sous d'autres cieux!!!

Citation:
Affaire DSK : A New York, la communauté noire se mobilise pour Nafissatou Diallo
(Tribune de Genève 11/07/2011)


Des figures de la communauté noire de New York --élus, associatifs, religieux-- se mobilisent pour soutenir la femme de chambre guinéenne qui accuse Dominique Strauss-Kahn de tentative de viol et exiger un procès au moment où l’accusation est affaiblie.

Dimanche, un sénateur et une coalition d’associations de défense des droits des femmes, des Noirs, des latinos ou des musulmans se sont rassemblés à Harlem pour demander la poursuite de l’enquête.

"Nous sommes ici pour demander au procureur de faire son travail. Nous demandons qu’il donne à la victime la possibilité de témoigner lors d’un procès", a déclaré Bill Perkins, membre du Sénat de l’Etat de New York.

L’élu a accusé le procureur Cyrus Vance de vouloir abandonner les charges qui pèsent contre "DSK", arrêté le 14 mai pour crimes sexuels, à la suite de la découverte d’éléments décrédibilisant le témoignage de l’accusatrice.

Un mauvais signal pour les autres victimes

"L’abandon des charges découragerait les victimes", a déclaré le sénateur, soulignant que la "crédibilité" de l’ancien chef du FMI, qui fait aussi l’objet d’une plainte pour tentative de viol en France, est "elle aussi discutable".

Les associations "100 Femmes Noires", "Femmes d’islam", "Rassemblement national des femmes dominicaines", "Conseil des relations américano-islamiques", ainsi que des imams et un révérend étaient présents.

Le récit erroné de la femme de chambre, révélé par le bureau du procureur lors d’une audience le 1er juillet, paraît compromettre la tenue d’un procès de M. Strauss-Kahn, tandis qu’un abandon des charges semble envisageable.

Les charges restent maintenues

Ce rebondissement a amené plusieurs représentants de la communauté noire à se mobiliser, même si le bureau du procureur a indiqué mercredi que l’enquête se poursuivait et que toutes les charges étaient maintenues.

Jeudi, des responsables associatifs et religieux ont tenu une conférence de presse devant le tribunal de Manhattan pour demander que l’ancien chef du FMI soit jugé, estimant qu’un abandon des charges constituerait "une grave erreur judiciaire".

"Nous demandons que justice soit rendue", a déclaré Togba R. Porte, un des dirigeants de l’association United African Congress. La victime présumée de DSK, une Guinéenne de 32 ans travaillant à l’hôtel Sofitel, "doit être entendue par un tribunal, pas derrière des portes closes", a-t-il ajouté.

"Tout ce qu’on demande, c’est qu’elle puisse obtenir un procès", a insisté Lisa Jenkins, membre d’une église de Harlem, la "Blessed trinity baptist church", pour que ce ne soit pas toujours "ceux qui ont le pouvoir" et "l’argent" qui l’emportent.

Association de policiers noirs

La première association noire à avoir adressé son soutien à l’accusatrice de DSK est une association de policiers, "100 Blacks in law enforcement who care". Devant le tribunal de New York, elle a demandé mercredi que le procureur soit déssaisi du dossier, l’accusant de participer à "une campagne de diffamation" de la victime présumée.

"Nous demandons au gouverneur de l’Etat de New York ou à son ministre de la Justice de désigner un procureur spécial pour enquêter et poursuivre cette affaire", a déclaré Noel Leader, un des fondateurs de l’association pour qui "la race, l’argent et le sexisme" sont liés à ce dossier.

L’avocat de la victime présumée, Kenneth Thompson, Noir lui aussi, a repris cette demande à son compte en demandant au procureur de se retirer du dossier.


AFP | 11.07.2011 | 08:29

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samuel
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Inscrit le: 28 Jan 2005
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MessagePosté le: Lun 11 Juil 2011 16:01    Sujet du message: Répondre en citant

Mais Claude Ribbe m'etonnera toujours.

Citation:
Pourquoi Strauss-Kahn a perdu la partie
(Libre antenne 11/07/2011)


Depuis le 14 mai 2011 une triste affaire de viol présumé, vendue par la presse comme un feuilleton à rebondissements, passionne la planète. Mais il n’y a finalement guère de mystère sur l’issue de cette histoire. Strauss-Kahn a déjà tout perdu ou presque.

D'abord l'essentiel : l'honneur. A supposer que cela ait un sens pour lui et ses amis.

Par sa propre démission -qui est presque un aveu- il a aussi perdu son poste lucratif et prestigieux de directeur général du FMI avec l’humiliation de voir arriver comme successeur une femme, française et de surcroît adversaire politique.

Strauss-Kahn a vu du même coup son rêve s’effondrer. Il ne sera jamais président de la République et, même s’il réussit à passer entre les mailles des filets judiciaires américain et français, ce qui est très improbable, - et devrait l’occuper quelques mois sinon quelques années - il aura le plus grand mal à revenir en politique, même au plus modeste niveau.

A terme, il a perdu en outre, très probablement, le soutien de son épouse. Anne Sinclair a adopté l’attitude d’une femme qui défend son mari contre vents et marées. Très bien ! Respectons ce choix. Mais n'en a-t-elle pas beaucoup trop fait et sa posture arrogante n'a-t-elle pas desservi celui qu’elle prétendait aider ? Passer l’éponge sur une incartade est une chose, supporter l’humiliation d’être bafouée et contente pendant trente ans en est une autre, couvrir un viol présumé avec l’impudence que donne la fortune en est une troisième. Pendant combien de temps supportera-t-elle encore de n'être que la grosse dame qui règle les additions, comme dans les films des Marx brothers ? On peut comprendre qu’elle ait joué gagnant un homme qui lui permettrait de réaliser un rêve par procuration : entrer à l’Élysée. Mais jusqu’à quel point sa "magnanimité" affichée, dans laquelle je ne vois qu'une injure faite à toutes les femmes violées, lui permettra-t-elle de miser désormais sur un tocard ?

Si on enlève à Strauss-Kahn la fortune de sa femme et la perspective d’une réussite en politique, que reste-t-il ? Un brillant économiste selon certains admirateurs ? Soyons honnête : sa thèse « Économie de la famille et accumulation patrimoniale » et son livre sur « La richesse des Français », deux ouvrages publiés il y a plus de trente ans, ne le prédisposent guère au prix Nobel. Il reste donc un homme dont la célébrité reposera sur l’un des plus grands scandales sexuels de l’histoire et qui ne pourrait être intéressant, à la rigueur, s’il en avait le talent, qu’à travers une introspection littéraire sur propre cas. Le plus probable, c’est que Strauss-Kahn restera un cas d’études clinique et, certainement, un héros de la petite histoire au même titre que Gilles de Rais, le cardinal de Rohan, Félix Faure, John Profumo ou le cardinal Daniélou.

Les maladresses des bons amis

Ceux qui ont tenté de défendre Dominique Strauss-Kahn ne l’ont guère aidé, c’est sûr. Jacques Lang qui a tenté de minimiser le viol présumé en déclarant qu’il n’y avait « pas mort d’homme ». Jean-François Kahn qui ne voyait d’ans cette affaire qu’un banal « troussage de domestique ». Bernard-Henri Lévy pour lequel Strauss-Kahn n’était pas «un justiciable comme les autres » et qui invoquait, sans en comprendre, apparemment, l’ironie dans le cas d’espèce (d'autant qu'on imagine mal BHL en train de rire) l’adage « Rira bien qui rira le dernier ». Michèle Sabban qui dénonçait « un complot international ». Johnny Hallyday, lui-même accusé de viol en 2002, qui ne voyait dans les chefs d’inculpation visant Strauss-Kahn, que des « critiques odieuses ». Elisabeth Badinter pour laquelle tout cela n'est qu'une «possible injustice» (qui aurait frappé Strauss-Kahn, bien sûr, pas la victime présumée). Finkielkraut pour qui le fait d'oser porter une accusation contre un homme au-dessus de tout soupçon comme Strauss-Kahn équivaut à un... « viol ». Rien de moins ! Jean-Marie Le Guen qui déclarait encore le 5 juillet 2011 que Strauss-Kahn serait en 2012 « un atout considérable pour la gauche». Il ne manquait, pour compléter ce florilège, que la réaction de Roman Polanski lequel, heureusement, a gardé le silence.

Un dossier d’accusation accablant

Les injures et les calomnies déversées sur Nafissatou Diallo par les avocats et le communicants de Strauss-Kahn ne doivent pas faire oublier que les faits reprochés à l’ex-directeur général du FMI sont étayés, non seulement par le témoignage de Nafissatou Diallo qui n’a pas varié d’un iota, mais aussi par des preuves impossibles à réfuter qui corroborent ce témoignage : notamment un rapport médical et des expertises médico-légales accablants. Les mensonges de la défense de Strauss-Kahn qui, dans un premier temps, a tenté d’établir que le Français était déjà parti au moment des faits et que la présumée victime n’était « pas attirante » avant d’en venir à une « relation consentie » risquent de peser lourd le moment venu. Sans parler des tentatives du sexagénaire à l’encontre de deux autres employées de l’hôtel et de la présence nocturne d’une jeune femme dans les heures qui ont précédé l’agression : autant d’indices d’une libido pathologique.

L’attitude désinvolte d’un justiciable sûr d’être supérieur aux autres.

La posture arrogante de Strauss-Kahn qui, au motif qu’il avait partiellement recouvré la liberté, se voyait déjà disculpé et allait fêter l'événement avec sa femme au Scalinatella, l'un des plus huppés restaurants new-yorkais (600 dollars les pâtes aux truffes et le Brunello Di Montalcino pour porter un toast à la santé des rmistes Sarcellois) n’est peut-être pas de nature, quant on y réfléchit, à faciliter un abandon des charges. La décision provisoire d’un magistrat n’éloigne ni la perspective d’un procès, ni celle d’une condamnation avec la perspective d’un retour à Rikers island où le menu et la carte sont moins gastronomiques.

La quasi-certitude d'une lourde condamnation au civil.

Si, d'aventure, DSK échappait au pénal américain, il peu probable qu'il puisse s'en tirer au civil et, dès lors, il risque bel et bien d'être condamné pour les mêmes faits, sinon à la prison, du moins à de faramineux dommages-intérêts qu'Anne Sinclair ne sera peut-être pas disposée à payer.

L’ouverture d’un second front en France.

L’attitude de Tristane Banon qui, après avoir porté des accusations contre Strauss-Kahn, a refusé de venir témoigner dans le procès américain, s’explique très certainement par la volonté de ne pas réduire sa propre affaire à un banal épisode du dossier new-yorkais. Par ailleurs, on peut comprendre que la jeune femme, à laquelle le comité de soutien à Nafissatou Diallo apporte aujourd'hui ses encouragements, n’ait pas voulu s’exposer aux calomnies que pourraient utiliser contre elle les avocats de Strauss-Kahn dans la procédure américaine. L’ouverture d’une enquête préliminaire en France et la perspective d’une longue instruction qui pourrait déboucher sur un procès en cour d’assises risquent d’apporter à l’accusation américaine des éléments de toute évidence défavorables à Dominique Strauss-Kahn. En outre, avec l'entrée en scène de Banon, qui n'est ni "noire" ni musulmane, il va être plus difficile d'invoquer le "complot" et un "nouvelle affaire Dreyfus".

La politisation du dossier

Les féministes françaises, habituées à voir les victimes de viol calomniées par les violeurs, ont adopté une attitude courageuse qui doit rappeler que la discrimination sexuelle va généralement de pair avec la discrimination raciste. De ce point de vue, c’est à bon droit que la diaspora africaine, en France à travers le comité de soutien créé dès le 24 mai 2011, puis aux USA, avec la mobilisation des syndicats et des militants pour les droits civiques , a vu dans les attaques portées contre Nafissatou Diallo la manifestation d’un racisme à peine dissimulé. Le hallali négrophobe auquel on a assisté à partir du 1er juillet 2011 a été en effet d’une violence rarement atteinte depuis les années soixante. Bien sûr, la couleur de Nafissatou Diallo n’a jamais été invoquée explicitement pour justifier ces attaques. Ce qui a en effet changé depuis les années soixante, c’est que le racisme au premier degré n’est plus socialement tolérable dans la société occidentale. Cependant, il faudrait être de bien mauvaise foi pour soutenir que l’acharnement contre Nafissatou Diallo, traitée, pendant une semaine, et sans aucune preuve, non seulement par des journaux à scandale, mais par des organes de presse dit « respectables », de menteuse, de complice de trafic de drogue et de prostituée, n’a absolument rien à voir avec sa couleur, ses origines ni sa religion. Le lynchage en règle auquel on a assisté, n otamment dans la presse française de gauche, n’est absolument pas contradictoire avec l’attitude première qui a consisté à sanctifier Nafissatou Diallo. Au contraire. Les préjugés contre les femmes africaines ou afro-descendantes s’expriment de deux manières qui semblent figées depuis le XVIe siècle. Tantôt on a recours au stéréotype paternaliste de la «vraie noire» qui serait en adéquation avec la nature, tantôt à celui de la « fausse noire » dénaturée par le contact avec l’Occident.

Dans les deux cas, prévalent de grossiers préjugés qui réduisent la femme africaine aux fantasmes sexuels projetés sur elle par des anciens pays colonisateurs et esclavagistes. Ce sont, de toute évidence, ces fantasmes qui ont allumé la libido de Strauss-Kahn et peut-être amené cet homme à des actes de violence, suite au refus de Nafissatou Diallo de se plier aux fantasmes de l’ancien maire de Sarcelles. Pour plus de détails, on se reportera aux intéressants travaux de Yann Le Bihan, chercheur en psychologie sociale.

Pendant un mois, Nafissatou Diallo a donc été hypocritement présentée comme une « vraie noire » issue d’un village africain utopique et en tout point conforme aux villages mis en scène dans les expositions coloniales des années trente. C’était une bonne musulmane, issue d’une famille respectée. En « bonne sauvage », elle était incapable de mentir. Tout a basculé en quelques heures. Nafissatou Diallo est devenue une « fausse noire » vénale pervertie par le contact avec la société américaine et incapable de s’acculturer, du fait de son « infériorité » naturelle. On a insisté sur l’argent dépensé pour des soins jugés futiles pour une « vraie noire » – coiffure, instituts de beauté. Bien sûr, il a tout de suite été affirmé que le financement de ces dépenses futiles était assuré par des hommes. Nafissatou a été immédiatement traitée de prostituée par toute la presse occidentale, en précisant qu’il s’agissait d’une « filière guinéenne » pour replacer la prostitution dans un contexte spécifiquement africain. Les calomnies distillées par les avocats et communicants de Strauss-Kahn dans le peu reluisant New York Post étaient reprises presque sans réserves dans Libération et même dans Le Monde. Des conversations téléphoniques, jamais rendues publiques, mais citées par de mystérieuses sources « proches du dossier » révélaient que Nafissatou avait des liens avec des trafiquants de drogue (qui eux, soit dit en passant, ne semblent pas profiter de la présomption d’innocence). Bien sûr, la « fausse noire » avait tout de suite flairé la bonne affaire et appelé son complice – noir évidemment – pour en parler avec lui.

Il ne manque plus à Nafissatou, pour faire bonne mesure et confirmer la théorie du complot international, que l’imputation de relations avec des terroristes islamistes. Ce qui, finalement, va peut-être venir. On compte sur Taylor, Brafman et Khiroun pour nous régaler encore de leurs affabulations et de leurs bobards.

Par Claude Ribbe
http://www.claude-ribbe.com/dotclear/


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samuel
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MessagePosté le: Mar 12 Juil 2011 10:08    Sujet du message: Répondre en citant

De mieux en mieux...

Citation:
DSK : mobilisation politique pour Nafissatou Diallo

Par Marie-Amélie Lombard

10/07/2011 | Mise à jour : 18:43

Un sénateur démocrate, figure centrale de la communauté noire de Harlem, a tenu dimanche une conférence de presse pour demander la poursuite de l'enquête contre Dominique Strauss-Kahn.

Le soutien à la femme de chambre du Sofitel s'organise désormais sur un plan politique et religieux à New York. Dimanche, le sénateur Bill Perkins, un élu démocrate, figure centrale de la communauté noire de Harlem, a tenu une conférence de presse pour demander au procureur Vance de poursuivre l'enquête et d'aller jusqu'au procès contre Dominique Strauss-Kahn. À ses côtés, plusieurs leaders associatifs et responsables religieux comme l'imam de la grande mosquée de Harlem, Souleimane Konate, le révérend Curtis, de l'église baptiste, ainsi qu'un représentant de la communauté guinéenne.

«C'est une véritable coalition qui est en train de se monter pour exiger que la victime ait droit à un procès», a expliqué samedi au Figaro l'entourage du sénateur Perkins. Le 6 juillet, après l'annonce par l'accusation de ses doutes sur la crédibilité de Nafissatou Diallo, l'élu démocrate avait déjà écrit au procureur Vance, lui enjoignant de «protéger la plaignante et les autres femmes qui sont régulièrement victimes de faits similaires». Mercredi, lors de la réunion entre l'équipe du procureur et les avocats de DSK, quatre représentants d'une association de policiers noirs américains étaient venus manifester devant le tribunal de Manhattan contre la coloration «raciste anti-noire et anti-femme» que prenait, selon eux, l'affaire.

Ces différents signaux montrent que la défense de la femme de chambre du Sofitel a bien l'intention de maintenir la pression sur le procureur Vance dans une phase décisive du dossier. Et que l'affaire est désormais sortie du strict terrain judiciaire pour atteindre les sphères politiques et communautaires de New York.
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