grioo.com

[Pakira]

Y'A-T-IL UNE VOLONTE DES ONG JUIVES DE DIVISER LE MOUVEMENT ANTI-RACISTE
MONDIAL ?



Avant Durban, nous avons assisté à l'émergence d'un Mouvement mondial informel contre le racisme. Après Durban, nous assistons de plus en plus à sa sa division. Parmi ceux qui travaillent à cette division, les ONG juives sont parmi les plus impliquées. Ceci apparaît clairement à la lecture de plusieurs de leurs lettre envoyées sur la liste de discussion d'Icare, notamment par le Centre Simon Wiesenthal, COBASE, ainsi que par d'autres personnes. Par leurs critiques, leurs souhaits et leurs projets, leur cible demeure SANGOCO, après la disparition du Comité international de coordination des ONG (CIC ou ISC, International Steering Committee en anglais), également soumis aux attaques des ONG juives. Présentée comme les principaux responsables de l'échec juif à Durban, cette Coordination des ONG sud-africaines n'est pas seulement diabolisée. Elle doit être punie !

Bien sûr, il faudrait reconnaître certains faits :
- Les ONG juives et leurs membres n'ont pas été très à l'aise à Durban;
- Des individus extrémistes se sont montrés antisémites durant le Forum des ONG;
- SANGOCO et le CIC auraient pu faire mieux, même si leur travail est globalement positif;
- La Déclaration et le Plan d'action des ONG n'ont pas été très tendres avec l'Etat d'Israël ni avec le Sionisme.

Cela dit, nous ne pouvons accepter le lynchage visant SANGOCO auquel nous assistons depuis un moment. Et comme cette organisation bénéficie encore d'un grand soutien (aussi bien critique que solide) au sein du Mouvement anti-raciste dans le monde, le résultat des attaques des ONG juives, c'est la division progressive d'un mouvement qu'elles ne peuvent effectivement contrôler à leur gré et dans lequel elles ont peu de chance d'exercer un leadership. Aussi bien Durban que post-Durban tendent à le démontrer.


I - L'ACTION DE DIVISION A DURBAN

La division progressive du mouvement anti-raciste par l'action des ONG juives a d'abord commencé à Durban après l'adoption controversée des documents des ONG. Leurs attaques ont visé ces documents en raison de leur "langage de haine" contre l'Etat d'Israël et le Sionisme (et non contre les Juifs, comme c'est largement diffusé). Des actions fortes seront ainsi lancées :

1. Les ONG juives vont condamner et rejeter vigoureusement la Déclaration et le Plan d'action. Mais, en agissant de la sorte, elles se confondaient avec l'Etat d'Israël et le Sionisme, seuls à avoir été pris à partie par le Caucus palestinien. C'est une chose bonne à savoir au sein du mouvement anti-raciste.
Par ailleurs, on peut se demander pourquoi les ONG juives et leurs alliés qui les ont suivi dans cette position n'ont pas plaidé durant tout le processus de Durban en faveur d'une structure d'harmonisation, voire de réglement de conflits éventuels, placée au-dessus du Comité de rédaction (Drafting Committee) comme dernière étape avant les discussions pléniaires.
Car il était évident que le concept "Voix des victimes" adopté pour la rédaction de la Déclaration et du Plan d'action ne pouvait éviter certains "langages de haine" de la part d'ONG déjà identifiées (voir la Déclaration de Téhéran, etc.). Pourquoi les ONG juives et leurs alliés n'ont pas quitté le processus de Durban à ce moment-là au lieu d'attendre sa fin?

2. Renforcées par la campagne internationale des médias contre lee document final issu du Forum des ONG, les ONG juives ont invité de manière informelle mais fermement toutes les parties impliquées dans le processus des ONG à se définir par rapport à ce document et à choisir leur camp.
Aussi seront-elles aussitôt suivies par un important groupe d'ONG d'Europe de l'Est. Les ONG internationales (Amnesty International, Human Rights Watch, etc.) choisiront également le camp des ONG juives et, en rejetant ainsi le document des ONG, elles rejeteront par la même occasion les voix majoritaires des autres victimes. Même le Drafting Committee sentit obligé de se positionner par rapport à son document. Mais la tentative de produire un communiqué commun échoua à cause d'une absence de consensus, même parmi le reste des membres encore présents à Durban, suite à quelques départs. Mais, surtout, les ONG juives ne réussirent pas à gagner à leur cause les très importantes ONG d'Europe de l'Ouest réunies dans le Caucus européen. Ceci, grâce à la vigilance des membres non-européens de ce Caucus, des Africains et des Asiatiques pour la plupart, se prévalant de la qualité de "victimes". Ils réussirent à stopper à temps la publication d'un communiqué de presse proche des positions des ONG juives, neutralisant par la même occasion toute autre action dans ce sens du Caucus européen. Le plus intéressant ici est que la rupture à Durban se produisit ainsi entre d'une part, les "professionnels" (essentiellement Blancs) et les "victimes" (principalement des Noirs et des Asiatiques). Cette rupture aurait dû soulever un impérieux et nécessaire débat sur quel consensus atteindre au sein des ONG européennes : les "professionnels" sont-ils liés aux intérêts et positions des "victimes" ou plutôt à ceux de leur patron (Union européenne), voire à ce que leur dicte leur mauvaise conscience occidentale (leur culturel sentiment de culpabilité envers les Juifs) ? ...
Cette dernière question sur la culpabilité culturelle des Occidentaux envers les Juifs mérite d'être débatue ici aussi. Car, en poussant systématiquement les Occidentaux dans le camp des Juifs lorsque ces derniers jouent leur rôle de victimes, cette culpabilité ne crée pas les meilleures conditions d'un engagement clair en faveur de notre lutte commune contre le racisme. D'autant plus que si la même culpabilité culturelle existe aussi à l'égard des Africains et des descendants africains, elle pousse rarement les Occidentaux à épouser les positions ou intérêts de ces derniers, pris dans leur rôle de victimes, comme nous l'ont démontré les questions sur l'esclavage et la colonisation durant le processus de Durban : à Strasbourg, les ONG européennes réfusèrent ainsi d'inclure un seul paragraphe sur le racisme anti-Noir dans la Déclaration finale, où figuraient par contre plusieurs paragraphes sur l'antisémitisme ou le racisme anti-Roms. Il n'y avait pas de "langage de haine" à l'égard des Noirs dans cette Déclaration, il n'y avait pas de langage du tout les concernant spécifiquement ! ...

3. Les ONG juives et leurs alliés vont également mettre la pression sur les autres parties impliquées dans le processus ONG en vue du rejet de la Déclaration et et du Plan d'action. C'est ainsi que la Haute-Commissaire de l'ONU pour les Droits de l'Homme, Mary Robinson, sera amenée à se positionner, d'autant plus qu'elle devait présenter le document ONG à la Conférence gouvernementale. Dans un communiqué, elle déclarera son réfus de présenter ce document, c'est-à-dire d'apporter aux gouvernements les doléances de plusieurs centaines de Victimes, juste parce qu'une des victimes avait opposé un véto. Et ceci, à l'exemple de tous ceux (ONG, gouvernements, etc.) qui ont eu à adopter la même position, sans apporter une seule raison valable, ignorant totalement les élements suivants :
- D'autres Etats (Mauritanie, Soudan, etc.) ont été nommément traités dans le document d'une manière également dure. Il y a même eu des échanges violents entre ONG mauritaniennes proches du pouvoir et celles qui dénonçaient ce pouvoir; mais Mary Robinson n'a mis en avant et ne s'est focalisée que sur le seul cas d'Israël.
- Le document des ONG, à l'instar du Forum ONG, ne représentaient pas formellement une commande passée par la Haute-Commissaire. Celle-ci n'en était que la facilitatrice en servant d'interface entre les ONG et les gouvernements.
- Il n'existait non plus aucun accord entre la Haute-Commissaire et les ONG pour que le document final des ONG épouse ou reflète les opinions sans doute respectables, mais très personnelles de la Haute-Commissaire sur la Palestine.
- Il y avait par contre un accord implicite entre elle et les ONG sur le concept de "Voix des Victimes" adopté comme approche pour la rédaction de la Déclaration et du Plan d'action des ONG sans qu'elle ait réagi négativement. Et tout le monde, y compris Mme Robinson (à travers son Bureau de liaison avec les ONG), était déjà au courant, durant la phase préparatoire de Durban, du contenu des Voix palestiniennes et arabes.
- Les ONG n'ont pas une tradition du "politiquement correct" avec les gouvernements : si ces derniers , au sein de l'ONU, sont revenus sur leur condamnation du Sionisme comme forme de racisme, sur quelle base cette nouvelle prise de position (qui n'est pas une loi) doit-elle être adoptée par les ONG, notamment palestiniennes ?
- Comme Bush l'a démontré face à son ennemi Ben Laden (condamné avant même d'être amené devant un tribunal et qui lui a donné l'occasion de lancer une nouvelle "Croisade"), Mme Robinson ne pouvait s'attendre à ce que les ONG palestiniennes qui defendent les droits de l'Homme fassent des cadeaux à l'Etat d'Israël avec sa politique et ses actions violentes et humiliantes dans les Territoires occupés.
- Le rôle qu'on attend d'une Haute-Commissaire de l'ONU n'est pas de descendre dans l'arène des ONG et d'y choisir un camp (elle ne l'a pas fait dans l'arène gouvernementale : elle n'y a jamais condamné en son nom le "langage de haine" des délégués arabes envers Israël). Son rôle est d'être vraiment "Haute", en gardant toute sa hauteur au-dessus des multiples expressions des ONG. D'autant plus qu'il n'y a aucun "langage de haine" dans le document des ONG, à moins qu'elle soit d'accord avec cette equation simpliste : attaques contre Israël et le Sionisme = attaques contre les Juifs.

Bref, comme on le voit, le document des ONG, expression et attente des Victimes, est OBJECTIVEMENT inattaquable dans son contenu et dans son esprit, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur de la communauté des ONG. On peut juste aimer ou ne pas aimer, rejeter ou tolérer selon sa propre conscience et ses propres attaches et attentes.

II - L'ACTION DE DIVISION APRES DURBAN

Encouragées par les quelques succès de dernière minute reccueillis à Durban, à savoir les divisions provoquées au sein de la communauté des ONG et le fait que tout le travail des ONG était désormais presque réduit à néant et discrédité à l'extérieur, et gonflées à bloc par le vent favorable et puissant amené par les événements du 11 septembre, les ONG juives se sont mises alors à s'acharner sur les acteurs de leur humiliation durant le Forum : le Steering Committee (ou CIC, qui a laissé produire un document "antisémite") et surtout SANGOCO (qui a laissé faire des manifestations antisémites au Forum des ONG). L'objectif sera de les éliminer, de les isoler, sinon de les affaiblir. Comment ? Par une violente campagne à leur encontre, au sein du mouvement anti-raciste et surtout au-devant de certains corps internationaux très influençables, comme le Secrétariat général de l'ONU et le Haut-Commissariat des Droits de l'Homme.

1. LA TENTATIVE D'ELIMINER SANGOCO - Dans une violente lettre adressée à Mary Robinson le 26 octobre, un certain Shimon Samuels du Centre Simon Wiesenthal va inviter celle-ci à arrêter de considérer le CIC et SANGOCO comme des interlocuteurs valables dans le processus de suivi de Durban. Quant aux responsables de COBASE ils en appellent à leur dissolution. Etant donné que le CIC ne fait plus partie du paysage, s'étant auto-dissout, ces attaques ne pouvaient viser que SANGOCO seule. Cette organisation existe toujours et a toujours la volonté de jouer un rôle majeur dans le mouvement anti-raciste mondial. Et aussi longtemps qu'on ne peut la considérer comme une organisation raciste ni antisémite, personne n'est en droit de l'éliminer ou de demander son élimination de tout rôle qu'elle aimerait jouer à n'importe quel niveau et dans n'importe quelle arène internationale. Ceci ne peut se faire sans un déchirure au sein du mouvement anti-raciste entre ceux qui approuvent cette démarche des ONG juives et ceux qui ne l'approuvent pas.

2. LA TENTATIVE D'ISOLER SANGOCO - Avec leur campagne de diabolisation de SANGOCO, les ONG juives envoyaient un message clair à tout le monde, notamment au reste des ONG : il faut isoler SANGOCO au sein du mouvement anti-raciste, parce qu'infréquentable. Ce genre de campagne diabolisante, qui réussit surtout sur les consciences occidentales à cause de leur sentiment de culpabilité envers les Juifs, a peu de chances de réussite sur d'autres consciences moins influençables. Or SANGOCO continue à bénéficier de la solidarité au sein du mouvement anti-raciste, spécialement de la part des ONG africaines et des descendants africains. Ces alliés ne montrent aucune l'intention à suivre les directives des ONG juives.

3. LA TENTATIVE D'AFFAIBLIR SANGOCO - Il s'agit là d'un autre aspect de la stratégie post-Durban des ONG juives, à savoir affaiblir, voire humilier SANGOCO, particulièrement en invitant les donateurs éventuels de cette organisation à lui refuser toute contribution. Après avoir réussi à mobiliser la forte communauté juive d'Afrique du Sud contre SANGOCO, les ONG juives ont commencé à mettre la pression sur les donateurs onusiens, les mettant en garde contre tout fonds qui serait versé à cette organisation. Ceci ressort nettement des lettres envoyées aussi bien au Secrétaire général de l'ONU qu'à la Haute-Commissaire chargée des Droits de l'Homme.

AU-DELA DES PASSIONS, CONSTRUISONS UN SEUL ET SOLIDE MOUVEMENT GLOBAL CONTRE LE RACISME

Il apparait clairement que les ONG juives ont la volonté de punir SANGOCO pour son crime de lèse-majesté (l'absence de repression de sa part contre des groupes antisémites à Durban). Il est parfaitement clair aussi que les ONG juives sont en train de tenter de tirer la communauté des ONG vers un judéo-centrisme totalitaire et à courte-vue : comme en ce qui concerne la Déclaration et le Plan d'Action des ONG, un mouvement anti-raciste global n'est acceptable que s'il ne présente rien qui puisse titiller ou irriter l'égo juif. Il est dès lors clair également que le seul résultat valable de la campagne des ONG juives contre le document des ONG et contre SANGOCO ne peut qu'être la déchirure du mouvement anti-raciste.

D'autre part, il est tout à fait clair que SANGOCO ne peut en aucun cas être traitée comme une organisation raciste ou antisémite. Surtout, elle n'a aucune leçon à recevoir de qui que ce soit en matière de lutte contre le racisme et toutes autres formes de discrimination. Elle n'a en tout cas pas à recevoir une telle leçon de la part des ONG juives particulièrement : combien d'entre elles ont-elles condamné et engagé des actions contre l'Etat d'Israël, un des derniers et importants soutiens au régime défunt d'Apartheid ? Les membres de SANGOCO ont en toute indépendance procédé à leur propre autocritique quant à leur action durant tout le processus de Durban. Ils ont nettoyé de leur organisation des élements extrémistes ayant joué un rôle néfaste à Durban. Pour clarifier les choses autant que pour les besoins de bonnes relations, ils ont lancé en Afrique du Sud un dialogue constructif avec la communauté juive locale (qui fut pro-Apartheid, à l'exception de quelques uns qui furent notamment des membres proéminents de l'ANC, et même si lors de la post-Apartheid Commission Vérité et Réconciliation, elle a fait son mea culpa). Tout cela est déjà suffisant pour montrer leur bonne foi ainsi que le fait qu'ils ont pris en compte les critiques sur leur action. Que veulent d'autre les ONG juives pour calmer leur colère ? Que SANGOCO soit définitivement dissoute, comme y appelle COBASE ? Ou aimeraient-elles voir les responsables de SANGOCO venir à elles à genoux pour leur demander pardon ?

Regardons plutôt au-delà de nos passions, frustrations et complexes afin de construire un mouvement global fort et unique contre le racisme et l'antisémitisme. Ce mouvement ne pourra jamais s'ériger si nos énergies et nos dynamiques se focalisent sur les attaques des uns contre les autres.

S'il vous plaît, amis et camarades de lutte juifs, SANGOCO vous a entendu.
Nous tous vous avons entendu. Votre campagne contre cette organisation est contre-productive pour notre lutte commune. Allons maintenant de l'avant et soyons constructifs, sans toujours tourner en rond autour du même petit point.

Le judéo-centrisme dans le cadre d'un mouvement global contre le racisme signifie la négation ou à tout le moins la marginalisation des autres victims. Comme le montrent suffisamment les ONG juives ainsi que la Haute-Commissaire de l'ONU chargée des Droits de l'Homme, Mary Robinson, par leur position unifocalisée et, du reste, ne reposant sur rien d'objectivement tangible, par rapport à la Déclaration et au Plan d'action des ONG. Il s'agit là d'une tendance qui n'est ni raisonnable ni appropriée pour le futur de notre lutte commune ainsi que par le caractère anti-discriminatoire de la logique, des valeurs et des buts d'une telle lutte.

Tous victimes, tous unis, tous reconnus !

Peace,

Mutombo Kanyana,
Rédacteur en chef de la revue Regards Africains
Membre du Groupe de Réflexion et d'Action contre le Racisme anti-Noir
(branche du Forum suisse contre le Racisme)
Genève - Suisse


http://www.wasadugu.org/rd.php3?id=600882
_________________
"tout nèg a nèg

ki nèg nwè ki nèg klè
ki nèg klè ki nèg nwè
tout nèg a nèg

nèg klè pè nèg nwè
nèg nwè pa lè wè nèg klè
nèg nwè ké wéy klè
senti i sa roune nèg klè
mè nèg klè ké wéy klè a toujou nèg

sa ki fèt pou nèg vin' blang?
blang té gen chivé pli long?
pou senblé yé nou trapé chivé plat kon fil mang!!!
mandé to fanm...!
mè pou kisa blang lé vin' nwè?
ha... savé ki avan vin' blan yé té ja nèg!

a nou mèm ké nou mèm dépi nânni nânnan...
chinwa soti, kouli soti, indyen soti, blang soti
mèm koté nèg soti

avan yé sotil koté y fika
AFRIKA!!!"

[besbar9]

Non, ce n'est pas un mythe. Des juifs ont été esclavagistes et ont pris une part active à la plus grande souffrance de l'Humanité.
Il ne faut pas que l'opinion publique internationale en soit informée, alors on fait taire ceux qui osent demander aujourd'hui réparation à l'Histoire en les taxant d'antisémite.

Un exemple parmi d'autres : à Bordeaux, David, Samuel et Abraham Gradis ont bâti une immense fortune comme marchands d'esclaves.

http://www.ge.ch/grandconseil/data/texte/IUE00051.pdf

http://www.henokiens.com/index_gradis_gb.php

http://www.jewishencyclopedia.com/view.jsp?artid=849&letter=S&search=slave%20trade

[Makaveli]

Je me demande bien par quel tour de passe passe des juifs n'auraient-ils pas pu être impliqué dans le Yovodah alors que si l'on regarde les débuts de l'antisémitisme anti-juifs en Europe, l'une des causes en était assurément leur place prépondérante dans le secteur bancaire. Le yovodah était un business avant tout, et de surcroit de très grande échelle...

Qui dit business dit banques...

Sauf mention spéciale de la torah, rien ne les empéchaient d'y participer...et ils ne se sont dc pas génés pour le faire.

Cependant ils ne sont pas à mettre dans un sac à part.Ils ne sont pas à l'origine de la déportation, ce sont les catholiques et leur pape qui ont ce poids à porter.
_________________
The african holocaust continues...