Skank Bon posteur
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Posté le: Mer 13 Avr 2005 17:34 Sujet du message: QU’EST-CE QUI PEUT SAUVER LES NOIRS ? |
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QU’EST-CE QUI PEUT SAUVER LES NOIRS ?
Contenu :Historique rapide d’arriération des Noirs, Les Noirs, le peuple le plus arriéré et aliéné de l’Histoire et de la Terre ?, L’impuissance ou incapacité du Noir de se prendre en mains, En cela, les Noirs sont en danger de mort …, D’où la question finale : qu’est-ce qui peut sauver les Noirs des ses dangers ?
Il y a quelque temps, j’avais posté un topic « Qu’est-ce qui peut sauver l’Afrique ». Je décrivais un peu mes observations sur le terrain, le quotidien dans un certain nombre de pays africains que j’avais traversés. Je m’étais finalement contenté de décrire un espace géographique sans insister sur les gens qui vivent dans cet espace. Or, si un espace géographique quelconque est en danger, c’est avant tout ses habitants, ses occupants qui sont en danger. Avec cet autre topic donc, je vais me rattraper. Je vais parler des Noirs. Une précision cependant : lorsque je parle de l’Afrique, je vais au-delà du continent. Je parle de toutes les terres habitées par les enfants d’Afrique. L’Europe, l’Amérique, les Iles, … ce sont pour moi des bouts d’Afrique. Avec le terme « les Noirs », je dépasse le cadre africain, pour parler du Noir universel, des Noirs du monde entier, partout où ils se trouvent.
Je repose ma question : qu’est-ce qui peut sauver les Noirs ? De quoi ? Je ne connais vraiment pas une autre espèce d’homme que les Noirs qui vive ce que ces derniers vivent depuis des siècles : partout où les Noirs se trouvent sur cette terre, ils sont les plus misérables, les plus malades, les plus méprisés, les plus opprimés, les plus massacrés, etc. S’il y a quelque chose en commun entre un Noir d’une banlieu française, d’une ghetto américaine, d’une favela latino-américain, d’un taudis africain, ce n’est pas seulement leur identité originaire qu’est leur couleur Noir. C’est aussi l’injustice, la misère, … Le Noir est cet être sur qui n’importe qui peut taper en permanence sans qu’il soit nécessaire de s’excuser. Le Noir est cet être dont on nie tout passé humain, toute sensibilité humaine, toute revendication légitime. C’est être qu’on sert les miettes en dernier et qui applaudit plus que les autres en disant « je me contente de ça, j’ai failli ne pas l’avoir ». Il n’y a pas une seconde qui se passe sans qu’un Noir soit victime d’une injustice, d’une brimade, d’une brutalité, … uniquement en raison de la couleur de sa peau. Pour quoi autant de haine contre et entre les Noirs ?
[b]Historique rapide d’arriération des Noirs
Lorsque nous examinons de près le discours sur les Noirs, nous remarquons une chose : les autres espèces humaines détestent les Noirs parce qu’ils ont décrété que le Noir n’était pas un homme. L’homme Noir a été nié, dépecé, désintégré, détruit, effacé de l’espèce humaine.
L’homme Noir a été nié dans sa substance même. Vous voyez de quoi il s’agit en parlant de substance ? Ces éléments subtils, invisibles à l’œil nu dont la masse finit par composer un tout ensemble grossier, palpable, mouvant. Comme par exemple, un tronc d’arbre, l’eau, le feu, notre corps. Or, un philosophe grec cité dans le Code Noir ou le Calvaire de Canaan (je ne me souviens pas du nom, je n’ai pas le livre à ma portée) dit, en parlant de l’infériorité des Noirs, que même le sperme des Noirs est Noir preuve de leur malédiction. Et en maudissant Cham et sa descendance, la bible a maudit la substance même de Cham.
L’homme Noir a été nié dans son être conscient et raisonnable : « Dieu ne peut pas mettre une âme dans un corps si noir, … »
L’homme Noir a été nié dans son essence physique, en tant que réalité vivante : toute les descriptions à propos des Noirs font d’eux des êtres bizarres qui ne méritent que la haine des humains, qui ne sont même pas digne de l’affection donnée aux animaux, …
L’homme Noir a été nié dans son essence métaphysique : il n’est reconnu nulle part aucun capacité à l’homme Noir d’expression d’une pensée métaphysique. Il n’a rien inventé, il ne connaît pas l’art, il ne connaît ni Dieu ni les sciences, etc.
Relisez donc la bible, le coran, la torah et les classiques du 15ème à nos jours à propos des Noirs !
Une fois l’homme Noir nié dans sa totalité, qu’est-ce qui reste ? On peut en faire ce qu’on veut. Celui qu’on ne tue pas, on le recréer, le modifier à l’image de ce qu’on veut. C’est ainsi que l’homme Noir fut le premier organisme géant, intégralement (pour ne pas dire génétiquement) modifié.
Dans la pratique, afin de justifier les affirmations précédentes, les liquidateurs de l’Homme Noir ont pris soins de piller, de voler de maquiller ou de falsifier les créations, les inventions, toutes les marques historiques, artistiques, scientifiques, … de l’Homme Noir. C’est comme ça que se passe avec l’histoire des hommes. Tout vaincu est dépouillé et laissé nu avant d’être exposé sur la place publique pour une séance de moquerie et d’humiliation. Pour les Noirs, ça dure quelques 2500 siècles.
Mais cela n’eût été possible sans l’accomplissement d’un travail préalable qui se fait dans toute guerre : l’anéantissement de l’élite Noire. Pour que les Noirs en arrivent où ils en sont aujourd’hui, c’est qu’il a fallu exterminer les meilleurs d’entre eux. Tout ce qui pouvaient faire preuve d’une certaine résistance, intellectuelle, militaire, politique, économique, scientifique, etc.
Tout le monde le sait, une société sans élite ni leader, devient une société des parias, vaincue et soumise à la volonté du vainqueur. Les vainqueurs des Noirs ne s’en sont privés : l’Homme Noir a été soumis à une transformation profonde, complète et intégrale. Ses vainqueurs ont fait de lui une créature radicalement différente de ce qu’il était originairement. Pour comprendre les métamorphoses imposées aux Noirs, je vais illustrer mon propos par l’eau : prenez l’eau propre, potable. Ajoutez-en de la poussière, du gravier et du sable, des morceaux de bois et de pailles … vous obtiendrez, à partir de votre eau originaire, une eau sale bien boueuse radicalement différente de la première.
Ainsi les Noirs furent-ils soumis aux viols pour souiller leurs substances. Il fut interdit d’utiliser et d’enseigner leurs techniques pour répondre aux besoins de leur vie quotidienne, leurs recherches et inventions pour améliorer leurs outils et moyens furent estompés, il leur fut interdit de parler leurs langues, de porter leurs noms. Il leur fut même inoculé le mépris et la haine de soi. Non satisfait de porter les mêmes noms que leurs vainqueurs, de parler leurs langues, de penser et raisonner comme eux, d’apprendre leurs sciences et leurs religions, le Noir entreprit et fit comme il pouvait pour se transformer physiquement en vue de leur ressembler. Blanchiment de la peau, port des déguisements sous forme de perruques sont les tristes marques d’arriération de bon nombre de femmes et d’hommes Noirs de ce début du 21ème siècle. Mais l’Homme Noir ne pouvait pas être définitivement atteint sans lui avoir inspiré le reniement de son essence même : ses ancêtres. Aujourd’hui l’Homme Noir se soumet volontiers au culte des ancêtres arabes et blancs judéo-chrétiens et traitent les siens de « diables ». D’autres éprouvent une honte presque mortelle d’avoir une quelconque filiation avec la terre de ses ancêtres : l’Afrique. La coupure nette de ce fil conducteur qui permet à chaque peuple de s’abreuver aux sources des origines de sa vie même, fut le moyen le plus sûr de la mort définitive de l’Homme Noir.
Les Noirs, le peuple le plus arriéré et aliéné de l’Histoire et de la Terre ?
Le Noir d’aujourd’hui est comme cette eau polluée. Il est comme cette eau, au départ propre et potable, mais dans laquelle on a mis maintenant des substances et autres corps lourds, insolubles et indigestes. C’est une créature amalgamée de substances exogènes qui font de lui un être mi-homme, mi bête sans repère autocentré. Qui croirait qu’une eau boueuse ait été, un jour, propre et potable en voyant l’amalgame de tous les corps qui l’emplissent ?
Le Noir d’aujourd’hui est le produit de plus de deux millénaires de lavage de cerveau et de pollution. Il n’est pas ce qu’il croit être parce qu’il est le seul à brader sa substance, à mépriser et à rejeter sa science, ses traditions, son nom, sa religion, ses ancêtres, etc. Désormais, ce que le Noir pense, apprend, fait, mange, lit et même écrit … porte la marqué de son mépris, de son reniement, etc.
L’attitude, le comportement, la culture du Noir d’aujourd’hui reflètent tous cet être pollué, nuisible à lui-même.
Le problème d’ailleurs, c’est que le Noir n’en est pas toujours conscient. Si une marre boueuse pouvait parler et qu’on lui disait : « sais-tu que tu es, à l’origine, une eau propre et potable ? ». Elle répondrait sans doute : « je suis bien comme ça. Je m’en fous de que j’étais hier ». Elle nierait même probablement qu’il puisse y avoir une eau différente d’elle. Or, l’eau boueuse, parce que boueuse justement, on peut pisser dedans, déféquer, jeter des ordures, etc. L’eau propre, tout le monde l’adore et la protège.
Le Noir d’aujourd’hui est une nouvelle créature obtenue à partir de l’ancien Noir, original. Cette créature, nous l’avons dit, a été modelée à l’image de son créateur, selon ses désirs et plaisirs. Voilà pourquoi ce Noir peut sans aucune contrainte aujourd’hui donner sa substance pour la modifier, transformer son corps, abandonner ses noms et son culte au profit de son dominateur. Voilà pour quoi il peut lui donner les clés de ses grainiers, de sa santé, de son éducation, de sa sécurité, … parce qu’il est incapable de déceler les desseins de dominateur.
Le processus d’arriération et d’aliénation du Noir a entraîné l’effet recherché par le dominateur vainqueur, à savoir :
L’impuissance ou incapacité du Noir de se prendre en mains.
Ce n’est pas un hasard si les Noirs sont les plus pauvres et plus désordonnés de tous les hommes. La très grande majorité de la population Noire vit de l’assistance extérieure. Ce sont les ONG occidentales qui se sont substituées aux pouvoirs publics quant à la gestion et à l’administration des populations Noires. Les Etats des Noirs, les populations Noirs elles-mêmes ne sont pas capables de pourvoir aux besoins des membres de leur société en toutes matières : nourriture, logement, habillement, hygiène, éducation, eau et énergie, santé, etc.
Une petite ONG occidentale d’à peine un budget annuelle de 10 millions d’euros est capable de faire la loi dans plusieurs dizaines d’Etats Noirs, alors que ces derniers ne sont même capables de construire un puit rural sans l’intervention des dites ONG.
La pollution du Noir a fait de lui le seul être humain sur terre incapable de penser et de satisfaire son propre bonheur par ses propres moyens en toute autonomie – derrière chaque réalisation du Noir, si petite soit-elle, il n’est pas surprenant de voir qu’il y a toujours un tutelle blanc – à tel point que même ce qu’il croit être ses institutions n’est qu’un édifice de son dominateur. Vous vous souvenez ? Le Noir lui-même est une construction réussie de son vainqueur. Comme tout artiste content de son œuvre, Il a donc fallu que ce dernier installe sa créature dans un cadre bien à lui, crée aussi à cet effet. Voilà pour quoi, même les Etats des Noirs, d’où sortent toutes les richesses du monde, tiennent grâce à « l’aide internationale ». L’homme Noir est tombé si bas que pour nourrir sa famille, la soigner, bref, faire face à ses responsabilités, il lui faut à chaque fois l’assistance étrangère.
Il faut bien comprendre en quoi son arriération et son aliénation l’ont conduit à ce bas étage. Reprenons l’exemple de notre eau. Le propre de l’eau boueuse, l’eau polluée, c’est de créer un amalgame lourd, qui fait disparaître l’eau d’origine, propre et potable. C'est-à-dire que l’action chimique provoquée par la rencontre de l’eau propre et ces autres corps qui l’ont polluée, c’est celle de la désintégrer, l’éclater, l’éparpiller, la diviser et la rendre vulnérable.
Les Noirs sont devenus pareils dès leurs rencontres avec leurs vainqueurs. Ils sont devenus des êtres désintégrés, éclatés, divisés, … Comme la poussière, les graviers, le sable et autres corps lourds rendent difficile à l’eau de retrouver son unité d’origine, de même les idées, comportements, attitudes, mentalités, enseignements, opinions, autres préjugés inculqués au Noirs et véhiculés sur lui, sont tellement lourds qu’ils ont dissout la capacité des Noirs de retrouver leur unité d’antan. Le Noir, individuellement, est un être confus, désintégré, dissout, arriéré, aliéné, … qui n’a pas d’unité avec lui-même, qui ne connaît ni harmonie ni ordre dans son existence. Il faut qu’il singe tout le temps, son existence même. Les Noirs, en tant que collectivité, sont des êtres dispersés, perdus, incapables de s’unir, c'est-à-dire, de créer de l’ordre entre eux. Voilà pour quoi tout est possible avec le Noir. Voilà pour quoi tout est possible avec cet être sans repère, y compris son autodestruction.
En cela, les Noirs sont en danger de mort …
C’est un euphémisme, n’est-ce pas ? Qu’est-ce qui reste à un peuple dont les membres sont capables de volontairement se renier ? Or, les actes de ce reniement sont divers et variés : les métissages qui ne sont pas nés des amours saines. La conversion dans des cultes étrangers (notamment musulmans et chrétiens), les transformations corporelles et autres déguisements et maquillages grotesques. Nous terrons les démarches de certains groupes dits « ethniques » comme certains tutsi du Rwanda et du Burundi qui, buvant l’idéologie raciste véhiculée au début du 20ème siècle, tentent aujourd’hui de renier leur négritude et de s’attacher aux juifs !!! Le ridicule ne tue pas ! Si donc les ces tutsi ne sont pas capables de convaincre les juifs que se sont eux les tutsi, nous voyons de quel côté se trouve de cette maladie honteuse appelée, le complexe … Passons !
Est-il nécessaire de redire que toute personne qui n’a aucun pouvoir sur sa personne, n’a non plus aucune maîtrise sur ses biens. Souvenez-vous des handicapés mentaux. Ils sont déclarés incapables. Même majeurs, ils ont besoin d’être assistés. Cependant, les handicapés mentaux sont des êtres humains comme les autres qui souffrent simplement d’un retard grave dans leur développement psychomoteur. Ne demandez donc pas aux Noirs de créer des industries, de gérer les grandes entreprises, de diriger les Etats prospères, s’ils ne sont pas eux-mêmes capables de donner une orientation claire à leur propre conduite, pensée, personnalité, mentalité, etc. Car, de tout ce qui précède, nous voyons que les Noirs sont des êtres qui se fourvoient dans un monde qui les dépassent. Ils sont au milieu de tous les dangers qui ne concernent qu’eux. Ils nagent dans des eaux troubles risquant d’être emportés à tout moment. Ils sont assaillis de tous les côtés et par tous les dangers dont ils doivent sortir vainqueurs ou périr définitivement.
D’où la question finale : qu’est-ce qui peut sauver les Noirs des ces dangers ?
Cette question est posée à tout Noir. La poser ainsi à tout Noir, revient à lui demander : Eh ! Frère, quel est ton plan d’évacuation ? Quelle ta stratégie de sauvetage de ton peuple ? Que comptes-tu faire pour sauver ton peuple ?
Pour quoi la question est posée à chaque Noir ? Parce qu’il faut que nous les Noirs, arrêtions d’être stupides, bêtes et naïfs. Ça fait plus de deux millénaires que le Noir est objet de persécution, de traque, de moquerie, d’injustice, de brutalité et autres actes d’inhumanité de la part d’autres peuples. Il n’a jamais eu ni défenseur ni protecteur. Tout le monde s’en est donné à cœur joie. Seul le Dieu de ses ancêtres a toujours veillé à son Germe Divin …
La génération d’aujourd’hui peut ainsi voir, voire contempler les souffrances endurées par notre peuple sans que personne n’exprime aucune indignation. Les témoignages historiques sont abondants. Et ce n’est pas par hasard si le Dieu de nos ancêtres a voulu que ce soit à partir de notre génération que la vérité soit révélée. Il fut un temps de souffrance silencieuse. Il fut un autre de recueil, d’enregistrement et d’accouchement douloureux des témoignages sur les atrocités infligées à Notre peuple parce qu’elle était Noire. Aujourd’hui c’est un autre temps. Celui de la connaissance, de la prise de conscience et de la préparation de l’action.
L’eau propre reste boueuse et polluée aussi longtemps qu’elle reçoit les corps étrangers qui la désintègrent. Les Hommes Noirs restent désunis aussi longtemps qu’ils ignorent leur vraie histoire et se content de boire les contes fantastiques des autres peuples. S’il nous est donné à nous, de prendre connaissance de la vérité, c’est que notre génération a pour devoir de porter au plus haut point cette conscience historique et la retrouvaille de l’unité de l’homme Noir. C’est que notre génération a pour devoir d’initier, de préparer et d’entamer le sauvetage de notre peuple. Nos aînés nous ont préparé le terrain en nous laissant les témoignages précieux. Nous avons le devoir d’utiliser ces témoignages pour une action libératrice.
Il est demandé à chacun de nous : êtes-vous satisfait de votre sort ? C’est ce monde, c’est cette terre qu’il vous plaît de léguer à votre descendance ? Si oui tant mieux. Vous avez trouvé votre paradis. Si non, c’est que vous avez retrouvé votre propre unité. Vous avez retrouvé l’intégralité de votre personne et l’harmonie de votre conscience. Vous êtes prêts de créer un Nouvel Ordre : c’est le moment de commencer les changements importants dans votre vie et l’avenir en dépend.
Oui ! Le Noir conscient est un Noir qui a retrouvé sa liberté. Il n’est plus un solitaire désintégré, ténébreux et dissout. C’est un Homme plein et intégral qui sait vite reconnaître d’autres comme lui prêts à libérer les leurs.
Voyez donc, résumons-nous. Puisque les Noirs n’ont jamais eu ni défenseur ni protecteur, il leur revient de se sauver tous seuls. Le préalable c’est de retrouver son unité individuelle, c'est-à-dire, avoir la pleine conscience de ce qu’être Noir dans ce monde. Ensuite, rechercher l’unité collective. Chaque Noir conscient a le devoir de rechercher voire de solliciter l’association avec d’autres Noirs dont il partage la vision. Il doit être en quête permanente d’actions à engager, à intégrer ou à soutenir. Car, il n’y a qu’une seule voie de sauvetage, celle de l’unité. Unité de pensée, unité d’action, unité de projet, unité d’intérêt, etc. Que chacun fasse son bilan est qu’il se demande où il en est. |
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