grioo.com

[freeman76]

Belle victoire du Cameroun!! Mais où sont passés nos entraîneurs kamites?Serions nous trop bêtes ? Jusqu'à quand nos pays seront entraînées par le Grand chef blanc. Les indomptables et compagnie auraient-ils peurs?
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Chacun de nous est magique. Chacun de nous est unique. Combien le réalisent ?Et combien meurent trop vite?

[Soundjata Kéita]

Voici ce que j'en pensais au sortir du match France - Côte d'Ivoire :

[freeman76]

la première équipe kamite avoir participé à une phase finale de coupe du monde est le Zaïre en 1974. En 30 ans rien à changer ,tjrs besoin du sorcier Blanc. Le jour qu'on bougera nôtre cu de kamte, se serra de la dynamite. Georges Weah, M'boma & compagnie, redonner nous valeurs. Les vrais, celles africaines
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Chacun de nous est magique. Chacun de nous est unique. Combien le réalisent ?Et combien meurent trop vite?

[Mayombe82]

Qui choisit le sélectionneur? En temps normal, d'abord et avant tout le président de la fédération nationale de football du pays concerné. Si bien sur dans ce pays, les textes le disent bien et s'ils sont respectés.

Souvent le ministre des sports met son grain de sel, mais bon, en matière d'ingérence et de mélange des genres, on peut très bien concourrir aux olympiades.

Un jour, J-A BELL, ex-grand gardien de but camerounais de Bordeaux et Marseille a dit un jour qu'en 40 ans d'indépendance et 50 ans de football, nous étions capables de choisir des dirigeants "couleur locale" mais pas d'entraîneurs "locaux" par contre. On paie des sommes folles les "sorciers" blancs, qu'ils s'appellent Zoran RISTIC (Congo-B mi-années 80), Claude LEROY (Cameroun, Sénégal), qui souvent ont des résultats mitigés, mais cela ne dérange pas nos dirigeants. Combien même ces coachs ont les mêmes diplômes que les nôtres. Cependant, force est de constater que le foot est malheureusement un peu à l'image de nos sociétés. Il les reflète même très bien. Combien sont payés les "coopérants" de tous poils qui sévissent dans nos ministères et présidences de la république? Des millions et des millions, alors même que nos ingénieurs et docteurs doivent trimer comme des dingues pour avoir 1 à 50% de ce que leurs collègues, à compétences égales voire moins compétents gagnent. C'est la colonistaion qui continue à tous les niveaux! Il y a tant et tant à dire.

@+, M82

[M.O.P.]

[freeman76]

Qui connait d'autres entraîneurs Kamites ?
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Chacun de nous est magique. Chacun de nous est unique. Combien le réalisent ?Et combien meurent trop vite?

[Mayombe82]

Tu fais bien de rappeler cet épisode heureux de l’histoire des lions avec JP AKONO. Ensuite, qu’est-il advenu de ce grand homme ? Remercié par cette belle fédé camer aussi incompétente que pas mal de ses consoeurs africaines. Un mec comme Winnie SCHAEFFER, dont je ne conteste aucunement le talent, a brillé par sa nullité lors du mundial 2002 en Asie, dans un groupe, il faut bien le reconnaître, où il n’y avait aucun foudre de guerre. Ce mec a été reconduit par la suite, pour se faire sortir de la CAN 2004 par un entraîneur…kamite ! En la personne de Christian CHUKWU, ex élégant et très grand milieu de terrain nigérian. Voilà un entraîneur kamite. Il y en a d’autres. Le ghanéen Cecil ATTAQUAEFFOH (j’écorche son nom, je ne sais plus trop comment ça s’écrit !) a conduit pour la 1ère fois de leur histoire les écureuils du Bénin en coupe d’Afrique, il y a un an. On a pu apprécier la bonne qualité du jeu et la prestation plus qu’honorable de cette jeune équipe. Stephen KESHI, ex capitaine des Eagles nigérians, défenseur rugueux plain de titres (CAN, finale de C2, championnats et coupes belges avec le RSC Anderlecht) dirige depuis peu les éperviers du Togo, qui a un pied en Allemagne, au nez et à la barbe des lions sénégalais qui se s ont endormis sur leurs lauriers asiatiques de 20002. Kalusha BWALYA, ex grand attaquant zambien dirige la sélection nationale des Mighties Zambia.
Ces exemples suffisent à montrer que des coaches kamites, ce n’est pas ce qui manque.

Sur le continent dit « vieux », il y en deux dont j’aimerais faire état.

Amadou Jean TIGANA a conduit l’AS MONACO en 1997 au titre de champion de France. Ensuite il est allé à Fulham où il a conduit le club pour la 1ère fois en coupe d’Europe, produisant un foot très agréable à regarder chaque fois. Après son départ de ce club, il a été pressenti pour succéder à Jacques SANTINI après le brillant euro français en 2004. Apparemment, il a «payé » le fait d’être le candidat de Michel PLATINI ? Alors que la DTN française voulait absolument placer un des siens, et c’est Raymond DOMENECH qui s’imposa. Mais bon, apparemment ce n’était pas tout comme raison !

Antoine KOMBOUARE, après s’être occupé de la réserve du PSG s’en alla à Strasbourg, où malgré de beaux matches au début, le club sombra, et comme souvent, sa tête tomba. Actuellement, il dirige un club de 2ème division (ligue2).

@+, M82

[Farao]

Qui se souvient de cette CAN remportée par la Cote d'Ivoire au début des années 90 au terme d'une séance de tirs aux buts d'anthologie? Cette année-là leur équipe était la seule coachée par un national.

Je ne suis pas un footeux alors les dates et les noms m'échappent. Mais il me semble que le gardien Ivoirien s'appellait Gouaméné ou quelque chose comme ça... Il était réputé pour sa curieuse habitude de toujours placer son sac de sport à l'intérieur de ses filets...
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Les Vrais savent. Préviens les autres...

[freeman76]

Etait-ce vraiment un match Cameroun -Cote D'ivoire? Ou France- Portugal?Car j'ai pa eu l'impression que les équipes ne jouaient pas à L'africaine. Par contre quand les africains viennent jouer en Europe ,il me semble que l'on les utilise pour leurs styles de jeux kamites. Quand pensez-vous ?
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Chacun de nous est magique. Chacun de nous est unique. Combien le réalisent ?Et combien meurent trop vite?

[Mayombe82]

[Rocs]

Le togo va se qualifier pour la CM2006 et l'entraineur est togolais.

[freeman76]

Hotep à ttes & ts
Voila une bonne nouvelle. Si vous avez d'autres news n'hésitez pas.Je voudrai savoir si les entraîneurs Kamites sont formés en occident ou Chez les Kamites?
Wonki Djouti He
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Chacun de nous est magique. Chacun de nous est unique. Combien le réalisent ?Et combien meurent trop vite?

[M.O.P.]

L'essor des sélectionneurs africains
16 septembre 2005
par FIFAworldcup.com


Dans la Zone africaine, les éliminatoires pour Allemagne 2006 ont vu l'émergence de plusieurs sélectionneurs de qualité. Leur point commun ? Ils sont tous originaires du Continent Mère. FIFAworldcup.com vous présente trois d'entre eux. Leur ambition ? Mener leurs troupes en phase finale de la prochaine Coupe du Monde de la FIFA.

Pendant longtemps, le football africain a utilisé le savoir-faire d'entraîneurs étrangers. Appelés "Mister" ou "Monsieur" en fonction du pays dans lequel ils travaillaient, ceux-ci venaient souvent d'Europe avec comme mission de faire bénéficier telle ou telle sélection de leur connaissance du jeu.

Parmi ces coaches, certains sont devenus des héros, à l'image du Français Philippe Troussier. Surnommé le "Sorcier blanc", l'ancien patron du Burkina Faso, de l'Afrique du sud et du Nigeria mérite sans aucun doute sa réputation, tout comme d'autres manitous importés du Vieux Continent. En fait, quasiment toutes les accessions de nations africaines en phase finale de Coupe du Monde de la FIFA ont nécessité l'intervention, à un moment ou à un autre, d'un technicien européen.

L'un des points positifs de la compétition préliminaire à Allemagne 2006 a été l'éclosion de jeunes et talentueux sélectionneurs made in Africa. FIFAworldcup.com examine le parcours et les méthodes de trois d'entre eux.

Keshi : "Demander l'impossible."

Dans un groupe comptant des cylindrées comme le Sénégal, la Zambie et le Mali à l'affût d'une qualification pour la Coupe du Monde de la FIFA et la Coupe d'Afrique des Nations 2006, le Togo faisait à peine figure d'outsider. Mais impossible n'est manifestement pas togolais. A ce jour, les Eperviers ont déjà leur billet pour la CAN et ils sont à 90 minutes de leur première qualification pour le grand rendez-vous mondial.

Après leur victoire 3-0 face au Libéria, le 4 septembre dernier à Lomé, un match nul suffira aux Togolais, lors de leur ultime match du Groupe 1, contre le Congo à Brazzaville, pour rejoindre la crème du football mondial l'été prochain. "J'ai toujours cru en mes joueurs et je leur rappelle inlassablement quelles sont leurs qualités", explique le sélectionneur du Togo, Stephen Keshi. Aujourd'hui âgé de 43 ans, il a lui-même participé à une Coupe du Monde de la FIFA (Etats-Unis 94) avec le Nigeria, et connu une belle carrière de joueur, en Belgique d'abord, puis en France. "Si vous voulez atteindre un objectif, commencez par demander l'impossible", aime-t-il à affirmer.

Avant d'accepter de prendre en charge la sélection togolaise pour une durée de deux ans, Keshi a été entraîneur-adjoint des Super Eagles. L'expérience a pris fin suite à la demi-finale de CAN 2002, perdue contre le Sénégal. Suite à cet échec somme toute relatif, le sélectionneur Amodu Shaibu et ses deux adjoints (Keshi et Joe Erico) avaient été remerciés. Dès son arrivée au Togo, l'ancien capitaine des Super Eagles à USA 94 s'est vu donner les moyens de travailler dans de bonnes conditions. Les résultats ne se sont pas fait attendre.

"Je n'aime pas regarder en arrière, dit-il au sujet de l'épisode CAN 2002. J'ai été très fier quand le Togo a décidé de me faire confiance. Le chef d'Etat m'a directement contacté pour me dire que si j'avais besoin de quoi que ce soit, je devais l'en informer." Avec un soutien pareil, qui sait jusqu'où Keshi emmènera le Togo ?

Ezaki redonne du mordant aux Lions de l'Atlas

Badou Ezaki, gardien et capitaine du Maroc lors de la Coupe du Monde de la FIFA, Mexique 1986, est aujourd'hui sélectionneur de son pays. Il a dans un premier temps été nommé entraîneur par intérim, son prédécesseur n'ayant pas "survécu" aux piètres performances des Maghrébins en éliminatoires de Corée/Japon 2002, ainsi qu'à la CAN 2002. Ezaki a ensuite été confirmé dans ses fonctions pour une durée indéterminée.



Cela ne s'est pas fait dans la plus grande simplicité, comme il le raconte à FIFAworldcup.com : "Ici, les grandes instances du football y réfléchissent à deux fois avant d'accorder leur confiance à un coach marocain. Pour un enfant du pays, la pression est beaucoup plus forte et les critiques, plus virulentes que pour un entraîneur venu de l'étranger. Evidemment, cela ne nous facilite pas la tâche."

Depuis qu'il est devenu pleinement responsable de l'équipe nationale, Ezaki a effectué d'importants changements, écartant plusieurs "anciens" pour faire place à de jeunes talents comme Jaouad Zaïri, Marouane Chamakh et Youssef Hadji. "Je savais que je prenais un risque, mais j'ai finalement été récompensé de mes efforts", analyse-t-il.

Ezaki a réussi à conduire sa jeune garde jusqu'en finale de la Coupe d'Afrique des Nations 2004, où les Marocains se sont inclinés face à la Tunisie, pays organisateur. Ils auront l'occasion de prendre leur revanche le mois prochain à Tunis, où les deux rivaux nord-africains se retrouveront pour le dernier match du Groupe 5. Une victoire est impérative si Ezaki et les siens veulent passer l'été prochain en Allemagne.

Gonçalves à bonds d'antilope

Autre pays, mêmes mœurs. Il aura en effet fallu un certain temps avant que la Fédération angolaise laisse un sélectionneur local voler tout seul aux commandes des Palancas Negras. Luis Oliveira Gonçalves a d'abord reçu les rênes de l'équipe nationale de façon temporaire, à la veille du match retour de l'Angola face au Tchad, au tour précédent des éliminatoires pour la Coupe du Monde de la FIFA 2006. Battus 1-3 à N'Djamena, les hommes de Gonçalves ont réussi à renverser la vapeur en s'imposant 2-0 à domicile un mois plus tard, accédant à la phase de groupes grâce au but marqué à l'extérieur.



Depuis que Gonçalves est devenu patron à part entière, l'Angola a volé de victoire en victoire. "Les entraîneurs natifs connaissent mieux la mentalité des joueurs africains que leurs homologues étrangers, affirme-t-il. Cela va de soi." Gilberto, milieu de terrain des Palancas Negras, confirme : "Il nous accorde le respect dont nous avons besoin et, en retour, nous donnons le meilleur de nous-mêmes. Ça fait longtemps qu'il est avec nous. Il connaît nos problèmes et il sait comment les résoudre".

Gonçalves n'en est pas à sa première expérience d'entraîneur national, puisqu'en 2001 il avait remporté le titre continental avec les juniors Angolais. C'est sous sa houlette également que la même année, les U-20 avaient atteint les quarts de finale du Championnat du Monde Juniors de la FIFA en Argentine. Il se retrouve aujourd'hui à une rencontre de ce qui ferait sans aucun doute de lui un héros national : une première qualification pour une phase finale de Coupe du Monde de la FIFA. Pour cela, il faudra battre le Rwanda chez lui, lors du dernier match du Groupe 4, le 9 octobre prochain à Kigali.

La règle, pas l'exception

Keshi, Ezaki et Gonçalves ne constituent pas des exceptions. Parmi les entraîneurs africains qui ont le vent en poupe, on peut encore citer le Zambien Kalusha Bwalya, dont les Chipolopolo sont déjà qualifiés pour la prochaine Coupe d'Afrique des Nations. Celle-ci aura lieu en Egypte, autre pays ayant décidé de faire appel à un sélectionneur du cru, en la personne d'Hassan Shehata. L'exemple le plus récent est l'ancien international nigérian Austin Eguavoen, dont la première sortie en tant que patron des Super Eagles, début septembre, s'est soldée par un convaincant 5-2 face à l'Algérie, permettant ainsi au Nigeria de rester dans la course à la qualification pour Allemagne 2006. Comme on le voit, le Continent Mère version football peut désormais compter sur ses fils.
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La vie est un privilege, elle ne vous doit rien!
Vous lui devez tout, en l'occurence votre vie

[freeman76]

Hotep à ttes & ts
Les lions se sont fait dompter (chui triste).
Mais pourquoi avoir pris comme entraineur Arthur Jorge ( 1 facho de 1ère)?On peut pas avoir 1 entraîneur qui n'adhére pas à la culture Kamite.
J'espère que ça servira de leçon aux dirigeants.
& Pourquoi ils n'ont pas pris celui qui a fait gagner le Cameroun aux JEUX Olympiques?
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Chacun de nous est magique. Chacun de nous est unique. Combien le réalisent ?Et combien meurent trop vite?