Le Cameroun doit affronter la Côte d'Ivoire samedi en quart de finale au Caire. Pour Samuel Eto'o, ce sera l'occasion de briller une nouvelle fois et peut-être de marquer après avoir déjà inscrit quatre buts depuis le début de la compétition. Mais au delà de son statut de "star" du Cameroun, Eto'o se voit davantage comme un représentant de tout un continent, l'Afrique.
Dans une interview accordée au quotidien L'Equipe, daté de jeudi, Eto'o le clame haut et fort : «A chaque fois que j'entre dans un stade, je représente l'Afrique. Le Cameroun m'a tout donné mais toute l'Afrique doit en profiter». C'est ainsi qu'Eto'o voit les choses, lui qui n'a pas oublié d'où il vient «Quand je suis arrivé, jeune, chez ma soeur à Avignon, je n'ai pas pu sortir de chez elle pour des problèmes de papiers pendant six mois» ni ses débuts à Madrid. «A mes débuts, ma fierté, c'était qu'on puisse me voir à la télé. La première fois, je m'étais mis à côté de Nico (Anelka) car je savais qu'à un moment, il serait filmé. Les gars m'ont dit : "On t'a vu au Real sur le banc à côté de Nico". C'était beau, j'étais heureux. Je ne savais pas qu'un jour, un président serait assez fou pour payer autant pour Samuel».
Le Barça ? Eto'o s'y sent très à l'aise. «J'ai eu la chance de rejoindre un club où des joueurs importants me permettent d'améliorer mon jeu, de montrer mon talent». Son seul regret ? Qu'être Africain ne l'aide pas forcément, notamment lorsque l'on évoque le Ballon d'or. «Si je m'appelais Eto'odinho, je serais cent fois plus reconnu. Mais je ne me plains pas».
Le Cameroun doit affronter la Côte d'Ivoire samedi en quart de finale au Caire. Pour Samuel Eto'o, ce sera l'occasion de briller une nouvelle fois et peut-être de marquer après avoir déjà inscrit quatre buts depuis le début de la compétition. Mais au delà de son statut de "star" du Cameroun, Eto'o se voit davantage comme un représentant de tout un continent, l'Afrique.
Dans une interview accordée au quotidien L'Equipe, daté de jeudi, Eto'o le clame haut et fort : «A chaque fois que j'entre dans un stade, je représente l'Afrique. Le Cameroun m'a tout donné mais toute l'Afrique doit en profiter». C'est ainsi qu'Eto'o voit les choses, lui qui n'a pas oublié d'où il vient «Quand je suis arrivé, jeune, chez ma soeur à Avignon, je n'ai pas pu sortir de chez elle pour des problèmes de papiers pendant six mois» ni ses débuts à Madrid. «A mes débuts, ma fierté, c'était qu'on puisse me voir à la télé. La première fois, je m'étais mis à côté de Nico (Anelka) car je savais qu'à un moment, il serait filmé. Les gars m'ont dit : "On t'a vu au Real sur le banc à côté de Nico". C'était beau, j'étais heureux. Je ne savais pas qu'un jour, un président serait assez fou pour payer autant pour Samuel».
Le Barça ? Eto'o s'y sent très à l'aise. «J'ai eu la chance de rejoindre un club où des joueurs importants me permettent d'améliorer mon jeu, de montrer mon talent». Son seul regret ? Qu'être Africain ne l'aide pas forcément, notamment lorsque l'on évoque le Ballon d'or. «Si je m'appelais Eto'odinho, je serais cent fois plus reconnu. Mais je ne me plains pas».
Papa etoo
Mais son Histoire n'est pas tres claire .
jusqu'ici je savais qu'il est arriver legalement en Europe directemet de la Kadji sport academie . Mais now je ya que le bom est came comme flop de jo sans paper
A moins que les francais (comme d'habitude) ont ajouter un peut de piment a l'interview.
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