grioo.com

[Olmeque]

le journal du dimanche, qui veut se refaire un reputation de subversif et autre alter-mondialiste, au moins le message meme s'il s est voulu timide (raison d etat par le biais du CSA oblige...)le message etait claire et limpide!!
interview de Blé-Goudé
http://www.canalplus.fr/index.php?tpl=274&page=1&mot=guignols&x=4&y=14
clicker sur vidéo

[MICRO]

ça se fait en un quart de seconde.....et ça vaut le detour!

[Olmeque]

t as compris ce ke blégoudé a dit?

[Olmeque]

oui et il denonce la manipulation mediatique, permanente depuis le debut de l'affaire...et il dit aussi que vos dirigeants sont entrain de gater votre nom en afrique. il risque d'y avoir prise de conscience à un moment que la France n est surtout pas l'ami de l'afrique et la façon dont tu as vue courrir les expatriés en cote d'ivoire pour regagner Paris risque de ce produire dans d'autres pays. D' ou la necessité depuis paris de denoncer cette guerre, comme les americains le font chez eux avec la guerre en irak:MANIFESTATION, COLLOQUE!!!

[Benny Da B']

Et il a parlé de la façon dont lui Blé Goudé a courru pour planquer sa femme et ses enfants devinez ou ? ....Dans la patrie du grand satan !

A savoir en france...

AH là là...

[Olmeque]

ce qui veut dire??
et quels sont tes sources???

[Benny Da B']

Ce qui veut dire que tout est bien plus compliqué qu'il n'y parait ...quand à mes sources...c'est de première main.

Mais d'ailleurs il n'est pas le seul, de nombreux chefs des mouvements patriotiques ont leur familles en france. Eugène Djué me l'a dit lui même

[Benny Da B']

A l'origine un collègue de Blé Goudé...il a son mouvement à lui...(Union pour la libération totale de la Côte d'Ivoire)....Mais depuis quelques temps ils deviennent plutôt concurrents

[Benny Da B']

C'est bien ce que je dis...pas de problème pour influer sur la politique française...mais de là à soutenir le Charlot...non merci

[Benny Da B']

Blé Goudé Charles de son prénom

[Olmeque]

je ne comprends pas pkoi les gens s ostine a declaré tout ce qui touche au noir et à l'afrique comme toujours compliqué, ou incomprehensible...c'Est bien vous n avez qu'à continuer...quand vous en aurez assez de vous faire traiter comme des animaux, sans doute les choses commencereront a vous paraitre plus simple...
simple parrallele:ben laden plie les tour a new york, ça n empeche pas bush de couvrir le replie de sa famille...mais biensur comme eux ne sont pas noirs , c est forcement moins compliqués

[Olmeque]

c koi le rapport avec l'immigration???

[Olmeque]

j avais pas ça en tete. je parle d 'en generale, en cote d ivoire et partout dans le monde le noir a un role a mi-chemin entre le singe et lhomme. Et le pire c'est qu il a accepté se role. en ce moment y en a qui ont des opinions divergentes de celles du colons, et ils les defendent à plus qu a 2 ou 3 paumés. C'est assez rare pour etre souligné, et aprecié. malgré les comparaisons grossiere sans fondement, qui d ailleurs ont pour seul de se rendre etincellant aux yeux de la communauté grionautes de certains!!!on avait parler de ce phenomene y a kelkes mois d ailleurs un sujet sur les multiples expresions de l aliénation et notament le cas Senghor...bref ce que ça interresse iront voir de quoi il s'agit et ce qui veulent se désaliéné aussi!!

[Olmeque]

detend toi cherie bibi
pour une fois c est pas sarko le coupable.
il faut que beaucoup de personne voit l interview. Ensuite on verra comment manifester pour ceux qui sont en France

[Gnata]

Olmèque a ecrit :

[Benny Da B']

[Benny Da B']

Gbessé ou Segbé...ca marche dans les deux sens à Chateau Rouge ...ca veut dire "papiers" Chérie Bibi

[Benny Da B']

L'Etat français n'y était pas en effet...je crois que Chevènement a fait le voyage..

[Olmeque]

[Cathy]

[Olmeque]

L’injustice et le désordre

Éditorial (Fraternité Matin)

Confiance ! C'est autour de ce mot que le Premier ministre Charles Konan Banny a bâti sa campagne de communication et de persuasion des Ivoiriens afin qu'ensemble, unis et solidaires, ils donnent une nouvelle chance à la paix. Cette confiance devait, selon lui, instaurer un nouvel état d'esprit basé sur le fait de privilégier, en toutes circonstances et sur tous les problèmes, le dialogue franc et constructif, avec patience, persévérance et flexibilité. Il a insisté pour que les Ivoiriens se sentent frères et sœurs, même dans l'adversité au lieu de se considérer comme des ennemis. Ce discours, basé sur la recherche permanente d'un compromis dynamique, a duré le temps de son état de grâce qui s'est envolé depuis dimanche dernier avec le communiqué du Groupe de travail international refusant la prorogation du mandat du parlement ivoirien. La Côte d'Ivoire est malheureusement revenue à la case départ avec la fracture qui divise à nouveau le pays. La confiance placée jusque-là en l'ONU et en ses démembrements locaux que sont le GTI, l'ONUCI et les forces impartiales a fait place au doute, à une grande suspicion. La méfiance et la défiance ont regagné les cœurs endurcis par trois ans de guerre. Hélas, mille fois hélas !
Les événements de ces derniers jours et les déclarations qui les ont jalonnés constituent une nouvelle chape de plomb sur le processus de paix dangereusement compromis. Des menaces ont été proférées de part et d'autre. M. Pierre Schori, représentant spécial de Kofi Annan en Côte d'Ivoire, au sortir d'une audience très houleuse avec le Chef de l'Etat, M. Laurent Gbagbo, mardi, a clairement signifié sa déception et promis d'aller faire au Conseil de Sécurité son rapport que l'on devine assez dur. Ce même jour, le secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, a, lui aussi, élevé le ton dans un communiqué plein de fermeté. Il a condamné les " violences orchestrées " et " l'inaction de certaines autorités nationales face à cette situation ". Le FPI, par la voix de son président, Affi N'guessan, a, pour sa part, cloué au pilori la passivité de l'ONU qui a pris depuis 2003 une dizaine de résolutions sur la Côte d'Ivoire, a dépêché de nombreuses missions d'experts et entretient plus de 6OOO militaires, inefficaces à ses yeux. Après avoir donné le budget 2006 de l'ONUCI qui se chiffre à 520 milliards, Affi N'guessan insiste sur son incapacité à réussir la réunification du pays, le rétablissement de l'autorité de l'Etat sur l'ensemble du pays, le caractère toujours virtuel du désarmement qui lui paraît "dans l'impasse, insaisissable, incertain". Plus grave, il considère que la communauté internationale a décidé de démanteler les institutions de la République et d’organiser la faillite de l'Etat ivoirien. En conclusion de tout ce qui précède, il a annoncé que le FPI se retirait de tout le processus de paix et cessait sa collaboration avec le gouvernement de transition dirigé par le Premier ministre Charles Konan Banny. En lieu et place, il demande la mise en place d'un gouvernement de libération nationale. En une journée, les efforts de plusieurs mois venaient ainsi de voler en éclats. Hélas, mille fois hélas !
Comment en est-on arrivé à ce recul spectaculaire ? L'analyse froide des faits démontre que le GTI a manqué de psychologie dans la gestion de cette phase cruciale de la mise en route de la feuille de route du Premier ministre. Avec la formation du gouvernement, le Chef de l'Etat a dû affronter le courroux de son parti qui s'est senti dépouillé et banalisé par la perte de tous les grands ministères de souveraineté comme la Défense, l'Intérieur, mais surtout l'Economie et les Finances. A force de persuasion, il leur a démontré que c'était le prix à payer pour aller à la paix. L'on se rappelle que le FPI ainsi que toute la galaxie patriotique avaient donné leur onction au Premier ministre, tout en promettant d'être vigilants dans la conduite des affaires du pays par son équipe. Ils attendaient avec beaucoup d'impatience que la question du désarmement figure au premier chef des préoccupations. Que non!
Trois semaines après la mise en place du gouvernement, le chef de la rébellion, M. Soro Guillaume, ministre d'Etat, ministre de la Reconstruction et de la Réinsertion, continue, comme sous Diarra, à narguer tout le monde par son absence prolongée. Personne n'a osé jusque-là l'interpeller. Ne serait-ce que pour la forme. Le GTI, dont le rôle est justement de suivre la mise en route effective de la résolution 1633, a royalement ignoré cette question lors de sa réunion de dimanche. C'est plutôt l'ambassadeur de France qui s'est déjà rendu à Bouaké pour le rencontrer ; le Premier ministre y était également annoncé cette semaine. Quelle image donne la communauté internationale en mettant constamment la pression sur le Chef de l'Etat tout en ménageant Soro Guillaume ? Ce dernier peut-il encore, après le séjour du président du RDR, M. Alassane Dramane Ouattara, évoquer des problèmes de sécurité ?
Difficile à croire si l'on se fie aux déclarations faites par le leader des républicains qui a annoncé dans la presse cette semaine qu'il arrivait le 20 janvier et que personne ne pouvait l'intimider. ADO a mis en exergue la qualité de la sécurité offerte par les forces impartiales. (C'était bien évidemment avant la fièvre des derniers jours.) Pourquoi le secrétaire général du MPCI continue-t-il de rester à Bouaké alors que ses camarades, dont Dacoury-Tabley Louis André, vivent en toute tranquillité ici à Abidjan ? Si la communauté internationale a décidé de fermer les yeux sur les entraves posées par ces agissements, pourquoi se croit-elle obligée de vouloir chaque fois braver et humilier le camp républicain en bafouant l'avis et les décisions du Conseil constitutionnel et de la Cour suprême ? Pourquoi s'est-elle sentie dans l'obligation de refuser la prorogation du mandat des députés alors qu'après avoir consulté les partis politiques, elle a constaté que, pour une fois, le PDCI et le FPI, qui constituent les 4/5 de l'Assemblée nationale, étaient d'accord ? En agissant ainsi, n'accrédite-t-elle pas la thèse de ceux qui pensent, à tort ou à raison, qu'elle voulait inclure dans la nouvelle Assemblée des non élus du RDR et des Forces nouvelles ?
Aujourd'hui, le PDCI, le FPI et le PIT condamnent la dissolution de fait de l'Assemblée nationale et considèrent que le GTI a dangereusement outrepassé ses prérogatives. Peut-il, au nom de la paix, s'inscrire dans le compromis dynamique et les arrangements politiques qui ont prévalu jusque là ou veut-il à son tour s'enfermer dans un juridisme stérile ?
Au moment où Obasanjo tentait de sauver les apparences, les vrais patrons du GTI clamaient fort à l'extérieur que la décision de ne pas proroger le mandat des députés n'est pas négociable. Félix Houphouet-Boigny, que tout le monde se plaît à citer et dont bon nombre de personnes se réclament aujourd'hui, aimait à dire qu'il préférait l'injustice au désordre car une injustice pouvait se réparer alors que le désordre, une fois installé, était difficile à réparer. Avec la prorogation du mandat des députés, peut-on d'ailleurs parler d'injustice dans cette crise ivoirienne où, au nom de la paix, on a fait l'impasse sur bien des situations, par voie d'amnistie ou d'arrangements politiques au détriment du droit ? La communauté internationale est au pied du mur et face aux principes qu'elle a toujours défendus depuis plus de trois ans, c'est-à-dire abandonner le juridisme aveugle pour des arrangements politiques. N'est-elle pas en train de favoriser le désordre par son manque d'équilibre et de justice ?

Auteur: Jean-Baptiste AKROU

[Gnata]

Griotte ,
on vous a déja dit que cette affaire n'est pas ethnique !
Au lieu de prétendre avoir compris pour désinformer de plus bel avec des copiers-collers de je-ne sais-plus-quel-autre-papier-french, pourquoi ne pas demander ce qui s'y passe ?
De grâce , arrêtez de faire des amalgammes en prennant le combat de libération de certains d'Africanistes Ivoiriens , comme de vulgaires et puérilles grognes de sauvages ethnicisés .
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"Always be intolerant to ignorance but understanding of illiteracy (..)in those homely sayings (mother wit) was couched the collective wisdom of generations" I know why the caged bird sings, p99, Maya Angelou

[Gnata]

Griotte a écrit :