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Prévention SIDA
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Nya
Grioonaute 1


Inscrit le: 07 Mai 2006
Messages: 138

MessagePosté le: Mar 27 Juin 2006 19:43    Sujet du message: Répondre en citant

Je suis du meme avis que leopard noir, nous sommes tous d'accord pour dire qu'il y a beaucoup de désinformation autour de la question "SIDA/HIV", et c'est pour cette raison qu'il nous faut etre vigilants vis-à-vis de ces nouvelles thèses qui d'un défient tous sens logique et de deux, s'appuient sur le fait que le Sida serait une maladie d'homosexuels et de drogués (ce qui est archi-faux!), alors qu'ils n'ont été que les premiers cobayes humains de cette maladie!

Sur les origines du Sida, j'ai un article très intéressant, une communication officielle faite par le Docteur américain L. Horowitz (Suwedi en avait déjà parlé):

L'origine réelle du SIDA

Madame la Présidente, mesdames et messieurs les congressistes, c'est en vérité un grand honneur pour moi que de faire partie de la délégation américaine invitée au Gabon pour présenter les récents développements de la recherche aux Etats-Unis concernant le SIDA. Je suis l'auteur d'un livre qui est un best-seller aux Etats-Unis, et qui s'intitule "Emerging Viruses: AIDS & Ebola - Nature, Accident or Intentional?" (Les virus émergents: SIDA et Ebola. Sont-ils naturels, accidentels ou intentionnels?)
Dans cet ouvrage, j'étudie la possibilité que le virus du SIDA ait été intentionnellement injecté à certaines populations pour provoquer une endémie. Je vous parlerai aussi, dans ma présente communication, d'un de mes articles récents, publié en mai 2001 dans le journal médical professionnel anglais "Medical Hypotheses". J'ai fait tirer à part des reproductions de cet article, que je vous distribuerai demain.

J'avais déjà présenté cette thèse à la 11ème Conférence Internationale sur le SIDA qui s'était tenue à Vancouver en 1996. J'avais cité à cette occasion les chiffres d'une enquete montrant que 65% des Noirs Américains croient que le SIDA est peut-etre un génocide déguisé.

On définit le génocide comme la destruction massive d'etres humains pour des raisons économiques, politiques ou idéologiques.

Dans le numéro d'octobre 2000 du célèbre "American Journal of Public Health", le Docteur Stephen Kunitz, considéré comme le plus important sociologue médical américain, est parvenu à des conclusions qui rejoignent celles du Docteur Adeoye Lambo, Doyen de la Faculté de Médecine de l'Université d'Ibadan au Nigeria. Il a déclaré que chaque fois que le capitalisme, le colonialisme, et l'élite WASP ( White Anglo Saxon Protestant) controlaient la mondialisation, on a toujours pu obsever qu'il en est resulté une destruction massive et systématique de populations indigènes.

Se peut-il que la thèse que je vais vous présenter révèle l'existence d'un génocide ? S'agit-il d'une nouvelle mise en pratique des théories de Machiavel ? C'est-à-dire que l'on aurait volontairement créé un problème pour profiter de sa solution ? Dans ce cas, ce serait l'industrie pharmaceutique qui en serait la bénéficiaire, tout en décimant certaines populations considérés comme "indésirables". Se peut-il que les instigateurs de ce possible génocide s'éfforcent en outre de supprimer des thérapies peu couteuses, peu risquées et très efficaces pour lutter contre le SIDA ?

Sans aucun doute, il s'agit là d'une possibilité extremement hérétique, politiquement provocatrice, et moralement déconcertante. Pourtant, ma thèse se fonde sur des éléments de preuve que je vais à présent vous résumer. J'estime que le temps est venu de vérifier de très près cette théorie. Je crois que ces vérifications devraient etre absolument confiées à un comité scientifique et éthique indépendant, chargé par les Nations Unies d'établir la vérité dans ce domaine.

Pour résumer les résultats de mes recherches, voici une première diapositive qui vous présente un contrat signé par le gouvernement des Etats-Unis, qui avait chargé la société Litton Bionetics de créer, vers la fin des années 60 et au début des années 70, des virus proches du virus du SIDA et du virus Ebola. Ces virus devaient etre fabriqués en utilisant des méthodes assez primitives et fastidieuses.
Comme vous pouvez le voir c'est le Professeur Gallo, membre de l'Institut National du Cancer qui devait suivre l'exécution de ce contrat, signé le 12 février 1962.

Sur cette deuxième diapositive, fournie par les archives du Congrès des Etats-Unis, vous pouvez voir que la société Litton Bionetics figurait en 1969 au sixième rang des fournisseurs de l'Armée américaine, en matière d'armes biologiques.

La diapositive suivante reproduit l'édition du 5 décembre 1970 du journal "Nature". Vous pouvez voir que le Docteur Gallo, en collaboration avec ses collègues de Litton Bionetics, y rendait compte de ses travaux sur les cellules humaines atteintes de leucémie aigue. Vous vous rappelez sans doute que c'est aussi le Docteur Gallo qui a découvert le virus du SIDA en 1984. Plus tard, on a établi qu'il n'avait pas découvert ce virus seul, mais qu'il devait partager cette découverte avec le Professeur francais Montagnier.

Le problème c'est que l'étude des cellules leucémiques avait mis en évidence le role essentiel d'une enzyme, qui était également capitale pour expliquer le fonctionnement du virus du SIDA. LE nom scientifique anglais de cette enzyme est "RNA-dependant DNA polymerase" ou "transcriptase inverse". On avait mis en évidence le role de cette enzyme dans les cellules leucémiques dès avant 1970, c'est-à-dire près de 15 ans avant la découverte du virus du SIDA par le Docteur Gallo, et 9 ans avant sa découverte du premier virus de la leucémie (HTLV-1).

La diapositive suivante vous montre toutes les manipulations de virus qui avaient été faites à cette époque sous la direction du Docteur Gallo. Vous voyez par exemple que certains virus propres aux singes avaient été combinés avec des virus de leucémies propres aux espèces félines ou aux poulets. Ces virus ARN avaient la particularité de provoquer des états immuno-dépresseurs qui aboutissaient à la mort. Il est bien connu que la leucémie des chats présente les memes symptomes et la meme pathologie que ceux du SIDA humain.

Je dois ajouter que, contrairement à certaines croyances populaires, ces maladies ne passent pas naturellement et facilement d'une espèce à l'autre. Pour que ces virus propres aux espèces animales puissent attaquer l'espèce humaine, il faut créer des "hybrides mutants", en cultivant les virus animaux soit dans des cellules sanguines humaines, soit dans des tissus foetaux humains.

La diapositive suivante vous présente une carte du monde, diffusée par le gouvernement américain en 1974. Vous voyez sur cette carte un petit carré entourant la ville de New York, et un autre carré entourant une région de l'Afrique Centrale, vers le nord-ouest de l'Ouganda. Selon la légende, les carrés représentent les zones géographiques ou étaient effectués des recherches sur le virus de l'herpès. Plus précisément, il s'agissait du virus d'Epstein Barr, et de cytomégalovirus des singes, qui provoquent certains cancers et la fatigue chronique. Selon la légende de la carte, il était aussi précisé que ces deux régions géographiques faisaient l'objet de recherches sur le virus du cancer du foie et sur le virus de l'hépatite B, dans le but de produire un vaccin.

Or il se trouve que ces deux régions, c'est-à-dire New York et l'Afrique Centrale, sont justement celles qui ont été initialement frappées par le virus du SIDA!

Pour me résumer, je dirai qu'entre fin 1974 et début 1975, 200.000 doses du vaccin de l'hépatite B, représentant quatre sous-types de virus ont été administrées à des homosexuels de New York, à des Noirs d'Afrique Centrale, et à des enfants handicapés mentaux de l'Ecole Willowbrook de Staten Island, à New York. Ce vaccin avait été préparé en cultivant un virus de l'hépatite B propre aux chimpanzés et aux singes Rhésus, qui avaient été expédiés à New York par le laboratoire Litton Bionetics.

Le Docteur Hilleman, considéré comme le plus grand spécialiste mondial en matière de vaccins, A reconnu au cours d'une interview de 1986, qui n'a jamais été diffusée, qu'iol avait importé en Amérique des singes contaminés par le SIDA pour faire des recherches sur un vaccin, au sein de la société Pharmaceutique Merck. J'ai découvert la cassette de cette interview dans les archives de la bibliothèque médicale nationale. Le Docteur Hilleman racontait comment il avait lui-meme emmené à New York des primates infectés, originaires de l'Afrique. Je possède des copies de contrats conclus par Litton Bionetics, prouvant que les singes qu'ils avaient utilisés pour leurs expériences provenaient du sud-ouest et du nord-ouest de l'Ouganda. A cette époque, Litton Bionetics, en association avec l'Agence Internationale de REcherche sur le Cancer (IARC) menait dans cette région de nombreuses études portant sur les virus du cancer et sur la fabrication de vaccins.

Les premiers vaccins contre l'hépatite B ont été fabriqués à partir de ces chimpanzés comtaminés par le SIDA. On a d'abord cultivé les virus dans les chimpanzés, puis on a extrait ces virus des chimpanzés, en meme temps que divers contaminants viraux, dont le SV40, les SIV, et les SFR, pour fabriquer les vaccins. Ces virus ont d'abord été injectés aux enfants de l'Ecole Willowbrook, à des homosexuels de New York, et à des Noirs d'Afrique Centrale. Bien entendu, un nombre important de ces sujets sont morts au cours de ce stade de la recherche. On a ensuite prélevé le ang des survivants, qui avaient fabriqué des anticorps de l'hépatite B. Le vaccin final fut préparé à paritir de ce sang, en séparant les cellules du sérum. Le sérum a servi à fabriquer les quatre sous-types du vaccin de 1974-1975, dont 200.000 doses ont été administrées aux memes populations.

Tous ces éléments constituent des preuves scientifiques qui permettent d'expliquer parfaitement comment le SIDA a pu simultanément se développer, à la fin des années 70, dans deux populations démographiquement distinctes, situées dans deux continents très éloignés.

On a dit que l'on avait découvert des virus du SIDA antérieurement à cette époque. Mais cette information n'est pas exacte. On avait simplement mis en évidence certains fragments des gènes du virus HIV, qui étaient peit-etre des portions de virus plus anciens. Mais le génome complet du virus du SIDA n'a été déterminé qu'à l'origine de la pandémie du SIDA.


En conclusion, je citerai brièvement cet extrait de mon article de "Medical Hypotheses":
"L'hypothèse (de la création délibérée de l'endémie du SIDA) n'est pas aisément retenue par les personnes, les organisations, les institutions et les administrations gouvernementales, notamment celles qui servent des interets particuliers. Mais le fait de négliger une telle hypothèse, et de refuser de la vérifier, conduit à des conséquences catastrophiques. Une telle négligence ternit le fondement éthique de la science. Elle s'oppose à nos obligations morales, en tant que citoyens du monde, et peut tout simplement nous rendre complices d'attaques irréversibles contre l'humanité.
Par ailleurs, cette crise mondiale du SIDA peut servir les interets idéologiques de certains groupes, qui verraient d'un mauvais oeil le développement démographique de certaines populations, dans cette période de transition globale de la planète. En effet, le SIDA représente un mécanisme de controle de revenus importants, au service de certains intérets sécuritaires nationaux, de certaines organisations, institutions et industries qui bénéficient directement de ce qu'il faut bien appeler un génocide mondial".

Je vous remercie.
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Abiola
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MessagePosté le: Mar 27 Juin 2006 21:16    Sujet du message: Répondre en citant

OK, je crois que tout le monde est d'accord pour dire que dans tous les cas, les chiffres avancés sont largement exagérés. Ca nous fait une base commune Wink
Vu que Nya enchaîne sur l'origine du virus, nous pouvons discuter de cet aspect car il n'y a pas consensus à ce sujet.
1-Existe-il un virus responsable du SIDA ?
2-Si oui, comment est-il apparu chez l'homme ? Est-ce le résultat d'une expérience ou celui d'un hasard malheureux ?

Commençons donc par la première question, je poste les critiques émises à propos de l'existence du virus :
Citation:


(suite de la Déclaration de Durban) :

La preuve que le SIDA est provoqué par le VIH-1 ou le VIH-2 est claire, absolue et dénuée de toute ambiguïté, et est administrée conformément aux exigences les plus sévères de la science (3-7). Les données remplissent exactement les mêmes critères que ceux utilisés pour d'autres maladies virales telles que la poliomyélite, la rougeole et la variole.


Citation:



COMMENTAIRE

En ce qui concerne les "exigences les plus sévères de la science", il se trouve que le VIH ne remplit aucun des postulats de Koch fixant les règles fondamentales à respecter pour faire la preuve qu'un microbe est l'agent causal d'une maladie. Ces règles furent adoptées au XIXème siècle pour mettre de l'ordre dans une situation où des chasseurs de microbes proclamaient à qui mieux mieux, mais à tort, avoir découvert des microbes causant telle ou telle maladie. Nombre des maladies en question s'avérèrent non infectieuses; c'est le cas du scorbut, du béri-béri, de la pellagre (maladies dues à des déficiences vitaminiques) et, plus récemment, du "virus SMON" japonais… qui n'était en réalité qu'un artefact provoqué par une substance médicamenteuse bien précise, le clioquinol.Les postulats de Koch ne sont rien d'autres que l'énoncé de règles d'une logique inattaquable qui doivent être respectées pour faire la preuve qu'un microbe (virus ou autre) est l'agent causal d'une maladie donnée.

Première règle : on doit trouver le microbe en abondance chez tout patient souffrant de la maladie en cause et dans tous les tissus malades.

Deuxième règle : il faut isoler le microbe et le multiplier en laboratoire.

Troisième règle : le microbe purifié doit à son tour provoquer la maladie lorsqu'on l'inocule à un autre patient.

Et voici maintenant ce qu'il en est du VIH et de ces trois incontournables postulats :

Première règle : on doit trouver le microbe en abondance chez tout patient souffrant de la maladie en cause et dans tous les tissus malades.

Des milliers de personnes déclarées atteintes du SIDA restent obstinément séronégatives aux tests visant à mettre en évidence la présence d'anticorps au VIH (Duesberg, 1993). En outre, les tests d'anticorps sont rarement utilisés en Afrique et autres régions pauvres où sont supposées se trouver la majorité des personnes atteintes du SIDA, ce qui empêche de savoir combien de ces personnes sont séropositives. De plus, il est très possible que même les personnes trouvées séropositives à ce qu'on a déclaré être des anticorps au VIH ne soient porteuses d'aucun virus; il n'existe en effet aucun test prétendant détecter le VIH lui-même. Tous les tests existants se contentent de rechercher des marqueurs de substitution tels que des anticorps ou des petits fragments d'ARN ou d'ADN. On fait le pari que la présence de ces sustituts prouve que le patient a été infecté par le VIH, mais cela n'a jamais été démontré en ayant recours aux indispensables techniques d'isolement.

Mieux encore : même en utilisant la technique des marqueurs au lieu de celle de l'isolement, les chercheurs en VIH ont observé qu'il existe des individus séropositifs chez qui on ne trouve aucune trace de virus dans le sang circulant et qu'il est très rare de trouver ne serait-ce que des fragments de virus dans le sérum (Michaelis & Levy, 1987). On ne trouve des "traces du virus" que chez 30% des personnes séropositives, et le plus souvent à des concentrations insignifiantes, inférieures à 10 "particules infectieuses" par millilitre (Levy, 1988). La plupart des gens croient que le test de charge virale met en évidence le vrai virus, or ce n'est pas le cas. Ce test recherche de minuscules brins d'ARN qu'on déclare être spécifiques au VIH. On applique alors une formule mathématique complexe qui génère un nombre qu'on étiquette "charge virale". En 1993, Piatak et ses collègues ne parvinrent à "isoler" (les guillemets rappellent qu'il ne s'agit pas d'un véritable isolement au sens scientifique du terme) le virus que chez 53% des personnes dont la charge virale atteignait des centaines de milliers de particules infectieuses par ml. L'un de leurs patients avait une charge virale de 815 000 exemplaires par millilitre mais ils ne parvinrent tout de même pas à "isoler" le moindre virus actif chez lui. Ceci montre combien le diagnostic de séropositivité est contestable du point de vue scientifique et combien il serait opportun de réévaluer tout cela.

En fin de compte, si une personne vivant dans un pays occidental (c'est-à-dire où on a les moyens de se payer des tests sanguins) souffre de l'une ou l'autre des 29 maladies considérées comme typiques du SIDA et présente des symptômes identiques à ceux du SIDA, elle ne sera pourtant pas considérée comme atteinte du SIDA si elle n'est pas séropositive puisque, dans ces pays, il ne peut pas y avoir SIDA sans séropositivité. Ceci donne lieu à une corrélation artificielle et parfaitement ridicule par laquelle la définition du SIDA exige une séropositivité, ce qui est ensuite utilisé comme prétendue démonstration que le VIH est la cause du SIDA. Dit autrement, la "science" orthodoxe s'appuie sur le "raisonnement" suivant : 1) il n'y a SIDA que s'il y a séropositivité, celle-ci étant censée prouver l'infection par le VIH, 2) donc il y a toujours VIH lorsqu'il y a SIDA et 3) cette corrélation (parfaite par construction) montre que le VIH est l'agent causal du SIDA…

*Voir APPENDIX B: What "HIV" Researchers Mean by "Isolation" and "Cloning"

Deuxième règle : il faut isoler le microbe et le multiplier en laboratoire.

L'isolement du VIH n'a jamais été réalisé par qui que ce soit. Eleni Papadopulos-Eleopulos et ses collègues nous rappellent que l'isolement d'un virus exige la réalisation de photographies au microscope électronique de particules virale purifiées, ce qui n'a jamais été fait pour le VIH (Papadopulos, 1998). Non pas qu'on n'ait pas essayé de le faire, mais toujours sans succès ainsi que le décrit Étienne de Harven, l'un des pioniers de la technique de microscopie électronique pour identifier les rétrovirus (de Harven, 1998). Le découvreur du VIH, Luc Montagnier, a lui-même reconnu qu'il n'était pas parvenu à isoler le virus (Tahi, 1997).

Les articles traitant du VIH utilisent le mot "isolement" non pas dans le sens exigé par les postulats de Koch mais pour désigner la détection de marqueurs de substitution, par exemple des protéines déclarées spécifiques au VIH. Cette perversion du vocabulaire fait croire que le VIH a été "isolé" alors que cela n'a jamais été fait. Pour ce qui est des protéines utilisées comme marqueurs de substitution, on les a déclarées "spécifiques du VIH" alors qu'on les retrouve chez l'homme et les animaux séronégatifs. Par exemple, les anticorps à la p24, l'une des protéines couramment utilisées comme marqueurs de substitution servant de base à la déclaration d'isolement, est présente chez 14% des donneurs de sang séronégatifs et en bonne santé (Genesca et al, 1989), chez 41% des personnes séronégatives mais atteintes de sclérose en plaques et chez 13% des personnes séronégatives mais souffrant de verrues généralisées (Ranki et al, 1988; Papadopulos et al, 1993).

Troisième règle : le microbe purifié doit à son tour provoquer la maladie lorsqu'on l'inocule à un autre patient.

Aux Etats-Unis, aucun personnel paramédical ni technicien ou chirurgien urgentiste n'a contracté le SIDA à l'occasion de son travail (CDC, 1999). Sur un total de 733 374 cas de SIDA répertoriés aux U.S.A. depuis l'origine jusqu'à 1999, 25 seulement sont considérés comme ayant été contractés à l'occasion de l'exercice d'une profession, et encore (comme on l'a déjà indiqué) cette explication n'a-t-elle été retenue que parce qu'on n'en a pas trouvé de meilleure (CDC, 1999). Au Canada, sur un total de 16 235 cas de SIDA répertoriés, 3 seulement ont été déclarés contractés à l'occasion de la profession mais, là aussi, sur la base d'indices indirects (CCDR, 1992; LCDC, 1998). Rapprochez ces chiffres des quelque 1 million de blessures par piqures d'aiguille qui se produisent chaque année chez le personnel médical aux Etats-Unis, qui donnent lieu à environ 1 000 cas d'hépatite. Ceci signifie qu'en 18 années d'ère du SIDA, le personnel médical de ce pays a été contaminé 18 000 fois par le virus de l'hépatite et seulement 25 fois par celui du SIDA, alors que tous deux sont censés se trouver dans le sang. Décidément, ce VIH est un virus bien étrange !

(Voir Appendix A : HIV Fails Koch's Postulates)

_________________
Les Africains sont aujourd'hui à la croisée des chemins : c'est l'union ou la mort !
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Cika
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MessagePosté le: Mar 27 Juin 2006 22:05    Sujet du message: Répondre en citant

Justepour dire que je comprends un peu mieux le point de vue de Léopard noire! suite à l'arrivée d'autres intervenants! comme quoi le huis clos, ça ne sert à rien!

Effectivement, je reconnais que ton analyse est pertinente. Cependant celles des auteurs des deux ouvrages que je cite est assez troublante!

Puisqu'il dénonce une fabrication d'un virus et des montages scientifiques pour colmater les brèches qui ne manquent pas de s'ouvir sur les questions qu'on pose aux tenants de la thèse VIH.

Maintenant, ils y parlent aussi de la façon de mener des tests bidons en Afrique! pour gonfler les chiffres des malades du Sida!

Peut être que cela rejoint la question de LN qui demande ce que les labos fabriquent donc en Afrique! Je pense avoir souligné également de mon côté la volonté d'extermination du peuple noir! Sad
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Cika
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MessagePosté le: Mar 27 Juin 2006 22:48    Sujet du message: Répondre en citant

Les 10 plus gros mensonges sur le Sida, Mensonge N°5: La séropositivité est un signe d'infection par le <<VIH>>

un cas particulier L'afrique!

Citation:
De nombreuses infections, et notamment celles qui sévissent à l'état endémique en Afrique, sont la source de nombreux tests faussement positifs.
Par exemple, une étude réalisée en Afrique centrale a montré que les microbes de la tuberculose et de la lèpre sont tellement répandus qu'ils donnaient 70% de faux positifs (après ce que nous venons de dire de ces tests, chacun sait à quoi s'en tenir sur les 30% restant).
Jugeant donc innaplicables les techniques de détection d'anticorps, l'OMS adéfini des critères spécfiques à l'Afrique permettant de diagnostiquer un cas de Sida à partir de symptômes cliniques (définition de Bangui)
Cette définition tient compte de deux types de symptômes classés selon leur importance.
Les signes majeurs:
-perte de poids
-diarhée chronique durant au moins un mois
-fièvre persistente ou intermittente durant au moins un mois

Les signes mineurs:
-Toux persistent au moins un mois
-démangeaisons généralisées
-herpès cutané
-autres infections chroniques et disséminées à herpes simplex
-candidose oro-pharyngée
-lymhadénopathie (affection des ganglions lymphatiques).

Le sida africain est défini par la présence de deux signes majeurs et d'au moins un signe mineur.

Ces critères ne sont pas utilisés dans le cas où un malade est atteint d'une méningite à cryptocoques ou d'un sarcome de kaposi, l'une ou l'autre de ces maladies suffisant à diagnostiquer une infection par le <<VIH>>.
C'est grâce à cette définition de Bangui que l'on a pu prétendre qu'en Afrique, le Sida touchait autant les hommes que les femmes, reconnaissant ainsi une différence fondamentale entre le <<Sida africain>> et le sida des occidentaux.

Voila donc la première méthode de comptage, qui ne concerne que les malades affectés par des symptômes courants en Afrique, donc dénuée de toute signification spécifique.

L'autre méthode utilisée pour faire des études statistiques au sein de la population africaine n'est pas plus scientifiquement convaincante.

les estimations réalisées par l'ONUSIDA et l'OMS sont faites par la méthode Sentinelle qui consiste à établir le nombre de séropositifs d'un pays en comptant le nombre de femmes enceintes séropositives fréquentant les centres de santé, et en extrapolant acrobatiquement ces chiffres pour tenter d'estimer la prévalence du <<VIH>> dans des populations entières !

Ces méthodes statistiques ont été très sévèrement critiquées, les critiques n'ayant pas malheureusement ébranlées la confiance que les autorités de l'OMS gardent dans leurs méthodes.

Nous avons vu précédemment que les tests pratiqués sur les femmes enceintes étaient une source importante de faux positifs. D'autre part, si les tests pratiqués sont du type Western Blot, il suffit que deux bandes seulement réagissent pour être déclaré séropositif en Afrique (contre trois dans les pays occidentaux).

Les études statistiques ne concernant que les femmes enceintes, comment peut on connaître le taux de séropositivité chez les autres femmes, les enfants et les hommes?

Là encore, la modélisation intervient, c'est à dire que l'on extrapole de manière totalement arbitraire des chiffres obtenus aux autres catégories. Décidément, la statistique peut s'avérer parfois être la pire forme du mensonge!

Les données résumées de ce chapitre feront comprendre que les tests dits de séropositivité ne sont en rien une preuve d'infection par le supposé <<VIH>>.

Depuis, 20 ans, ce mensonge là a des conséquence tragique. On fait croire a des millions d'individus qu'un test positif permettrait de diagnostiquer une maladie, alors qu'il indique seulement un taux élevé d'anticorps. On leur a également fait croire qu'ils étaient contagieux alors qu'ils ne portent aucun virus reconnaissable. On leur a enfin annoncé qu'ils étaient destinés à une mort prochaine.

Tour cela fut suivi d'un cortège dramatique d'exclussion, de dépression, de suicides et très fréquemment d'intoxications médicamenteuses graves (AZT), souvent mortelles aux doses utilisées au début de la prétendue épidémie.
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leopard noire
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Messages: 40

MessagePosté le: Mar 27 Juin 2006 23:29    Sujet du message: Répondre en citant

Bon je poste quand même ça, parce que ça m'a pris du temps, même si c'est pas le moment dans le débat Embarassed . On pourra y revenir après qu'on ai fini les réponses au point 2 d'abiola si vous voulez.

Source : http://www.sidasante.com/critique/repmbeki.htm

Citation:
Pour la première fois en 1987 la preuve fut faite par Furchgott et Ignarro (prix Nobel 1998) que les fonctions cellulaires de l’organisme humain étaient contrôlées par le monoxyde d’azote (NO, nitric oxide). On démontra au cours des années qui suivirent que les cellules immunitaires éliminent les germes pathogènes à l’intérieur de leur cytoplasme en produisant un gaz, le monoxyde d’azote. On découvrit qu’il existe 2 types de cellules immunitaires : celles (type Th1) qui produisent du NO et ses dérivés et celles (type Th2) qui n’en produisent pas mais stimulent la formation d’anticorps afin d’inhiber les germes pathogènes extracellulaires (2).


La phrase en italique est un raccourci pour expliquer le fonctionnement mécanismes immunitaires. Mais bon, ça le pire.

Citation:
Ces découvertes révolutionnaires ont fait que beaucoup de théories considérées jusqu’alors comme correcte ont dû être révisées, les phénomènes immunitaires pathologiques interprétés comme des conséquences de l’ " infection VIH "(3), conformément aux théories immunitaires qui prévalaient jusqu’ici, peuvent maintenant grâce à ces recherches nouvelles, être expliquées de façon cohérente et sans devoir invoquer une " infection VIH " .Ces nouvelles découvertes justifient tout à fait les questions critiques du Président MBEKI sur le VIH/SIDA et ont des effets considérables en ce qui concerne la médecine, la société, la politique et l’économie.
Il faut qu’il y ait équilibre entre les cellules immunitaires productrices de NO et celles qui n’en produisent pas. Cet équilibre entre l’immunité cellulaire et l’immunité dite humorale par anticorps peut être pertubé par des facteurs infectieux ou non infectieux qui tous deux peuvent mener à une immunodéficience acquise cellulaire (SIDA). Une hyperstimulation (trop longue ou trop forte) des cellules immunitaires productrices de NO mène à l’épuisement de ces cellules et l’inhibition de la production de NO qui en résulte est compensée par une activité accrue des cellules productrices d’anticorps. Il s’ensuit que les microbes intracellulaires tels que mycoses, parasites, mycobactéries et virus (germes de maladies opportunistes), qui normalement seraient éliminés sans symptômes par le gaz NO cytotoxique, se développent sans limites dans les cellules. Ce sont ces maladies opportunistes qui caractérisent cliniquement le SIDA.

La respiration aérobie de certaines cellules peut être bloquée par un excès de production de NO et par les phénomènes d’adaptation biologique qui s’ensuivent. Ces cellules peuvent alors adopter un mode de production d’énergie indépendant de l’oxygène. Cela peut mener à des formations tumorales et ce phénomène était déjà connu en 1924 (phénomène de Warburg) ; actuellement on peut l’expliquer grâce à ces découvertes sur le NO. Pour la même raison des cellules nerveuses et musculaires peuvent souffrir de dégénérescence si leur respiration aérobie est perturbée.


En ce qui concerne, le rôle du NO précisément, ce qui est dis est juste.


Citation:
Groupes à risque en Occident

Le SIDA, au sens habituel, est une maladie rare en Occident : 0,001 à 0,002% de la population est atteint annuellement.

La plus grande part des patients SIDA se retrouvent parmi les homosexuels masculins du type " récepteur ". Dans ce groupe à risque, les causes principales d’hyperstimulation NO sont : l’inhalation de nitrite d’amyle (poppers) utilisé pour faciliter la pénétration anale, l’abus d’antibiotiques dont les produits de catabolisme sont le NO et des nitrosamines, l’absorption de protéines étrangères (résultat de coït anal non protégé) qui induit une surproduction de NO analogue à celle causée par les protéines antigéniques microbiennes, et enfin les toxines antigéniques dues aux infections répétées et à la surcharge des mécanismes cellulaires de détoxication.


Il existe des homosexuels depuis longtemps dans les pays occidentaux. Ces pratiques auraient donc attendues la 2ème moitié du 20ème siecle, pour donner lieu à un syndrome d'immunodéficience ?
De plus je doute de l'argument " l’absorption de protéines étrangères (résultat de coït anal non protégé) qui induit une surproduction de NO analogue à celle causée par les protéines antigéniques microbiennes" car les protéines étrangères dans l'organisme stimule l'immunité humorale, et non pas l'immunité cellulaire qui passe par le NO Exclamation



Citation:
Les drogués par voie IV constituent le 2° groupe à risque. Leur équilibre immunitaire est troublé par les drogues elles-mêmes, par les fréquentes infections provenant du partage d’aiguilles contaminées, par les substances toxiques mélangées aux drogues, par la malnutrition liée à l’usage de drogues. 5% de la population totale de drogués intraveineux sont potentiellement sujets à l’épuisement immunitaire. Dans de rares cas, les enfants de mères toxicomanes sont eux-mêmes immunodéficients du fait de l’intoxication chronique de leurs mères. La perturbation de la respiration cellulaire au niveau des cellules immunitaires et non-immunitaires fait que ces nouveaux-nés souffrent eux-mêmes d’insuffisance immunitaire.


Et pourquoi ceux qui utilisent leur propres seringues ne develloppent pas d'immunodéficience ?

Citation:
Les hémophiles forment un 3° groupe à risque, du moins ceux qui ont reçu des injections de facteur de coagulation (le facteur VIII, une protéine) non purifié, donc associé à d’autres protéines antigéniques : cela aboutit à une hyper production de NO chronique comme l’ont prouvé des expérimentations animales.


Pourquoi l'amélioration des critères de sécurité des produits issus du sang, il n'y a plus d'hémophile qui se plaignent de contamination HIV, et/ou de sida ?
Les protéines étrangères stimulent l'immunité humorale :
les LTCD4 type TH2, stimulent les lymphocytes B qui se différencieront en plasmocytes sécretteurs d'anticorps spécifiques, mécanisme suffisant pour se débarrasser de protéines.
L'immunité cellulaire par contre passe par la LTCD4 type TH1. Les TH1 produisent des cytokines qui vont stimuler les macrophages, et autres cellules phagocytaires. Les cellules phagocytaires éliminent des des micro organismes vivants (cellules de l'organisme infectés, parasites, bactéries), grace au NO entre autre. La phagocytose, ne sert pas à l'élimination de protéines étrangères.
Tout ça pour dire que l'argument " injection ou absorption de protéine stimule la production de NO (hyperproduction de NO qui selon eux prédispose à une ID)" est faux. Donc faux pour la prédispositin accrue à une immunodéficience des homosexuels selon cet argument. Faux pour la prédisposition des toxico IV selon cet argument, et faux pour la prédisposition des hémophiles selon cet argument.


Citation:
Les polytransfusés (moyenne de 35 transfusions) du fait d’une maladie grave sont aussi un petit groupe à risque, numériquement parlant. Un étude clinique étalée sur 10 ans et portant sur plusieurs milliers de patients, au Canada, a révélé déjà en 1986 que plus de 30% de patients opérés présentent des perturbations immunitaires : anomalies comprises aujourd’hui comme résultant de troubles des cellules immunitaires productrices de NO et de prépondérance des cellules immunitaires non productrices de NO.


Oui les polytransfusions provoquent des troubles immunitaires notamment au niveau des anticorps, mais la partie en italique est leur propre conclusion ( compréhension )

Citation:
Dès les années 60 il apparut qu’après traitement par médicaments immunosuppresseurs les patients ayant subi une transplantation d’organe souffraient des mêmes troubles immunitaires qui se manifestèrent à la fin des années 70 dans les milieux homosexuels masculins et qui reçurent le nom de SIDA à partir de 1982. Les mêmes maladies caractéristiques de l’épuisement immunitaire, les mêmes maladies opportunistes signant l’inhibition des cellules immunitaires productrices de NO et la prédominance des cellules immunitaires non productrices apparurent chez les leucémiques traités par des antimitotiques, substances analogues à l’AZT utilisé comme antiviral contre le SIDA.

D’autres facteurs immunotoxiques tout à fait différents peuvent stimuler de manière excessive la production cellulaire de NO et aboutir secondairement à son inhibition. Ce sont les substances toxiques (pharmaceutiques ou non), la malnutrition quantitative ou qualitative, l’injection de protéines étrangères, les infections multiples et récidivantes, les dysfonctionnements endocriniens, les stress émotionnels et bien d’autres facteurs.



Pour les immunosupresseurs, j'ai déjà répondu, de rares personnes sont concernées. Pour les protéines étrangères, j'ai répondu plus haut.
Je note particulièrement l'argument du stress émotionnel, je me demande pourquoi les majorité des occidentaux n'ont pas le sida finalement... Rolling Eyes
Le problème est qu'en europe, ceux qui présente un sida ne sont pas tous gay , drogués, transfusés ou hémophile.

Citation:
SIDA dans le Tiers-Monde

Dans les pays en développement ce sont les infections et les phénomènes inflammatoires chroniques, la malnutrition et la consommation d’eau polluée qui sont les causes majeures d’épuisement immunitaire. Cette mauvaise situation sanitaire est due à des conditions de vie pour lesquelles l’Occident porte historiquement une grande part de responsabilité.

Ces conditions font que, dans les pays du Tiers-Monde, les enfants, les femmes et les hommes sont plus souvent infectés par des germes pathogènes que dans les pays industrialisés.


Cet argument, de la malnutrition et des conditions sanitaires, est basées sur des clichés, et des images réductrices de l'afrique. Tout le monde en afrique ne vie pas dans des conditions déplorables, et pourtant le SIDA ne touche pas que les classes défavorisées. Des hommes politiques, des directeurs et autres patrons (et leurs femmes et/ou maitresses) sont aussi touchés. Des célébrités (donc vivant dans des conditions sanitaires correctes) sont touchées aussi ( cf le célèbre franco, la chanteuse mpongo love etc... qui sont morts du sida, ils n'étaient pas non plus gay toxicoman, ou hémophile)

Citation:
Les microbes qui vivent hors des cellules sont inhibés et éliminés par les anticorps et autres mécanismes immunitaires humoraux, tandis que ceux qui pénètrent dans les cellules (ce sont essentiellement les mycoses, les parasites, les mycobactéries et les virus) ne peuvent être efficacement inhibés et éliminés que par une production suffisante de NO.


La partie en italique est scientifiquement fausse. Ce n'est pas le fait d'être extra ou intracellulaire qui détermine le type d'immunité. Ainsi, une bactérie extracellulaire pourra être phagocytée par les macrophages, c'est de l'immunité cellulaire.

Citation:
En cas d’infection intracellulaire chronique, la production du gaz cytotoxique NO est constamment stimulée pour tenter d’éliminer le germe infectieux. Mais le NO est un facteur toxique pour la cellule elle-même : elle doit donc se protéger contre l’effet irritant et éventuellement mortel de ce gaz endogène. Cette protection est réalisée par divers antioxydants : protéines soufrées, vitamines, enzymes. Ces antioxydants doivent être ingérés ou synthétisés à partir de l’alimentation. Les antioxydants portent ce nom car ils doivent constamment neutraliser des substances oxydantes telles que le NO et ses dérivés, ou les radicaux libres oxygénés (reactive oxygen species, ROS). S’il y a épuisement d’antioxydants ( à cause de déficit alimentaire d’antioxydants ou de substrats permettant de les synthétiser, ou bien à cause d’infections ou de processus inflammatoires chroniques épuisant les réserves d’antioxydants) les molécules de NO et de ROS ne peuvent plus être efficacement neutralisés. Il s’ensuit une détérioration cellulaire et divers dysfonctionnements métaboliques secondaires au sein des cellules immunitaires et aussi non-immunitaires ; cela mène à une inhibition de la production de NO et par conséquent à l’apparition des infections opportunistes.

Ce cercle vicieux commençant par la présence d’infections chroniques, de malnutrition et de carence en substances antioxydantes et aboutissant à davantage d’infections appelées infections opportunistes est bien connus dans les pays du Tiers-Monde sous le nom de SIDA nutritionnel (NAIDS ou SIDAn) (4).

Ces facteurs fondamentaux d’épuisement immunitaires (de SIDA) dans les pays en développement affectent indifféremment, quel que soit le sexe, les enfants pas encore nés, les nouveaux-nés, les enfants, les femmes et les hommes. Ces facteurs différent fondamentalement de ceux qui entraînent le SIDA en Occident dans les groupes à risque.


Le premier paragraphe est logique sur le papier, mais in vivo rien ne prouve l'ampleur du phénomène.
Dire oui à cet argument sous entendrait que le S.I.D.A est réversible une fois le cercle vicieux casser ( par une bonne nutrition par exemple). Ce qui est loin d'être le cas dans la réalité !
Ils classent les enfants parmis les groupes à risque du sida en afrique, alors que les enfants, entre 5 et 15/18 ans, sont surtout orphelins du sida.


Citation:
Le SIDA en Afrique n’est pas plus le résultat de la transmission sexuelle d’un prétendu germe infectieux qu’il ne l’est en Occident. Le SIDA n’est pas causé par un germe infectieux particulier. La présence d’un tel germe n’est ni nécessaire ni suffisante pour comprendre les processus de la maladie. La supposition que le SIDA est dû à un germe infectieux est née à cette époque encore récente où les processus fondamentaux qui régissent l’immunité n’étaient pas encore compris. Même dans les cas de SIDA où des infections constituent un facteur important d’épuisement immunitaire par carence de production de NO dans les cellules immunitaires, les maladies sexuellement transmissibles (MST) ne jouent pas un rôle exclusif. Le sexe n’est qu’une source d’infection parmi bien d’autres. La plupart des infections chroniques ne sont pas transmises sexuellement : par exemple la tuberculose pulmonaire, la malaria, les verminoses et de nombreuses autres infections tropicales. C’est le cas aussi des infections opportunistes qui sont principalement dues à des mycoses, des parasites, des mycobactéries, le cytomégalovirus (CMV) et autres virus herpétiques. L’infection caractéristique et la plus courante du SIDA, la pneumonie à pneumocystis carinii (PPC), en est une autre preuve : elle est déclenchée par un parasite fongique des voies aériennes.


La partie en italique, et surtout celle en gras, prouvent que les gens qui ont rédiger celà, n'ont rien compris à la théorie du VIH/SIDA. La thése VIH/SIDA, ne dit absolument pas, que les maladies constituant le Syndrome, d'Immuno Déficience Acquis, sont sexuellement transmissibles Exclamation C'est le VIH, à l'origine de l'imunodéficience et donc de la sensibilité de l'organisme au maladies opportunistes qui est sexuellement transmissible.
Critiquer une thése, sur des points qui ne constituent pas cette thése, c'est donner des coup de poing dans le vide. C'est ce genre de chose, que je nomme élucubration.

Citation:
La vision scientifique réduisant la cause du SIDA à la transmission homosexuelle ou hétérosexuelle d’un prétendu " virus du SIDA " a empêché de voir les causes réelles de l’immunodéficience et des infections opportunistes. Toutes ces infections sont la conséquence de l’inhibition de la production de NO, tant dans les cellules immunitaires que dans les cellules non-immunitaires, et du blocage de la respiration aérobie de certaines cellules.


Pour moi ça reste à prouver, car ça n'explique pas pourquoi des gens bien nutris, non gay, non transfusés, non hémophile présentent des S.I.D.A. Ca n'explique pas pourquoi quand dans un couple, l'un des conjoint meurent du sida, l'autre meure de la même chose.

Citation:
La théorie " VIH/SIDA " a été jusqu’à présent incapable d’expliquer pourquoi les maladies caractéristiques du SIDA sont censées se développer à cause d’un prétendu VIH transmis sexuellement ou par voie sanguine, alors que ces mêmes maladies se développent sans aucune intervention de " VIH " dans les cas de SIDA pharmacotoxique ou SIDA nutritionnel. Ce que ces différents cas ont par contre en commun ce sont des facteurs immunoagresseurs de type toxique, pharmacotoxique, infectieux et nutritif, ou une stimulation immunitaire massive à partir de protéines antigéniques étrangères.


La partie en gras se nomme de la mauvaise foi. Qu'ils critiquent la pertinence des arguments de la théorie VIH/SIDA, répondant à cette question, ok. Mais qu'ils sous entendent que les explications n'ont pas été apportée, c'est nul.
Donc quels sont les arguments qui disent que VIH, conduit à SIDA. Le fait que une cellule clef de la réponse immunitaire, le lymphocyte TCD4 porte à sa surface, le récepteur à la Gp 120 virale la molécule CD4, et aussi les corécepteurs au virus le CXCR4-R et le CCR5-R. Même si un lymphocyte T infecté ne meurent pas, sa fonction est altérée du fait du détournement des synthèses protéiques normales, au profit de la synthèse protéique virale. D'autre part, lors de la primo infection il y a une déplétion en lymphocyte T des organes lymphoides secondaires, du tube digestif notamment (sorte de caserne pour les lymphocyte T). Dans un premier temps l'organisme tente de résister, par les mécanisme encore fonctionnels, mais au fur et à mesure ( en 3 à 8ans, selon la résistance du sujet), la résistance immunitaire faibli.

Citation:
De nombreuses études expérimentales et cliniques ont établi qu’au tout début de la séroconversion, quand le patient devient " VIH " positif, la taux d’antioxydant et de protéine sulfurée détoxifiante dans les cellules immunitaires est très bas, que les cellules immunitaires prédominantes ne produisent plus de NO, et que par contre la production d’anticorps est augmentée. Cela prouve que ce qui perturbe le système immunitaire de ces patients c’est l’inhibition de la production de NO à cause du manque de molécules antioxydantes chargées de la détoxification. Un grand nombre de cellules immunitaires Th2 non productrices de NO quittent alors la circulation sanguine pour stimuler les lymphocytes B producteurs d’anticorps (5).

Non, ça ne prouve pas cela. Comme on dit dans le jargon scientifique cause ou conséquence ?

Citation:
Il n’est donc pas nécessaire d’imaginer un prétendu VIH pour expliquer ces perturbations. Pourtant, la diminution de lymphocytes T4 dans la sang circulant est donnée comme preuve que ces cellules sont détruites par le " VIH " ! Aux E-U le diagnostic du SIDA est posé, même s’il n’y a pas de symptômes cliniques, sur base de la chute du nombre de lymphocytes T4 sous un certain seuil associé à la positivité du test " VIH ". Cette procédure diagnostique discutable (SIDA sans syndrome clinique ou " IDA ") a fait que les cas de SIDA officiels aux E-U depuis le 1° janvier 1993 ont augmenté de plus de 100%. En Europe on n’a pas utilisé à l’époque cette définition de SIDA et dès lors les cas de SIDA ont continué à chuter.


Une cellule qui possède un récepteur pour un virus donné, et dont le taux diminu suite à une séropositivité à ce virus. Que conclure d'autre que c'est le virus qui détruit la cellule.

Citation:
Tout aussi discutable est la manière de diagnostiquer le SIDA en Afrique. La définition de Bangui (1985), qui est en usage aujourd’hui sous de multiples variantes, permet de faire un diagnostic de SIDA sur des symptômes cliniques aussi peu spécifiques que la toux, la fièvre, la diarrhée etc… si ces symptômes datent de plus d’un mois. Ces symptômes sont courants dans les pays en développement du fait des fréquentes maladies inflammatoires et infectieuses chroniques. Ces cas, enregistrés comme SIDA sans critères diagnostiques véritables, sont rapportés à l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à Genève. Et c’est sur base de ce diagnostic sommaire d’une supposée " extension épidémique du VIH en Afrique " qu’on fait des projections (estimations par extrapolation) du nombre de cas VIH/SIDA et que des chiffres catastrophiques illustrant la pandémie de VIH/SIDA en Afrique sont offerts à la presse du monde entier. Là-dessus les médias, sans se poser de questions sur le sérieux de ces données, dépeignent l’Afrique comme " un continent qui se meurt "…

Voilà comment l’opinion mondiale a été manipulée et convaincue que 90% des " infections VIH/SIDA " apparaissent en Afrique.


Remettre en cause des méthodes de diagnostic, dans des pays dont l'infrastructure médicale, n'est pas toujours optimale... Hors débat sur le vih/sida, n'importe qui peut prédire dans quel sens iront les conclusions. Mais de toutes façons, hors visions réductrices, tous les hopitaux et clinique en afrique n'utilisent pas encore à l'heure actuelle la def de bangui citée, qui de toute façon datent de 1985.. L'afrique c'est pas l'hopital de brousse et les crocodiles, faut arrêter un peu !


suwedi a écrit:
Aprés uniquement avoir lu ces liens attentivement, j'espere que certain auront toujours l'audace preuve à l'appuie de nous amener une contre argumentation critique contre de tel spécialiste, merçi de l'attention !
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Dernière édition par leopard noire le Dim 02 Juil 2006 15:20; édité 1 fois
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Cika
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MessagePosté le: Mar 27 Juin 2006 23:46    Sujet du message: Répondre en citant

Confused
Citation:
Je note particulièrement l'argument du stress émotionnel, je me demande pourquoi les majorité des occidentaux n'ont pas le sida finalement... Rolling Eyes
Le problème est qu'en europe, ceux qui présente un sida ne sont pas tous gay , drogués, transfusés ou hémophile.


Il y a les tests qui donnent des faux positifs! donc c'est comme un trucage! tu joues au loto en quelque sorte en étant sûre de gagner!

pourquoi mettre la charue avant les boeufs? les tests disant vous avez le SIDA sont faux ou du moins trouvent des VIH là où il n'y en a pas!

si toi même tu considères que les tests bancals qui donnent au petit bonheur la chance des sidatiques sont fiables, je crois qu'on est mal barré sur le fil!

D'autant plus qu'en Europe, les labos savent qu'ils ne peuvent pas faire n'importe quoi!

alors qu'en Afrique, ils font passer des estimations comme étant les chiffres réels du sida!

n'oublions pas que d'autres facteurs peuvent fait apparaître des faux positifs! le stres immunitaire, les vaccinations, certains traitements médicamenteux!

d'ailleurs un élement de réponse restent les chiffres élevés du sida dans les pays dit du tiers monde alors qu'ils sont comparativement plus faibles dans les pays dits développés! genre ne pas trop chargé la mule mais tenir en haleine pour générer des dons chez occidentaux culpabilisés et augmenter les chiffres dans les pays stigmatisés pour faire tenir le tout! Et pour cela trouver des essais cliniques alibis, fabriquer des campagnes de vaccinations massives où on ne sait pas ce qu'on met au final dans le corps de nos frères et soeurs!
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Sorel
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MessagePosté le: Sam 01 Juil 2006 23:26    Sujet du message: Répondre en citant

http://www.liberte-freedom.net/article.php?id=35


Anomah Ngu, Inventeur Africain découvre un vaccin contre le VIH/SIDA : Envers et
01-04-2004 par Manager
Depuis plus de 10 ans, le vieux et tonique chercheur camerounais, presque octogénaire et empli de sagesse, a inventé un vaccin thérapeutique éprouvé contre le VIH/SIDA, vaccin qu’il a baptisé VANHIVAX. Malgré les résultats révolutionnaires qu’il obtient dans sa modeste Clinique de l’Espoir à Yaoundé, réduisant à presque néant la charge virale des malades atteints du SIDA, défiant sans complexe les grands laboratoires internationaux connus, malgré le fait que les autorités scientifiques, politiques, nationales et internationales soient au courant de ses résultats, le travail infiniment méritoire d’Anomah Ngu demeure confidentiel comme frappé d’une omerta qui dissimule mal son nom…et celui de ses bénéficiaires que l’on imagine nombreux !

Le professeur Anomah Ngu est un chercheur de très longue date formé par l’inventeur de la Pénicilline, Alexander Flemming auprès duquel il fit ses classes avant de prendre son envol pour une carrière d’universitaire, de chercheur et de praticien de la médecine, de la chirurgie, contribuant de façon notable aux recherches contre le cancer. Notre homme est un habitué des échanges et conférences dans les universités africaines, londoniennes et américaines depuis 30 ans.

Victor Anomah Ngu n’est pas un étranger des hautes fonctions technocratiques, ancien ministre de la santé publique au Cameroun dans les années 80, il sera un éminent cadre des universités africaines, consultant pour des institutions prestigieuses comme l’Unicef ou l’OMS. A ce jour il n’a pas cessé de collectionner les distinctions pour son acharnement dans la recherche scientifique et dans l’amélioration des conditions de vie de ses semblables, depuis le Max Born Price en pathologie et le Albert Lasker Medical Research Award, obtenus respectivement en 1954 à Londres (Grande Bretagne) et en 1972 aux Etats-Unis, jusqu’à sa toute dernière distinction, le ''Leon Sullivan Achievement Award'' qui lui a été remise en octobre 2003 à Washington DC, devant un aréopage de diplomates, de membres du Congrès américain, de figures du monde scientifique.

Le vaccin d’Anomah Ngu, déjà objet de tentatives de plagiat grossières et d’un silence médiatique international qui ne se justifie que par la volonté occidentale de protéger le privilège des inventions au profit exclusif des grands laboratoires de la Triade -Amérique du Nord, Europe, Japon-, est en fait un auto-vaccin thérapeutique. Auto-vaccin parce qu’il utilise les souches du malade pour le soigner, vaccin thérapeutique parce qu’au stade actuel, il ne prévient pas réellement, il soigne avec une d’autant plus grande efficacité que le diagnostic de la séropositivité est précoce, ce qui permet l’application du traitement. Le VANHIVAX est par conséquent personnalisé et ses performances ont jusqu’ici permit de redonner l’espoir comme l’indique le nom de la modeste clinique dans laquelle exerce le chercheur , en anéantissant presque totalement l’action du virus.

Les avantages du vaccin d’Anomah Ngu ne contrebalancent certainement pas le fait de ne pas provenir d’une major de l’industrie pharmaceutique, ni même de n’être probablement pas en entente prédatrice avec les oligarques africains qui snobent l’invention quand ils ne découragent pas explicitement les malades de recourir aux soins de la Clinique de l’Espoir… Le VANHIVAX possède cependant des atouts thérapeutiques et économiques que les patients, et nécessiteux peuvent apprécier en se levant de leurs lits d’anciens condamnés : non toxique, il renferme des protéines, agit vite sur le malade car trois doses mensuelles ou bimensuelles suffisent pour remonter le patient en affaiblissant considérablement le virus. On comprend que de nombreux patients aient retrouvé le goût de la vie grâce à ce traitement, même si le chercheur prévient en toute déontologie : " Le traitement est rapide et relativement aisé pour les patients dont le système immunitaire est encore solide. D'où la nécessité pour tout le monde de se soumettre aux tests de dépistage du Vih ".

La question des moyens se trouve clairement posée sur la table des décideurs, chantres nationaux et internationaux de la lutte contre le SIDA et contre les pauvretés cathodiques, qui brillent étonnamment par leur mutisme devant le VANHIVAX… Il semblait pourtant que le SIDA était une priorité nationale et planétaire ! En tout état de cause le développement de l’autovaccin vers sa mission réellement préventive implique de nouveaux et conséquents moyens que la communauté internationale transfert aujourd’hui gracieusement et sous prétexte d’appui à la recherche contre une pandémie, à des multinationales monopolistes, spécialisées dans la captation des ressources publiques et dans l’imposition de prix exorbitants dans le commerce de la santé privatisée. Ce supplément de moyens permettra d’améliorer la validation internationale de l’invention africaine, et de passer à une massification efficiente de la vaccination.

Déjà aux prises avec le gouvernement camerounais pour l’obtention d’une aide de pas plus de 150000 dollars, ridicule somme pour des enjeux planétaires, dans un continent où les campagnes contre le SIDA se multiplient avec des résultats douteux, Anomah Ngu doit batailler contre les tentatives de pillage de sa méthode par des laboratoires américain et français contre lesquels il a annoncé qu’il porterait plainte. Il s’agit respectivement, à tout seigneur plagiaire tout honneur, de Lipid Sciences Inc et de la Compagnie pharmaceutique française.

Le chercheur, blanchi sous la lampe incandescente des labo et entre deux opérations de patients, garde un optimisme de plomb et souhaite mettre l’année 2004 à profit pour la recherche de financements conséquents sur le mode de la contribution directe dans des événements comme des galas de bienfaisance, ou des opérations médiatiques d’ampleur. Ni l’Afrique des patients, des pauvres, des victimes et des homo sapiens sapiens -homme deux fois sage- ne s’en plaindront, il faut espérer une réelle et rapide prise de conscience individuelle et collective des Africains à travers le monde pour pousser à une réaction appropriée les institutions spécialisés dont l’immobilisme cache mal la protection des intérêts catégoriels occidentaux . C’est et ce sera nécessairement aux Africains en priorité de manifester leur intérêt pour une véritable révolution face à la sociopathie du VIH.
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leopard noire
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MessagePosté le: Dim 02 Juil 2006 15:10    Sujet du message: Répondre en citant

Cika a écrit:
Confused
Citation:
Je note particulièrement l'argument du stress émotionnel, je me demande pourquoi les majorité des occidentaux n'ont pas le sida finalement... Rolling Eyes
Le problème est qu'en europe, ceux qui présente un sida ne sont pas tous gay , drogués, transfusés ou hémophile.


Il y a les tests qui donnent des faux positifs! donc c'est comme un trucage! tu joues au loto en quelque sorte en étant sûre de gagner!

pourquoi mettre la charue avant les boeufs? les tests disant vous avez le SIDA sont faux ou du moins trouvent des VIH là où il n'y en a pas!

si toi même tu considères que les tests bancals qui donnent au petit bonheur la chance des sidatiques sont fiables, je crois qu'on est mal barré sur le fil!

D'autant plus qu'en Europe, les labos savent qu'ils ne peuvent pas faire n'importe quoi!

alors qu'en Afrique, ils font passer des estimations comme étant les chiffres réels du sida!



leopard noire a écrit:
Cika a écrit:
Je me demande combien de gens suivant les traitements anti rétroviraux sont au courant de cette "rigueur scientifique."


1% de personne traitées pour rien est loin d'être idéal, ça reste à améliorer ! Mais c'est mieux que 99% de vrai positifs qui vont continuer à répandre la maladie.


Je crois t'avoir déjà répondu au sujet des tests. Ils ne sont pas faux, ni bancals, ils ne peuvent pas non plus être qualifié de trucage parce que TOUS tests biologiques, ou scientifique en général présente un faible pourcentage d'incertitude, pourcentage qui tourne autour de 1% ; ce n'est pas idéal mais c'est mieux que de laisser 100% de malades répandre une maladie infectieuse.
Et encore ce faible pourcentage est valable pour 1 test. Alors pour être faux positifs à la suite d'un diagnostic, il faut être faux positif à 2 élisa, et à 1 western blot sur un prélèvement différent. . Pour dire que les mailles du filet sont vraiment serrés, parce que les gens sont conscients de la gravité d'un diagnostic positif.
Et même les rares faux positifs finalement ne craignent pas grand chose d'un point de vue santé puisque un traitement lourd n'est pas entrepris sur la base d'un diagnostic, mais sur la base de marqueurs de l'affaiblissement du système immunitaire (charge virale elevée, taux de LTCD4 bas, symptomes cliniques, maladies opportunistes). Et au bout d'un certains temps, le médecin traitant fini par se rendre compte que quelque chose cloche.

Je tente un autre type d'explication.
Mets 2 secondes cette histoire de VIH/SIDA entre parenthèse, et réponds à cette question s'il te plait .

Une population est face à une maladie infectieuse et transmissible, incurable, dont les seules alternatives thérapeutiques sont des médicaments hors de prix aux nombreux effets secondaires. Tu es médecin, et tu disposes d'un test qui te donne 99% de vrai positifs, et 1% de faux positifs.
Tu as donc 2 solutions :
1) pratiquer le test malgrès ses imperfections et limiter la propagation de la maladie
2) considérer que le test est bidon, et ne pas le pratiquer. Et donc laisser le pourcentage de malades qui auraient pu être dépister errer dans la nature ( et répandre la maladie bien sur).
Question : tu choisis quoi ?


PS : MERCI Maryjane Very Happy Wink
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MessagePosté le: Dim 02 Juil 2006 15:16    Sujet du message: Répondre en citant

Sorel a écrit:
http://www.liberte-freedom.net/article.php?id=35
Anomah Ngu, Inventeur Africain découvre un vaccin contre le VIH/SIDA : .


Malheuresement les avancées faites par des africains en matière de traitements, diagnostic du VIH/SIDA sont bien souvent étouffer, marginaliser , copier et voler.
Le problème est que nos chercheurs ne sont même pas protéger par au minimum nos gouvernements, et au maximum un empire financiers (comme les industries pharamaceutiques).

PS: si on considère que le HIV n'existe pas , ça sous entend aussi que le Dr Anomah Ngu, est aussi un mytho manipulé par l'industrie pharmaceutique... Franchement je ne pense pas que ce soit le cas...
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MessagePosté le: Dim 02 Juil 2006 17:35    Sujet du message: Répondre en citant

Abiola a écrit:
OK, je crois que tout le monde est d'accord pour dire que dans tous les cas, les chiffres avancés sont largement exagérés. Ca nous fait une base commune Wink
Vu que Nya enchaîne sur l'origine du virus, nous pouvons discuter de cet aspect car il n'y a pas consensus à ce sujet.
1-Existe-il un virus responsable du SIDA ?
2-Si oui, comment est-il apparu chez l'homme ? Est-ce le résultat d'une expérience ou celui d'un hasard malheureux ?

Commençons donc par la première question, je poste les critiques émises à propos de l'existence du virus :



Je crois tout d'abbord, qu'il est important de citer les postulats de KOCH selon une source indépendande des théses dissidentes ça peut avoir son importance :
source : « http://fr.wikipedia.org/wiki/Postulats_de_Koch ». Je sais que wikipédia n'est pas parfait. Mias je ne pense pas que quand la définition a été postée, ils aient pensés à un quelconque débat sur le vih. Pour moi c'est donc objectif.
Citation:

version 1 (1984) :
1_Le micro-organisme est isolé dans chaque cas de la maladie, rendant compte des modifications cliniques et anatomopathologiques.
2_Le micro-organisme n’est isolé dans aucune autre maladie comme contaminant.
3_Le micro-organisme peut à nouveau induire la mala­die après qu’il a été isolé et cultivé.
Version basée sur les techniques moléculaires
1_La séquence nucléique du micro-organisme doit être retrouvée dans la plupart des cas de la maladie.
2_La séquence nucléique du micro-organisme ne doit pas être retrouvée (ou rarement) chez des individus indemnes.
3_La séquence nucléique doit être détectée par hybrida­tion dans les zones pathologiques d'un tissu ou d'un organe, et ne pas être détectée dans les zones saines du même tissu ou organe.
4_Le nombre de copies de la séquence nucléique du pathogène doit varier parallèlement aux évolutions cli­niques, y compris sous traitement.
5_L'identification du micro-organisme déduite de la séquence nucléique doit être compatible avec les propriétés biologiques connues pour le phylum auquel il appartient.
6_Ces résultats moléculaires doivent être reproductibles.


C'est donc par rapport à wikipédia que je répondrais. Mais je mettrais aussi en valeur les différences entre les postulats cités par les théses dissidentes et ceux cités par wikipédia

Première règle .:
"on doit trouver le microbe en abondance chez tout patient souffrant de la maladie en cause et dans tous les tissus malades"
Wikipédia : 1_Le micro-organisme est isolé dans chaque cas de la maladie, rendant compte des modifications cliniques et anatomopathologiques.


Rien que là, quelque chose cloche pour moi. Pourquoi "en abondance" terme non scientifique parce que imprécis, a t il été rajoutté ? En science on parle pas d'abondance, on peut parler de "x fois superieur à un seuil" on peut fixer des valeurs de référence, mais toute référence à une quantité doit être précise. Et dans l'interprétation de cette définition c'est important, parce que débat sur le vih à part, tout les micro-organismes n'ont pas besoin d'être en nombre élevé pour être infectieux, la pathogénicité peut palier le nombre (chacun son style lol).

Citation:
Des milliers de personnes déclarées atteintes du SIDA restent obstinément séronégatives aux tests visant à mettre en évidence la présence d'anticorps au VIH (Duesberg, 1993).
En outre, les tests d'anticorps sont rarement utilisés en Afrique et autres régions pauvres où sont supposées se trouver la majorité des personnes atteintes du SIDA, ce qui empêche de savoir combien de ces personnes sont séropositives.

Les conditions sanitaires sont loin d'être optimales dans nos pays c sur. Mais dire que les tests anticorps sont RAREMENT utilisés relève de clichés type "afrique = taxi brousse bamboula manioc"

Citation:
De plus, il est très possible que même les personnes trouvées séropositives à ce qu'on a déclaré être des anticorps au VIH ne soient porteuses d'aucun virus; il n'existe en effet aucun test prétendant détecter le VIH lui-même.

On a déjà parlé de la fiablité des tests, elle n'est pas de 100%. Par contre ceui important c'est que le pourcentage d'erreur ne soit pas trop élevé. Et la citation ne dit pas que les séropositivité sans hiv, sont en nombre exagérément élevé.

Citation:
Tous les tests existants se contentent de rechercher des marqueurs de substitution tels que des anticorps ou des petits fragments d'ARN ou d'ADN. On fait le pari que la présence de ces sustituts prouve que le patient a été infecté par le VIH, mais cela n'a jamais été démontré en ayant recours aux indispensables techniques d'isolement.

Le principe de la recherche d'anticorps est valable pour de nombreuses autres maladies, pourquoi pas le HIV. Les protéines constituant le hiv sont gag pol et env, alors on recheche les anticorps anti gag pol et env.

La recherche de l'ARN n'est pas juste un marqueur de substitution. Bien au contraire, c'est la methode de détection directe du virus, qui tient compte du taux d'appariement non spécifique, et fixe un seuil au delà de celui ci.
De plus si on admet la thèse du grand complot mondial pour l'existance d'un faux virus, et que ces test sont tous faux. Il faut savoir que ces test sont réalisés des milliers de fois par jour, par des milliers de laboratoire et d'hopitaux, n'ayant pas d'actions dans les industries pharmaceutiques.
Chaque jour, et partout dans le monde, des personnels de ces labos, et les personnels hospitalier remettraient en cause les théses, si elles n'étaient pas en accord avec la clinique qui est leur pratique quotidienne. Tous ces practiciens ne peuvent pas tous être corrompu, car tous ne peuvent pas y ganger quelquechose.

Citation:
Mieux encore : même en utilisant la technique des marqueurs au lieu de celle de l'isolement, les chercheurs en VIH ont observé qu'il existe des individus séropositifs chez qui on ne trouve aucune trace de virus dans le sang circulant et qu'il est très rare de trouver ne serait-ce que des fragments de virus dans le sérum(Michaelis & Levy, 1987)


Oui, ces cas sont d'ailleurs nombreux. Beaucoup de patient en début de séropositivité quand l'organisme tente, et peut encore controler vaille que vaille d'expansion du virus. Le taux de ce dernier reste faible.
De plus si c'est avec des techniques datant d'il y a 19 ans, qu'il n'arrivaient pas à trouver des traces de virus chez des séropositifs (1987)...là encore l'argument ne peut qu'être pris avec des pincettes actuellement, car les techniques s'affinent progressivement.

Citation:
On ne trouve des "traces du virus" que chez 30% des personnes séropositives, et le plus souvent à des concentrations insignifiantes, inférieures à 10 "particules infectieuses" par millilitre (Levy, 1988).


Même réponse.

Citation:
La plupart des gens croient que le test de charge virale met en évidence le vrai virus, or ce n'est pas le cas. Ce test recherche de minuscules brins d'ARN qu'on déclare être spécifiques au VIH. On applique alors une formule mathématique complexe qui génère un nombre qu'on étiquette "charge virale". En 1993, Piatak et ses collègues ne parvinrent à "isoler" (les guillemets rappellent qu'il ne s'agit pas d'un véritable isolement au sens scientifique du terme) le virus que chez 53% des personnes dont la charge virale atteignait des centaines de milliers de particules infectieuses par ml. L'un de leurs patients avait une charge virale de 815 000 exemplaires par millilitre mais ils ne parvinrent tout de même pas à "isoler" le moindre virus actif chez lui. Ceci montre combien le diagnostic de séropositivité est contestable du point de vue scientifique et combien il serait opportun de réévaluer tout cela.


La partie soulignée correspond à au point 1 des postulats de koch version bio mol. La séquence ARN des protéines gag pol et env, est spécifique du HIV.
Toutefois il peut exister un faible taux d'appariement non spécifique à cette séquence. Et les formules de calcul de la charge virale en tiennent compte. Ces formules sont aussi appliquée, parce que la charge virale est calculée à partir d'un échantillon sanguin du malade, et il faut extrapoler le résultat trouvé à un organisme entier.

La suite du paragraphe : tous les virologues savent, qu'un virus est un parasite absolu et obligatoire. C'est organisme fragile par définition, il a soit aucune menbrane, soit une membrane rudimentaire. Il n'existe que trés peu de temps sous sa forme entière (le virion), soit il infecte tout de suite une cellule, soit il meure car tout seul il n'est rien. Donc qu'il soit difficile (donc pas impossible) d'isoler des virions s'explique juste par les propriétés fondamentales des virus en général. Et encore une fois 1993 c'est mieux que 87, mais franchement je crois qu'on fait mieux à l'heure actuelle 2006.
Je précise que c'est ce genre de travail, celui de 87, de 88, de 93, qui font évoluer la science et la volonté de perfectionner les techniques et d'approfondir les connaissances.


Citation:
En fin de compte, si une personne vivant dans un pays occidental (c'est-à-dire où on a les moyens de se payer des tests sanguins) souffre de l'une ou l'autre des 29 maladies considérées comme typiques du SIDA et présente des symptômes identiques à ceux du SIDA, elle ne sera pourtant pas considérée comme atteinte du SIDA si elle n'est pas séropositive puisque, dans ces pays, il ne peut pas y avoir SIDA sans séropositivité. Ceci donne lieu à une corrélation artificielle et parfaitement ridicule par laquelle la définition du SIDA exige une séropositivité, ce qui est ensuite utilisé comme prétendue démonstration que le VIH est la cause du SIDA.


Tous les scientifiques y compris ceux des thèses conventionelles, savent que tous Syndrome.I.D.A. ne sont pas causés par le VIH (immunosupressions volontaires, traitements antigreffes etc... je l'ai dis x fois ça me fatigue Confused )
MAIS, ces derniers cas sont prévisibles ( le médecin traitant en accord avec son malade prend le risque de l'immunodéficience), et/ou sont tellement rares, qu'il ne suffisent pas à expliquer le plus grand pourcentage de S.I.D.A.
La malnutrition n'est pas une cause retenue pour crée la majorité des SIDA, car tous les sidéens ne sont pas pauvres loin de là. De plus cela ferait du sida un processus réverssible, ce qui n'est pas le cas.
La théorie de la malnutrition, ainsi que la phrase mise en italique et en gras, vont dans le même sens, une vision caricatural de l'afrique, ou tarzan vient nous dire qu'on meurent de SIDA parce qu'on est pauvres.


Citation:
Dit autrement, la "science" orthodoxe s'appuie sur le "raisonnement" suivant : 1) il n'y a SIDA que s'il y a séropositivité, celle-ci étant censée prouver l'infection par le VIH, 2) donc il y a toujours VIH lorsqu'il y a SIDA et 3) cette corrélation (parfaite par construction) montre que le VIH est l'agent causal du SIDA…


Le point 1) est diffamatoire. ça s'appelle "prêter un raisonement"
Le point 2) idem; ce n'est pas ce qui est soutenue par la thèse vih/sida
Le point 3) s'appuie sur les point 1 et 2 donc trop nul.

La thése conventionelle est la thése VIH/SIDA (on remarque que c'est pas sida/vih) : le virus du vih est à même de causer un SIDA. Contrairement aux autres cause de S.I.D. (causes qui concernent un pourcentage infime de malades parmi tous les immunodéficients) un virus est transmissible (ici, sexuellement et par le sang), en cela il s'agit d'un problème de santé public.

Deuxième règle : il faut isoler le microbe et le multiplier en laboratoire.

Citation:
L'isolement du VIH n'a jamais été réalisé par qui que ce soit. Eleni Papadopulos-Eleopulos et ses collègues nous rappellent que l'isolement d'un virus exige la réalisation de photographies au microscope électronique de particules virale purifiées, ce qui n'a jamais été fait pour le VIH (Papadopulos, 1998). Non pas qu'on n'ait pas essayé de le faire, mais toujours sans succès ainsi que le décrit Étienne de Harven, l'un des pioniers de la technique de microscopie électronique pour identifier les rétrovirus (de Harven, 1998). Le découvreur du VIH, Luc Montagnier, a lui-même reconnu qu'il n'était pas parvenu à isoler le virus (Tahi, 1997).

Les articles traitant du VIH utilisent le mot "isolement" non pas dans le sens exigé par les postulats de Koch mais pour désigner la détection de marqueurs de substitution, par exemple des protéines déclarées spécifiques au VIH. Cette perversion du vocabulaire fait croire que le VIH a été "isolé" alors que cela n'a jamais été fait.


Les postulats de KOCH version biologie moléculaire (qui n’ont pas été crée spécialement pour le VIH , je précise) stipule que la séquence nucléique du micro – organisme fait foi de sa présence dans l’organisme (1_La séquence nucléique du micro-organisme doit être retrouvée dans la plupart des cas de la maladie. ).
Mais allons plus loin, je n’ai qu’à reprendre un des auteurs qu’ils ont eux même cités.
Citation:
On ne trouve des "traces du virus" que chez 30% des personnes séropositives, et le plus souvent à des concentrations insignifiantes, inférieures à 10 "particules infectieuses" par millilitre(Levy,1988).
.Le débat ne porte pas ici, sur le taux de virus , on en a déjà parlé plus haut. Ce qu’on désigne par particule infectieuse n’est évidemment pas ce que la thèse dissidente qualifie de « marqueurs de substitutions », car ces marqueurs utilisés pour le diagnostic sont soit des protéines, soit de l’arn. Et jusqu’à ce jour aucune maladie n’a été provoquée par des seules protéines isolées, ou par un simple ARN isolé (exception faite de la maladie de la vache folle ou une protéine serait en cause). Donc lorsqu’un auteur (levy) parle de particules infectieuses il parle forcément de VIRION, du virus complet membrane + protéines + matériel génétique ensemble ! Donc déjà, eux même (les partisants des « thèses » dissidentes )nous fournissent une preuve que il y a 18ans des gens étaient déjà capable d’isoler le VIH (même si les méthodes de l’époque faisaient que cette isolation soit faible).
De plus je rajoute que c’est de la routine en laboratoire de recherche, que d’isoler et de travailler sur le virus. Cela concerne des milliers d’équipes, et si il y avait un problème à ce niveau là, le soit disant argent des industries pharmaceutique ne suffirait pas pour faire taire les voix qui s’élèveraient tous les jours. Sur google image il y a de nombreux clichés du virus au microscope électronique (je parle bien des photos et non pas des schémas), pris par des équipes différentes ( mais on me répondra que toutes corrompus par les industries pharmaceutiques surement … le big complot mondial de la cia et du fib etc.. je commence à connaître la chanson).

Citation:
Pour ce qui est des protéines utilisées comme marqueurs de substitution, on les a déclarées "spécifiques du VIH" alors qu'on les retrouve chez l'homme et les animaux séronégatifs. Par exemple, les anticorps à la p24, l'une des protéines couramment utilisées comme marqueurs de substitution servant de base à la déclaration d'isolement, est présente chez 14% des donneurs de sang séronégatifs et en bonne santé (Genesca et al, 1989), chez 41% des personnes séronégatives mais atteintes de sclérose en plaques et chez 13% des personnes séronégatives mais souffrant de verrues généralisées (Ranki et al, 1988; Papadopulos et al, 1993).


Et alors, c’est bien pour cela que dans un test ON NE RECHERCHE PAS QUE LA P24. C’est pour cela que dans un même test HIV on recherche aussi les protéines : P18, P32, P41, P55, P65, la GP120 et la GP 60. Etre faut positif à ces 7 protéines en même temps faut le faire quand même !
On peut même faire un simple calcul de probabilité en se basant sur le chiffre le moins avantageux : 41% de faux positifs pour la P24, mettons, pour chacune des protéines cités.
La probabilité qu’un individu soit faux positifs pour une protéine = 0.41 .
La probabilité que le test soit faux positif pour 2 protéines = 0.41 *0.41 = 0.17 (17%). La probabilité que le tests soit faux positif pour les 7 protéines = 0.41 exposant 7 = 0.0019.
Soit 0.19% de chance qu’un individus soit déclarés faux positifs à la suite d’un tel tests.
( …quand on sait qu’il faut faire suivre à cela 2 autres tests, la probabilité d’un diagnostic faussement positif tombe facilement à 0.0019*0.0019*0.0019= 6.9 *10^-9 = 0.0000... mais bon, j’aime pas les maths et je m’arrête là)

Ces protéines n’ont pas été déclarées arbitrairement, comme c’est sous entendus, marqueurs du VIH. Ce sont des protéines constitutives du virus. Si on détecte plusieurs protéines virales en même temps chez un individus, il y a problème.

Troisième règle : le microbe purifié doit à son tour provoquer la maladie lorsqu'on l'inocule à un autre patient.

Citation:
Aux Etats-Unis, aucun personnel paramédical ni technicien ou chirurgien urgentiste n'a contracté le SIDA à l'occasion de son travail (CDC, 1999). Sur un total de 733 374 cas de SIDA répertoriés aux U.S.A. depuis l'origine jusqu'à 1999, 25 seulement sont considérés comme ayant été contractés à l'occasion de l'exercice d'une profession, et encore (comme on l'a déjà indiqué) cette explication n'a-t-elle été retenue que parce qu'on n'en a pas trouvé de meilleure (CDC, 1999). Au Canada, sur un total de 16 235 cas de SIDA répertoriés, 3 seulement ont été déclarés contractés à l'occasion de la profession mais, là aussi, sur la base d'indices indirects (CCDR, 1992; LCDC, 1998). Rapprochez ces chiffres des quelque 1 million de blessures par piqures d'aiguille qui se produisent chaque année chez le personnel médical aux Etats-Unis, qui donnent lieu à environ 1 000 cas d'hépatite. Ceci signifie qu'en 18 années d'ère du SIDA, le personnel médical de ce pays a été contaminé 18 000 fois par le virus de l'hépatite et seulement 25 fois par celui du SIDA, alors que tous deux sont censés se trouver dans le sang. Décidément, ce VIH est un virus bien étrange !


Le pouvoir infectieux du VHC est bien plus élevé que celui du VIH, il est présent dans le sang à un taux très superieure comparé aux taux de HIV ( par contre la maladie est moins grave, il y a un fort taux de guérison spontanée, un fort taux de porteurs sains, mais malheureusement aussi un taux non négligeable de personne qui développe une hépatite chronique, puis une cirrhose, c’est d’ailleurs pour cela que la pathologie a longtemps été sous estimée en occident, et en afrique.).
Et surtout la prévalence du VHC est bien plus importante que celle du VIH. Quand on croise un individu lambda dans la rue, il a beaucoup plus de chance d’être VHC+ que d’être VIH +, donc forcément quand on se pique avec l’aiguille de quelqu’un la même probabilité s’applique.
Et puis franchement je crois que le personnels soignant est particulièrement vigilant quand il traitent des patient HIV+ …
Donc pour moi les 25 cas dont ils parlent répondent à la troisième règle. L’affaire du sang contaminé répond à la troisième règle.
Pour dire que la thèse VIH/SIDA ne répond pas au postulats 3, il faut prouver que des gens a qui ont a injecté le VIH purifié n’ont pas développé de SIDA à long terme. Mais bon, comme eux ne croit pas à l’existence du virus, ils n’ont qu’a se porter volontaire, s’inoculer le virus et on se donne rendez vous dans 10 ans pour les conclusions de l’expérience…
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Cika
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MessagePosté le: Dim 02 Juil 2006 18:26    Sujet du message: Répondre en citant

super!!!!!!! on peut continuer à en découdre! Laughing Laughing Laughing Laughing

Milles mercis à Maryjanne!
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TM
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MessagePosté le: Sam 23 Sep 2006 14:19    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
Il existe des homosexuels depuis longtemps dans les pays occidentaux. Ces pratiques auraient donc attendues la 2ème moitié du 20ème siecle, pour donner lieu à un syndrome d'immunodéficience ?
De plus je doute de l'argument " l’absorption de protéines étrangères (résultat de coït anal non protégé) qui induit une surproduction de NO analogue à celle causée par les protéines antigéniques microbiennes" car les protéines étrangères dans l'organisme stimule l'immunité humorale, et non pas l'immunité cellulaire qui passe par le NO


Léopard noire,

Ce que tu dis sur l'existence de l'homosexualité est très juste. Cependant ce n'est que depuis les années 70-80 que ceux-ci utilisent les nitrites d'amyle et autres stimulants azotés, donnant facilement des hydroxylamines et donc stimulant la formation de NO. Soit dit en passant, le Pr. Luc Montagnier lui-même indique le stress oxydatif comme passage obligé pour l'apparition du Sida, lors de son intervention au colloque européen sur le sida en Afrique qui s'est tenu en décembre 2003 :

http://www.robertogiraldo.com/brussels/montagnier.doc

Je cite :

Citation:
Enfin un des problèmes majeurs non totalement résolu de la pathogénèse du Sida, reste l'explication de la mort massive des lymphocytes T4. Contrairement à ce que l'on croyait il y a quelques années, cette disparition, qui existe dès la période asymptomatique, n'est pas due à l'infection directe des cellules par la souche virale, qui est alors peu cytopathogène, mais à des mécanismes indirects touchant les cellules CD4+ non infectées; celles-ci ont une propension à mourir d'apoptose, comme d'ailleurs les cellules CD8+. En fait, toutes les sous-populations immunitaires sont touchées par ce phénomène, bien que ce soient les CD4+ qui disparaissent en nombre. Un des médiateurs de cette apoptose est l'existence d'un fort stress oxydant caractérisé par une prévalence de molécules oxydantes (radicaux libres) sur les défenses antioxydantes de l'organisme: ainsi le taux de glutathion oxydé est-il très élevé, de même que celui des LDL (Low density lipoproteins) oxydées.


Donc, selon ses propres dires, on ne sait pas vraiment comment ce vih provoquerait ce stress oxydatif. Il suffit de voir les dernières publications à ce sujet pour comprendre que cela est de plus en plus évident :

http://www.pubmedcentral.gov/articlerender.fcgi?tool=pubmed&pubmedid=12975464

Citation:
Prevailing views concerning the pathogenic mechanisms of AIDS have shifted from models that focus primarily on direct HIV-mediated killing of CD4+ T cells to models that emphasize the pathogenic role of generalized immune system activation. The observation that increases in T cell turnover seen in HIV-infected individuals primarily reflect increased proliferation of effector-memory T cells supports the concept that chronic immune activation plays a prominent, if not predominant, role in the pathogenesis of AIDS.


On peut y lire entre les lignes que les schémas descriptifs que l'on apprend à l'école (infestation des lymphocytes et "explosion" de ceux-ci) sont complètement erronés, et que c'et l'activation du système immunitaire par les oxydants (et je préciserai pour ma part "azotés") qui est la cause du sida.

En ce qui concerne la mort des lymphocytes T, de plus en d'études mettent en avant le rôle des peroxynitrites en excès, formés par la mise en présence de NO et d'ion superoxyde formé par la chaîne respiratoire, le NO n'étant plus "limité" chez les personnes malades par le glutathion qui lui sert à la fois de transporteur et d'agent réprimant. En effet , le taux de glutation réduit (thiol) chez les malades du sida est particulièrement faible

http://herzenberg.stanford.edu/Publications/Reprints/LAH448.pdf

Cette faiblesse du taux de glutahion peut s'expliquer par l'action répétée des oxydants azotés utilisés par les drogués et aussi par le corps médical en afrique :

nitrites d'amyle, métronidazole, chloramphénicol, sulfaméthoxazole, nitrofurannes. Voir par exmple cette publication qui étudie par polarographie l'oxydation spontanée du glutathion par ces substances :

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?db=pubmed&cmd=Retrieve&dopt=AbstractPlus&list_uids=7503785&query_hl=2&itool=pubmed_docsum

mais se surajoute à cela la pauvreté de certains sols archéens (les monts du Drakenberg ont 3 Miards d'année) en sélénium, ce qui empêche la GPx de permettre la réduction de l'eau oxygénée et des peroxynitrites par le glutathion, lui même oxydé spécifiquement en glutathion oxydé (pont disulfure).

http://www.hdfoster.com/WhatReallyCausesAIDS.pdf

Le manque de sélénium va provoquer l'oxydation directe des thiols par l'eau oxygénée et les peroxynitrites, en le transformant en sulfinates, sulfonates, et sulfates, libérés dans le tractus intestinal, avec toutes les conséquences que présentent l'absorption de sulfate de soude par exemple : la diarrhée.
Malheureusement, le géographe arold Foster, si juste quand il étudie la répartition du sida en Afrique vs le taux de sélénium des sols, devient contradictoire quand il essaye d'y mêler le "vih", l'explication chimique du sida étant bien plus simple à comprendre.

Une autre de tes assertions :

Citation:
Et pourquoi ceux qui utilisent leur propres seringues ne develloppent pas d'immunodéficience ?


est démentie par l'expérience. Ainsi, Bruneau et al., étudiant en 1997 l'apparition de la séropositivité et du sida chez les drogués canadiens, a montré que ce sont justement ceux qui participent aux programmes "seringues propres" ("needle exchange programs" en anglais) qui présentent le plus fort taux d'apparirion de la séropositivité.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?cmd=Retrieve&db=pubmed&dopt=Abstract&list_uids=9420522

Citation:
Tout ça pour dire que l'argument " injection ou absorption de protéine stimule la production de NO (hyperproduction de NO qui selon eux prédispose à une ID)" est faux.


Et nous sommes d'accord, et pas d'accord. Il n'y a pas que les sangs contant des microbes qui voient leur propriétés pathogènes disparaître par chauffage. Ainsi, Milton et al. ont montré en 1985 que le sang d'une personne souffrant de maladie alloimmune, transfusé à une personne saine, faisait apparaître une maladie alloimmune chez cette autre personne (ne pas oublié le terme activation immunitaire introduit par Silvestri et Feinberg en 2004). De plus, ces propriétés pathogènes disparaissent par chauffage :

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?cmd=Retrieve&db=PubMed&list_uids=4044015&dopt=Abstract

Citation:
Pour les immunosupresseurs, j'ai déjà répondu, de rares personnes sont concernées


Etonnament, la structure de l'imurel est toute proche de celle du métronidazole, mais cela, vous ne le saviez pas, bien entendu.

En ce qui concerne le sperme des personnes souffrant de MST et de stress oxydatif, il a été montré qu'il contenant eaucoup plus de peroxynitrites et de LDL oxydées... Il ne s'agit donc pas vraiment de protéines, mais d'autre chose qui peut permettre l'augmentation du taux d'anticorps au "vih", et surtout la mort cellulaire.

Citation:
La partie en gras se nomme de la mauvaise foi. Qu'ils critiquent la pertinence des arguments de la théorie VIH/SIDA, répondant à cette question, ok. Mais qu'ils sous entendent que les explications n'ont pas été apportée, c'est nul.
Donc quels sont les arguments qui disent que VIH, conduit à SIDA. Le fait que une cellule clef de la réponse immunitaire, le lymphocyte TCD4 porte à sa surface, le récepteur à la Gp 120 virale la molécule CD4, et aussi les corécepteurs au virus le CXCR4-R et le CCR5-R. Même si un lymphocyte T infecté ne meurent pas, sa fonction est altérée du fait du détournement des synthèses protéiques normales, au profit de la synthèse protéique virale. D'autre part, lors de la primo infection il y a une déplétion en lymphocyte T des organes lymphoides secondaires, du tube digestif notamment (sorte de caserne pour les lymphocyte T). Dans un premier temps l'organisme tente de résister, par les mécanisme encore fonctionnels, mais au fur et à mesure ( en 3 à 8ans, selon la résistance du sujet), la résistance immunitaire faibli.


Montagnier lui-même répond à tout ce que tu as appris par la citation que j'en ai faite. On est donc revenu au point de départ. Ces fameux corecepteurs sont en fait de protéines riches en cystéine (le CC), et l'on trouve là l'incapacité des biologistes à dépasser les modélisations qu'ils ont inventées, et à approfondir les phénomènes en faisant de la vraie biochimie.

Citation:
Remettre en cause des méthodes de diagnostic,


C'est sans doute la partie la plus énigmatiques, à moins de dire "on fait toujours comme ça en biologie", ce qui montre a posteriori que cette branche des sciences repose sur des dogmes souvent non vérifiés.
En effet, les tests du "vih" sont tous des tests à "limite", mais pas vraiment comme ceux des véritables maladies infectieuses.
Pour la rougeole, la rubéole, cette limite représente la quantité d'anticorps nécessaire pour assurer l'immunité, et permet de dire s'il y a besoin d'une revaccination par exemple. Ici, les anticorps au-dessous et au-dessus de la limite sont les mêmes.
Dans le cas des tests dit "vih", cette limite sépare deux groupes bien différents : ceux pour qui la réponse au test signifie qu'ils ont rencontré le virus, et qui vont donc tomber malades, et qui pour qui cette réponse (faible) correspond à une réaction croisée avec d'autres anticorps.
Cependant, aucune publication à ce jour n'a prouvé cette assertion par la biochimie : il s'agit simplement d'un système permettant d'assurer la perennité de la théorie virale.
Si l'on reste logique, nous sommes tous séropositifs, ce qui s'eplique très bien dans le modèle du stress oxydatif (par oxydants azotés) : ce phénomène existe et est naturel, mais à bas bruit, alors que le sida n'est dû qu'à un emballement de ce processus dans le sens de l'oxydation.

Enfin, pour en terminer avec cette histoire de transmission hétérosexuelle, cette hypothèse n'est que pure divagation, toutes les études prospectives sérieuses montrant un taux de propagation très proche de zéro (donc non significatif) lors de ces relations non protégées :

La publi de Padian et al. :

http://aje.oxfordjournals.org/cgi/reprint/146/4/350

étude prospective : 0 séroconversions sur 10 ans
étude transversale : 1 séroconversion pour 1000 rapports hétérosexuels.

données du gouvernement français :

http://www.sante.gouv.fr/pdf/dossiers/sidahop/ch16.pdf

1 séroconversion pour 2000 actes (p 202)

données des CDC :

http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/rr5402a1.htm

http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/figures/r402a1t1.gif

1 séroconversion pour 1000 actes.

Données de l'étude de Gray en Uganda :

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?db=pubmed&cmd=Retrieve&dopt=AbstractPlus&list_uids=15809897&query_hl=21&itool=pubmed_docsum

8 séroconversions pour 1000 actes.

Ces chiffres si faibles devraient être étudiés en relation avec l'utilisations des médicaments précités, ainsi que de l'AZT, qui, contrairement à ce qu'on sait généralement, est en fait un oxydant puissant, libérant de l'hydroxylamine (mutagène) et donc du NO par oxydation métabolique.

Par exemple, on aurait dû tenir compte de ces petites études où l'on voit que le résultat n'est pas du tout ce qu'annonçait la théorie :

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?db=pubmed&cmd=Retrieve&dopt=AbstractPlus&list_uids=12126721&query_hl=25&itool=pubmed_docsum

Citation:
Our results preliminary suggested that infected infants who were perinatally exposed to ZDV may have a more rapid early disease progression with unfavorable viral manifestations than those without exposure to antiretroviral drug.


Cela se passe de commentaires.

Ah, évidemment, quand on rajoute un bon réducteur soufré comme la lamivudine, cela marche nettement mieux :

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?db=pubmed&cmd=Retrieve&dopt=AbstractPlus&list_uids=12439805&query_hl=25&itool=pubmed_docsum

Citation:
Short-course therapy with zidovudine plus lamivudine appeared to be safe and effective for prevention of perinatal transmission of HIV-1.


Mais utilise-t-on la lamivudine dans les régimes des parturientes séropositives en Afrique? J'ai bien peur que non.
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anika
Grioonaute


Inscrit le: 10 Oct 2012
Messages: 3

MessagePosté le: Mer 10 Oct 2012 21:56    Sujet du message: Répondre en citant

I don't know why anyone would say that AIDS don't really exist. I think it very much exists. Problem is that most people are not taking it very seriously but it's important to take sexual relations seriously. All the precautions must be taken for example, not re-using syringes, be careful about blood transfusion etc.
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