Marie-Liberté Grioonaute
Inscrit le: 22 Juil 2005 Messages: 54
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Posté le: Ven 22 Sep 2006 13:43 Sujet du message: Expo Musée des Arts derniers à Paris |
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Musée des Arts derniers
Galerie d'Art contemporain africain
105 rue Mademoiselle
75015 PARIS
Tél. : 01.44.49.95.70
Métro : Cambronne
Horaires d'ouverture :
tous les jours de 11h00 à 19h00 sauf le lundi
BRUCE CLARKE - Œuvres récentes
Première exposition personnelle de Bruce Clarke
accompagnée de la sortie de son livre « Dominations »
aux éditions Homnisphères
Le MUSÉE DES ARTS DERNIERS présente une exposition personnelle du plasticien Bruce Clarke, "Dominations" du 28 septembre au 10 novembre 2006.
Artiste et militant d'origine sud - africaine, Bruce Clarke s'est impliqué, entre autres, dans la lutte contre l'apartheid en Afrique du Sud, la mobilisation contre le génocide au Rwanda et la situation en Palestine. Installé en France depuis une quinzaine d'années, il est engagé dans le mouvement social.
Son œuvre, résolument ancrée dans un courant de figuration critique traite de l'écriture, de l'histoire contemporaine et de la transmission de celle-ci. Il souhaite que sa peinture stimule une réflexion sur le monde actuel et la représentation qu'on s'en fait.
L'Histoire, d'après l'artiste, n'est qu'une série de dominations orchestrées par une minorité au détriment d'une vaste majorité. A chaque étape, un alibi, une justification… Les mystifications modernes font appel à des formes coercitives ou incitatives pour faire accepter l'inacceptable.
Mais les dominations se construisent sur des bases multiples, avec leurs propres contradictions laissant la possibilité à chacun de s'interroger et d'agir : face aux vérités imposées, devons-nous nous taire et constater notre impuissance ?
Un questionnement en textes et en images, à découvrir au Musée des Arts Derniers. _________________ "La dignité n'appartient à aucune collectivité humaine, la dignité intéresse toute la société humaine. Il ne serait ni équitable ni heureux d'imposer aux uns les institutions des autres alors que toutes ont révélé leurs lacunes."
Albert Kahn |
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