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Lions indomptables is dead?

 
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bamiléké
Super Posteur


Inscrit le: 13 Aoû 2005
Messages: 1078

MessagePosté le: Lun 05 Fév 2007 18:41    Sujet du message: Lions indomptables is dead? Répondre en citant

Journal le Messager:


Citation:
Déchéance

Cameroun : en quête d’un second souffle
s chiffres des dernières années sont alarmants


Avec la démission de son sélectionneur, le Hollandais Arie Haan, le football camerounais touche le fond du ridicule et de la désolation. La goutte d’eau qui fait déborder le vase déjà plein de forfaitures. Le début problématique du championnat de première division de football. Des décisions rocambolesques de la Fécafoot à l’issue du tournoi Interpoules 2006. L’élimination honteuse au premier tour des Lionceaux en coupe d’Afrique juniors au Congo-Brazzaville. Il y a longtemps, le football au Cameroun a quitté les stades pour se jouer dans les bureaux de la Fédération camerounaise de football, du ministère des Sports et de l’éducation physique, et des hôtels de la place. Cette situation n’a pas échappé à la Fifa. Elle a dépêché au Cameroun, en fin de semaine dernière, un émissaire pour rappeler à nos dirigeants, en des termes triviaux, les fondements de la gestion du football.
Les chiffres du football camerounais parlent d’eux-mêmes. Le championnat d’élite se joue depuis longtemps dans des stades vides. Seuls les Lions Indomptables, de temps à autre, parviennent avec peine à remplir la cuvette de Mfandena. Mais pour combien de temps encore ? Depuis quelques années, le stade est gratuit pour assister à la finale de la coupe du Cameroun de football. Et jusque-là, le stade est rarement plein. Les Camerounais n’aiment-ils plus leur sport favori ? Loin s’en faut ! Ils se sont abonnés aux multiples chaînes câblées qui retransmettent le football européen dans nos villes et villages. Résultat : rares sont les Camerounais qui peuvent citer, sans hésitation, l’équipe type du champion du Cameroun ou du vainqueur de la coupe nationale de football. Mais, plusieurs n’ignorent rien des coulisses du Barça !

Vitrine déchue
Sur le plan continental, les chiffres sont plus sombres encore. Aucune coupe engrangée depuis Union de Douala, vainqueur en 1981 des Stationery Stores du Nigeria en coupe africaine des vainqueurs de coupe, aujourd’hui disparue. Vingt-six ans que la disette dure.Les derniers champions du Cameroun n’arrivent même plus à atteindre la ligue africaine des champions. Comme aime à le dire Bell Joseph Antoine, “ lors des tirages au sort des compétitions continentales, des équipes prient pour tomber sur nos clubs car c’est la qualification assurée ”.
Après avoir longtemps masqué la réalité, les Lions indomptables, vitrine déchue de notre football, ont fini par être rattrapés par la médiocrité ambiante. Jadis craints et respectés, les Lions Indomptables sont régulièrement malmenés par des adversaires anodins. Se qualifier pour la coupe du monde de football et même la Can relève parfois du pur hasard, quand ce n’est pas du coup de pouce. Les acquis d’hier sont aujourd’hui objets de batailles épiques. En dix-sept (17) matches disputés en coupe du monde depuis 1982, le Cameroun en a gagné quatre, fait sept nuls, et subi six défaites. Pour 15 buts marqués, on en a encaissé 30.
Les Lions en déroute, les Camerounais ont fini par se rabattre sur des individualités. Feu Marc Vivien Foé, Geremi Njitap, Lauren Etame Mayer, Rigobert Song Bahanag et aujourd’hui, le très médiatique Samuel Eto’o Fils. Ces joueurs sont devenus, par la force des choses, des vecteurs médiatiques à eux seuls. Les explosions de joie à Douala ou Yaoundé à l’occasion des buts de Samuel Eto’o à Barcelone témoignent de l’extraversion désormais assumée de notre football. Comble de malchance, ces stars sont aujourd’hui sur le déclin et la blessure d’Eto’o apparaît comme un énième coup de massue sur notre orgueil national. Un peu comme pour nous forcer à nous pencher, avec un sérieux retrouvé, sur les maux qui tuent, sous nos yeux médusés, le football camerounais.



Par Yves Djambong
Le 05-02-2007


Voila ou l'amateurisme, le laxisme et le tribalisme mènent ...!!
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WILDCAT
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Inscrit le: 17 Sep 2006
Messages: 1191

MessagePosté le: Lun 05 Fév 2007 19:10    Sujet du message: Répondre en citant

Bamiléké: Les Lions ne sont pas morts le seul problème c'est avec certaines naturalisations guinéo-équatoriennes les jeunes seront enterrés à Malabo avec l'argent du pétrole!!!! Il faut se resaisir ou malheureusement saisir rapidement les pétro-dollars de OBIANG NGUEMA!!! Confused Crying or Very sad Shocked Mad !!!!! Les joueurs font tourner le ballon; l'argent fait tourner le football!!!

Je n'ai pas vu de réaction de Roger Milla ou le rugissement de ce dernier s'essouffle!!!!
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bamiléké
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Inscrit le: 13 Aoû 2005
Messages: 1078

MessagePosté le: Lun 05 Fév 2007 19:55    Sujet du message: Répondre en citant

Donc selon toi la faute revient aux equatos? Shocked

Je te rappelle que l'équipe actuelle des Lions est vieillissante et on ne voit pas la relève! Si il suffit de quelques petro-equato dollars pour que les jeunes s'exilent, cela prouve bien le manque d'attractivité et de perspectives du football camerounais!



Citation:
Crise

Les symptômes d’une longue et lente agonie
Depuis plusieurs années, les indicateurs sont au rouge.


Le constat est implacable. Les responsables de la Fécafoot ont enfin fini par le reconnaître eux-mêmes : le football national est dans le coma. Les signes cliniques de son agonie sont si visibles qu’on en vient à se demander combien de temps il pourra encore tenir debout ou faire semblant. C’est du reste la politique de l’autruche des responsables de la Fédération qui a contribué à compliquer et aggraver la maladie. Car depuis de longues années, les indicateurs sont au rouge. Des connaisseurs, amoureux du ballon rond, ont en vain tiré la sonnette d’alarme. Les constats sur le terrain le démontrent au quotidien et leur donnent raison aujourd’hui. Malheureusement, devrait-on dire.
Jusqu’ici, l’arbre qui cache la forêt, les Lions indomptables, ne fait plus rêver. Objet de luttes d’influence entre la Fécafoot et le ministère des Sports, la sélection nationale de football se laisse progressivement rattraper et distancer sur le plan continental. La faute aussi à un encadrement technique mouvant. Depuis 1985 avec Claude Le Roy, c’est l’instabilité permanente. Aux techniciens véritablement sédentaires pour un travail en profondeur, on préfère souvent des mercenaires en quête d’un nouveau souffle ou d’illustres anonymes, peu exigeants financièrement. Les résultats en dents-de-scie des Lions indomptables (Voir ci-contre) ont fini par désabuser les plus optimistes de leurs fans. Le meilleur était désormais derrière nous.

26 ans de disette
Longtemps parmi les meilleurs sur le plan continental, les clubs camerounais sont entrés dans le peloton de queue. Le dernier trophée international remporté par une équipe camerounaise remonte en effet à … 1981. Depuis 26 ans, c’est la disette. Comment pourrait-il en être autrement lorsque confinés dans la précarité, les joueurs sont contraints à l’exil, dépouillant les compétitions locales de leurs meilleurs éléments ? Et que les dirigeants de clubs son plutôt préoccupés par l’appât du gain qu’à mettre sur pied des équipes véritablement compétitives ? Le football national paye ainsi un tribut aux errements de gestion décriés par certains observateurs depuis plusieurs années.

Laxisme et incompétence“ Pensez-vous qu’en l’état actuel des moyens, le Cameroun peut organiser un championnat à 18 clubs ? ”, lançait jeudi dernier, dubitatif, Jean Michel Benezet, un expert de la Fifa, en mission au Cameroun. Ses réserves reprennent simplement un constat qui date. A savoir que le nombre pléthorique (16 ou 1Cool de clubs en D1 joue contre la qualité. Symbole de cette déchéance du football local, l’organisation des compétitions étale chaque jour un peu plus, son incurie. “ Si même la Fécafoot est incapable d’organiser correctement un petit tournoi comme les Interpoules, vous ne pouvez pas vous attendre à ce qu’elle fasse mieux pour une compétition plus lourde que le championnat de première division ”, remarque un connaisseur. Le démarrage avorté du 48ème championnat, pour rester dans l’actualité, en est une illustration.A quelques jours de l’échéance, rien n’était prêt, pas même le calendrier. N’eût été la revendication des clubs de première division, le championnat aurait certainement été lancé.
Ce petit exemple montre le fonctionnement de l’instance chargée de gérer le football national. Prise dans ses propres magouilles, la Fédération ne fait plus autorité, “ ses décisions ne sont plus ni légales, ni justes, ni fermes. Elles sont toujours contestables et tout le monde les conteste ”, résumait il y a quelques jours, Ambroise Ebonda dans ces mêmes colonnes, en référence au dernier tournoi Interpoules. Au fond, tout le problème réside peut-être là : l’illégitimité des responsables fédéraux actuels qui ont définitivement convaincu le public de leur incompétence à faire du football camerounais, une vitrine en Afrique et, dans le monde.



Par Frédéric BOUNGOU
Le 05-02-2007

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WILDCAT
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Inscrit le: 17 Sep 2006
Messages: 1191

MessagePosté le: Lun 05 Fév 2007 20:33    Sujet du message: Répondre en citant

J'entends bien ton désarroi sur la crise du Football au Cameroun, mais l'exil des jeunes en Guinée Equatoriale n'est que la conséquence des incéssantes manoeuvres de corruption, manque de politique sur le sport national en général et de plus le non renouvellement des vétérans et le découragement des vétérans inactifs. Voici un article qui peut expliquer ce problème avec le voisin pétrolier!!!! Tu remarqueras que l'article date de mars 2006 déjà!!!!

Guinée Équatoriale : Eldorado ou Calvaire des joueurs Camerounais ?

http://www.camfoot.com/article.php3?id_article=7132

Il n’est plus à démontrer que le championnat national de première division du Cameroun se vide de ses talents. Malgré les risques, certains choisissent d’aller en Europe, terre promise pour tout bon footballeur. Mais de plus en plus les joueurs Camerounais, au nom du pétrole, vont monnayer leur talent chez le ‘’petit voisin’’, la Guinée Équatoriale. Malheureusement au finish, une bonne majorité se rend compte que l’Eldorado n’était que leurre.

Selon les responsables de la Fédération Equato-Guinéenne de Football (Feguifut) que nous avons rencontrés à Bata, ils sont plus de cent cinquante (150) joueurs Camerounais qui évoluent dans le championnat du pas de Obiang Nguema Mbasogo. Le gros de l’effectif se recrute dans les quatorze clubs de première division et une bonne partie aussi défend les couleurs des clubs de deuxième division. On compte également trois entraîneurs Camerounais actuellement en Guinée Équatoriale : Il s’agit de Thierry Ekwalla, Alain Wabo, respectivement entraîneur adjoint et entraîneur principal de Renacimiento de Malabo, bourreau d’Africa Sport d’Abidjan au tour préliminaire de la champions league. Isaac Wembe, entraîneur de Bongoro est le dernier venu ; c’est depuis cinq mois que l’ancien coach de Cintra de Yaoundé entraîne au ’’pays du pétrole’’. L’année dernière, le nombre de techniciens Camerounais qui officiaient en Guinée-Equatoriale était plus important. Pour des raisons diverses, Ndongo Keller, Richard Obatteba sont rentrés au pays. ’’ Nous sommes fiers du comportement des joueurs Camerounais, c’est des joueurs décisifs, qui ont une grande expérience, ce qui manque à nos joueurs, c’est pour quoi chaque club s’arrange à avoir son Cameroun’’, reconnaissait un dirigeant de Akonangui de Bata, une équipe qui compte dans ses rangs dix Camerounais.

Même les dispositions prises par la Feguifut pour limiter le nombre d’étrangers ne concernent pas les Camerounais, puisque beaucoup d’entre eux sont naturalisés pour contourner les textes de la fédération. Le meilleur joueur du championnat de Guinée Equatoriale, la saison dernière était bel et bien un Camerounais, l’ancien joueur de Mont Cameroun : Douala Elong, actuellement pensionnaire de Akonangui de Bata, une ville qui compte sept équipes en première division. Comme nous l’avons déjà signalé, ils sont d’ailleurs plusieurs qui jouent pour l’équipe nationale, en l’occurrence, huit. Mais les plus en vue sont : le gardien Yaouza Mamadou (qui prenait régulièrement les nouvelles de ses parents au Cameroun), le défenseur Mpanga dont les parents sont à Douala où il a grandi et joué au football. Ce dernier prenait du plaisir de parler en langue maternelle (bassa) à certains confrères présents à Bata pour le sommet de la CEMAC. Il y a enfin le milieu de terrain Lucien Motasie, qui n’est plus à présenter pour les habitués du championnat camerounais.


Des joueurs camerounais au "Deux Zéro" du Campamento de Lea
Lorsqu’on demande aux joueurs Camerounais de la Guinée Équatoriale ce qui les pousse à venir jouer dans ce pays, les réponses vont dans le même sens. ’’ Nous venons ici parce que nous pensons que nous pouvons facilement traverser pour l’Europe ’’, déclare Serge Monthée, sociétaire de Bongoro. Pour son coéquipier Alain Tsimi, ’’ même si le niveau du championnat Equato-Guinéen est faible, nous préférons cela au lieu du Cameroun, parce qu’ici le joueur est logé et chaque mois il peut s’attendre à quelque chose, ce qui n’est plus très évident au Cameroun dans plusieurs clubs’’.

Parlant justement des conditions de ces joueurs en Guinée Équatoriale, ce n’est pas le Eldorado qu’on laisse croire. En dehors de Renacimiento de Malabo et dans une certaine mesure Akonangui de Bata, les conditions de vie d’un joueur étranger laisse à désirer. Il n’existe pas de prime à la signature du contrat. Par contre, une somme de cent mille francs CFA est remise au joueur à la signature pour son installation dans les chambres mises à la disposition du joueur par le club. Le salaire mensuel varie en fonction des performances des joueurs au cours du mois. Même si un montant, ne dépassant pas les cent milles francs, est fixé au départ, au moment de la paye, tout dépend des résultats du club et de la performance individuelle de chaque joueur. ’’ Lorsque tu vas au siège du club pour ton salaire à la fin du mois, tu ne sais jamais combien tu vas ramener. Si cette semaine vous avez perdu des matchs, tu peux même recevoir la moitié de ton du’’, reconnaît Alain Tsimi.


Les camerounais de Bata pendant un "Deux Zéro"
Footballeurs "professionnels", non-footballeurs, travailleurs camerounais de Bata et quelques amis étrangers se retrouvent régulièrement autour du ballon rond dans le cadre du fameux "Deux Zéro".
La seule équipe qui traite comme il se doit les joueurs étrangers, c’est Recinacimento. Ceux des Camerounais qui portent la tunique de cette équipe disent fièrement que leur salaire oscille entre 350.000 et 400000 F CFA le mois. Le plus nanti est bel et le bien l’entraîneur Alain Wabo qui touche après trente jours, 850.000 frs. La grande majorité des joueurs Camerounais en Guinée Équatoriale tirent le diable par la queue. Pour joindre les deux bouts, certains sont obligés de faire autre chose que le sport roi. Ils sont nombreux qui travaillent dans les chantiers comme maçon, peintre, plombier dans la matinée et s’entraînent le soir. ’’Ce que je gagne dans les chantiers dépasse largement ce que mon équipe me donne. Pour un marché de peinture, je m’en sors avec 200.000 FCFA’’, affirmait un défenseur Camerounais qui a requis l’anonymat. Comme lui, certains travaillent dans les chantiers au point d’abandonner le football. Il faut dire que grâce aux retombés du pétrole, le pays de Obiang Nguema Basogo essaie de rattraper le retard (dans tous les domaines) accusé au temps des vaches maigres. Bata, une ville à peine de la même taille que Édéa au Cameroun, ne compte que deux Cybers café, dont l’un est géré par un camerounais, comme la majorité des commerces. Beaucoup de ménages viennent de découvrir les joies de l’adduction d’eau domestique et autres infrastructure de base. Les chantiers poussent donc un peu partout dans la ville, dont le plus beau et plus grand est le nouveau stade de football de Bata. Un bijou de 25 000 places, que nous avons eu l’occasion de visiter (photo interdite). L’un des chefs de chantier (un camerounais) nous informe que le chef d’oeuvre sera livré dans environ trois mois. Tout comme le stade de Malabo, plus modeste, actuellement en chantier avancé.

Dans cette ambiance dopée par le mot « pétrole », qui revient dans toutes les conversations, difficile pour les footballeurs camerounais de rester zen. Ceux qui résistent sont des joueurs animés par l’envie de rejoindre un championnat professionnel. Ce qui n’est non plus une évidence, car il se compte sur les doigts d’une main les Camerounais qui sont partis de la Guinée Équatoriale pour l’Europe. Pour l’instant, Guy Manga et Alex Siewé sont les seuls joueurs connus à avoir réussi ce pari, puisqu’ils jouent aujourd’hui en l’Espagne.

Guy Nsigué à Bata


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