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Ca vous dit un petit film ??
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melost
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MessagePosté le: Jeu 17 Juil 2008 19:08    Sujet du message: Répondre en citant

Suite :
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Dernière édition par melost le Dim 21 Déc 2008 11:03; édité 1 fois
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Maryjane
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MessagePosté le: Mar 05 Aoû 2008 21:07    Sujet du message: Répondre en citant

melost a écrit:
Maryjane a écrit:

Par contre, y'en a un "Hulk 2" qui sort bientôt, avec Edward Norton, ma parole j'y vais Twisted Evil


J'irais aussi. Les Marvels c'est ce qu'on fait de mieux en ce moment.


Euhm... Homeboy t'y es allé ou quoi ?

Nan parce que je viens de subir ce truc je te raconte pas le court-circuit cérébral que je me suis frôlée.

Une Homie m'avait prévenue que c'était une tuerie de pourriture mais j'ai pas voulu l'écouter. Je me suis dit "mais nan elle pas mangé avant c'est pour ça".

Damn j'aurais dû l'écouter Shocked.

S'il est clair que le premier remake a largement brillé par son absence totale d'acteurs de poids pour retenir l'attention en dehors des scènes de Hulk en action (tu te rappelles encore du nom du gars qui jouait le rôle de Bruce Banner ? moi pas), on pouvait au moins reconnaître à la créature un à peu près d'esthétisme acceptable pour nos petites billes déjà gravement maltraitées par la criminelle platitude du scenario.

De savoir que dans le second c'était Norton dans le rôle du maigrichon scientifique de service en jeans 3 tailles plus grandes que son gabarit en cas de pétage de câble imprévu (tu sais ; pour quand les fringues se barrent en lambeaux sauf au niveau de l'entrejambe) m'avait un peu trop rapidement mise en confiance. Je reproche rien à Norton (jamais d'ailleurs), mais le Hulk, là, il m'a tout noyé.

Déjà le gars met huit plombes avant de se montrer, et quand il se montre, t'as comme des crampes. On va faire court, la bête est aussi sexy qu'une purée de brocolis tournée sous électrodes. C'est plus des muscles, c'est un posse d'abcès bien entassés en forme approximative d'être humain pas content (trop de rayon gamma tue le rayon gamma).

Le gadjo est tellement pas vert que t'as envie d'avoir une télécommande à la main pour régler l'écran (on dira que t'as droit à un "vert meurtre" ou "kaki merde" c'est au choix).

Le visuel m'a tellement gâché l'intérêt que j'ai peiné à franchement calculer les scènes d'action (un mélange de Spiderman sans fil et de Transformers avec la qualité d'image visuellement moins insultante pour les scènes de combat - et voilà les scènes de combat ; j'ai juste kiffé quand il fracasse Tim Roth contre un arbre Rolling Eyes ).

Deux petits clins d'oeil aux héros de la série télé originale, limite hasardeuse concernant Bill Bixby qui apparaît tout jeune dans une série doublée en portugais (ça se passe au Brésil au début du film), et une seconde apparition de Lou Ferrigno - encore en flic comme dans le premier remake, mais à la prestation moins courte que la précédente (le public a bien apprécié d'ailleurs).

En dehors de ça, ce second volet est un ratage pur et simple.

En ressortant j’ai demandé au portier de me rembourser mes places il m’a répondu "nan nan fous-moi l’camps". J’ai pas encore compris cette agressivité gratuite**.

Ah ouais au fait. Iron Man arrive à la fin. Ce qui laisse comprendre - pour ceux à qui ça parle - qu'il y a une suite façon "Elite de Super-Héros liguée contre tous les gros méchants du Cosmos". Je doute qu'Hancock réponde présent je sais pas pourquoi.

Donc voilà. Un pavé plutôt qu'une étoile. Pareil que celui que j'aurais bien jeté au groupe de vacanciers ahuris qui a par ailleurs bien gavé tout le monde pendant la projection (déjà éprouvante au passage).






** Nan mais c'est pas vrai hein. J'suis juste repartie amaigrie.
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melost
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Inscrit le: 17 Mar 2006
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MessagePosté le: Jeu 07 Aoû 2008 17:32    Sujet du message: Répondre en citant

Salut la sœur,

Excuse-moi de ne pas pouvoir te répondre. Pas que je sois un homme très Bussy,un globetrotteur, encore moins un businessmen, simplement sujet a quelques tiraillement en ce moment.

Néanmoins, il me reste encore un peu de cerveau dispo pour poster rapidement mon point de vue.
Je n’ai jamais vraiment été fan de Hulk, même a l’époque glorieuse de Lou Ferrigno et honnetement quand j’ai entendu qu’on tournait un nouveau Hulk, j’ai été surpris car pas dans l'air du temps, mais quand j’ai us vent que ce serait Edward, j’ai été choqué.
Le film m’a un peu diverti au départ mais apres j’ai commence a chercher la sortie comme un con.
PS : Tim Roth est un superbe acteur. C’est le seul qui m’a vraiment marque.
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Gnata
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MessagePosté le: Jeu 07 Aoû 2008 22:17    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai vu Hulk et le temps que ce très médiocre scientifique se transforme en ...Hulk j'ai ronflé , avec bave ou sans ...hum je ne me souviens plus , mais ce dont je me souvienne c'était à bâton rompu , je me reveillais puis je re-ronflais jusqu'à ce que la honte finisse par nous convaincre qu'il fallait aller faire dodo , pourtant j'ai bien aimé Ironman , Hancock et même Wall-e (quoique Wall-e devrait être vu par les adultes aussi à cause de la réalité trop ...avant-gardiste qu'il discute ) enfin , je sais au moins quel Marvel je n'irai plus voir , huh j'aurais bien vu Will Smith dans Ironman , ça aurait paru plus crédible ...

Avez-vous vu 500 years later d'un certain Alik Shahadah ? on se rassure ce n'est absolument pas le genre blockbuster ( Blackbuster p-e ?! ), c'est disons plutôt dans le style du terrible Black in America de Cnn mais avec une enorme poignée d'intellectuels moins brutal donc avec des pistes de solutions pour s'en sortir .

Que dire sur cette oeuvre ? c'est le genre à avoir dans sa bibliothèque pour les besoins de ...l'obligation de l'avoir , chacun de nous devrait l'avoir parce que ça nous montre "What time is it" , avoir l'heure exact , à defaut d'une pile de bouquins d'Histoire voilà un outil qui peut être inaugural , très choquant pour ceux qui ne s'y attendent pas ( des gens que je connais ne s'en sont pas encore remis tellement le choc fut inatendu ) mais qui vaut le coup d'être vu ...
Oh j'oubliais la musique Mandingue presqu'instrumentale est magnifique , de la bonne musique classique Laughing ...
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"Always be intolerant to ignorance but understanding of illiteracy (..)in those homely sayings (mother wit) was couched the collective wisdom of generations" I know why the caged bird sings, p99, Maya Angelou
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melost
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MessagePosté le: Dim 21 Sep 2008 03:48    Sujet du message: Répondre en citant

A voir absolument : Cocaine Cowboys II: Hustlin' With The Godmother


Documentaire :

Au début des années 90, Cosby vendait de l'herbe dans la rue et luttait pour survivre. Plus tard, fascine par l'histoire de Griselda Blanco alias Gothmother, alias the Black Widow (la veuve noire) alias Cocaine Queen of Miami, il decide, aventureusement, d'entrer d'entrer correspondance avec elle pendant qu'elle est emprisonnée dans un pénitencier en Floride. Ils tombent amoureux l'un de l'autre et devient son bras droit. Si vous avez vus le 1er vous comprndrez.

Désolé c'est en Anglais.



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melost
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MessagePosté le: Dim 21 Sep 2008 19:53    Sujet du message: Répondre en citant

Si le lien précédent ne fonctionne il faut essayer celui-ci :

http://www.megavideo.com/?v=1I10PBXN
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Maryjane
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MessagePosté le: Mar 30 Sep 2008 11:48    Sujet du message: Répondre en citant

Wossup evouibadi.



Je viens de voir le (je crois pas sorti ici) "El Cantante" de Leon Ichaso (2007) sur la vie d’Hector Lavoe, chanteur ayant durant une longue période accompagné le groupe de l’Historique Willie Colon (les amateurs de Salsa savent Cool ).

Plutôt réticente quant à la distribution (Marc Anthony pour Lavoe, et Jennifer Lopez pour Puchi – épouse du chanteur… et de l’acteur qui joue le rôle du chanteur aussi youpi Rolling Eyes ), j’ai quand même voulu y jeter un œil, histoire de voir de quelle façon serait décrite la vie de ce musicos qui a (trully madly deeply) bercé mon enfance à coups de 33 tours astiqués à la soie liquide par mes parents (encore jouée sur mes platines et uploadé à mort sur mon mp3 Twisted Evil ).

Et le résultat est une déception indescriptible.

J’ai ressenti à travers ce film comme un prétexte pour le couple Anthony-Lopez pour se mater sur grand écran, les soirs de glandouille dans leur home cinéma. J’ai plus eu l’impression d’avoir subi un clip d’1 h 45 aux zooms saccadés insupportables (façon Bioman en pleine gloire) et autres fondus d’images inexplicables imposés pour des scènes à l’intérêt des plus improbables.

Mitraillé par tout un posse de départs de scènes qui terminent jamais (ton intérêt émerge au moment où la scène se fait décapitée par celle d’après), le film est un long et pénible patchwork mal cousu de séquences où priment surtout les évolutions (ou plutôt régressions) d’Hector Lavoe dans la spirale de la drogue, les beuveries et au final le SIDA, tout ceci raconté au compte-goutte par sa veuve défraîchie dans un semblant d’interview aux tons noir et blanc, façon caméra sur l’épaule (raté mais d’une force Confused ).

Le gars qui interprète Willie Colon est aussi consistant qu’un éternuement qui t’éclabousse comme sur une chemise blanche fraîchement repassée ; une sacrée "Hell Yeah" de bévue pour un Monument musical comme Colon à qui on devait une interprétation moins épisodique et surtout plus profonde.

Parlons pas du doublage français qui m’a fondu l’oreille (travaillé à la cire chaude), encore moins de la prestation particulièrement absente de Marc Anthony, trop maigre pour le personnage en chair que fut Lavoe (le vent l’emporte god damn on dirait un cabri malade Evil or Very Mad ), et qui donne plus l’impression d’attendre le clap final de tournage que de faire ses preuves d’acteur alors qu’il avait là une damn de tuerie d’occasion (le mec est surtout chanteur au demeurant). Anthony te donne plus le sentiment d’avoir peur et froid qu’une quelconque envie de rendre hommage à l’artiste international et inoubliable que fut Lavoe, et ne prend pas un seul instant le risque d’entrer dans la peau du personnage, qu’on ne fait que décrire boulé, toxicomane au pays permanent des Tele Tubbies sous perf (shi-ii-it, le gars méritait un meilleur traitement Evil or Very Mad ).

En gros, le film aurait dû s’appeler un bordel du genre "Lavoe – La Chute", ou bien je sais pas moi ; "Hector le Toxico", ça aurait permis au spectateur de savoir qu’il allait se feuilleter l’édition d’un "Entrevue" hors-série millenium sur un artiste qui meurt, plutôt qu’un biopic structuré digne de ce nom.

Les seuls instants de rattrapage (et encore car mal exploitées selon moi) sont les scènes de concert durant lesquelles Anthony pousse la chansonnette et nous permet de réentendre des saloperies sonores comme "El Cantante", "Che Che Cole" ou "Periodico de Ayer" (assez démerdard pour l’imitation vocale il a au moins ça pour lui, même si ça ne vaut pas l’original et qu’un bon gros play-back en bonne et due forme m’aurait carrément pas gênée).

En gros perdez pas votre temps. Ou alors vous attendez pas à grand-chose.

Je vais casser ce CD.
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Maryjane
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MessagePosté le: Lun 06 Oct 2008 09:21    Sujet du message: Répondre en citant

Yo les Bouilles.

Ce week-end j’ai vu "Be Kind, Rewind ", avec Mos Def, Jack Black (un vrai psychopathe aux faux airs juvéniles de Nicholson) et Danny Glover.



Ca parle d’un petit gérant d’une boîte de location de VHS en fin de parcours (Glover), implantée depuis toujours dans un quartier en cours de relooking architectural intégral, qui semble ne devoir sa survie qu’au fait (inventé) d’avoir vu naître un Jazz man célèbre dans ses locaux, et dont la déco est aussi singulière que le maigre éventail de vidéos à louer (tu remplis deux sacs à dos avec).

Parti faire une sorte d’étude de marché pour sauver son biz (à deux doigts d’être détruit par les promoteurs immobiliers), il cède la gestion de son magasin à ses deux jeunes acolytes, Def et Black. Mais l’un d’eux, à la suite d’une tentative de court-circuitage ratée, se chope des ondes qui le rendent magnétique et efface toutes les VHS du magasin. Quelle solution avant le retour de Glover et un éventuel lynchage des clients floués du quartier ???

In extremis et devant l’insistance de ces derniers à vouloir louer certains films, leur viennent en tête l’idée super saugrenue de "suéder" les vidéos (refaire sauce maison un film culte avec les moyens du bord ; caméra léguée par grand-père, ficelles, cartons pâte, costume à base d’ustensiles domestiques improbables), parmi lesquelles, "Rush Hour", "SOS Fantômes" et "Le Roi Lion".

On s’attend à ce que les clients crament le magasin pour publicité mensongère ; au contraire ils approuvent (on reste assez pantois devant le posse de second degré dans le film) et en redemandent. Tout ceci jusqu’au retour de Glover qui, d’abord très old school attaché à son bon vieux magnéto (à tous les coups 1 tête et demi Pal Secam auto-reverse Razz ) et ses VHS sur le déclin (DVD oblige), se voit finalement trop acculé pour tenir tête aux grosses industries.

D’abord supposé être loufoque, "Be Kind Rewind" se veut surtout (pour moi) un hommage aux milliards de cinéastes Youtubistes et autres Dailymotionites amateurs qui s’amusent à parodier les plus grands films avec les moyens les plus limités qui soient, ceci pour le plaisir et aussi le simple amour du cinéma, domaine cloisonné dans lequel si peu de grands talents ont leur chance.

D’abord perplexe par le déroulement de l’histoire (long à la détente, et Mos Def qui, au départ un peu timide dans sa prestation face à celle survoltée de Jack Black, m’a un peu bloqué l’intérêt), mon enthousiasme a surtout été provoqué par l’esprit de solidarité dépeinte dans le film. Supposé être burlesque, j’ai surtout vu "Be Kind Rewind" comme un hommage appuyé et particulièrement touchant à la vie de quartier, l’âme de ceux qui la font et la force, la passion et la détermination avec lesquelles les gens peuvent parfois naturellement s’allier, s’unir, se fédérer pour sauver un commerce, une idéologie, un pilier de leur environnement.

On oublie carrément les individus, on ne voit au final qu’un seul acteur ; la communauté de Passaic du New Jersey.

On rêve de voir ça plus souvent (euh ouais mais time-out ; ça veut pas dire que j’vais passer mon sucre à tout l’immeuble non plus ça va pas ou quoi).

A voir. Vous repartirez séduits.

Cool
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melost
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MessagePosté le: Lun 27 Oct 2008 20:18    Sujet du message: Répondre en citant

Quand Ryan Chambers est assassiné le Réveillon de la Saint-Sylvestre, le premier suspect est VALERIE MAAS, une femme au foyer catolique dont la vie se dénoue quand elle découvre que son mari, depuis de nombreuses années, a mené une double vie.



Un film 100/100 afro. A voir absolument.
Ne vous fiez pas aux critiques (injustes), voyez par vous même.

Malheureusement c'est en Anglais mais facile a comprendre.






ou

http://www.megavideo.com/?v=NC98P550
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Maryjane
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MessagePosté le: Jeu 30 Oct 2008 11:08    Sujet du message: Répondre en citant

melost a écrit:
Malheureusement c'est en Anglais mais facile a comprendre.


Eh t'es relou hein Laughing Laughing Laughing !!!!

Vais voir ça. J'te dis après Wink .
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Maryjane
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MessagePosté le: Jeu 30 Oct 2008 14:02    Sujet du message: Répondre en citant



... En un mot : SUPERBE.

En dehors des joyaux cinématographiques de la veine des Jean-Pierre Bacry et Agnès Jaoui qui dressent des satyres les plus délicieusement acides du français moyen, c’est aussi ce cinéma-là que j’aime. Ce genre de polar de chez polar sauce 70’s à la française, animé par des Monstres de la trempe de Vincent Cassel, acteur tout terrain, qui vogue d’un film à l’autre, d’une atmosphère à une autre, qu’elle soit de banlieue ("La Haine"), relate une légende ("Le pacte des Loups"), un fait divers insoutenable ("Irréversible"), une association de malfaiteurs improbable ("Sur Mes Lèvres") ou un personnage historique ("Jeanne d’Arc").

Gueule hors pair, portrait de son daron (qui doit être fier là où il est Cool ), bombe à retardement permanente, sourire étonnamment carnassier au phrasé saccadé et sanguin de premier rang, Cassel est tout simplement énorme.

Je n’avais pas spécialement besoin de "Mesrine" pour m’interroger sur le potentiel de ce gars qui, pour moi, a largement fait ses preuves il y a maintenant plus d’une décennie.

Voir Cassel dans la peau d’un personnage aussi charismatique que détestable, aussi haut en couleur que sombre, aussi populaire qu’infréquentable, aussi adulé que physiquement commun qu’était le vrai Mesrine était pour moi plus une évidence qu’un test. Je devais voir ça. J’ai vu. Et je n’ai pas été déçue.

Basé sur sa propre biographie, on ne lui épargne rien, donc rien non plus au spectateur qu’on déroute volontiers, surtout s’il vient dans l’idée d’un biopic sirupeux ajoutant à la légende d’un Robin des Bois urbain à la mégalomanie constante. On se sent comme l’oisillon le bec béant à attendre sa pitance, et on nous la retire à deux doigts de l’ingestion. On l’admire aussi fort qu'on le hait la seconde d’après. C’en est presque insupportable. On a envie de se dire qu’il y avait du bon chez ce mec, qu’il ne peut susciter autant d’admiration pour rien, autant qu’un Tony Montana qui, tout comme lui, était tout sauf un type bien. Mais on tend à s’accrocher aux parcours les plus sales pour ériger les bad guyz en héros - tout ce qu’ils ne sont pas, mais qu’on s’acharne quand même à vénérer. Le film de JF Richet s’emploie à démonter ce mythe. Il n’y parvient qu’aux trois-quarts. La faute sans doute à Cassel, qui malgré la perfection de son jeu, fait autre chose que se mettre dans la peau de l’individu, en y ajoutant sa propre humanité. On reste cependant pantois devant le torrent de contradictions, d’humanité épisodique et de violence gratuite qu’était Mesrine.

Véritable valse visuelle, plans séquences façon « storyboard » empruntés aux adaptations Marvel, reconstitution ahurissante du Paris des années 60-70’s (mention spéciale pour le Clignancourt d’époque et les emplacements Vélib impeccablement gommés par ordi Shocked ), mise en scène dynamique, distribution parfaite (surtout Cécile de France, que je mate d’un peu plus près depuis le – TRES GENIALEMENT GORE"Haute Tension"), prestation colorée, et un Vincent Cassel palpitant en diable. Ca durerait 5 heures sans entracte et interdiction de sortir sous peine d’électrocution que j’y serais encore.

Ce film aura le public qu’il mérite (les files d’attente kilométriques en témoignent déjà Cool ).

Juste une petite remarque. Le « S » de Mesrine en rouge sur certaines affiches de promo pour le rendre phonétiquement muet n’aura pas servi à grand-chose. On continuera quand même à dire "Messsrine" Twisted Evil .

Par ailleurs, un premier (et bon) film avait été fait sur Mesrine dans les années 80, mais n'avait pas rencontré de succès.

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=48377.html

Dernier petit ajout : la 1ère partie actuellement en salle est en fait la 2ème du tournage. Cassel, qui avait pris 20 kgs pour ce rôle, a tourné le premier volet en dernier, une fois avoir repris son poids normal Wink.

A dans 3 semaines pour la seconde partie. Pas besoin de vous dire que j’y serai, vous savez déjà Twisted Evil .
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Maryjane
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MessagePosté le: Ven 31 Oct 2008 22:01    Sujet du message: Répondre en citant



Gâté, Homeboyz … le film est gâté…

Fan inconditionnelle de la première heure de la filmograhie d’Oliver Stone, il m’avait suffi de voir l’affiche dans les rues de Paris pour partir en flammes et me dire : "WOOOH !!! Bush va s’faire fonsdé, ça va cramer de partout !!!!". Mais une interview de Stone à France Inter tôt le matin dans mes feuilles au réveil avant d’aller taffer et la fumée s’est évaporée. La presse l’a trouvé "étrangement complaisant". Stone ? gentil ? avec Bush en plus ?... tu fumes ?

Mais malgré ce pavé bien fraîchement plaqué dans mes dents à l’écoute de cette interview, malgré le jugé décevant et trop mièvre "World Trade Center" d’avant (et que j’ai carrément préféré ne pas voir), et malgré la quasi-unanimité (ici mais aussi aux US) sur la désagréable surprise qu’à généré ce fameux "W.", j’ai quand même tenu à y aller. Et il en résulte que ce sera peut-être la dernière fois que je filerai mes liasses à Stone.

On s’attend à une puissante déculottée contestataire à l’arme blanche avec un écran en lambeaux laissé pour mort au générique de fin, on a eu droit à "La Petite Maison dans la Prairie" sauce 2008 avec pour toile de fond les questions existentielles de Junior qui comprend pas pourquoi papa lui préfère son petit frère.

Une musique de fond tellement sirupeuse et cucu, ultra présente et sonnant quasiment façon "oh le pauvre" à vos oreilles vous met carrément mal à l’aise, tant on tend à croire que la satyre voulue par Stone (chez moi ça s’appelle "tentative de réhabilitation") semble plus être un appel à la tolérance pour un bon p’tit gars du Texas au mauvais endroit et au mauvais moment qu’à une diatribe bien de chez lui, une verve qui semble terriblement lui manquer désormais, et à laquelle il nous a jadis si bien habitués. Pas une séquence, pas un demi-passage où on sent ce qu’a voulu justifier Stone après la sortie de ce film, à savoir qu’il dépeint Bush comme l’une des personnalités « les plus décevantes » du monde. Non, au contraire, plus on avance dans le film, plus on se dit « merde, le gars était plein de bonne volonté, il a fait tout ça pour que son père le remarque, et puis il n’était entouré que de gros méchants et bien gras vautours, il ne savait même pas qu’il avait déclenché la guerre en Irak pour rien Arrow 'ah ouais comment ça ??? y’a jamais eu d’arme de destruction massive chez Saddam vous m’avez couillé ??'" Rolling Eyes .

On pourrait marcher si on se limitait à cette seule vue d’esprit. On pourrait croire alors que le gars, décrit comme plus con que méchant, n’a tout simplement pas eu de chance et que tout ce qu’il voulait c’était ramener la paix et faire tous les êtres humains du monde se tenir la main pour faire une ronde autour du globe, "parce que seuls les Américains savent le mieux faire la différence entre le Bien et le Mal", parce que "Jésus l’a mis là où il est et qu’il a une mission divine à accomplir et que, comme Moïse, d’abord piètre orateur pour ensuite devenir un véritable Messager, lui aussi y arrivera". Youpi et ton splif à la Javel tu l’déposes quand Evil or Very Mad .

Si la prestation de Josh Brolin est à saluer (surtout pour le mimétisme, la ressemblance physique était moindre), j’ai légèrement regretté le choix de Jeffrey Wright pour le rôle de Colin Powell (pas assez de carrure ; il jouait le rôle du frère photographe de W Smith dans "Ali") et n’ai carrément pas supporté Thandie Newton dans celui de Condolezza Rice. (ça devient récurrent là ; elle m’avait déjà soulée dans "A la Recherche du Bonheur" et "Beloved"). Soit elle l’imite super bien et Rice est aussi raide et crispée qu’un lapin empalé sur un pic – nan ; UN TRONC DE BAOBAB, soit elle dénature l’individu jusqu’aux tréfonds de la supercherie et sombre dans une caricature des plus inénarrables qui soient (rictus abusivement clownesque).

Et puis nan j’en rajoute encore une couche sur Brolin parce que j’ai pas compris le choix de ce mec pour un rôle comme celui-là. Ça veut pas dire qu’il s’en est mal tiré : au contraire il s’est bien démerdé. Mais ça fait des années que je regarde Anthony LaPaglia sous tous les angles dans ma télé et que je me dis "si jamais on fait un film sur Bush, faudra le prendre LUI".


Arrow ...

Forcément il faut que ce soit Stone qui fasse ce film (trop vite, trop tôt, allons-y franchement : trop EXPRES), mais qu’en plus il en fasse une merde supra conformiste totalement indigne de lui et prenne un acteur qu’on n’attend pas (double déception).

On aurait pu en rire s’il ne s’agissait pas d’Oliver Stone. Mais nan. C’est bien du Stone. Ca vient bien du même gars qui nous a lâché des scuds comme JFK, Any Given Sunday, Les Doors, Natural Born Killers, Nixon, Heaven & Earth ou encore Né un 4 Juillet.

Ca se contente pas d’être bâclé. Ca se focalise surtout sur le misérabilisme au goût de télé-réalité façon "3 mois chez les Bush" ou ce genre de cochonnerie télévisuelle, sans jamais chercher à franchement s’arrêter sur les pires saloperies commises par ce gars que Stone appelle un "improbable président".

On dira donc que son film l’est tout autant. Improbable.

Bush-it. M’rattraper sur JFK. TOUT D’SUITE.


Evil or Very Mad Evil or Very Mad Evil or Very Mad
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Maryjane
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MessagePosté le: Mer 19 Nov 2008 23:45    Sujet du message: Répondre en citant



Vincent, l’Or Dur.

Sonnée. Terrassée. Positivement terrassée. Agréablement anéantie. Fantastiquement détruite. C’est comme ça que j’aime le cinéma. Quand il m’attrape au col, me soulève et m’envoie contre un mur après un vertigineux vol plané longue durée. J’aime sentir ces palpitations dans la poitrine, cette panique à deux doigts du dénouement, et cette gorge qui se serre quand elle est prise par l’émotion infligée par le jeu d’un acteur, la profondeur et la conviction habitée avec lesquelles il le fait suinter et ressortir par tous les pores de l’écran.

J’aime quand ce cinéma s’attaque au spectateur, le subjugue et l’assaille, l’insupporte et l’agresse, le laisse pratiquement dans le coma et lui perturbe encore le cortex les jours d’après. Ce soir et comme il y a maintenant bien longtemps, je me suis prise une belle raclée. Plus de 2 h de projection sans presque aucun répit ; c’était une belle volée, un passage à tabac visuel en bonne et due forme, administrée avec une telle violence de talent qu’elle est de ces corrections dont on redemande une salve, le besoin de manquer de souffle entre chaque coups de lattes dans le ventre en plus.

J’encensais déjà Cassel pour le premier volet, je n’ai presque pas de mots assez forts pour qualifier sa prestation dans cette seconde partie, tant l’artiste, tant l’homme est consacré, habité, transformé, génétiquement modifié. Plus qu’une claque dans l’iris, c’est un coup de jus dans les neurones, un choc dont l’intensité m’a laissée chancelante, dans l’impossibilité de dominer mes spasmes même 10 mn après la fin du film.

Bien plus consistant que le 1er volet où l’on montrait la «montée en grade» de l’individu dans le grand banditisme (et où il était donc d’avantage mis l’accent sur les scènes d’action), cette seconde (et selon moi meilleure) partie appuie surtout sur le profil psychologique, la mégalomanie et la grosse tête chopées par Mesrine, galvanisé par l’affection de la presse et d’une partie de la population qui le voyaient comme un gangster du peuple au grand cœur, qui «volait à plus voleur que lui», avait un sens inné de la répartie et savait tourner en ridicule les plus hautes institutions à coup de rhétoriques et diatribes aussi cinglantes et salées qu’hilarantes.

Une métamorphose impressionnante (20 kgs jusque dans les cordes vocales), une distribution savoureuse (une spéciale pour Gérard Lanvin, mais surtout Mathieu Amalric – le méchant frenchie du dernier «James Bond» – et son regard de furet psychopathe dans le rôle de François Besse), une reconstitution remarquable du Paris des 70’s, mais aussi des séquences très certainement appelées à devenir cultes, comme la scène de son procès, ses échanges pittoresques et relevant quasiment de la science-fiction avec son richissime otage octogénaire, ou l’interview durant lequel il tétanise littéralement la journaliste en lui proposant subitement une boisson juste après un tragi-comique pétage de plomb dans le micro, laissent de sacrées traces de barres abdominales.

Impossible de ne pas se tenir les côtes en se disant que ce mec était un vrai taré. Mais un taré lucide, affublé d’un ego surdimensionné et animé par une conception bien personnelle de la justice, qui s’explique ou pas, qui se justifie ou pas, mais sans qu’il ne faille trop chercher à la défendre, surtout quand c’est tentant Arrow voir le cas de Jacques Tilier, journaliste à «Minute» tabassé et laissé pour mort dans une grotte, et dont l’agression semble avoir signé l’arrêt de mort de Mesrine dans l’opinion publique.

Le malaise prend corps pour ne plus quitter le public à partir du final que tout le monde connaît – son exécution (car c’en est une) à Clignancourt. Malaise durant lequel JF Richet, s’il joue avec nos nerfs avec un suspens aussi alerte que définitivement sadique, ne prend pas de gants avec le spectateur qu’il ampute aussi brutalement que le fut le parcours de Mesrine, et dont la mise à mort scelle aussi bien son histoire que le film lui-même, sans plus de fioritures ou autre conclusion moraliste quelconque.

A chacun ensuite de se faire sa propre opinion sur le personnage. Richet aura voulu dépeindre un homme dans toutes ses contradictions et ses accès de violences injustifiés avec un œil neutre et sans concessions, je doute cependant, par le biais de Cassel, qu’il soit vraiment parvenu à ternir l’image du très truculent Mesrine dans l’affection du public français.

L’Ennemi Public n° 1 est tout simplement magistral, et Vincent Cassel… un Sacré Monstre.

... J’avais pas vu une salle aussi bondée depuis Terminator 2.

J’y retournerai c’est obligé (ooh-weee...).

Cool
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melost
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MessagePosté le: Dim 21 Déc 2008 10:38    Sujet du message: Répondre en citant

Pour 2009, deux films à ne pas manquer ; Seven Pounds de Gabriele Muccino (The Pursuit of Happyness) avec et produit par Will Smith.

Je manque les mots pour l'exprimer mais une chose est plus que certaine, ce film a touché chaque nerf sentimental de mon corps. Will Smith a encore démontrer, avec une profonde humilité, le niveau très élevé de son talent. La il m'a I.M.P.R.E.S.S.I.O.N.N.É par sa capacite à penetrer et reproduire un personnage aussi complexe que Ben Thomas. Standing pour Rosario Dawson, la fille a tout donnée. C'est du grand art. Ca fait plaisir. Ce film sera nominé.



L'autre film a voir ; Grand Torino de Clint Eastwood. Pas encore sorti mais circule deja ici et la.
Pour moi c'est très simple; CLint l'a encore fait . Sobre et simple. Certainement nominé pour les prochaines.


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Gnata
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MessagePosté le: Dim 21 Déc 2008 14:53    Sujet du message: Répondre en citant

melost a écrit:
Pour 2009, deux films à ne pas manquer ; Seven Pounds de Gabriele Muccino (The Pursuit of Happyness) avec et produit par Will Smith.

Je manque les mots pour l'exprimer mais une chose est plus que certaine, ce film a touché chaque nerf sentimental de mon corps. Will Smith a encore démontrer, avec une profonde humilité, le niveau très élevé de son talent. La il m'a I.M.P.R.E.S.S.I.O.N.N.É par sa capacite à penetrer et reproduire un personnage aussi complexe que Ben Thomas. Standing pour Rosario Dawson, la fille a tout donnée. C'est du grand art. Ca fait plaisir. Ce film sera nominé.


J'ai trouvé Seven Pounds p-e plus vraissemblable que Iam Legend (avec cette fâcheuse historette de vampires) mais , c'est à peu près sinon pratiquement le même synopsis , enfin , un héros qui veut se racheter en se vouant corps et âme pour aider de bonnes gens.
Au lieu de l'humanité entière dans Iam Legend c'est plutôt juste 7 personnes ici , bref , le film est lent et semble ne pas plaire vraiment à ceux à qui ca ne plaît pas , mais plaît à la folie à ceux à qui ca plaît , de la sémantique pour dire qu'on ne plaît pas à tout le monde , ou soit , on aime ou on n'aime pas .

Ca peut lui valoir un oscar mais je ne parierais pas sur celui du meilleur scénario , il a manqué l'effet de surprise dans le style Sixth sens où ta machoire pend à la fin comme pour dire un retentissant et élégant What the f... oubien pour sortir un vulgaire post hoc ergo propter hoc ! Laughing

Ah oui ..., La tête du tenancier du motel quand Will ( B.Thomas ) lui a dit de lui faire part des nouvelles le jour où son motel aura un "Horse policy" , priceless ! Laughing
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melost
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MessagePosté le: Dim 21 Déc 2008 20:46    Sujet du message: Répondre en citant

Gnata a écrit:
melost a écrit:
Pour 2009, deux films à ne pas manquer ; Seven Pounds de Gabriele Muccino (The Pursuit of Happyness) avec et produit par Will Smith.

Je manque les mots pour l'exprimer mais une chose est plus que certaine, ce film a touché chaque nerf sentimental de mon corps. Will Smith a encore démontrer, avec une profonde humilité, le niveau très élevé de son talent. La il m'a I.M.P.R.E.S.S.I.O.N.N.É par sa capacite à penetrer et reproduire un personnage aussi complexe que Ben Thomas. Standing pour Rosario Dawson, la fille a tout donnée. C'est du grand art. Ca fait plaisir. Ce film sera nominé.


J'ai trouvé Seven Pounds p-e plus vraissemblable que Iam Legend (avec cette fâcheuse historette de vampires) mais , c'est à peu près sinon pratiquement le même synopsis , enfin , un héros qui veut se racheter en se vouant corps et âme pour aider de bonnes gens.
Au lieu de l'humanité entière dans Iam Legend c'est plutôt juste 7 personnes ici , bref , le film est lent et semble ne pas plaire vraiment à ceux à qui ca ne plaît pas , mais plaît à la folie à ceux à qui ca plaît , de la sémantique pour dire qu'on ne plaît pas à tout le monde , ou soit , on aime ou on n'aime pas .

Ca peut lui valoir un oscar mais je ne parierais pas sur celui du meilleur scénario , il a manqué l'effet de surprise dans le style Sixth sens où ta machoire pend à la fin comme pour dire un retentissant et élégant What the f... oubien pour sortir un vulgaire post hoc ergo propter hoc ! Laughing

Ah oui ..., La tête du tenancier du motel quand Will ( B.Thomas ) lui a dit de lui faire part des nouvelles le jour où son motel aura un "Horse policy" , priceless ! Laughing


Comme tu dis Gnata,
On aime ou on aime pas. Cela peut dépendre des gens ou de leur etat d'esprit au moment du visionnage. Au moment ou je l'ai vu, le contexte était propice, je recherchais particulièrement le genre de film avec des personnages aux coeurs brises et aux destins tourmentés. Ajoute a cela (why not)un héros qui veut se racheter en se vouant "corps" et "âme" pour aider de bonnes gens. C'est une belle histoire. Superbement interprétée par W.S et R.D. J'ai passé un tres bon moment et je place lefilm dans mon top 10 meme si je ne compte pas le revoir d'ici tot. Sauf, peu etre, pour apprécier encore une x certaines scenes ou Rosaria D a revelee ses talents d'actrice.

J'ai bien aimé lorsque le gérant du motel lui demande, sur un ton arrogant, combien de temps il comptait encore occuper la chambre. Sur quoi W.S répond " actualy i was planning on dying here" et le gerant de lui balancer " dans ce cas il faudra payer une avance. lol.
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Kiné Lam
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MessagePosté le: Sam 27 Déc 2008 17:04    Sujet du message: Répondre en citant

Les amis, vous ne comptez sérieusement pas finir l'année sans mentionner le plus beau film qu'hollywood nous ait livré; le dernier Batman: The Dark Knight. Faudrait songer à aller le voir si cela n'a encore été fait. J'ai pas vu tous les films où figure Heath Ledger, mais dans celui-ci il est inénarrable dans son rôle du joker. Alors ce sera injuste si on prétexte l'oscar (meilleur acteur)qu'on lui décernera par le fait de sa mort. À noter l'exquise présence de Morgan Freeman et celle brève Michael J White.

Si vous aimez les comédies, je recommande The love guru avec Romany Malco(hilarante séquence de danse dans "les rois du patin"), Meagan Good et Mike Myers. Très bon film! On rit sans arrêt. Le coach de l'équipe de hockey...Laughing franchement il faut le voir ce film.

Autre comédie utile aux abdos, "Max la menace"! Du grand n'importe quoi, mais efficace comme toute bonne comédie américaine qui se respecte Laughing
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Maryjane
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MessagePosté le: Dim 28 Déc 2008 08:40    Sujet du message: Répondre en citant

Kiné Lam, What up Laughing ?!!!

Kiné Lam a écrit:
Les amis, vous ne comptez sérieusement pas finir l'année sans mentionner le plus beau film qu'hollywood nous ait livré; le dernier Batman: The Dark Knight. (...) Faudrait songer à aller le voir si cela n'a encore été fait. À noter l'exquise présence de Morgan Freeman et celle brève Michael J White.


L'un des pires que j'aie vu cette année avec mon posse. On s'est jamais autant désespérément maté les uns les autres pendant une projection (la dernière fois c'était pour "Charlie et la Chocolaterie" Arrow on avait fini par se borer de la salle tellement c'était inepte).

Freeman a autant de consistance et de présence qu'un vent, on n'a pas encore compris sa contribution dans ce film.

Je préfère Christian Bale dans des rôles plus torturés et je bloque encore sur Michaël Keaton dans la peau de Batman qui à cette époque était en latex véritable Laughing (forcément, avec tout le martèlement publicitaire de l'époque en 1988, le foin marketing autour du logo de Batman, Nicholson en Joker et la bande-son déjantée de Prince, ça laisse des traces, même si le film est pas inoubliable non plus).

J'ai également bloqué sur le trucage (inutile) fait sur la voix de Bale façon Stentor enroué sous le costume (qui l'a rendu plus ridicule que crédible Arrow y'en a qui se poilaient dès qu'il parlait), et parlons pas du costume aussi souple qu'un bloc de granit. Comment tu peux te taper dans un costume dont les articulations semblent être aussi cartonnées qu'en option ???

Bref, une Batmoto aux allures de 4x4 dans une scène d'action microscopique pour plus de 2 heures de verbiages, un Gotham City quasi inexistant, une Maggie Gyllenhaal vraiment pas belle du tout (on n'a vraiment pas pu l'intégrer dans l'intérêt du film qui était déjà petit), un final tiré par les cheveux sur l'importance du sacrifice... en dehors de la réalisation en elle-même, ce film nous a littéralement détruit notre capital temps.

Kine Lam a écrit:
J'ai pas vu tous les films où figure Heath Ledger, mais dans celui-ci il est inénarrable dans son rôle du joker. Alors ce sera injuste si on prétexte l'oscar (meilleur acteur) qu'on lui décernera par le fait de sa mort.


Là je te l'accorde à 100 000 %. Pour reprendre ce que j'ai dit ailleurs :

Pour lui et rien que pour lui. Le public, dans une communion de froideur particulièrement marquée, n'a donné signe de vie qu'aux seuls passages (trop rares) du Jocker, profondément et gravement habités par Ledger, dont on sent que l'implication a été quasi-intestinale. Seul Ledger dans ce châtiment visuel de 2 h 30 vaut le détour.

Si un best-of de ses uniques apparitions dans ce film sort en DVD JE PRENDS.


melost a écrit:
Pour 2009, deux films à ne pas manquer ; Seven Pounds de Gabriele Muccino (The Pursuit of Happyness) avec et produit par Will Smith.


... Truc de ouf, j'ai rêvé de lui cette nuit Shocked.
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melost
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MessagePosté le: Dim 28 Déc 2008 22:24    Sujet du message: Répondre en citant

Maryjane a écrit:
... Truc de ouf, j'ai rêvé de lui cette nuit Shocked.




Laisse moi deviner; Il etait tout en chocolat noir soyeux et c'est au moment ou tu voulais le croquer à pleines dents que ca a fait POPS! et qu'évidement tu t'es réveillée ?! Ahh !! c'est reves vraiment.

Des barres


Ouch !! mes abdos. C'est plus possible, faut que je retourne à la gym.

Meme si je déteste ces périodes de fêtes et les dépressions nerveuses qu'elles engendre, je te souhaite neanmoins les meilleurs voeux et Bonana 2009 . BONANAAAAA !!! => =>
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Maryjane
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MessagePosté le: Lun 29 Déc 2008 01:27    Sujet du message: Répondre en citant

melost a écrit:
Maryjane a écrit:
... Truc de ouf, j'ai rêvé de lui cette nuit Shocked.




Laisse moi deviner; Il etait tout en chocolat noir soyeux et c'est au moment ou tu voulais le croquer à pleines dents que ca a fait POPS! et qu'évidement tu t'es réveillée ?! Ahh !! c'est reves vraiment.

Des barres


Ouch !! mes abdos. C'est plus possible, faut que je retourne à la gym.


S'pèce d'ingrat à rire de mes dérives nocturnes Laughing !

Nan nan en fait il devait repartir aux States et essayer de garder de bons contacts avec la mère de ses enfants après leur fraîche séparation. Après "promis je reviens" (bordel mais quels cons jusque dans mes rêves venir me les secouer avec leur connerie c'est pas possible Shocked).

Ah ouais et puis sinon il était pas tout en chocolat, juste un tricot de peau tout blanc et un pince noir ...

Nan mais t'inquiète j'ai fait pire question rêves de Peoples hein... Rien qu'un exemple de malade parmi tant d'autres, quelques jours après l'annonce de la mort de 2Pac, je rêve qu'on se fait courser par des snipers en pleine nuit dans les bois.

Cherche pas, faut pas, tu te feras trop de mal Laughing !

melost a écrit:
Meme si je déteste ces périodes de fêtes et les dépressions nerveuses qu'elles engendre, je te souhaite neanmoins les meilleurs voeux et Bonana 2009 . BONANAAAAA !!! => =>


J'aime pas ça non plus (surtout pas Noël, sa clique de sapins et son kit de crèche en plastique), et je comprends pas que les gens attendent ce type d'occasion pour se réunir et foutre le bordel, mais j'avoue que ce 31-là et la soirée Disco déguisée qui m'attend... ça va être un sacré dawa ma bouille, donc fais-en autant (t'as intérêt d'ailleurs Twisted Evil ).

Par contre, la bande aux "bonne année / bonne santé / wélélé / meilleurs voeux", c'est la plupart du temps interdit de séjour chez moi. D'ailleurs j'ai prévu de débrancher mon phone pendant une bonne quinzaine, histoire qu'on me lâche avec ce genre de convention qui me gave (surtout au TAF et sa ribambelle d'hypocrites de bureau la main sur l'épaule façon "PIOUP-PIOUP j'te fais la bise" en carton tu m'suis Rolling Eyes )...

Donc 31 ou pas, la vie est courte Baby, fais-en bon usage à tout instant Wink.
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MessagePosté le: Lun 29 Déc 2008 03:18    Sujet du message: Répondre en citant

Maryjane a écrit:


Ah ouais et puis sinon il était pas tout en chocolat, juste un tricot de peau tout blanc et un pince noir ...
Ah ?! bon ! Il etait quand meme habillé lebonhomme ? J'aurais pourtant parié qu'il etait entièrement en chocolat c.a.d. tout nu. Sad Tant pis pour toi.

Citation:
Nan mais t'inquiète j'ai fait pire question rêves de Peoples hein... Rien qu'un exemple de malade parmi tant d'autres, quelques jours après l'annonce de la mort de 2Pac, je rêve qu'on se fait courser par des snipers en pleine nuit dans les bois.
Bordel. Heureusement que les reves ne sont que révélateurs et non non prémonitoirs.

Citation:
Cherche pas, faut pas, tu te feras trop de mal Laughing !
T'inquiète, les rêves étranges came connait.


Citation:
J'aime pas ça non plus [i](surtout pas Noël)
Hate that shit men.

Citation:
mais j'avoue que ce 31-là et la soirée Disco déguisée qui m'attend... ça va être un sacré dawa ma bouille
Fait ca bien. Cool


Citation:
Donc 31 ou pas, la vie est courte Baby, fais-en bon usage à tout instant Wink.
copy that.
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MessagePosté le: Sam 03 Jan 2009 18:13    Sujet du message: Répondre en citant



Avec Benicio Del Toro dans le role du Che.


partie 1 http://www.megavideo.com/?v=AINC0I1F

Duree : 2.35

La partie 2 sera dispo la semaine prochaine.
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MessagePosté le: Dim 04 Jan 2009 00:59    Sujet du message: Répondre en citant

melost a écrit:


Avec Benicio Del Toro dans le role du Che.


partie 1 http://www.megavideo.com/?v=AINC0I1F

Duree : 2.35

La partie 2 sera dispo la semaine prochaine.


Ton avis, Brotha, ton avis Razz ?!!!!
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MessagePosté le: Dim 04 Jan 2009 02:10    Sujet du message: Répondre en citant

Maryjane a écrit:
melost a écrit:


Avec Benicio Del Toro dans le role du Che.


partie 1 http://www.megavideo.com/?v=AINC0I1F

Duree : 2.35

La partie 2 sera dispo la semaine prochaine.


Ton avis, Brotha, ton avis Razz ?!!!!


Pas encore vu Mj. Embarassed
Si toi tu l'a vue, n'hesite pas.
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MessagePosté le: Dim 04 Jan 2009 16:01    Sujet du message: Répondre en citant

melost a écrit:
Maryjane a écrit:
melost a écrit:


Avec Benicio Del Toro dans le role du Che.


partie 1 http://www.megavideo.com/?v=AINC0I1F

Duree : 2.35

La partie 2 sera dispo la semaine prochaine.


Ton avis, Brotha, ton avis Razz ?!!!!


Pas encore vu Mj. Embarassed
Si toi tu l'a vue, n'hesite pas.


Je suis assez C.R.O.C. de Del Toro ( ), mais le sujet ne me parle pas en fait. J'ai peur d'une éloge sur un gars dont le parcours a été interprété 110 milliards de fois différemment. Avant d'aller voir ça, j'aurais vraiment voulu me documenter mais de façon neutre (j'ai jamais compris ni adhéré à la déification de la photo au béret ou au T-Shirt "Che", et une émission sur Arte avait bien démoli le mythe en dépeignant ce gars comme un vrai despote).

C'est comme pour Castro. Deux gars autant haïs d'une part que vénérés de l'autre. Je me suis presque embrouillée avec une amie d'époque qui voyait ce mec (Castro) carrément comme un Dieu, puis d'un côté j'avais des reportages dans ma télé qui montraient comment ce mec traitait ceux qui ne pensaient pas comme lui, l'obsession intestinale des USA contre ce mec, et de l'autre côté Oliver Stone qui fait un film-interview sur lui l'année dernière (et qui sort nulle part). Tout ça s'embrouille dans ma tête.

Mais bon. Soderbergh et Del Toro ont déjà bien déchiré ensemble (Traffic) ; je devrais donc y aller les yeux fermés, mais neutre, comme si j'allais voir un film "normal". Mais ce serait pas évident.

Si tu sais où je peux me renseigner sur ces 2 gars sans parti pris, je prends Wink.
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MessagePosté le: Ven 13 Fév 2009 20:28    Sujet du message: Répondre en citant



"Sept Vies", ou l'art de te saouler pendant 2 plombes et tenter de rattraper le tout avec du pathos pur jus à deux minutes du générique de fin histoire de bien te prendre par les sentiments et te faire dire que la fin fait de l'ensemble un chef-d'oeuvre.

Ben nan la fin rattrape rien du tout. Nothing. Nada. AYEN. EN TCHOU. Que dalle.

Déjà l'affiche me gave. Smith est au bout du rouleau et se considère comme rien de moins qu'une merde ; pourquoi une affiche façon photo-maton qui cherche un job un demi-quart de sourire de Joconde sous perf aux lèvres ??? c'est moi ou bien... Shocked ?

WHATEVER.

"Sept Vies" ou plutôt "Une-meuf-et-six-autres-bouilles-vite-fait derrière", truffé d'une très fatigante, interminable et insupportable surenchère de sessions larmoyantes 15 tonnes bien pesés, transpire le remake inversé du "Love Story" de 1970 teinté de faux (et très plats) airs d'atmosphère de films de destins croisés façon Inarritu ("21 Grams", "Amours Chiennes") ou Paul Haggis ("Crash"), et à la copie supra terne d'un suspens final à la M Night Shyamalan 3ème sous-sol ont fait de la mise en scène de ce film un long métrage particulièrement chiant.

Trop de longueurs, trop de rafistolages hasardeux entre les scènes dont les mix entre le présent et le passé sans comprendre (ou ne plus avoir envie de chercher) 15 secondes avant la fin te scratchent aussi bien l'enthousiasme que l'intérêt.

Je tolère pas le prétexte gratuit de faire passer le scénar de ce film pour une illustration de ce que peut faire un être humain par amour. Nan nan ; dès le départ le gars, qui se pardonne pas la mort par imprudence de 7 personnes, décide de mettre fin à ses jours. Il aurait pas connu la meuf qu'il aurait quand même fini en distributeur d'organes alors faut juste un peu arrêter de prendre le spectateur pour un con volant en lui suggérant que Smith se tue par amour (ça va pas ou quoi Evil or Very Mad ).

Le gars trouvait juste qu'il n'avait plus rien à faire sur Terre et qu'il lui fallait partir en payant de sa vie pour un malheur dont il se sentait seul responsable.

Point barre.

On va dire que "Sept Vies" m'a surtout fait l'effet d'avoir passé 7 plombes devant une mire d'écran surround.

Paradoxalement, Will Smith était toujours aussi EXCELLENT. Va comprendre hein.

Ah ouais et puis au fait. Ouais j'ai chialé à la fin, ouais. Mais comprenons-nous bien : c'était purement technique.
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MessagePosté le: Sam 14 Fév 2009 18:20    Sujet du message: Répondre en citant

Mj, tough girl, try a litte tenderness. Very Happy

Tu es (trop) tranchante comme un cutter.
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WILDCAT
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MessagePosté le: Sam 14 Fév 2009 18:51    Sujet du message: Répondre en citant

melost a écrit:
Mj, tough girl, try a litte tenderness. Very Happy

Tu es (trop) tranchante comme un cutter.


Fais attention elle est derrière nous!!! Mr. Green
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MessagePosté le: Sam 14 Fév 2009 19:12    Sujet du message: Répondre en citant

WILDCAT a écrit:
melost a écrit:
Mj, tough girl, try a litte tenderness. Very Happy

Tu es (trop) tranchante comme un cutter.


Fais attention elle est derrière nous!!! Mr. Green


heu !! Sad Mj ?! héhéhé, attends, je vais tout t'expliquer...c'etait pour rire..heuu t'es la meilleure... aaargghhh!!!!! ouiiie !! ai!! Pas sur la tete... c'ets Wilcat..


Hum bon je sors Arrow Arrow
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MessagePosté le: Lun 16 Fév 2009 01:56    Sujet du message: Répondre en citant

melost a écrit:
WILDCAT a écrit:
melost a écrit:
Mj, tough girl, try a litte tenderness. Very Happy

Tu es (trop) tranchante comme un cutter.


Fais attention elle est derrière nous!!! Mr. Green


heu !! Sad Mj ?! héhéhé, attends, je vais tout t'expliquer...c'etait pour rire..heuu t'es la meilleure... aaargghhh!!!!! ouiiie !! ai!! Pas sur la tete... c'ets Wilcat..


Hum bon je sors Arrow Arrow


EH VOUS ETES NULS !!!!

Bon ; pour rattraper le coup, je vais me rattraper sur "Benjamin Button" cette semaine.

L'a intérêt à être bon le film là, sinon j'fous l'feu à l'écran.
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MessagePosté le: Lun 16 Fév 2009 04:28    Sujet du message: Répondre en citant

Maryjane a écrit:



..., sinon j'fous l'feu à l'écran.


Take it easy girl. Very Happy

J'sais pas si tu aimeras mais perso j'ai passé un tres bon moment. Note que je l'ai vu sur mon ordi en HD confortablement installé sur mon canapé. Cela m'a épargné de passer 3 h enfermé dans une salle. Sans contraintes, j'ai donc pris mon temps.
Dans ce contexte, ce film de D. FIncher m'a fait passer un tres bon moment.

Maintenant, lorsque tu sortiras de la projection, dans le pire des cas, sauf si les 3 hrs ne t'ont pas trop assommée, tu n'auras pas le sentiment d'avoir gaspiller tout ton temps car tu noteras néanmoins les magnifiques cliches parfaitement mis en scene par leseffets speciaux ainsi que l'exellent maquillage qui accompagne Brave B** tout le long de son existence.

Bref, pour l'apprécier, si t'es patiente, loue le, comme ca tu pourras le visionner comme une mini serie.
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MessagePosté le: Lun 16 Fév 2009 12:15    Sujet du message: Répondre en citant

Wossup Homeboy,

3 heures ? wof... ça va c'est la norme chez moi Mr. Green.

Je garde un excellent et très violent souvenir de la collaboration Pitt-Fincher concernant FIGHT CLUB (qui est mon film C.U.L.T.E.) - damn, ça fait déjà 10 ans Shocked Shocked Shocked ...

J'ai moins aimé "The Game" qu'il a fait avec Michaël Douglas et Sean Penn (trop alambiqué et je déteste tout ce qui de près ou de loin ressemble à un jeu de société, familial, malsain ou pas).

Je me casse encore moins la tête pour Brad Pitt (le gars m'a tuée à partir de "Kalifornia"). C'est juste Robert Redford en plus jeune, le talent polyvalent hardcore en plus Twisted Evil .

A tous les coups j'y vais ce soir. J'te tiens aware Cool .
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melost
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MessagePosté le: Lun 16 Fév 2009 15:14    Sujet du message: Répondre en citant

Maryjane a écrit:
.

J'te tiens aware Cool .


Ok mais vas y molo avec la critique hein. Laughing

Ps: Sorry pour le Brave B***. Je me suis un peu trop lacher.
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MessagePosté le: Lun 16 Fév 2009 15:38    Sujet du message: Répondre en citant

melost a écrit:
Maryjane a écrit:
.

J'te tiens aware Cool .


Ok mais vas y molo avec la critique hein. Laughing


Naaah t'inquiète je mettrai de l'Actifed dans mon coca en principe ça devrait le faire Mr. Green !

melost a écrit:
Ps: Sorry pour le Brave B***. Je me suis un peu trop lacher.


No prob', biz-biz Cool
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MessagePosté le: Dim 10 Mai 2009 15:23    Sujet du message: Répondre en citant

Hey WHAT UP...




Le genre de film que je m'injecte à haute dose.

Bataille à Seattle évoque les vives échauffourées générées à Seattle par les par les manifestations anti-OMC de 1999, le traitement partial des médias et celui des manifestants infligé par la police.

On se retrouve plongé au cœur même des revendications, des motivations, de la conviction, la colère et surtout l'obstination de ces hommes et femmes dont les combats sont réels, et se révèlent bien plus profondes qu'un simple poing levé, des banderoles, un porte-voix et des slogans bien sentis ; il s'agit ici de rendre hommage à ceux dont la lutte pour un monde plus respectueux du droit humain est un sacerdoce, une hygiène de vie, une mission humaine, une détermination à changer le monde qui dépasse le verbe. Ici, il s'agit d'action, de long terme, et d'interdiction expresse au découragement, sous peine de contribuer par sa passivité à la mise à mort accélérée de notre univers.

Bataille à Seattle est tout simplement nécessaire, recommandé, inévitable. En le regardant, la passion monte, l'admiration prend de l'ampleur. On jubile en constatant que l'Homme n'est jamais totalement endormi, est encore rebelle, frisse volontiers parfois l'anarchie, et sait se fédérer à ses semblables pour EXIGER le droit d'AVOIR et ÊTRE.

Les scènes de violences policières sont ici suffisamment explicites pour ne pas avoir à en débattre à travers ces lignes (on dira que tu sais déjà). Celles des manifestations sont purement jubilatoires, violentes, entrecoupées d'images d'archives qui en disent long sur la DÉTERMINATION qui les a animées ; on s'en veut presque de rester là assis sur son divan et pester contre les news en boucle sur le câble dès qu'elles nous révoltent. On les envie d'être VIVANTS.

Un casting de diamant (André Benjamin, Charlize Theron, Ray Liotta, Isaac de Bankholé, Woody Harrelson...), une prestation bouillonnante, subtile et sonnant diablement juste. Un lot d'étoiles en or non seulement pour le film, mais aussi un bonus en lingot pur pour le générique de fin (j'ai kiffé le graphisme) sur fond de résumé des temps forts des rencontres de l'OMC après les événements de Seattle, jusqu'en 2007.

Pour tout novice concernant l'OMC, à souligner la très juste réplique d'André Benjamin à ce propos :

"Il y a une semaine encore, personne ne savait ce qu'était l'OMC... Ils n'en savent pas plus aujourd'hui... mais ils savent que ce n'est pas bien !" Very Happy

La bataille continue... DAMN QU'ON AIMERAIT EN ÊTRE Embarassed .

QUANT A LUI LA !!!!!



Arrow TRAQUE INTERPLANÉTAIRE J'VEUX PAS L'SAVOIR (ah ouais nan mais j'rigole plus là attends...) Evil or Very Mad Evil or Very Mad Evil or Very Mad Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil Razz Razz Razz Laughing Laughing Laughing ...
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MessagePosté le: Lun 11 Mai 2009 12:33    Sujet du message: Répondre en citant



En investissant son argent dans quelque chose qu’on a aimé jadis et qu’on n’a pas revu depuis, il peut avoir des déceptions à la relecture. Le genre colombes shootées en plein vol et le disque des fées chantantes qui déraille en rematant le truc et en se disant "… mais comment j’ai pu kiffer ça s’te plaît Shocked... ?" .

Mais y’a des risques qui en valent la peine. Alors j’ai opté pour le verre à moitié plein. Et j’ai pris le risque.

Trouvé par pur hasard en édition double dvd collector (coffret et tout s’te plaît j’étais super dosée Embarassed ), et dans un rayon super improbable dans l’intitulé ("Films du monde" pour éviter le trop violent "Afro-Américains" pour les consommateurs effarouchés Rolling Eyes ), je me suis fait un plaisir presque malsain de m’acheter ce film. Et puis une session old school peut jamais faire de mal Wink.

Avant d’insérer ce dvd dans mon lecteur, je n’avais pas revu "New Jack City" depuis plus de 15 ans. La dernière fois c’était en VHS enregistré en VO sur Canal avec la qualité vidéo douteuse que tu sais (illusions d’optiques façon vagues rosâtres sur ton écran qui tremble lors des plans lumineux, quand c’est carrément pas pour se crypter pour cause d’antenne mal réglée), et les rembobinages nocifs à répète qui finissent par te fondre la bande de ta VHS juste après te l’avoir bien rayée.

Des dialogues, des images, des scènes m’étaient forcément restés, je revois l’époque de la sortie du film en France, les potes qui prennent feu après l’avoir vu, et moi dans le métro, revenant des Champs-Elysées avec la BO format K7 audio fraîchement achetée sous le bras, en train de lui arracher son cellophane, la sortir de son étui et la mettre dans mon walkman couleur pistache chromé Sony ultra plat méga bass (ah ouais hein…) et appuyer sur PLAY pour me prendre une raclée sonore des plus mémorables qui soient rien qu’avec le morceau d’ouverture de cette face de lion d’Ice-T - New Jack Hustler - un riddim, une bass, cette voix et cette diction tellement singulières d’Ice-T, lâchée droit dans mes feuilles comme une bombe… Shocked

WHATEVER.

J’ai donc revu New Jack City. Et damn… LE FILM EST TOUJOURS BON HOMEBOYZ… il n’a pas pris une ride, toujours aussi actuel (je parle pas des fringues hein Laughing), on peine à croire que 18 ans nous séparent de ce film clairement sorti de la jambe d’un Scarface au plus impitoyable de sa forme ; on réhabilite littéralement Wesley Snipes pour ses qualités indéniables (mais plus aussi reconnues) d’acteur décemment mises en lumière et en valeur, on jubile devant le jeu d’Ice-T (Wooooooh j’avais oublié que le gars était aussi MMMMMMRRRR dans ce film Shocked Shocked Shocked !!!!), que Van Peebles a recruté après l’avoir entendu, calé sur son trône dans les toilettes d’un night club, vanner deux mecs avec le verbiage qu’on lui connaît ("le mec qui vient de sortir ces paroles, je l’engage dans mon prochain film !", et c’est Ice-T qui est sorti Wink)… et la nostalgie d’ado reprend définitivement ses droits devant votre écran, la main crispée sur la télécommande.

La scène d’ouverture sur le pont de New York et Nino Brown sortant de sa voiture en costard bleu électrique, le groupe Guy en boîte et son cultissime "New Jack City", la séquence acapella du sublime "Living For The City" des Troop / Levert sur fond de prise d’assaut de l’immeuble du Carter par les Cash Money Brothers, le rire diabolique de Gee Money après l’exécution du Rasta dealer en chef du Carter, la fusillade du mariage, la mise à mort de Gee Money et surtout, SURTOUT, ABSOLUMENT JUBILATOIRE pour moi, ma scène culte à moi bien à moi : la réplique explosive d’Ice-T à Nino après l’avoir démonté à coup de lattes, un gun dans les mains et le visage littéralement transcendé par les pulsions obscures…

« I wanna shoot you so bad… my dick’s hard… »

GOD…D… MMMMRRRR !!!!!!

Allons-y franchement : New Jack City est un pur classique du cinéma Afro qui mérite tout simplement de se faire rayer par mon lecteur DVD.

Faites-en autant (VERSION FRANCAISE OFF HEIN. ON DEMANDERA PAS POURQUOI).
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MessagePosté le: Dim 17 Mai 2009 01:55    Sujet du message: Répondre en citant

Alors là; rien que la B.O est violente mais apparement il y a des talents qui se révèlent. Ce Film que je n'ai pas encore vu me semble hautement conseillé afin d'analyser beaucoup de travers de la société et des difficultés au sein que la communauté afro aux States et sûrement dans les autres pays.



http://festivaldecannes.allocine.fr/festivaldecannes-226223-precious_de_lee_daniels__un_certain_regard.htm






http://blogs.bet.com/entertainment/whattheflick/oscar-nominees-monique-and-mariah/
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MessagePosté le: Dim 17 Mai 2009 08:29    Sujet du message: Répondre en citant

WILDCAT a écrit:
Alors là; rien que la B.O est violente mais apparement il y a des talents qui se révèlent. Ce Film que je n'ai pas encore vu me semble hautement conseillé afin d'analyser beaucoup de travers de la société et des difficultés au sein que la communauté afro aux States et sûrement dans les autres pays.



http://festivaldecannes.allocine.fr/festivaldecannes-226223-precious_de_lee_daniels__un_certain_regard.htm






http://blogs.bet.com/entertainment/whattheflick/oscar-nominees-monique-and-mariah/


Shocked Shocked Shocked Shocked Shocked DAMN... WILDIE... FRISSONS TÔT LE MATIN... TON TRAILER M'A TUÉE... ET MARY J PAR-DESSUS DAMN ÇA FAIT MAL... ÇA SORT QUAND S'TE PLAIT S'TE PLAIT S'TE PLAIT....?????
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MessagePosté le: Dim 17 Mai 2009 11:48    Sujet du message: Répondre en citant

AH OUAIS RIEN AVOIR AVEC l'Affiche Internationale. L'image est plus parlante avec un corps déchiré qui est la conséquence d'un esprit perturbé et d'une souffrance violente. A moins que Carey ait demandé qu'on fasse une version Butterfly Rolling Eyes Question




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MessagePosté le: Mer 27 Mai 2009 13:29    Sujet du message: Répondre en citant

WILDCAT a écrit:
AH OUAIS RIEN AVOIR AVEC l'Affiche Internationale. L'image est plus parlante avec un corps déchiré qui est la conséquence d'un esprit perturbé et d'une souffrance violente. A moins que Carey ait demandé qu'on fasse une version Butterfly Rolling Eyes Question



Accueil ENTHOUSIASTE au Festival de Cannes Wink :

Citation:
http://www.lematin.ch/flash-info/monde/malheurs-precious-irradient-emotion-croisette

Les malheurs de "Precious" irradient d'émotion la Croisette

Elle est grosse, noire, enceinte, illettrée et abrutie de malheurs. "Precious", le personnage du film du même nom, a pourtant vendredi soir irradié la Croisette d'émotions et d'espoir, prenant un sérieux ticket dans la course au prix Un Certain Regard pour lequel il concourt.

AFP - le 16 mai 2009, 20h22

Le film a même apporté une touche de glamour et de +people+ sur les marches, avec la présence des chanteurs Mariah Carey et Lenny Kravitz, acteurs dans le long métrage. La première, méconnaissable, joue une assistante sociale et le second un infirmier.

De longues minutes d'applaudissements et une standing ovation ont salué le réalisateur, ému aux larmes, à l'issue de la projection. Lee Daniels avait indiqué avant la projection combien il était "profondément honoré d'être à Cannes. C'est un rêve. C'est bien loin de là d'où je viens".

Il a également fait faire au Festival de Cannes une entorse à sa règle de ne présenter que des films n'ayant jamais concouru dans un autre festival, et a fortiori n'ayant jamais été primé. Or ce long métrage (1h49) a déjà remporté en janvier le Grand Prix du Jury du festival de Sundance, aux Etats-Unis.

L'histoire est tirée d'un roman à succès paru en 1996, "Push", écrit par la poétesse new-yorkaise Sapphire.

Harlem, le quartier noir de New York, 1987. Claireece "Precious" Jones a 16 ans, un sérieux problème de poids et "n'a jamais eu de petit ami". Precious est pourtant enceinte, pour la deuxième fois, de son père. Elle vit des allocations avec sa mère qui la bat, lui reproche chaque jour d'être stupide et de lui avoir "volé" son mari.

La jeune fille est envoyée dans une école alternative, pour jeunes filles difficiles et illettrées. L'amour et la confiance de son professeur vont amener Precious à prendre conscience de sa propre valeur, et à se battre contre ce destin épouvantable.

Sur cette trame somme toute classique, Lee Daniels a réussi à mêler réalités sordides et scènes de comédie, entrecoupées de séances colorées où Precious s'imagine star de cinéma, chanteuse à succès, jeune fille courtisée ou ... femme blanche.

"Precious n'a pas le temps de s'asseoir et de se morfondre", dit Gabourey "Gabby" Sidibe, la jeune femme qui joue le personnage, lors d'un entretien à l'AFP. "Toute son attention est focalisée sur les moyens d'avoir une vie meilleure".

La jeune femme, âgée de 26 ans, et dont c'est le premier grand rôle, a été choisie parmi 400 candidates. Fille d'un chauffeur de taxi musicien et d'une mère chanteuse, l'étudiante en psychologie d'alors est encore étonnée de s'être retrouvée sur un plateau face à deux de ses "idoles", Mariah Carey et Lenny Kravitz.

Lee Daniels, ancien directeur de casting, est également producteur. Il a notamment produit "A l'Ombre de la Haine", qui avait valu à l'actrice Halle Berry l'Oscar de la Meilleure Actrice en 2002.


Pas de prix au final, mais l'émotion y était quand même, ce fut l'essentiel. Vivement la sortie Twisted Evil.
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