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Fin décembre, la Côte d’Ivoire n’avait pas honoré le paiement des intérêts d’un emprunt obligataire de 2,3 milliards de dollars. Le montant des intérêts de l’emprunt était de 30 millions de dollars. Le gouvernement ivoirien bénéficiait d'un délai de grâce d'un mois qui expirait fin janvier, mais n'a pas effectué le paiement qui était attendu au plus tard le 31 janvier. Selon Ahoua Don Mello, porte-parole du gouvernement Gbagbo, le gouvernement n’a pas honoré ce paiement car il a été "contraint de suspendre toute opération en attendant que les sanctions de l'Union européenne et de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (Uémoa) soient levées". A Addis Abeba, Alcide Djédjé a déclaré que les intérêts seraient payés, mais n’a pas précisé de date : "nous avons l’argent bien sûr, puisque nous payons nos fonctionnaires. Je ne sais pas quand, mais il est certain que nous payerons". De son côté Patrick Achi, porte-parole d’Alassane Ouattara avait déclaré que le gouvernement Ouattara ne pouvait pas payer parce Laurent Gbagbo avait réquisitionné les agences de la BEAC à Abidjan. Si les détenteurs de la dette ivoirienne n’ont pas manifesté d’inquiétude, ils regardent cependant avec attention si le pays va pouvoir payer sa dette intérieure et honorer les remboursements dus à d’autres prêteurs multilatéraux. | ||||||||||||
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