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  Sommet Union Européenne Afrique : l'Afrique sera t-elle plus prise au sérieux ?
Près de 70 chefs d'Etat et de gouvernement d'Europe et d'Afrique se retrouvent à Lisbonne. Le sommet est placé sous le sceau de l'égalité et de la volonté de rompre avec le passé. Il est encore trop tôt pour savoir si ces belles paroles se transformeront en actes
 
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Sommet Union Européenne Afrique : l'Afrique sera t-elle plus prise au sérieux ?

Nombre de messages
:  6
Pages:  1  

  Gordon Brown , reste dans ton bled, pour picoler du whisky écossais
yuotam ( 09/12/2007 14:34 )
À Blodelsheim / France

"Gordon Brown lui est resté à la maison, en signe de "boycott".

Pourquoi ce gars ne donne pas aux 2% de gens de couleur vivant sur le sol britannique les 80 % de bonne terre Anglaise, afin qu'ils fassent travailler les petits British, pour des cacahuètes, c'est a dire payer au lance pierre, histoire qu'on rigole un peu.

Pendant plus de 500 ans, la relation entre nos deux continents n’a pas été heureuse.

C’est pour corriger cette injustice historique et son inhumanité qu’une nouvelle relation entre l’Europe et l’Afrique est nécessaire, allez faire lire ce passage, aux Anglais, parce que moi j'en est marre de voir nos gamins venir crever la gueule ouverte sur les plages Espagnoles.

Quelqu'un peut dire a Gordon Brown, que c'est fini la période ou les Anglais, sont allez exterminer les Aborigènes d' Australie et de Nouvelle-Zélande et remplacé ces noirs, par leurs criminelles, bagnards, et putes, encore un crime a l'actif de ces gens la, sans réparation, seulement une petite murmure d'excuse du bout des lèvres, de leur reine.

En Afrique noir, ils ont essayé de nous exterminer, par l' intermédiaire de vrais malades mentaux, cela va de savants fous, médecins assassins, de laboratoires criminels sud Africain spécialisé dans des armes chimique raciale, en passant par des politicards véreux, comme Peters BOTHA, et Ian Schmidt en Rhodhesie l'actuel Zimbabwé, des politicards véreux, qui ont ramené l'homme noir au stade animal.

Tout ce crime contre l'humanité, a cause du diamant , de l' or, voler nos terres ect, ect, ect histoire de dire aux noirs, ont leurs laissent leurs merdes a bouffer, voilà ce que préconise, Gordon Brown a ces petits copains Blancs pour boycotter, Robert Mugabé l'un de nos seuls politiciens actuel qui refuse de ce faire entuber.

Par un passé assez récent, les blancs envoyaient carrément des mercenaires liquider nos leaders nationalistes, qui défendaient l'intérêt de nos populations, si cela ne suffisait pas, c'était le sabotage économique assuré, et surtout la diabolisation, par l'intermédiaire des milliards qu'ils dépensent dans les satellites pour avoir la maîtrise de l'intoxication par leur presse.

Je suis déjà dessus par ce sommet, qui ne va rien apporter au continent Africain et aux noirs, je commencerait a prendre la parole de ses anciens esclavagistes, au sérieux le jour qu'ils nous diront, voilà un véritable plan Marshall, comme nous Européens avons bénéficier, a la fin de la seconde guerre mondial.
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makanda ( 09/12/2007 16:36 )
À / France

Egalité? je ne crois pas.

il y aura égalité quand ces blancs accepteront que ce qu'ils ont fait était criminel.

il faut aussi nous parler des sommets inégaux!!!! il est beau de faire certaines phrases mais relater nous l'histoire
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olmeque ( 09/12/2007 21:46 )
À Montreal / Canada

salut mon frere, je suis d'accord avec toi, mais je ne te comprends pas: La politique C'EST DEGUELASSE!!! Il n y'a pas d'amitié en politique meme entre blanc, si tu es faible tu vas mourrir geographiquement ou economiquement. Si on est gentil ce n'est uniquement parce qu'on peu etre, bloqué ou pris la main de sac ou alors c'etait un echange d'option. Pourquoi les europpéens seraient gentils avec nous? comme le dit le petit journaliste Zemmour: 'c'est un rapport de force'. Les africains commencent à refuser les pions placés par l' europe, les propres citoyens europpéens ont conscience des saloperies que les gouvernants faisaient. Si tu dits Francafrique en France meme celui qui ne veut pas y croire sait de quoi ca parle...donc il etait temps de changer de face meme si le fond est probablement le meme: ils veulent notre sol. L'affaire de Mugabe est amplifiés. Le fait d'appuyer sur ce monsieur etait a mon avis un moyen de test de la confiance en eux des pays africains et de l'unité africaine Ce sera toujours comme cela. La tranquilité et la liberté ca s'arrache, et le respect ca s'impose; ca ne se donne pas, nous risquons de desesperer si nous attendons un jolie paquet cadeau.. Apres tout ce n'est meme pas important que ton interlocuteur fasse de mea culpa, tant que toi tu ne doute spas de toi meme, de ce qu'on t'a fait et de ce que tu veux!!!
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bundu ( 10/12/2007 23:15 )
À Orléans / France

Je suis content de voir l'Afrique tenir tête à l'europe pour une fois au sujet de Mungabé.
J'espère que ça va durer et fini les compromissions bidons entre les tenants de la françafrique.
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  Bongo lis-moi bien
james03 ( 11/12/2007 09:16 )
À Donghua / China

Ce que je demande c'est que l'armee francaise quitte le Gabon. On n'est plus autant du colonialisme .
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  Mugabe, criminel despote, traitre
helikinn ( 13/12/2007 22:54 )
À / France

Mugabe ne mérite vraiment pas son rôle de porte-étendard de l\\\'Afrique :

Robert Mugabe, libérateur du Zimbabwe devenu oppresseur
Par Pierre Haski (Rue89) 15H16 16/08/2007

R. Mugabe prononce un discours à Harare le 13 août (Philimon Bulawayo/Reuters).

Le 17 avril 1980, Bob Marley entonnait au stade d\\\'Harare sa chanson \\\"Zimbabwe\\\", marquant dans la joie et le reggae la naissance du dernier-né des Etats africains, sur les décombres de la Rhodésie de la minorité blanche. Vingt-sept ans après, le pays est en perdition, avec une hyperinflation de 4 500% et un régime autoritaire et démagogique. Qu\\\'est-ce qui n\\\'a pas marché?

Journaliste basé en Afrique australe à l\\\'époque de l\\\'indépendance, j\\\'ai été témoin, en 1980, de cette éruption de bonheur et d\\\'espoir collectif, et nul autre que Robert Mugabe ne semblait alors aussi légitime pour l\\\'incarner. Mugabe avait tout pour plaire, au sortir d\\\'une guerre d\\\'indépendance cruelle et impitoyable. Ses anciens professeurs du collège jésuite de Kutama nous confiaient alors, sous le sceau de la confidentialité: \\\"On a fait du bon boulot, non?\\\" Mugabe avait une vision radicale du changement de société à venir, mâtinée du pragmatisme inspiré par les déboires et les erreurs du Mozambique révolutionnaire voisin, qu\\\'il avait pu observer de près en exil.

L\\\'homme incarnait pourtant le diable pour beaucoup: ancien chef de guerilla maoïste, le plus radical de la nébuleuse nationaliste noire, qu\\\'il s\\\'agisse de l\\\'\\\"oncle Tom\\\" Abel Muzorewa, ou du trop accomodant et corpulent Joshua Nkomo. C\\\'est d\\\'ailleurs envers ses rivaux de la lutte pour l\\\'indépendance qu\\\'il se montra initialement sans pitié, réprimant dans le sang, dans les premières années de l\\\'indépendance, les dissensions du Matabeleland, le fief ethnique et politique de Nkomo. Mais l\\\'illusion du pragmatisme survécut miraculeusement à ces bavures répressives.

Un quart de siècle plus tard, son règne finissant tourne au cauchemar pour l\\\'ensemble de ses douze millions d\\\'habitants, entraînés dans une fuite en avant destructrice par un despote qui, cette semaine encore, réaffirmait son refus de changer de cap. A 83 ans, Robert Mugabe joue sur une ultime carte pour la survie de son régime, celle d\\\'un patriotisme économique douteux, basé sur des critères raciaux. De nouvelles lois introduites fin juillet obligent toutes les entreprises à être possédées à 51% par des Zimbabwéens noirs. Le \\\"Black empowerement\\\" peut être légitime dans un pays qui a hérité d\\\'inégalités profondes dues aux discriminations raciales, mais il ne s\\\'agit, aujourd\\\'hui, que d\\\'une manipulations populiste destinée à rester au pouvoir.

Plusieurs millions de Zimbabwéens sont menacés par la famine et la majorité de la population vit avec moins d\\\'un dollar par jour. Les services sociaux se sont effondrés parallèlement à l\\\'économie nationale, alors que les premières années de l\\\'indépendance avaient été marquées par l\\\'essor de l\\\'accès de la majorité noire à l\\\'éducation et à la santé.

Mugabe sait trop bien ce qu\\\'il advient des anciens despotes

Cette gestion catastrophique a suscité une montée en puissance de l\\\'opposition politique à Mugabe, à laquelle ce dernier a réagi avec brutalité. Tortures, emprisonnements, censure sont devenus la norme: il y a quelques mois, le chef de l\\\'opposition, Morgan Tsanvagirai, a comparu devant une cour portant les signes d\\\'un tabassage en règle entre les mains de la police. Comme l\\\'écrit Judith Garfield Todd, une opposante blanche à Mugabe, fille d\\\'un ex-Premier ministre libéral qui fut emprisonné par l\\\'ancien régime de Ian Smith, \\\"je n\\\'arrive pas à comprendre comment des gens qui ont souffert entre les mains d\\\'oppresseurs ont pu se transformer en oppresseurs eux-mêmes\\\" (\\\"Through the darkness, a life in Zimbabwe\\\", Zebra Press, 2007). L\\\'histoire, pourtant, en est pleine...

Qu\\\'est-ce qui a mal tourné? Comment le \\\"camarade Bob\\\", libérateur du Zimbabwe, est-il devenu Mugabe le despote? Certains blâmeront le mélange d\\\'éducation jésuite et de relents de marxisme-léninisme... D\\\'autres le choc de la mort de sa femme Sally, et des critiques suscitées par l\\\'attitude du Président (il faisait un enfant à sa secrétaire mariée alors que sa femme était en train de mourir...). Ou encore l\\\'incapacité des libérateurs de se transformer en gestionnaires. Ou, plus simplement, le vieil adage selon lequel si le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument -le Zimbabwe n\\\'échappe pas à cette règle.

A 83 ans, Robert Mugabe entend s\\\'accrocher au pouvoir jusqu\\\'à sa mort, sachant trop bien ce qu\\\'il advient des despotes qui l\\\'abandonnent prématurément. L\\\'ancien président de la Zambie voisine, Frederick Chiluba, a été poursuivi pour corruption dès qu\\\'il a quitté ses fonctions, et l\\\'ancien maître du Libéria, Charles Taylor, s\\\'est carrément retrouvé au Tribunal de La Haye...

A l\\\'approche de l\\\'élection présidentielle prévue l\\\'an prochain, Mugabe n\\\'a pas l\\\'intention de passer la main, même si certains de ses lieutenants aimeraient bien le pousser vers la sortie. Ses voisins d\\\'Afrique australe seraient eux-aussi tentés de lui donner gentiment un coup de pouce vers la retraite, un pas que l\\\'Afrique du Sud, la principale puissance régionale, a hésité à franchir jusqu\\\'ici. Mugabe peut aussi compter sur le soutien sonnant et trébuchant de la Chine pour renflouer ses caisses vides, et tenir ainsi à la tête d\\\'un pays exsangue et démoralisé, défiant le reste du monde et son propre peuple. Jusqu\\\'à quand?

http://www.rue89.com/2007/08/16/robert-mugabe-liberateur-du-zimbabwe-devenu-oppresseur
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