FAUX |
Lol (
05/05/2004 18:00 )
À Augsburg / Germany
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"L'Afrique, le marché où la téléphonie mobile croît le plus vite " :
faux c´est en chine !!! |
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05/05/2004 18:23 )
À / United States
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Lol. Je comprends qu'il soit difficile pour toi de comprendre le titre de l'article alors je vais te l'expliquer:
- il y a plus de chinois ayant des cellphones que des africains mais compte tenu du manque de telephones fixes en Afrique il y a un nombre plus croissant qu'en Chine de personnes achetant des cellphones en Afrique. |
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Lol (
05/05/2004 19:12 )
À Augsburg / Germany
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FAUX ENCORE. meme en faisant une regle de trois sur le rapport population et achat de telephone mobile les chinois sont les premiers. Et je parle bien du mobile !!!!
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05/05/2004 22:38 )
À / United States
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Lol. Si tu insistes dans ton erreur alors bonne chance et bonne journee a toi. |
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selon l'UIT, c'est bien l'Afrique |
Redaction (
06/05/2004 00:30 )
À Buc / France
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http://www.itu.int/osg/spu/newslog/categories/africa/
Africa: The World's Fastest Growing Mobile Market
Mobile subscriber numbers in Africa have increased by over 1000% between 1998 and 2003 to reach 51.8 million. Mobile user numbers have long passed those of fixed line, which stood at 25.1 million at the end of 2003. In its latest publication African Telecommunication Indicators 2004, issued on the occasion of ITU TELECOM AFRICA2004 taking place in Cairo, Egypt from 4-8 May, ITU examines the reasons behind the continent’s rapid mobile sector expansion and explores the sector’s future avenues for growth. "Mobile technology is the Information Society in Africa", explains Michael Minges, Head of ITU’s Market, Economics and Finance Unit and lead author of the African Telecommunications Indicators 2004 report. "It is a technology that has permeated more widely than any other into new areas, and we must examine how we can utilize this technology going forward, to help narrow the digital divide."
African Telecommunications Indicators 2004 is an invaluable information tool for operators, vendors, regulators and any other observers of Africa’s telecommunications landscape. It contains an extensive overview of the key mobile sector developments, and trends influencing the sector’s future structure.
The report explores the kind of mobile applications which have proved a success, analyzes the current platforms which offer mobile data services and examines the technologies that could be used to offer enhanced, faster access to the Internet in future. It also outlines key areas on which policy needs to focus to ensure that competition functions effectively. The report analyzes different scenarios for the growth of Africa’s mobile market, looking at potential future demand for mobile services and examines ways in which mobile operators can extend their services into universal access markets. As well, the report looks at what will influence fixed line growth in future.
In addition it contains valuable statistical tables providing further insight, including industry forecasts as well as a listing of all infrastructure-based operators in Africa. [see ITU Press Release]
The report will be available as from 3 May after its launch in Cairo.
Categories : Africa : Indicators and Statistics : ITU News : Mobile : Wireless Networks 11:19:19 AM comment [0] trackback [0] |
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06/05/2004 04:17 )
À / United States
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Lol. J'espere que tu as pris bonne note de la source de l'information publiee et que maintenant tu comprends mieux ce que l'article essayait d'exprimer.............. |
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PERPLEXE, PARADOXAL, C'EST DOMMAGE |
Yannick le kmer (
07/05/2004 06:33 )
À Bancroft / Canada
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Bonjour à vous,
Effectivement, la téléphonie mobile a vraiment connu un boom en Afrique....en faisant une présentation sur les potentialités d'affaires du Cameroun dans un de mes cours, j'avais cité le cas de Orange Cameroun qui avait réalisé un CA en 2001 de plus de 57 millions de dollars!!!! c'est quand même énorme (source: www.izf,net, rubrique les principales entreprises camerounaises), même
les étudiants canadiens étaient surpris car la plupart avait une image assez biaisée de l'Afrique, leur perception du continent a changé dès lors et ils m'ont même promis de s'informer davantage et certains dont les parents sont dans les affaires, m'ont dit qu'ils allaient en parler à leurs parents...ca fait chaud au coeur...
Dans toute cette croissance, je me demande si:
1- les compagnies réinvestissent dans les infrastructures locales (hein Bolloré???), dans la formation, dans l'amélioration des conditions de travail, et surtout ont-elles une politique sociale car elles doivent tenir compte de la situation sociale de leur environnement...
De plus, je regrette un peu que l'on transcende les étapes, dans la mesure où en Afrique, nous n'avons pas encore satisfait les besoins élémentaires (nutrition équilibrée, éducation, soins médicaux, accès à l,eau et à l'électricité, habitation )convenable) de la majorité de la population (pour ne pas dire la totalité) et que les gens, ou plutôt le système pousse les gens à consommer (dépenses dans le cellulaire) alors qu'ils ne mangent pas suffisamment...je prends le cas des taxi-moto (bensikin du Cameroun), la plupart ont des cellulaires mais arrivent-ils à satisfaire leurs besoins élémentaires et ceux de leur famille?? je reste donc perplexe...
à Lol, mon frère ou ma soeur, ouais pourquoi vous aimez tjs discuter sans preuve??? en tout cas c'est bien d'échanger mais avec argumentation...on avance mieux ainsi...sans rancune...
merçi à grioo pour l'article...peace. |
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Panafricain (
07/05/2004 09:33 )
À Gap / France
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merci Yannick.
Si on avait dit que la croissance la plus forte du monde en matière de telephonie mobile se trouvait en Alaska, certains n'auraient eu aucun doute.
Mais dès qu'on dit que c'est en Afrique, ils contestent aussitôt la réalité du phénomène alors que l'information vient d'un organisme officiel international de telecoms! Pendant ce temps, Orange fait de super benefices! Sachons aussi que des opportunités d'affaires existent dans nos pays...
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panafricain (
07/05/2004 09:43 )
À Gap / France
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Par contre, je ne suis pas d'accord quand tu te poses la question de savoir quelle est l'utilité du mobile alors que tous les besoins ne sont pas satisfaits.
Le mobile comble un besoin réel : l'absence de lignes fixes ; Tokyo a plus de lignes fixes que toute l'Afrique réunie. Le telephone mobile tombe donc à point nommé pour mettre à portée de la plupart des africains une technologie à laquelle ils n'auraient pas eu accès sinon.
Grâce au mobile tu peux joindre quelqu'un au village, ce qui n'etait pas evident auparavant. Je ne parle des cas d'urgence ou avoir un portable peut se révéler decisif.
Ci dessous un exemple d'utilisation de la telepphonie mobile particulierement adapté à l'Afrique.
www.manobi.net déploie les premiers services WAP en Afrique de l'Ouest en informant et reliant des agriculteurs dispersés dans la brousse afin de mieux assurer la vente de leur production sur le marché.
En plein milieu de leur champ et totalement isolés des zones urbaines ces producteurs utilisent leur téléphone mobile Wap pour s'informer en temps réel de la situation des prix de leurs produits sur les principaux marchés de Dakar.
L'objectif de cet outil est de permettre à ses utilisateurs sur des bases plus réalistes la vente « bord champ » de leurs produits.
Impossibilité pour les grossistes de gonfler les prix, temps de négociations raccourcis, moins de gâchis de produits périssables...les clients de Manobi ont augmenté leurs revenus de 20% après déduction des coûts de communication.
Ce service testé et lancé en 2000 par le jeune entrepreneur sénégalais Daniel Annerose, a trouvé aujourd'hui le soutien de la société Sonatel, principal opérateur téléphonique national.
Prochaine corporation que cet entrepreneur dynamique vise : les pêcheurs.
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(
07/05/2004 14:50 )
À / France
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Tout à fait d'accord avec la précédente contribution. Ce n'est pas pour rien que les principales privatisations qui interessent actuellement les banques d'affaires et investisseurs internationaux concernent le téléphone Mobile |
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Doco (
07/05/2004 17:06 )
À Cachan / France
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Il n'est pas difficle de se rendre compte que malgré un faible pouvoir d'achat l'Afrique est un bien grand marché (non négligeable) dans bien des domaines. Ce qui m'attriste c'est de voir que nous sommes encore aujourd'hui malgré toutes nos agitations, nos bavardages stériles et nos diplomes inutiles incapables d'avoir un minimum de réactivité vis-à-vis de l'évolution du marché Africain. J'observe presqu'impuissant tous les jours à une implatation de plus en plus forte des entreprises occidentales dans des domaines que nous pouvons gérer. La téléphonie mobile en fait partie. Ce sont des domaines nouveaux qui n'ont rien à voir avec les matières premières et tout le passif des relations occident-afrique. Nous avons (avions ?) les moyens de prendre une longueur d'avance mais tout ça nous échappe. Et l'écart entre nous et les autres se creuse. On nous parle d'une Afrique qui avance. On nous parle de croissance mais aucune réactivité. Je le répète ce n'est absolument pas impossible il suffit de s'organiser et c'est bien là que le bas blesse.
A ceux qui me parlent d'identité de culture etc. je n'oublie pas le débat. Certaines actions ont besoin d'être menées parallèlement. N'oublions pas que nous sommes en marge du train certes mais que ce train n'est pas immobile.
Bien à vous et à ceux qui courrageux ont des initiatives interessantes pour le continent avant tout. Evidemment, bien à tous les courageux qui osent même à perte et à ceux qui ne se contentent pas de déplorer, d'espérer, de constater. |
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En partie en accord avec tes propos... |
Yannick le kmer (
08/05/2004 07:31 )
À Bancroft / Canada
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Panafricain, tes propos ont du sens et je partage cet avis mais tjs est-il que je trouve dommage que certains besoins élémentaires de nos populations ne soient pas satisfaits et que l'on les incite à consommer des biens et services qui ma foi, ne font réellement pas partie de leurs priorités et notamment de leurs enfants qui sont condamnés face à l'égoisme de leurs parents et du système.
Certes,il faut suivre le "train de la croissance mondiale" mais ne brulons pas trop les étapes, quand par exemple tu vois qu'ici au Canada ou en France, ils ont réussi à combler les besoins primaires de la grande majorité de la population, l'un des dangers de la mondialisation pour l'Afrique est que ses dignes enfants ne tiennent pas compte des réalités locales et de ses problèmes...on peut en discuter longtemps mais chacun de nous doit poser des actes concrets pour son pays, son continent...
Bien à vous. |
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expliquez-moi |
moi (
08/05/2004 18:55 )
À Boulogne-billancourt / France
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comment on peut se payer un telephone portable alors qu'on ne mange pas à sa faim.
vraiment dites moi car ça me dépasse.
en attendant c encore orange donc une entreprise etrangère qui se remplit les poches... |
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Justement |
Gisèle (
09/05/2004 07:26 )
À / France
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Même en Somalie... Justement, la croissance du téléphone fixe démontre l'absence d'infrastructures pour le fixe. Et donc de politiques. Donc on paye très très très Très cher notre record. C'est quand même dans les 15 à 25.000 CFA la carte pour même pas une demi-heure. OK on peut appeler au village, encore que... Un premier problème: qui profite de tout cet argent? Un second: on fait comment pour se lancer dans le multimédia sans fixe et sans satelite? La fameuse fracture numérique.
Un troisième, pour la route: pourquoi les actionnaires nationaux de ces sociétés sont des proches des politiques? |
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A qui cela profite-il |
loindeux (
09/05/2004 11:10 )
À Toulon / France
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Que la téléphonie mobile croisse trop vite c'est normal, cela montre qu'il ya une vraie demande qui n'est pas satisfaite.
Je prends le cas du Cameroun où il y a une réelle demande des postes fixes, une demande de ligne peut durer 5 ans et plus sans jamais que personne vous dise ce qui se passe. Si vous n'êtes pas influent dans la société camerounaise, vous n'avez pas droit à une ligne de téléphone fixe.
Pour ces mafieux de gouvernants, investir dans les sociétés de téléphonies mobiles est une aubène qui leur permet de voler encore et encore les pauvres qui ont un besoin de télécommunication. Les riches deviennent plus riches et les pauvres deviennent plus pauvres d'autant plus que le mobile coute quand 2 voire 3 fois plus cher que le fixe. |
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Un marché à prendre pour ceux qui ont faim |
zamimina (
10/05/2004 16:01 )
À Paris / France
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Malgré les sons alarmistes sur la solvabilité des "consommateurs" d'afrique subsaharienne, l'Afrique fait encore gagner de l'argent. Orange, Telecel le démontrent. Preuve s'il en est, qu'investir en Afrique n'est pas un acte désespéré, pour peu qu'on sache où placer ses oeufs.
Tant que le destin économique de l'Afrique dépendra de l'appétit des Entreprises occidentales, nous resterons spectateur du bon vouloir des Occidentaux et de la misère sans cesse grandissante des nôtres.
Un jour ou l'autre la Loi du marché précipitera l'irruption de prédateurs occidentaux, en mal de débouchés sur ce continent aujourd'hui laissé en friches à la fois par ses Fils et les agences de rating .
Ce jour là, le Capital engraissera les fonds de pension occidentaux encore une fois, grâce aux consommateurs africains. Et le cycle économique commencera en Occident passera par l'Afrique pour se refermer en Occident , au grand damn des peuples africains.
Reprenons notre Continent en main, avant que d'autres ne s'emparent. |
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Le telephone en Afrique |
Rufin (
14/05/2004 17:15 )
À / Satellite Provider
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Bonjour à tous,
Je pense que le Telephone ( fixe ou portable) à un rôle ( grand ou minime) a joué dans la vie d'une personne quelconque, société et il prend dans notre vie la place que nous lui accordions.
Le problème n'est pas de savoir à qui profite les revenus des CIE Telephonique ou qui en sont les propriétaires ni d'où viennent les fonds mais:
1- qu'elle est la place du telephone dans notre vie ?
2- qui doit avoir un telephone ?
3- comment utiliser un telephone ?
Je prends le cas chez moi ici à Kinshasa.
J'ai une petite soeur de 19 ans qui est encore à l'école et elle tient absolument a avoir un telephone portable. Dites moi, elle est logée, nourrie, soignée,... ont s'occupe d'elle de A - Z. Elle n'est même pas capable d'assurer son lendemain mais elle veut avoir un telephone.
Ici chez nous le tel. est plutôt un luxe qu'un moyen de communicain comme le soulignait Panafricain dans son exemple. Donc voir une croissance du marché de la telephonie en afrique, pour moi n'est pas quelque à mettre en doute parce que nous ne nous sommes pas préparés à cela. Nous ne savions pas pourquoi, comment et quand se servire du telephone.
Dans tout ça, je suis de l'avis de Yannick qui pense qu'ont doient d'abord staisfaire nos besoins élémentaires avant de dépenser pour le telephone qui coûte très très chèr. |
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Le marché a ses raisons...malgré la misère |
zaminamina (
14/05/2004 20:10 )
À Vendin-le-vieil / France
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Que d'opinions convergentes pour rappeler à juste titre sur le paradoxe entre le fort développement du Mobile et la misère rampante et affligeante qui décime ce continent.
A mon sens, c'est la difficile équation de la modernité ou du progrès face aux problèmes fondamentaux irrésolus de l'Afrique.
On n'arrête pas le progrès comme on dit, même s'il passe par des raccourcis..Car on est vraiment en retard.
Lutter contre la misère ou assurer les ne relève pas du même ordre d'initiative qu'ouvrir un réseau de Téléphonie mobile.
L'Etat a déserté de ses missions chez nous..Alors, la place est aux initiatives privées qui hélàs ont de forte exigence de profit et éventuellement de développement social..
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