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Bozizé officiellement président |
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LES CENTRAFRICAINS SONT ILS PLUS BLASES QUE LES TOGOLAIS |
gnanman (
24/05/2005 21:30 )
À Vandoeuvre-lès-nancy / France
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A force de voir tellement de zigotos s'auto proclamé president, qu' ils sont devenu de simple spectateurs.
Quand on a eu un triste individu comme l' empereur BOKASSA, on fini par devenir philosophe.
Et quand ils ont fini avec BOKASSA et ses chateaux de GISCARD voici que les soldats Français leur ramene un president tout fait dans un transall, si mes souvenir sont bon un certain DACO.
Quand on a vecu tout ça les gens non plus la force comme au togo.
La dessus BOZIZI arrive, avec ses 60%.
Ce BOZIZI les a vraiment bien niqués, pourquoi les bidasse ne reste pas dans leur casernes. |
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RIDICULISONS CHIRAC le 29 ! |
Afroman (
25/05/2005 01:25 )
À Born / Netherlands
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Vous êtes contre la politique de Chirac
Contre les manoeuvres de de Villepint et son ministère envers les étrengers
Contre un agrandissement des pouvoirs de la France en Europe
Contre la Francafrique
Contre la mondialisation sauvage
Votez non le 29 , vous avez ENFIN le pouvoir de sanctioner Chirac ! !
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?????? il faut être informé de tant en temps |
Totomba (
25/05/2005 09:32 )
À Créteil / France
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Bonjour, la photo est celle de Martin ZIGUELE et non BOZIZE.
En plus je souhaite que Monsieur gnanman ( Mardi 24 Mai 2005 21h30 ) lise ce qui suit en ce qui conserne Bokassa :
Mai 24, 2005 - 05:25
La capitale centrafricaine doit ce qui reste de sa splendeur aux années Bokassa.
Junior Binyam
Bangui La coquette fille de l’empereur.
«Bangui la coquette, ville de pari». Jusqu’à ce jour, il se trouve des «banguissois» pour débattre longuement sur l’orthographe exacte de «pari» tant l’obsession de ressembler à ses «parents» français était grande chez l’empereur, auteur de ce slogan. Jean Bedel Bokassa avait fait le pari d’édifier une capitale à l’image de Paris, à la dimension des plus grandes en Afrique et il s’y est employé. «Bokassa est le bâtisseur de Bangui. C’est lui qui sortait les grandes idées. Tout ce qui est construit au centre-ville c’est Bokassa qui l’a imposé. A chaque fois qu’il visitait un pays et qu’il était impressionné par quelque chose, il avait à cœur de la reproduire à Bangui et me demandait est-ce qu’on peut faire çà chez nous?», se rappelle Fred-Patrice Zemoniako Liblakenze, ancien maire de Bangui, qui présente Bokassa comme «le grand inspecteur municipal». Ceci parce que dès qu’il rejoignait la capitale suite à un voyage à l’étranger, un séjour à Berengo ou un voyage à l’intérieur du pays, celui qui fut tour à tour président, président à vie, maréchal-président à vie puis empereur faisait le tour de la ville même nuitamment pour se faire une idée l’état dans lequel elle était.
Sa méthode était simple. Il faisait financer par des opérateurs économiques quelques travaux. Notamment, la construction de certains bâtiments. Le coût de l’édifice était compensé avec les impôts dus par l’opérateur. Des sociétés de génie-civil française et portugaise sont mises à contribution. Lui-même n’a pas hésité à se muer en un opérateur économique qui a pris une part active dans nombre de secteurs d’activités au rang desquels le bâtiment. Même si on flirtait avec le délit d’initié, les réalisations étaient tout sauf fictives. Les immeubles Paysan I et II sur l’avenue Boganda sont à mettre à l’actif d’une de ses entreprises.
Le rôle du maire de Bangui à cette époque se limite à garder la ville dans un état de propreté impeccable parfois avec des moyens dérisoires. «Quand je suis arrivé à la mairie de Bangui.
Il n’y avait rien. Pas de pelle chargeuse, pas de bennes pour au aider au ramassage des ordures et au curage des canalisations construites sur financement de la Bad», soutient Patrice Zémoniako, nommé maire de Bangui par décret de la cour impériale de Berengo le 20 février 1978 après avoir été assigné à résidence pendant près d’un an à Bobangui pour l’organisation d’une réunion syndicale alors qu’il était secrétaire général du ministère de la Communication. Pour pallier cette situation Bokassa Ier instruit au gouvernement de lancer un appel à contribution aux hommes d’affaires de Bangui. Près de quarante millions seront récoltés lors de cette opération. Sur ordre de l’empereur, l’argent sera reversé à la mairie de Bangui après avoir transité sur les comptes du ministère de l’intérieur. Cet argent, auquel va s’ajouter la contribution du gouvernement, permet de remettre en marche l’essentiel du parc automobile de la mairie affecté aux travaux de génie-civil afin de décemment conduire «les tâches domestiques».
Inventaire
La réalisation des grands ouvrages demeure du domaine de l’empereur. Ceux-ci s’égrènent comme un chapelet auquel il est difficile à un seul de ses successeurs d’annexer quelque chose. En dehors du palais de l’Assemblée nationale construit sous André Kolingba par les Coréens du nord mais dont la convention de construction a été signée du temps où Bokassa trônait encore sur le pays. Fait paradoxal aujourd’hui, des trois premiers chefs d’Etat qu’a connu la Rca (Boganda, Dacko, Bokassa), Jean Bedel Bokassa est celui qui ne dispose à Bangui ni d’une rue, ni d’un monument, ni d’un édifice en son nom. Par ce procédé, on a cru pouvoir rayer de la mémoire collective centrafricaine un homme dont l’action dans la construction de Bangui ne peut être déniée au regard de l’étendue des réalisations.
Quelque temps avant son décès, il a dressé un inventaire non exhaustif de ses réalisations pour son pays, dont le florilège pour Bangui est le suivant: «l’aéroport de Bangui Mpoko ; l’hôtel Safari (ex-Sofitel, actuel hôtel Oubangui); l’hôtel du Centre (ancien hôtel St-Sylvestre); l’hôtel Inter Continental Jean Bedel Bokassa de 500 chambres, resté inachevé par la faute de [ses] successeurs; l’éclairage public à Bangui; la télévision centrafricaine ; l’hôpital Communautaire; l’hôpital de l’Amitié; l’université Jean Bedel Bokassa; le bitumage de toutes les rues et avenues de Bangui; l’élargissement et l’éclairage de la grande corniche, Bangui-Ngaragba; le lycée des martyrs (ex- lycée Jean Bedel Bokassa ; l’Ecole de Médecine (Inems), un immeuble de sept étages ; la Caisse café (immeuble de 9 étages); un immeuble de 6 étages pour les P&T; la banque centrale; le stade Omnisports; la villa Mobutu; la villa Haïlé Sélassié Ier; la cité de l’Ocam (36 villas à étage); l’immeuble des Affaires étrangères; la cité des 200 villas…»
Tous ces bâtiments et lieux restent les principaux éléments d’identité de la ville à ce jour. Bien que les mutations politiques ne soient pas toujours restées sans conséquences sur leur intégrité. En effet, si les arcs de triomphe à la gloire de César érigés à presque tous les carrefours lors du sacre et conçus par Olivier Brice, un artiste français, conservent toute leur splendeur et une relative blancheur éclatante, il n’en est pas de même de tous les édifices de la même époque. Certains sont à l’abandon et présentent parfois des façades défoncées, montrant des trous béants, témoignages vivants des pillages qui ont suivi la chute de l’empereur et des spasmes qui ont parcouru le pays depuis avril 1996 et la première mutinerie, jusqu’en mars 2003 et «la libération». Il en est ainsi de certaines villas des cités énumérées ci-dessus et construites dans la périphérie de l’Université de Bangui, de part et d’autre de l’avenue des Martyrs (ancienne avenue Bokassa). Elles servaient initialement à héberger les hôtes de marque de l’empire et ont fait l’objet de braderie ou de partage entre les apparatchiks des pouvoirs successifs, ce qui en fait des cibles privilégiées à chaque soulèvement. Des évènements qui ont amené quelques personnes très inspirées à rebaptiser «Bangui la coquette», «Bangui la roquette».
Salubrité
Ces derniers mois, le slogan originel semble à nouveau au goût du jour. Les premières manifestations de cette volonté de remise à flot de Bangui sont les actions de salubrité menées par l’exécutif municipal conduit par Jean-Barkès Gombé-kétté, jusqu’au sulfureux Kilomètre 5, un quartier à la réputation établie depuis des décennies. Considéré comme le plus chaud des 189 que compte Bangui, ce quartier se singularise par : le cosmopolitisme de sa population, regroupée en sous-quartiers en fonction de l’appartenance ethnique ou de la nationalité ; une activité commerciale fulgurante ; une ambiance à nulle autre pareille la nuit tombée et une insécurité qui est telle qu’on déconseille toujours vivement à un étranger de s’y aventurer tout seul.
La vue aérienne de Bangui offre des quartiers en damiers, avec des carrés de maisons serpentés de ruelles qui, même quand elles ne sont pas bitumées, permettent une certaine fluidité dans le déplacement. Ils cèdent la place au «kilomètre 5» a des pâtés de maisons conformes aux bidonvilles qui essaiment dans les villes du Tiers-monde, avec tout ce que cela comporte comme insanité et insalubrité. Dans le sillage de ce quartier chaud, d’autres comme «Combattant», aux portes de l’aéroport, Miskine, Benz-Vi, Sica I, Lakouanga qui abrite le bar dancing le plus prisé de Bangui, également très bruyants à la nuit tombée, font office de havre de paix.
Vu du Cameroun et à télé, ils sont nombreux à être fascinés par l’état de propreté de Bangui, dont les larges avenues, comme on n'en trouve pas beaucoup au Cameroun, sont astiquées des les premières heures de la matinée par des femmes. Alors que les lampadaires continuent à donner du relief à des sites comme la place Boganda, un véritable lieu de rendez-vous. Les bancs publics disposés ici, sont envahis à longueur de journée par des jeunes qui échangent de furtifs baisers, sous l’œil bienveillant de la statue du «père de la nation».
Dans la journée, au quartier Lakouanga notamment, «quartier des évolués» à l’époque coloniale, des jeunes s’activent pour curer les caniveaux et ouvrir les drains pour un meilleur écoulement des eaux usées et de pluie. Celles-ci, en saison des pluies lorsqu’elles inondent les quartiers, n’offrent pas toujours le même spectacle que les eaux de l’Oubangui.
Sur les hauteurs de Ngaragba, le quartier qui abrite la célèbre prison, on observe sur le fleuve les pêcheurs qui lancent méthodiquement leurs filets pendant que les pirogues glissent paresseusement sur le fleuve en tutoyant les rivages de Zongo en République démocratique du Congo. Un pays dont l’influence sur les habitudes musicales est très marquée à Bangui, bien avant les indépendances. Les rares orchestres locaux excellent dans la reprise des tubes de l’autre rive, quand ils ne tentent pas une composition en Sango sur un tempo Ndombolo, dans un bar «classe» où, comme dans tous les autres bars, la bière coule à flots et à longueur de journée, ne manquant pas de susciter des interrogations sur le revenu réel de ces «banguissois» dont le dénuement à l’échelle planétaire ne semble pas faire l’objet de débat.
Source : quotidienmutations.net
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le doute |
Chou (
25/05/2005 09:48 )
À London / United Kingdom
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Excusez moi mais il y a quelque chose que je ne comprends pas toujours chez nous les africains. Nous souffrons le martyr, quand enfin se présente à nous l'occasion de nous exprimer et de dire non, nous nous retractons et signons des alliances bidons juste pour sauvegarder notre part du gateau national. Et du coup, nous ne pensons plus que nos dictateurs d"hier étaient vraiment des dictateurs, et tout et tout. De plus, cette nouvelle mode en Afrique, on est d'abord maquisard, ensuite on prend le pouvoir par la force, et "sous la pression internationale" on organise des elections qu'on gagne bien evidemment (impossible de perdre!).
Vous avez vu ce qui s'est passé en Centrafrique? Bozize, un gars qui ne connait que les armes, prend le pouvoir et organise les elections, les "opposants" se présentent et, à peine le premier tour passé qu'il se forme des alliances pour soutenir le candidat de l'avenir meilleur qu"est Bozizé. Et du coup chacun pose des conditions devant arranger juste des interets perso et égoistes. La nation cesse d'exister.
Ce que moi je ne comprend , pourquoi toujours accuser la France lorsque nous démontrons, nous que nous sommes incapables de nous assumer? pourquoi ne pas aller franchement aux elections pour voter celui qui nous gouverne et pourquoi ne pas sanctionner ceux qui nous dirigent lorsque nous en avons l'occasion? les togolais ont tout dit de Faure mais contre toute attente, l'ont plébicité quand meme alors à quoi bon se plaindre si le jour des election on va voter celui qu'on vient juste de huer? cessons d'etre lache et de chercher des boucs emissaires dans des domaines que nous, par notre propre volonté nous refusons de grandir! |
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imab19 (
25/05/2005 17:07 )
À Caen / France
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tu n'as franchement rien compris des élections en Afrique!!! Et s'il te plait arrete d'accuser le peuple centrafricain ou encore togolais d'avoir mis ces pantins au pouvoir!!!! Continue à croire ce que les médias occidentaux de racontent sans recul et tu iras loin dans ta vie!!! |
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Réation |
Botalo boris (
26/05/2005 19:07 )
À / France
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Réation de ce résultat pésidentielles en centrafrique, le collectif des étudiants centrafricains au Cameroun félicite la victoire du président Bozize à l'issu de cette échéance éléctorale.Car par ce succès, il vient de libérer définitivement les centrafricains de la politique dictoriale orchestrée et entretenue pendant une décennie par le régime Patassiste et le MLPC un régine basé sur le népotisme, la tribalisation et la haine tribale, esprit de vangeance, je veux dire par là , l'épuration éthnique contre les yakoma.La victoire du président Bozize est un acte salutaire puisqu'elle entrainera certes, le rédécollage de notre économie nationale, l'organisation du système éducatif, l'assainisement du secteur public et privé, le redemarrage des activées culturelles et sportives, domaine de la jeunesse centrafricain lésé par le président moustachus (Patassé)
Enfin, tout ce que je demande aux centrafricains, c'est le courageet l'esprit de dévoloppement , car notre pays est vraiment en retard.Il temps que nous soyons unis pour bâtir ce beau pays qui est la RCA. |
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c'est sur le terrain....... |
guigui (
27/05/2005 19:17 )
À Lyon / France
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malgré tout ce que vous avez évoqué, il appartient à nous meme, centrafricain(e)s de prendre conscience, car le pouvoir est à nous meme de bien mener le combat
c'est sur le terrain qu'on reconnait un bon soldat bien formé
peut etre tous ces gens qui ont précédé BOZIZE l'ont laissé des souvenirs que lui seul est libre de savoir si oui ou non il faut les copier
je sais qu'il connait la fin par tout ce qui passe en afrique d'ailleurs
refléchi bien BOZIZE peut etre tu es l'homme qu'il faut en centrafrique par la confiance que le peuple centrafricain te temoignagne
mais réfléchi bien pour mieux agir pour notre cher pays |
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27/05/2005 23:45 )
À Strasbourg / France
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Les militaires a la caserne ok |
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