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  La préfecture évacue un squat d'africains à Paris.
Il s'agit de la quatrième évacuation en moins d'un mois.
 
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La préfecture évacue un squat d'africains à Paris.

Nombre de messages
:  4
Pages:  1  

 
( 22/09/2005 19:14 )
À Dijon / France

Je suis contre cette notion qu'on utilise des africains. l'Afrique est un continent et non une race ( l'Egypte, le Maroc, la libye, la tunisie et l'Algériesont des pays africains) et pouratnt quand il s'agit de les nommés on omploie d'autres terminologies. Le concept africain veut finalment dire quoi au sens de ceux qui ont rédigé cet article.
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  Ah Bon ?
KamerNoir ( 22/09/2005 19:14 )
À Born / Netherlands

Aprés vs allez me dire que le texte que je véhicule n'a rien á faire dans ces rubriques ????

OUVREZ les YEUX , DES MILLIARDS ET DES MILLIARDS partent en fumé , pendant que des africain se font expusés et même brulé...Allez lisez ce ci !

Gabon, le dernier émirat "gaulois" !



Le Gabon d'Omar Bongo restera dans l'histoire africaine comme "l'exception française" . Comment un pays d'un million d'habitants, béni des dieux (pétrole, manganèse et uranium), a-t-il pu absorber plus de mille milliards F CFA chaque année, depuis un demi-siècle, sans se développer ? Il est resté un "pauvre" émirat à la 123e place du rapport PNUD sur le développement humain, avec un programme FMI de réduction de la pauvreté sur le dos ! La Tour Eiffel en est toute retournée. Et pourtant il pleut des pétro-CFA en veux-tu en voilà sur la forêt équatoriale. Ce n'est pas l'argent qui manque : les recettes pétrolières - hors budget - sont pharaoniques. Mais les ardoises pour payer la rénovation du Palais du bord de mer (au moins 150 milliards F CFA avec la déco !), l'hélico Super Puma (15 millions d'euros) ou les 1 500 Toyota 4x4 pour la campagne présidentielle pompent la cagnotte du "chef" (lire p.4). Et tout ça sans annulation de dette ! Zoom sur le dernier village gaulois du continent africain.

Omar Bongo toujours fêté à Paris. En villégiature à Paris, souvent à l'hôtel Meurice depuis qu'il boude Le Crillon à la suite du vol de son attaché-case, le président Omar Bongo reçoit toute la classe politique française depuis l'extrême droite jusqu'à la gauche la plus radicale du parti socialiste. Le plus "français" des présidents africains (depuis le décès du président Gnassingbé Eyadéma) est réputé pour "conseiller" Jacques Chirac avant la formation de tout nouveau gouvernement à Paris. Après tout, depuis des années il est le soutien le plus actif des partis gaullistes successifs (UDR, RPR, UMP). Normal qu'il soit consulté... Outre bien sûr, le "Grand Jacques" et son dauphin Dominique de Villepin, ses "petits" sont aujourd'hui à l'UMP, Jean-François Copé, Renaud Dutreil et Hervé Gaymard. Mais ce gaulliste dans l'âme, un peu fâché avec feu Jacques Foccart qui avait écrit qu'il l'avait coopté à la tête du Gabon, se targue aussi de relations anciennes avec la SFIO (Parti socialiste). Si Roland Dumas, dont la nièce avocate Danièle Palazzo est toujours une habituée du Palais du bord de mer, a longtemps été "l'ami intime" d'Omar, des personnalités comme Catherine Tasca, ancien présidente de l'Association France-Gabon, Hervé Emmanueli et Bernard Kouchner (qui prépare pour le Gabon une sécurité sociale à la française !) viennent souvent prendre des nouvelles du "vieux". Les hauts fonctionnaires des services de renseignement et de sécurité ne manquent également jamais l'occasion d'aller recueillir au 1er étage du Meurice les "analyses" d'Omar Bongo sur les autres chefs d'Etat africains. Pour aussi, parfois, faire passer des messages...

Les "Gabonais" tricolores de Libreville. Dans le premier cercle présidentiel, une vingtaine de Français du Gabon restent très influents. Il y a bien sûr l'ancien président de la Confédération patronale gabonaise (CPG), Jean-Claude Baloche, PDG de Socoba (Société de construction de bâtiments) qui a épousé Flore Bongo, l'une des filles du président et d'Antoinette Diop, une Gabono-Sénégalaise, soeur de Mamadou Diop, secrétaire général de la présidence. Edouard Valentin, le patron des assurances OGAR Vie, est également au coeur du sérail avec son épouse "Evelyne" au secrétariat du président et sa fille "Sylvia" qui a épousé Ali Bongo, ministre de la défense. Le très discret Paul Bory, PDG de la Sonapresse qui édite le quotidien national L'Union, et son ami Eric Chesnel, conseiller personnel du chef de l'Etat et secrétaire général de l'Association France-Gabon, sont aussi deux fidèles du président. Autre acteur des milieux d'affaires proches de la présidence : Christian Kerangall (Sogafric) qui dirige en outre la Compagnie du Komo. Dans le domaine de la sécurité, Omar Bongo peut compter sur Edouard de Bethencourt, le patron de la société de sécurité privée SGS. Installé dans l'enceinte du Palais du bord de mer, le colonel Boisseau est responsable, à la tête du Silam, des écoutes téléphoniques. L'oreille du président et des services français...
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  crimes contre l 'humanité
( 23/09/2005 12:30 )
À Strasbourg / France

et toc un de plus, voilà c'est à l'établishment qu'il faut parler de tous noirs et unis.
les roitelets africains n'ont que faire de la populace noire pourtant c'est son semblable.
les francais tiennent ces gars par les c......!
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  mankounzoué
kacou ananzè ( 26/09/2005 13:58 )
À Paris / France

LA COTE D'IVOIRE SOUS OCCUPATION DE L'ARMEE FRANCAISE DEPUIS LE 19 SEPTEMBRE 2002...............AU SECOURS....!!!!!!!!!

Les dessous de la visite de Bentégeat à Ouaga
Le Courrier d'Abidjan - 9/25/2005 6:37:50 PM

C'est donc au regard de ces ambiguïtés de la France dans la crise ivoirienne qu'il faut considérer les propos de Bentégeat qui, depuis Ouaga, clame que "L'armée française, à travers Licorne, restera en Côte d'Ivoire tant que la communauté internationale et l'ONU le voudront", oubliant du coup que l'armée française est sur le sol ivoirien sur invitation de l'Etat de Côte d'Ivoire qui, à tout moment, peut ré analyser cette présence. « Invitation du peuple de Côte d’ivoire » et « tant que la communauté internationale et l’ONU le voudront », voici deux discours contradictoires sur le même sujet. Au-delà du discours de Bentégeat, c'est la France qui se joue, au vu et au su de tous, du droit international et du droit de tout peuple à s'autodéterminer. A la lumière des détails, le général Henri Bentégeat n'était pas au Burkina Faso pour, comme il le dit, "une simple visite de travail". La logique qui motive son arrivée à Ouagadougou est celle de Jacques Chirac et Alliot-Marie, à savoir faire partir Laurent Gbagbo du pouvoir par tous les moyens, même par un coup d'Etat qui n’exclut pas le bain de sang. Sinon, comment comprendre que Bentégeat a débarqué à Ouagadougou avec 112 soldats dont 18 officiers supérieurs de l'armée française, pour n'en repartir qu'avec une dizaine ? Les autorités politiques et militaires ivoiriennes, qui ont trouvé le mouvement suspect, sont allées aux nouvelles. Mais Paris et la hiérarchie militaire française à Abidjan leur ont rétorqué que "ces soldats sont là pour assurer la sécurité du chef d'Etat-major Henri Bentégeat". Soit. Mais alors, quel danger court Bentégeat au Faso, second jardin de la France, pour s'entourer d'une telle garde prétorienne ? Ni Paris ni l'armée française n'ont pu répondre à cette préoccupation, lorsqu’il en a été fait cas. A la vérité, Bentégeat a convoyé à Ouaga, de manière à ne pas attirer trop d’attention sur le convoi, des mercenaires et autres instructeurs militaires français. Leur mission est de former les rebelles ivoiriens dans les camps militaires burkinabés, pour une attaque prochaine de la Côte d’ Ivoire. Le document officiel qui fait état de soldats accompagnant Bentégeat ne mentionne que quelques noms. Si la délégation militaire française arrivée ce jour-là à Ouagadougou a bien indiqué cent douze personnes accompagnant le CEMA, elle a en revanche exigé que tous leurs noms ne figurent pas dans les documents officiels ; ces derniers devant rester à Ouagadougou,"dans le cadre d'une mission dont la confidentialité ne devrait faire l'objet d'une quelconque préoccupation", affirment les sources. Et les seuls noms rendus publics sont ceux du patron de l'Armée de l'air, le général Richard Woltszinski ; des lieutenants-colonels Didier Thioux et Jean-louis Nicolas ; du capitaine Loïc le Fèvre ; du chef de bataillon des Sapeurs pompiers Claude Delanne ; du 2è conseiller à l'ambassade de France au Faso, Christophe Boutinot ; du Commissaire principal de police Nicolas Declerq, ancien attaché de sécurité intérieur à l'ambassade de France à Ouagadoudou, et de Jean-François Kalvszinski, commandant de Police, assistant technique aéroportuaire. Au cours de cette visite, le général cinq étoiles et ses hommes ont travaillé avec les autorités burkinabè, puis leur ont laissé instructions et hommes, "pour un suivi du travail qui doit être fait sous la supervision du Burkina Faso". Bentégeat a mis le cap sur Niamey après, avec seulement une dizaine de soldats, sur la centaine qui l’a accompagné au Faso, laissant aux mains des hommes de Compaoré des soldats "assistants techniques" français - en partie des anciens d'unités spéciales comme le COS, DRM, DGA, etc. - et autres mercenaires "le soin de parachever le travail". Les documents en possession de ces derniers indiquent l'armement militaire pré positionné dans les pays de la sous région pour soutenir l'opération, si elle se mettait en marche. Ainsi, au dispositif militaire stationné au Sénégal, viennent s’ajouter des hélicoptères de combat Gazelle avec lazer (500 à 5000 m), des Cougars AS 532, plusieurs LRM dotés de roquettes M77, AT2, M26-M30, quatre Mistral, des éléments de la cavalerie de Saumur, trois Cobra , six TBM700 stationnés au Mali . Sur place en Côte d'Ivoire, au 43è Bima, cinq canons 155 AUF, quatre Atila et autant de Ratac ( armes de nocivité notoire) ont été réquisitionnées et seront gérées par des éléments venus, eux aussi, de Saumur. En soutien à ce dispositif, les positions françaises au Gabon et à Djibouti ont été appelées à rester en alerte maximum constante. Bentégeat entend d'ailleurs venir rendre visite à ses tueurs du 43è Bima, à l'occasion d'une visite bien maquillée "de travail". Autre chose, aux mains des soldats restés sur place à Ouaga, Bentégeat, formé à St-Cyr comme Doué, a laissé huit véhicules blindés TRM, quatre véhicules tout terrain et six barges fluviales pour le transport par eau des chars, comme si le Burkina a jamais été traversé par des cours d'eau navigables. Voici qui éclaire chaque jour davantage que la France ne veut pas lâcher le morceau. Mais que peut-elle face à un peuple de Côte d'Ivoire largement informé de ses sinistres schémas et plus que jamais déterminé à faire front ?

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