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Retour à l'article: Il y a un an éclatait la crise entre la France et la Côte d'Ivoire
  Il y a un an éclatait la crise entre la France et la Côte d'Ivoire
Retour sur les événements tragiques d'Abidjan
 
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Il y a un an éclatait la crise entre la France et la Côte d'Ivoire

Nombre de messages
:  12
Pages:  1  

  Espions en banlieue : Un autre avenir ?
Stan ( 07/11/2005 11:34 )
À Geispolsheim / France

Certaines Nations africaines pourraient se doter d'un vrai service de renseignements très efficace parmi les nombreux chômeurs de ces cités de la banlieue française en mal de vivre, en majorité d'origine africaine. Même si les tarifs ne seraient pas tout à fait alléchants, cela représenterait certainement un revenu plus conséquent que le RMI ou la maigre obole qui leur ait distribuée comme seul revenu de subsistance. En échange, ces pays leur accorderaient un statut de journaliste international rémunéré par quelques quotidiens nationaux établis dans ces Nations respectives. - Utopie ou réalité ?
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  Vraiment...
Benny Da B' ( 07/11/2005 12:22 )
À Abidjan / Cote D'Ivoire

franSSe OUT OF AFRIKA, quand tu auras envie de comprendre un peu quelque chose à ce qui se passe en CI tu liras çà et tu verras que tout n'est pas si simple que d'éructer "A mort A mort" ! dans la vie ;);)

Blé Goudé aux français : réconcilions-nous ! - un an après les évènements de novembre

http://news.abidjan.net/h/157419.html
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redaction grioo ( 07/11/2005 13:26 )
À Eaubonne / France

le "message" de "franSSe out of africa" a été supprimé par le moderateur. Les messages racistes et les appels haineux ne sont pas tolérés sur ce site.

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  franSSe OUT AF AFRIKA
franSSe OUT AF AFRIKA ( 08/11/2005 22:55 )
À / Sweden

franSSe OUT AF AFRIKA
franSSe OUT AF AFRIKA
franSSe OUT AF AFRIKA
franSSe OUT AF AFRIKA
franSSe OUT AF AFRIKA
franSSe OUT AF AFRIKAfranSSe OUT AF AFRIKAfranSSe OUT AF AFRIKA
franSSe OUT AF AFRIKA
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  En perspective... un avenir de paix.
arno-noar ( 08/11/2005 23:36 )
À Paris / France

Bonjour,

Je comprends votre point de vue et votre manière d'évoquer ces évènements. Toutefois, en tant que rapatrié, il m'apparait important d'inscrire ces évènements dans une vision plus large. Les rapatriès n'étaient pas que blancs et francais. Des métisses des maliens, des burkinabais, des libanais, des hommes, des femmes, des familles d'Afrique ont été rapatriés dans ce qui a ressemblé à une chasse à l'étranger, orchestrée pas une frange xenophobe et dite proche du pouvoir.

Un an après... et je suis heureux d'être là.
Un an après et je hais le racisme de toute ma peau claire. Nous étions sur cette Terre africaine que nous aimons, et nous avons vu aussi nos frères soufrir de la mort de proches, tués par l'armée francaise.
Il ne faut pas oublier, il faut que chacun fasse la paix en soi-même.
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  Lorsque l’Afrique noire dénonce le pacte colonial...
tomy ( 09/11/2005 00:50 )
À / Sweden

LE PROFESSEUR MAMADOU KOULIBALY INVITE LA JEUNESSE PANAFRICAINE À LIRE SON LIVRE (QUI EST EN FAIT UNE COMPILATION DE TOUS LES ACCORDS « TAILLÉS SUR MESURE » EN FAVEUR DE LA FRANCE, ET TENUS SECRET PAR LES GOUVERNANTS AFRICAINS), POUR DÉCOUVRIR LA FACE HIDEUSE DE LA CODIFICATION DE L’EXPLOITATION DES RICHESSES DE L’AFRIQUE PAR LA MÉTROPOLE.

Le Courrier d’Abidjan

La conférence-dédicace du livre « Les servitudes du pacte colonial » , a été l’occasion pour le président de l’Assemblée nationale, de faire un véritable réquisitoire contre les accords inégaux de coopération entre la France et ses anciennes possessions d’Afrique.

Le courrier d’Abidjan - Anassé Anassé

La cérémonie de dédicace du livre de Mamadou Koulibaly, « Les servitudes du pacte colonial » , hier à la salle « Ernesto Djédjé - Lougah François » du Palais de la Culture d’Abidjan, a constitué le premier temps fort du troisième et dernier jour du programme organisé depuis vendredi, par votre quotidien « Le Courrier d’Abidjan » : « 72 heures pour dire non au pacte colonial ».

Devant un parterre de personnalités et de participants venus d’Afrique, d’Europe et des Etats-Unis d’Amérique, le président de l’Assemblée nationale a d’abord retracé dans son exposé liminaire, le contexte de l’accession à la souveraineté internationale des ex-colonies françaises d’Afrique. Mettant en parallèle la Déclaration d’indépendance des treize colonies britanniques des Etats-Unis et celle de la Côte d’Ivoire (p.60 du livre), Mamadou Koulibaly dira que les pays africains francophones ont acquis « une indépendance sur papier mais dans les faits, ils sont restés tous dépendants » vis-à-vis de la France - hormis la Guinée qui a dit « non » à De Gaule et au principe de la Communauté. Comme justificatif de cet état de fait, le professeur Mamadou Koulibaly invite tous les peuples africains à lire son livre (qui est en fait une compilation de tous les accords « taillés sur mesure » en faveur de la France, et tenus secret par les gouvernants africains), pour découvrir la face hideuse de la codification de l’exploitation des richesses de ces pays par la métropole.

Pour le président de l’Assemblée nationale, « ce livre est un véritable plaidoyer pour le changement des relations entre la France et ses ex-colonies ». Mamadou Koulibaly dénonce les effets pervers de ce « pacte colonial », qui donne à la France la possibilité (non écrite dans ces accords mais contenue dans leur esprit) de ne pas respecter la contrepartie de ses engagements internationaux vis-à-vis des États affranchis de sa tutelle. Le président du Parlement ivoirien explique qu’« il était temps de mettre au grand jour ces inégalités dans l’exécution de ces contrats internationaux ». Afin que les intellectuels africains puissent, en toute connaissance de cause, utiliser toutes les voies de droit qui s’offrent à eux, notamment la saisine de la Cour internationale de Justice, pour demander la rupture de ces accords inégaux
Mamadou Koulibaly est convaincu que seul le terrain du droit et de la justice pourront faire triompher les États africains de la France. C’est pourquoi il lance une véritable campagne contre le pacte colonial. « Cet ouvrage revendique qu’on nous délie les pieds et les poings, car il faut que l’Afrique soit libre. La liberté existe et nous devons la prendre. Pour y parvenir, nous devons aller sur le terrain du droit et de la justice contre la France » , a indiqué Mamadou Koulibaly. Qui nourrit l’espoir qu’« après la lecture de ce livre, si les clameurs montent dans les quartiers, peut-être qu’un chef d’État africain pourra enfin dire à Jacques Chirac, lors d’un sommet : et si on parlait de pacte colonial ? » La dédicace du livre « Les servitudes du pacte colonial » a suivi cette brillante intervention du président de l’Assemblée nationale. Et le rideau est tombé sur ces « 72 heures pour dire non au pacte colonial », par la projection du film-documentaire « La victoire aux mains nues » du cinéaste-directeur du Palais de la Culture, Sijiri Sidiki Bakaba.

L’Union fait la force !


Infos relayées par ETILE René-Louis

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  QUAND LES CHIENS DE GUERRE ATTAQUENT...
( 09/11/2005 00:52 )
À / Sweden

COTE D’IVOIRE : la France ne veut pas lâcher le morceau
QUAND LES CHIENS DE GUERRE ATTAQUENT...


LA COTE D’IVOIRE SOUS OCCUPATION DE L’ARMÉE FRANCAISE DEPUIS LE 19 SEPTEMBRE 2002.........AU SECOURS... !!!!!!!

Les dessous de la visite de Bentégeat à Ouaga -

Le Courrier d’Abidjan - 9/25/2005 6:37:50 PM

C’est donc au regard de ces ambiguïtés de la France dans la crise ivoirienne qu’il faut considérer les propos de Bentégeat qui, depuis Ouaga, clame que "L’armée française, à travers Licorne, restera en Côte d’Ivoire tant que la communauté internationale et l’ONU le voudront", oubliant du coup que l’armée française est sur le sol ivoirien sur invitation de l’Etat de Côte d’Ivoire qui, à tout moment, peut ré analyser cette présence. « Invitation du peuple de Côte d’ivoire » et « tant que la communauté internationale et l’ONU le voudront », voici deux discours contradictoires sur le même sujet. Au-delà du discours de Bentégeat, c’est la France qui se joue, au vu et au su de tous, du droit international et du droit de tout peuple à s’autodéterminer. A la lumière des détails, le général Henri Bentégeat n’était pas au Burkina Faso pour, comme il le dit, "une simple visite de travail". La logique qui motive son arrivée à Ouagadougou est celle de Jacques Chirac et Alliot-Marie, à savoir faire partir Laurent Gbagbo du pouvoir par tous les moyens, même par un coup d’Etat qui n’exclut pas le bain de sang. Sinon, comment comprendre que Bentégeat a débarqué à Ouagadougou avec 112 soldats dont 18 officiers supérieurs de l’armée française, pour n’en repartir qu’avec une dizaine ? Les autorités politiques et militaires ivoiriennes, qui ont trouvé le mouvement suspect, sont allées aux nouvelles. Mais Paris et la hiérarchie militaire française à Abidjan leur ont rétorqué que "ces soldats sont là pour assurer la sécurité du chef d’Etat-major Henri Bentégeat". Soit. Mais alors, quel danger court Bentégeat au Faso, second jardin de la France, pour s’entourer d’une telle garde prétorienne ? Ni Paris ni l’armée française n’ont pu répondre à cette préoccupation, lorsqu’il en a été fait cas. A la vérité, Bentégeat a convoyé à Ouaga, de manière à ne pas attirer trop d’attention sur le convoi, des mercenaires et autres instructeurs militaires français. Leur mission est de former les rebelles ivoiriens dans les camps militaires burkinabés, pour une attaque prochaine de la Côte d’ Ivoire. Le document officiel qui fait état de soldats accompagnant Bentégeat ne mentionne que quelques noms. Si la délégation militaire française arrivée ce jour-là à Ouagadougou a bien indiqué cent douze personnes accompagnant le CEMA, elle a en revanche exigé que tous leurs noms ne figurent pas dans les documents officiels ; ces derniers devant rester à Ouagadougou,"dans le cadre d’une mission dont la confidentialité ne devrait faire l’objet d’une quelconque préoccupation", affirment les sources. Et les seuls noms rendus publics sont ceux du patron de l’Armée de l’air, le général Richard Woltszinski ; des lieutenants-colonels Didier Thioux et Jean-louis Nicolas ; du capitaine Loïc le Fèvre ; du chef de bataillon des Sapeurs pompiers Claude Delanne ; du 2è conseiller à l’ambassade de France au Faso, Christophe Boutinot ; du Commissaire principal de police Nicolas Declerq, ancien attaché de sécurité intérieur à l’ambassade de France à Ouagadoudou, et de Jean-François Kalvszinski, commandant de Police, assistant technique aéroportuaire. Au cours de cette visite, le général cinq étoiles et ses hommes ont travaillé avec les autorités burkinabè, puis leur ont laissé instructions et hommes, "pour un suivi du travail qui doit être fait sous la supervision du Burkina Faso". Bentégeat a mis le cap sur Niamey après, avec seulement une dizaine de soldats, sur la centaine qui l’a accompagné au Faso, laissant aux mains des hommes de Compaoré des soldats "assistants techniques" français - en partie des anciens d’unités spéciales comme le COS, DRM, DGA, etc. - et autres mercenaires "le soin de parachever le travail". Les documents en possession de ces derniers indiquent l’armement militaire pré positionné dans les pays de la sous région pour soutenir l’opération, si elle se mettait en marche. Ainsi, au dispositif militaire stationné au Sénégal, viennent s’ajouter des hélicoptères de combat Gazelle avec lazer (500 à 5000 m), des Cougars AS 532, plusieurs LRM dotés de roquettes M77, AT2, M26-M30, quatre Mistral, des éléments de la cavalerie de Saumur, trois Cobra , six TBM700 stationnés au Mali . Sur place en Côte d’Ivoire, au 43è Bima, cinq canons 155 AUF, quatre Atila et autant de Ratac ( armes de nocivité notoire) ont été réquisitionnées et seront gérées par des éléments venus, eux aussi, de Saumur. En soutien à ce dispositif, les positions françaises au Gabon et à Djibouti ont été appelées à rester en alerte maximum constante. Bentégeat entend d’ailleurs venir rendre visite à ses tueurs du 43è Bima, à l’occasion d’une visite bien maquillée "de travail". Autre chose, aux mains des soldats restés sur place à Ouaga, Bentégeat, formé à St-Cyr comme Doué, a laissé huit véhicules blindés TRM, quatre véhicules tout terrain et six barges fluviales pour le transport par eau des chars, comme si le Burkina a jamais été traversé par des cours d’eau navigables.

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  attristée
topo odilia ( 09/11/2005 14:44 )
À / Satellite Provider

Les évènements de CI m'avaient vraiment attristée,eh oui,la france considerant la CI où tout lui étaient permis n'a jamais envisagé une seule fois lacher le morceau,mais les ivoiriens ont grandi,ils sont chez eux,la france doit s'en rendre compte on n'est plus au temps où on enlevait un president qui ne plaisait pas(bokassa)pour le remplacer par le pantin de son choix
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Gumter ( 10/11/2005 15:23 )
À Montreal / Canada

Arno Noar , il ne faut pas mélanger les choses , quand Jacques Chirac a décidé de détruire toute l'aviation ivoirienne , la population s'est sentie attaquée , et cela dans son propre pays .
Il va s'en dire que chaque ivoirien voulait s'en prendre à tout ce qui était francais ( aussi simpliste que cela est , cela démontre que la folie est contagieuse ) .

c'est fanatastique quand même que les Ivoiriens malgré l'immaturité politique qu'a fait preuve Chirac n'ont tué aucun francais , et chaque Ivoirien regrette les échauffourés ( preuve que nous plus intelligent que le premier des francais chirac ) , mais au moins vous ( francais ) et votre gouvernement l'auront compris : La violence n'est pas l'apannage des colons que vous êtes !

Arno regarde attentivement la petite fille couchée devant le soldat francais , et dit moi quelle sentiment tu aurais toi ,
dis-moi ce que tu fais quand une armée étrangère se permet de tirer sur le domicile de ton président , de tirer sur la population des grenades , si cette même armée après avoir détruit une grande partie de votre aviation se permettait de tirer sur la population en tuant même des enfants ( la petite couchée a été tué a bout portant )

, je te rappelle qu'il y a eu 70 morts et 1000 bléssés côté ivoiriens et 0 morts côté francais, alors vos sentiments on n'en a rien à foutre !

Vous pouvez continuer à vous plaindre , mais sachez que c'est la dernière fois que les Ivoiriens regarderons votre armée se rouler des méchaniques de la sorte , plusqu'il n'y a plus de ressortissants francais en C.I , donc plus de justifications pour nous de ne pas attaquer aussi .


Votre gouvernement de merde n'a inventé la violence , chacun l'a en lui.

Concernant les ressortissants africains dont tu parles , ils vivent toujours en harmonie avec les Ivoiriens ,et malgré tout ce qu'on dira , ils restent et resteront nos frères , même si certains zozos comme toi veulent forcement qu'ont soient divisés , je te le rappelle , nous n'avons rien contre nos frères , c'est contre les agissements du gouvernement francais qu'on en a .

Maintenant je ne crois pas que la C.I ai des lecons sur l'immigration à recevoir de la france , il n'y a qu'à voir la guérilla urbaine qu'a crée votre système pour s'en rendre compte .
Depuis quand un pays foncièrement colon echappe à son destin

Je crois que la france est en décripitude comme les ex-pays colon comme le portugal , ce pays sera reléguée à sa véritable place , càd , celle d'une grenouille ...qui se prennait pour un boeuf !
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( 30/11/2005 15:55 )
À Paris / France

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( 30/11/2005 15:56 )
À Paris / France

test
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  merci merci merci
( 30/11/2005 15:57 )
À Paris / France

oui, oui, oui oh oh oh mmmmmmmmmmhhhhhh ahhhhhhhhhhhhhhhhhh ouyiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh mhhh
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