Ecrire
une réaction
L'Union africaine accueille favorablement le référendum en RDC |
Nombre de messages:
9
Pages:
1
|
Frenchy (
20/12/2005 19:51 )
À Denton / United States
|
Il faut deposer une gerbe de fleurs sur la tombe de Kabila pere, c est lui qui a initie cette plainte.Bravo a la CIJ.Rwanda is next. |
|
 |
 |
Deux poid sdeux mesures et que celui qui n'a pas péché lui jette la 1ère pierre |
(
20/12/2005 22:07 )
À Brussels / Belgium
|
D'une part c'est bien que la RDC s'est, enfin, mise à l'heure de la démocratie. Car, le gouvernement actuel n'a de légalité que le bon vouloir de la communauté internationale et le mutisme du peuple congolais.
Mais d'un autre côté, on oublit les promoteurs de cet événement car cela ne fut sans mal et malheurs tant au Congo que dans les pays voisins. En effet, ces sont les pays limitrophes qui contribué à ce que le Congo soit remis enfin sur la bonne voie. Ceci si du moins le pays parvient à tenir le coup et la route. Car, il ne faut pas crier trop vite victoire vue la conjoncture et les problèmes non résolus.
Le comble est que l'Ouganda, pays dont s'est plainte la RDC auprès de la CIJ, est un de ces pays qui ont soutenu financièrement et militairement la lutte de libération qui a permis la chute et la fuite de Mobutu, le dictateur.
Voilà maintenant que la RDC régle ses comptes avec l'Uganda par l'intermédiare de la CIJ. La procédure et la tournure des événements semblent étranges, nouvelles et inusitées pour régler ce type de différend. On peut même se demander si cette CIJ a toutes les compétences voulues pour prononcer un jugement quelconque, hors les NU.
Ceci n'est pas pour ni dédouaner, ni absoudre l'Uganda qui doit avoir bien des péchés dans cette aventure du Congo. Car, qui ne s'est pas livré à quelques écarts dans ses (ex)actions à l'instar de l'Uganda? Les gouvernants actuels du Congo? Surement pas. Une partie des dirigeants est présumés coupables. Les autres pays comme le Zimbabwe ou l'Angola? Que non, bien entendu et les preuves ne manquent pas. Alors que dire même de la MONUC dont les exploits sont bien connus?
Bref, il y a beaucoup à faire pour la CIJ dans cette (re)quête de régler ses comptes. A propos, que faisait la France et ses Serbo-croates (dont un général est à la Haie pour être jugé) dans cette galère du Congo entre 1994 et aujourd'hui? Faire la cueillette et la chasse? Mais de quoi? Cela aussi pourrait être une autre affaire à suivre par la CIJ.
Comme les plaignants sont aussi mouillés jusqu'aux cheveux, il faut se demander qui est derrière tout cela car la RDC ne peut être à la fois, porte-parole des victimes et leur bourreau.
A part ça, ce serait un précédent grave quoique intéressant à plus d'un titre. Il faut reconnaître que cela constitue un précédent que certains pays risquent de regréter, chez les Occidentaux notamment pour certaines périodes encore récentes et vives. Voire des temps lointains comme l'esclavage, aboli voici environ un siècle mais qui perdure dans les DOM-TOM et en Afrique post-coloniale.
D'autra part, la CIJ s'est un peu trop empressée vu que le plaignant congolais et son mentor caché n'ont pas toutes les créances voulues tant que le gouvernement actuel ne peut se prévaloir d'une aucune base légale. Il aurait fallu attendre le veridict des urnes pour entamer ces actions en justice et avec une représentativité suffisante.
Encore une fois, la CIJ est entrain de tirer sur la queue du diable car cela va donner le coup d'envoi d'une montagne de plaintes sans fin. La CIJ est parvenue à se créer du boulot pour l'éternité de son enfer pavé de si "bonnes intentions" sournoises. |
|
 |
 |
Toi rwandais en haut .. |
Mawa Trop (
22/12/2005 11:20 )
À Groningen / Netherlands
|
Le Congo est sur la banne route .
Qui vivra verra. |
|
 |
 |
Un lapsus qui en dit long |
(
22/12/2005 15:32 )
À Floreffe / Belgium
|
A l'optimiste beat en haut: okoswa, keba
La toute petite faute d'écrire "banne" au lieu, sans doute, "bonne" est un signe qui indique que l'auteur n'y croit pas dans son for intérieur.
Dommage, car le Congo a besoin de citoyens convaincus et décidés à pousser le bouton du "kick off".
Car, il ne faut pas vendre la peau de l'ours avanr de l'avoir même aperçu. Le Congo n'est encore sorti du cul de sac. Le résultat des urnes va confondre et déplaire plus d'un, c'est sûr et certain.
Même si après les élections (sans ou avec fraude) et une nième table ronde, on aboutit à un état enfin sous gouvernance, il faudra encore du temps avant que les institutions se mettent en place. L'état actuel du pays demande du temps et du travail immense. Même avec les Belges et les autres européens à la tâche, il faudra plus de 10 ans avant que le pays puisse voir le bout du tunnel.
Mais l'optimisme reste de rigueur, bien entendu sans qu'il soit béat. |
|
 |
 |
Toi en haut |
Mawa trop (
24/12/2005 20:18 )
À Groningen / Netherlands
|
Toi t' es un zero Liboma , pour une fois saluons le processus encours en RDC .LE CONGO EST SUR LA BONNE ROUTE. Okazwa liboma.. |
|
 |
 |
On aura tout entendu! |
Mwana mboka (
26/12/2005 06:55 )
À / Belgium
|
Qaund je lis quelqu'un ici, taxé de rwandais par un autre, regretter la sentence prononcée par la CIJ en faveur du CONGO, il y a vraiement de quopi tomber à la renverse!.
C'est manifestement le signe qu'il y a beaucoup de gens qui se plaisent et se complaisent dans la deliquescence actuelle de ce grand et beau pays.
C'est le signe vraiment que tels des charognards, le dépéçage et le pillage sustématiques de ce pays par ses voisins et particulièrement le Rwanda et l'Ouganda enchante beaucoup!.
Le CONGO, plus que la plupart de ses voisins a, heureusement, d'intellectuels en nombre que pour relever tous le défis aux quels leur pays fait face. Au nombre d'entre eux, il ya justement cette question de droit qui consiste à voir les pays qui l'on AGRESSE payé de leur forfaiture.
La Cour Internationale de Justice, comme la récente CPI est une institution du système des nations unies dont les règles de fonctionnement ne souffrent d'aucune contestation.
Contrairement à ce qu'affirme un partisan du Kabilisme, ceux-là même qui sont arrivés au CONGO dans les bagages de nos agresseurs, ce n'est pas un individu, fut-il président qui saisit la CIJ. C'est le gouvernement d'un Etat qui saisit cette cour. Kabila Laurent, ce président-marrionnette et surtout, son (prétendu) fils, actuellement chef de l'Eatat, ne sont nullement fondés à revendiquer, au nom du CONGO, ce succès aussi bien diplomatique qu'économique (la sentence est assortie d'une amende salée pour l'Ouganda, de quoi soulager les finances congolaises!.). |
|
 |
 |
Deux poids, deux mesures, c'est trop beau |
(
26/12/2005 19:49 )
À Brussels / Belgium
|
Personne ne conteste les actes de pillage provenant de l'Uganda, quoique cela n'est pas facile de le prouver tant que ces sont des individus, même militaires, qui se sont livrés à ce pillage. Lequel, par ailleurs, n'a pas l'ampleur que l'on veut lui donner. D'autres pays, comme la belgique ou Mobutu et ses pôtes européens l'ont fait à grande échelle. C'est clair.
Ce qui est étrange et bizarre, c'est le parti-pris de ce jugement qui ne cible qu'un acteur quand il s'agit de tout un petit nombre dont fait parti une bonne partie des dirigeants actuels de la RDC, sans oublier d'autres acteurs directs.
De plus, qui en sont les véritables bénéficiaires de ce "pillage"? L'Uganda seul ou les clients des opérateurs ugandais aussi? Car, il ne faut pas oublier que faire commerce, en toute connaisance avec un pilleur, constitue aussi un délit. Ceci est dans les lois internationales. Même les Congolais qui ont participé à ce commerce illégal devront être trainés en justice pour bradage des biens publics.
Si, d'aventure, il y a de l'uranium congolais qui a été traité par la France, l'Allemagne ou le Pakistan, (l'Uganda en est incapable) ensuite a été revendu à l'Irak ou à l'Iran, alors, nous avons une bonne chaîne d'association de pilleurs. Que dire du cobalt, du diamant, du Niobium ou du tantale? Tous, des matières précieuses et surtout stratétigiques que les fournisseurs ugandais n'utilisent pas. Hé, hé, hé.
Bref, la condamnation de l'Uganda risque de soulever un voile sur d'autres faits et gestes semblables qui concernent d'autres membres de l'auguste assemblée de l'ONU, y compris le conseil de sécurité. Une photo ou un dessin est inutile à ce propos ... La Grande Bretagne peut-elle dire qu'elle n'a pas profité, un peu, de ces produits illicites? Pas si sûr!
Par ailleurs, la CIJ pourrait ne pas être compétante pour toutes ces matières juridiques. De plus, ce n'est pas par cette voie que la RDC pourrait avoir facilement gain de cause et réparations. Certaines affaires devraient se régler directement avec le supposé coupable à l'amiable sans y commettre une ingérance de tiers de ceux qui sont juges et partis: les occidentaux qui veulent faire mains basses sur les ressources de la RDC.
Car, en définitif, le sol et le sous-sol de ce pays appartient à des étrangers qui sont à l'affut pour les mettre en exploitation avec des contrats que chacun peut bien imaginer jusqu'à preuve du contraire, les Congolaisont si peu à dire sur leur patrimoine, comme d'autres africains.
Il ne faut pas oublier aussi que les donneurs de leçons devraient d'abord montrer pattes blanches; ce qui n'est pas le cas. L'enfer est pavé de bonnes intentions. Pour l'exemple voir les nouvelles lois en France et leur histoire revue et conrrigée sur l'esclavge, le colonialisme et toutti quanti. |
|
 |
 |
CON-golais un peuple Con |
Mawa trop (
26/12/2005 21:21 )
À Groningen / Netherlands
|
Nous sommes tout simplement des CON-golais..Des imcapables..
|
|
 |
 |
La chasse est ouverte |
(
22/01/2006 16:32 )
À Brugge / Belgium
|
La C.I.J. a du pain sur la planche. Mais faut-il encore que quelqu’un porte plainte et que cette plainte soit prise en considération…
Le Front Patriotique Rwandais, instrument militaire créé en 1988 pour opérer des changements radicaux en Afrique centrale a toujours agit sans états d’âme.
Cette machine de guerre, qui détient la vérité sur la mort du commandant Fred(Fred Rwinyema, originaire, comme Paul Kagame, du camp de M’barara, dans le sud de l’Ouganda, mort quelques jours après le début de la guerre d’octobre 1990 et qui fût remplacé par le dernier cité) et de deux autres commandants, Chris Bunyenyenzi et Peter Banyiangana, n’a jamais placé une seule croix sur les fosses communes qu’elle laissait sur ses pas. Victimes hutu et tutsi confondus. Depuis la guerre d’octobre 1990 jusqu’à la prise de pouvoir à Kigali en 1994.
De même, la traque et le massacre des réfugiés hutu dans la forêt congolaise intéresserait la C.I.J. J’entend par là non seulement les bourreaux mais aussi les satellites espions qui les aidèrent à localiser leurs victimes. Au titre des victimes, le sort réservé au commandant Ngandu Kasese ne fut pas enviable. Ni celui de général Mahele. Pour ne citer que ceux-là.
Un certain James Kabarebe, un des fameux « boys » de la redoutable « Basima house »(batiment des renseignements militaires ougandais à Kampala, où Paul Kagame était responsable de la sécurité intérieure) se retrouve à Kinshasa comme chef d’état major de ce cheval de Troie qui fût l’Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération en abrégé AFDL. Mécontents de leur homme de paille, Laurent Désiré Kabila, les envaillisseurs cherchent à le remplacer. L’opération tourne au vinaigre. Ils sont remerciés et embarqués dans le premier vol pour Kigali. Nous sommes à la fin du mois de juillet 1998. Début août de la même année, James Kabarebe, vétéran de la guerre de libération en Ouganda, sous Musevini, vétéran de la guerre de libération au Rwanda, sous Kagame et vétéran de la guerre de libération au Zaïre, sous Laurent Désiré Kabila (hic), traverse la frontière congolaise (l’accoutumance au métier des armes n’a pas de remède), prend sans coup férir la ville de Boma. Lui et les siens : Bizimana Kaharamweto, Déogracia Bugera,…et quelques comparses gagnés à la faveur de la misère, rejoints par un certain Wamba Dia Wamba, fuyant Kinshasa suite à des démêlés politiques avec Kabila père, réquisitionnent un avion de ligne de Congo Airline destination ouest, prennent la base de Kitona, où croupit jadis un certain capitaine Ondekane de la DSP en réducation et commencent la campagne de Kinshasa, batisée « opération éclair », pendant qu’un navire de guerre américain mouillant dans l’atlantique leur assurait la logistique. La suite… tout le monde la connaît. Coût de l’opération : quatre millions de congolais sont morts. Nous reprenons les chiffres de l’article. Les média disent qu’aucun autre pays n’a connu une telle perte en vie humaine depuis la deuxième guerre mondiale. Mais que vaut la vie d’un congolais ?
griotshitenge
|
|
 |
 |
Nombre de messages:
9 Pages:
1
|