Les femmes se retrouvent en général le 8 mars dans le monde (journé internationale de la femme) pour des tentations permettant de réglementer la vie en société. Cependant de nombreux dossiers qu'elles proposent demeurent en souffrance et le plus souvent sans suite, tant les lourdeurs managériales et la politique absorbent leurs idéologies et les noient.
Au 8 mars, les femmes africaines seront-t-elles un jour amenées à convaincre ?
Partout où elles vivotent àl'étranger et essaient de s'accrocher, tout passe sous leurs nez... Le prétexte malin étant qu'elles devraient aménager et développer leurs pays d'origine aujourd'hui encore plus misérables qu'hier. Les fémistes d'Orléans ou de Paris qui n'ont aucune bonne image de nos villes et campagnes
critiquent sans arrêt les modes de vie africaines non acceptées et rejettées par l'Occident.
La réalité étant que la misère et la pauvreté du continent africain , ainsi que le désir du snobisme ont planté certaines femmes africaines en Europe, perdues, désoeuvrées et le plus souvent sans issues, vivant de prostitution si elles n'ont pas passé le cap de la formation d'aide ménagère ou d'aide-soignante, les grades des moindres que rien... car elles ne sont ni leur indépendance, ni le bien-être matériel qu'elles songeaient... Ouf, elles ont encore beaucoup de chemin à parcourir et surtout qu'elles continuent à retenir leurs souffles qui s'éteignent pour la plupart toujours à mi-chemin.
La journée du 8 mars favorise celles qui doivent mener les autres et obtenir en retour un profit intéressant leur cercle social.
La femme africaine est prise en considération à La Journée Internationale de la Femme Rurale du 15 octobre, depuis notre sollicitation au Forum des ONG sur les Femmes en Chine de Beijing 95 approuvée par les Nations Unies.
Alors, les consoeurs pro-africaines sont mieux écoutées dans leur contexte rural africain qui leur accorde une meilleure position et les élève avec dignité.
KWIN
"ATB, Une Initiative des Femmes"
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