Et comment donc ! Et l'Afrique se vida ainsi de toute son essence. Avant c'était forcé, maintenant nous y allons nous mêmes de peur de fournir le moindre petit effort chez nous. Eh bien c'est ainsi, vaut mieux pour l'africain balayer chez les autres que de balayer devant chez soi. Mais j'en conviens, nous avons des circonstances atténuantes hein cher Me l'avocat ? |