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  La perte du triple A par la France
Comment en parler pendant la campagne présidentielle.
 
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La perte du triple A par la France

Nombre de messages
:  12
Pages:  1  

 
( 14/01/2012 16:05 )
À Crawley / United Kingdom

C'est pas grave, les fromages qui puent vont se refaire en nous forcant (a coup de porte-avions, leur meilleur argumemt financier) a leur livrer nos matieres premieres pour le franc symbolique.....
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Quimboiseur ( 14/01/2012 17:26 )
À Draveil / France

Sarko a perdu les élections !
Sarko l'homme sous qui la Franfe a perdu sont AAA

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  La Malecdiction de Koudou Laurent GBAGBO et KADHAFI on fait mouche
( 14/01/2012 20:47 )
À Lingolsheim / France

Tous les innocents tués en Côte d'Ivoire et en Libye, crient vengeances, il faut créver l'abcès, avec leurs médias mensonges.

L'Allemagne na pas de colonies s'en sort, la FranSSe avec sa FranSSafric nous emmerde.

Petite comparaison entre 2 systèmes Demon Crazy Bomb.

Décidément avec tous ces politicards qui ont des poils qui poussent dans leur mains , c'est pas un peigne qu'ils leurs faut , c'est un râteau qu'ils leurs faut pour se peigner.

LA FranSSe, République Betteravière des CASTES

Gardien de la Paix : 1 600 euros pour risquer sa vie.

Pompier professionnel : 1 800 euros pour sauver une vie.

Instituteur : 1 600 euros pour préparer à la vie.

Médecin : 5 000 euros pour nous maintenir en vie.

Sénateurs : 19 000 euros pour profiter de la vie

Ministres : 30 000 euros pour nous pourrir la vie !!!

******************
Petite comparaison entre deux Démons Crazy Bomb :

États-Unis : 300 millions d'habitants, 100 sénateurs et 435 représentants

France: 60 millions d'habitants, 350 sénateurs et 577 députés.

Si les États-Unis faisaient comme nous, Ils auraient 2100 Sénateurs et 3462 députés

Si en France nous faisions comme les États-Unis nous n'aurions que 17 sénateurs et seulement 73 députés ! ! ! ! !

Et là nous ferions des économies, tout en restant une démocratie !

C'est court, c'est précis, c'est éloquent et ça nous coûte très, très, cher !





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  Pas sûr que Sarkozy
Charlie ( 14/01/2012 21:43 )
À Pantin / France

perdra les élections.
Les Français sont un peuple ayant la mémoire courte.
Ils oublieront bien vite, quand l'heure viendra de voter, le bilan plus que négatif de ce médiocre président.
Il en faudra bien plus pour le faire chuter.


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  Boycottez les produits francais
Adama ( 15/01/2012 03:00 )
À Rochester / United Kingdom

La note souveraine de la france du criminel de guerre sarkozy a été dégradée ce vendredi 13 janvier par l'agence de notation Standard & Poor's. La france perd son fameux triple A qui lui permettait d'emprunter à des taux préférentiels sur les marchés. Malheureusement cette note a été baissé seulement d'un cran. Il faudrait que les africains comprennent une chose: il faut boycotter les produits français ou que vous soyez, ainsi l'économie de la France sera encore plus dans le rouge et leur note souveraine va encore baisser. Si la france a pu garder pendant de longues années cette note c'est aussi et surtout grâce aux africains. La france a fait de l'Afrique francophone surtout un marché captif pour ses entreprises. À nous d'être des acteurs du changement en boycottant les produits français. Ne soyons pas complices de la bonne santé financière de cette france qui nous tue.
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  Rien de nouveau sous le glaçon
grandnoir ( 15/01/2012 07:09 )
À Pierrefitte-sur-seine / France

Depuis 30 ans au moins la France vit au dessus de ses moyens. Les échecs ne cessent de se cumuler : échec éducatif, chômage exponentiel, insolvabilité croissante des consommateurs, surconsommation, dépenses excessives de l'Etat et recettes fiscales en chute libre, délocalisation importante des producteurs locaux, pouvoir d'achat en berne à cause du manque d'évolution de carrière et des salaires dans les entreprises françaises, morosité ambiante, élites en panne de créativité, système social prétentieux mal financé, mal surveillé et l'irresponsabilité de certains usagers exonérés de charges peu regardant sur leurs dépenses de santé, dépenses publiques irréalistes et fantaisistes, peuple divisé et mal organisé, dépenses de sécurité intérieure exorbitantes mais nécessaires conditionnées par la pauvreté, l'échec scolaire, l'absence d'intégration et de multiples tensions causées par l'exclusion d'une partie importante de la jeunesse. Bref ! Un bilan général bien médiocre qui forcément est loin de favoriser la cohésion nationale face une mondialisation intensive et gloutonne. Les gaulois ont toujours mis leur destin entre les mains d'un leader charismatique et autoritaire qui a su rompre leur division face aux antagonismes extérieurs lorsque ceux-ci étaient d'ordre belliqueux. Aujourd'hui la guerre est d'un autre ordre : plus sournoise et plus subtile un peu moins dans l’affrontement bilatéral.
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  la france va t-elle continuer de faire la guerre?
insomnia ( 15/01/2012 14:26 )
À Geetbets / Belgium

la france va t-elle continuer de faire la guerre aux pays moins armé pour piller les richesses des nations soit disant pauvre? la perte du triple A de la france arrogante n'est que le resultat du'une presse a propagante,des politiques constament a eblouir la population que tout va bien en france et en europe .le peuple francais n'est pas dans l'histoire car elle a une memoire courte de son histoire coloniale. alors le probleme de la france est du fait qu'un pays aussi grand puise se laisser guider par un beliqueux et va t en guerre qui est sarkozy.aujourd'hui les guerres n'enrichissent plus ceux qui les font si non la france aurait a son total plus de A que l'allemagne . on peut aujourd'hui tuer des poplations africaines sans en courir des consequences meme si elles sont pas militaires ne retertons vaines car les ames de toutes ces personnes crirons V.
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( 15/01/2012 20:55 )
À Saint-avertin / France


TOGO: A la découverte de «Apocalypse des bouchers» de David KPELLY


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Par David Kpelly | 13/01/2012 | 14:29:41 TOGO :: CULTURE


:: CONTRIBUTION POSTEE PAR UN KOACINAUTE ::

«On peut assister dans tous les pays du monde à cette querelle entre les enfants d’un Président qui décède et qui a tellement duré au pouvoir qu’on a l’impression que le fauteuil présidentiel lui appartient… C’est le cas des enfants d’Eyadema qui ont fini par croire que le Togo est une propriété de leur dictateur de père, et qui s’adonnent à des scènes ridicules et humiliantes pour garder la présidence.»

David Kpelly, est écrivain et blogueur, tenant un excellent blog sur la plateforme Mondoblog de la Radio France internationale (Rfi), distingué en 2010 par le «Prix littéraire France-Togo» pour son roman «L’ange retrouvé». Après «L’élu de la réforme», «Le fratricide de la réforme» et «Le gigolo de la réforme», une trilogie publiée en 2009, le jeune écrivain de nationalité togolaise vivant au Mali depuis quatre années, vient de signer son quatrième ouvrage, un recueil de nouvelles, intitulé «Apocalypse des bouchers» gros de 206 pages, paru aux Editions Edilivre en France en décembre 2011. Pareille à l’histoire politique togolaise de 2005 à nos jours, cette œuvre fait couler déjà beaucoup de salive. A travers ces quelques mots que nous lui avons arrachés, pour le journal Actu Express, l’auteur nous fait découvrir son livre.

Que retenir d’ « Apocalypse des bouchers», votre quatrième livre ?

«Apocalypse des bouchers» promène le lecteur en Afrique, notamment à Soutacountry, petit pays imaginaire situé à l’Ouest du continent et limitrophe du Ghana, du Togo et du Benin, dirigé par un jeune Président Baobab Junior appelé «Le Fort» qui a succédé à son père feu Baobab Senior, un dictateur, et sur les bords du fleuve Niger où l’islam, les traditions africaines, la politique et la françafrique font la loi. C’est le quotidien de pauvres peuples africains écartelés entre les magouilles des dirigeants qu’ils n’ont pas choisis et qu’ils détestent, la religion, les traditions, mais aussi les coups bas de la France.

David Kpelly est connu pour son style assez particulier, caractérisé par une verve violente, une fantaisie… un humour au vitriol et après lecture, l’on peut dire que ce quatrième livre, non seulement, va beaucoup faire rire, mais aussi et surtout va faire grincer des dents. Est-ce une provocation à une catégorie de personnes ?

Ecrire pour provoquer ? Non. J’ai écrit ces textes imaginaires pour partager avec mes lecteurs, un quotidien qu’ils connaissent déjà très bien, mais qu’ils trouveront sous une forme romancée, avec des invraisemblances, des exagérations, des omissions… Il est vrai que mes personnages, étant des êtres humains ordinaires, peuvent se comporter comme certaines personnes que nous connaissons au Togo, en Afrique ou ailleurs dans le monde. C’est juste une ressemblance, comme dans certaines situations, il peut arriver que tous les hommes, ou la plupart, agissent de la même manière. Par exemple, un de mes personnages est parti consulter un charlatan pour éliminer tous les hommes qui jetteraient le moindre coup d’œil sur le derrière de sa femme. Et il y a au Togo, en Afrique et ailleurs dans le monde, des milliers et des milliers d’hommes qui feraient la même chose !

La deuxième nouvelle et l’une des plus drôles du livre, intitulée «Tom et Jerry à la Présidence », met en scène deux frères héritiers, Le Fort et Le Bête, qui se disputent un fauteuil présidentiel laissé par feu leur père dictateur. Vous faites sûrement allusion à la célèbre affaire de tentative de coup d’Etat que d’aucuns appellent encore affaire Faure et Kpatcha Gnassingbé au Togo… !

Kpatcha et Faure Gnassingbé ne sont pas les seuls fils de Président au monde. Ma nouvelle est imaginaire. On peut assister dans tous les pays du monde à cette querelle entre les enfants d’un Président qui décède et qui a tellement duré au pouvoir qu’on a l’impression que le fauteuil présidentiel lui appartient jusqu’à ce que ses fils finissent par croire que leur père est un roi, que le fauteuil présidentiel est un héritage familial, et sont naturellement prêts à se disputer pour se l’arracher. C’est le cas des enfants d’Eyadema qui ont fini par croire que le Togo est une propriété de leur dictateur de père, et qui s’adonnent à des scènes ridicules et humiliantes pour garder la présidence. S’ils se retrouvent dans les personnages de ma nouvelle, tant mieux.

A travers la troisième nouvelle intitulée «En attendant les bouchers», vous racontez les élections barbares et empreintes de violences dans votre pays imaginaire Soutacountry, suite à la mort d’un dictateur quarantenaire Baobab Senior, que l’armée et les institutions internationales africaines tentent de faire remplacer par son fils Baobab Junior Le Fort, contre la volonté du peuple. On pense directement à une histoire sanglante que le Togo a vécue en 2005. Pourquoi avoir choisi de parler de cette triste et sanglante période en faisant rire ?

Je n’écris pas pour faire apitoyer mon lecteur sur quelque fait que ce soit. La littérature négro-africaine a pendant longtemps porté cette carapace où il faut adopter un ton cérémonieux, triste et même révolté en parlant de l’Afrique, parce que c’est un continent qui a souffert, qui souffre… J’écris l’Afrique et par ricochet l’être humain comme il est, comme il peut être, dans différentes situations, en adoptant le ton qui me permet de mieux le cerner. Mes narrateurs racontent l’Afrique dans ses plus grandes détresses en faisant rire. Pas parce qu’ils ne compatissent pas. Mais parce qu’ils pensent qu’ils sont plus logiques, plus objectifs, en traduisant leurs propos par l’humour, la dérision et l’autodérision.

«Apocalypse des bouchers» raconte la vie d’un assassin, un véritable tueur, servant le dictateur Baobab Senior, et qui a été ambassadeur de Soutacountry au Canada, renvoyé pour incompétence, ministre de la Communication, conseiller à la Présidence… qui mourra finalement dans une grande humiliation. On y voit le parcours de plusieurs hommes politiques en Afrique et au Togo. Souhaiteriez-vous la mort de ces hommes politiques togolais-là ?

(Rires) Je ne sais pas pourquoi vous voulez toujours voir le Togo dans mon pays imaginaire Soutacountry. Je ne souhaite la mort d’aucun homme politique togolais, même s’il est vrai que la mort de certains d’entre eux ne serait qu’un bon débarras, un très bon débarras, une libération nationale pour le Togo. Cette nouvelle est juste une mise en garde que j’adresse à tous les bouchers qui massacrent leurs peuples pour leurs minuscules intérêts individuels. «Malheur à ceux qui bâillonnent le peuple», criait notre héros Thomas Sankara. Et à travers cette nouvelle, je dis la même chose à nos tueurs du Togo et d’ailleurs. C’est vrai qu’ils se retrouveront dans le lugubre personnage de la nouvelle, Kouakou Tohossou, même si ce n’est pas d’eux que je parle.
L’une des nouvelles raconte l’histoire cocasse d’un prêtre qui se retrouve en train de remuer un string au lieu d’un mouchoir devant ses fidèles. Quel message voulez-vous faire passer à travers cette nouvelle ? Critiquer les prêtres ?

Je suis né dans une famille chrétienne et j’ai reçu une solide éducation chrétienne. Je sais que c’est un péché que de critiquer son prochain, surtout un oint de Dieu. Les prêtres sont des hommes oints de Dieu, quel que soit leur comportement. Je n’ai pas le droit de critiquer qui que ce soit. J’imagine juste un scénario qui peut bien coller à une situation qui se passe généralement sous nos cieux, que nous connaissons tous, où des prêtres se retrouvent coincés dans des histoires de femmes. C’est choquant, mais la plume doit être en mesure de porter toutes les situations, réelles ou imaginaires, pourvu qu’elles aient un message à traduire.

Dans la deuxième partie de votre livre consacrée à un pays musulman qui ressemble beaucoup au Mali où vous vivez depuis quelques années, vous parlez de l’infidélité des jeunes filles. Les jeunes filles de votre pays d’accueil sont-elles infidèles ?

(Rires) Donnez-moi un seul pays au monde où il n’y a pas de jeune fille infidèle. L’infidélité n’est pas l’apanage d’un pays, ou d’une société, ou d’une race… Tout dépend de la situation dans laquelle se trouve la femme, ses expériences, son éducation et ses croyances. Les jeunes filles infidèles de mon ouvrage sont face à des situations où elles croient se venger en trompant leurs maris. Il y a Mariam, l’héroïne de la première nouvelle qui couche avec son jeune professeur de marketing à la veille de son mariage dans le but de tomber enceinte de lui ; il y a aussi Aminata, jeune fille de vingt ans, mariée à un fonctionnaire de la soixantaine, mordue des jeunes hommes élégants, qui couche avec un inconnu, juste parce qu’elle le trouve jeune et élégant. Ceci peut se passer dans tous les pays. Mes héroïnes sont dans un pays où au nom de la tradition, et même –horreur- de la religion, on les marie contre leur gré à des hommes qu’elles n’aiment pas, avec lesquels elles ne peuvent vivre. Elles croient donc punir leurs parents et maris en couchant en désordre avec des amants glanés ici et là. Le problème est que certains continuent de croire qu’on peut, au nom de la tradition et de la religion, faire avaler n’importe quoi autour de soi. Cette époque où on peut attraper la jeune fille comme une poule pour l’offrir à un homme est révolue, n’en déplaise à ces coutumes, traditions et même religions à qui on prête ces principes d’un autre temps.

La nouvelle «Reniement de Pierre» raconte l’histoire d’un jeune Camerounais maltraité et jeté injustement en prison dans un pays du Sahel. Croyez-vous que la discrimination peut aller si loin entre Africains ?

La discrimination peut aller loin, très loin, plus loin qu’on ne peut l’imaginer, entre les citoyens d’un même pays. L’homme a toujours cette tendance à transformer les différences en sources de conflits. Les Africains ne s’acceptent pas entre eux ! Les guerres tribales et génocides qui jonchent notre histoire l’attestent. C’est la même chose pour les Européens, les Asiatiques… Nous n’arrivons pas à dépasser nos différences. Un Togolais peut souffrir aussi atrocement au Sénégal qu’un Malien en France. Je vis depuis quatre ans au Mali, un pays qu’on présente comme l’un des plus hospitaliers de l’Afrique, et je sais ce que subissent les étrangers. Ce qui se dit sur les médias est différent de ce qui se fait dans les marchés, les écoles, les églises, les mosquées… Les Africains dépensent toutes leurs énergies à critiquer les Blancs qui ne les acceptent pas, alors qu’ils n’ont pas encore appris à s’accepter entre eux. Les Equato-guinéens passent tout leur temps à expulser leurs voisins Camerounais, la Lybie s’époumone à renvoyer les subsahariens…. Des scènes d’Africains malmenant des Africains, on peut en voir dans tous les pays d’Afrique.

Ce livre va sûrement faire un scandale au Togo mais aussi au Mali où vous vivez. Ne craignez-vous pas des représailles ?

Des représailles ? Mais je ne parle ni du Togo ni du Mali ! Je parle des êtres humains ! Et n’importe quel être humain peut se retrouver dans mes personnages. L’essentiel, c’est de s’assumer.

Réalisée par Kodzo A. Vondoly
Pour Actu Express

Interview parue dans le journal togolais Actu Express N°176 du mardi 10 Janvier 2012



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  aux"économistes"
arroguant ( 15/01/2012 22:21 )
À Metz / France

décidemment le débat vole toujours haut sur grioo surtout en matière d'économie..au lieu de parler des conséquences concrètes possiblse sur la vie des gens comme l'augmentation des taux d'interets etc...c'est pour parler des guerres? de l'Afrique ?! des produits français à boycotter?!
bref du blabla hors sujet comme d'hab
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  L'homme africain n'est pas assez entré dans l'histoire
Nicolas Ier, Sarközy de Nagy-Bocsa ( 16/01/2012 15:35 )
À Nandy / France

Amis Africains,

De toute façon, nous Européens savons que bous n'êtes qu'une race vile et servile. C'est pourquoi il est du devoir d'une grande nation comme la France de s'occuper de vos ressources naturelles. En attendant que vous preniez l'exemple de l'Asie et du Moyen-Orient pour mettre en place une civilisation digne de ce nom, je vous ordonne de promouvoir l'identité naZionale franSSaise. Car elle est un appel à la raison et à la conscience universelle.

Comme au Cameroun, au Tchad, au Congo, en Gambie, au Sénégal, au Togo, en Centre-Afrique, au Burkina Faso, au Guinée, en Côte d'Ivoire, au Niger, à Madagascar, au Gabon, en Erythrée, au Djibouti, au Biaffra, en Mauritanie, au Rwanda, au Burundi, nous souhaitons, en RDC, préserver les intérêts supérieurs de la patrie des droits de l'homme blanc. Voilà pourquoi cette promotion sans retenu à l'endroit de nos serviteurs les plus zélés comme ces dictateurs françafricains, francs-maçons ( à l'instar d'hypolite kanambe aka joka!) , est primordiale. En effet ces derniers sont de la trempe des roitelets nègres qui sacrifièrent les ancêtres des noirs Américains et des Antillais aux négriers Arabes et Européens. Le travail de ces laquais doit aboutir à une coopération plus étroite entre l'Empire Français et ses satellites africains au détriment de l'Empire du milieu. Afin d'assurer à la nation française des débouchés économiques et un accès privilégié aux matières premières.

Suivez donc l'auguste vérité de cet ali bongro aliéné en vous accouplant à des cochonnes gauloises et autres goyïms de leur espèce, comme l'émotif leopold senghor, ce zombie d'abdou wade, alassane "oie à rat" et sa oie blanche, la ramatoutou qu'on a tenue en laisse à l'Elysée. Afin de pondre des bâtards sans race, sans racine ni identité. Lorsque vous serez suffisamment entrés dans l'histoire venez donc me voir pour que nous ne parlions plus d'homme à vous mais enfin d'homme à hommes. Surtout évitez les kamo-nubiens comme Sankara, Lumumba, Biko et consort...

La supériorité de la race blanche que je représente est évidemment éclatante et il ne tient qu'à vous que l'humiliation des nègres ne soit pas plus cuisante. Pourquoi restez-vous bêtement dans cet ordre immuable où la nature commande tout? Indéniablement vous représentez ce fameux chainon manquant entre les premiers primates hominidés et la splendeur de l'humanité, l'homme moderne de type Européen. D'ailleurs, vous avez le nez si écrasé et d'affreux cheveux crépus qu'il serait presque impossible de vous plaindre. Courage amis Africains mon beau pays, la France, est de votre côté. Sortez donc davantage de la pré-histoire et de votre répétition pour enfin vous inventer un destin! Je vais vous faire entrer tout droit dans la glorieuse histoire de France et de Navarre.

Nicolas Ier, Sarközy de Nagy-Bocsa,

Président de la Monarchie Républicaine betteravière française
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  Drôle
henri ( 16/01/2012 19:17 )
À Boulogne-billancourt / France

Change de texte Nicolas 1er, tu seras moins con. Tu te répètes mon coco, ma petite louve. Change de musique, hum.
Tu nous fatigues et écoutes les conseils sinon c'est la fessée avec le martinet que tu iras toi-même chercher car il est accroché là où tu sais petit con.
Alors obéis et que je ne t'y reprenne plus.
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  AAA ?
Poil à Gratter ( 18/01/2012 02:29 )
À / Netherlands

Un flash info de Radio Gondwana : Aucun pays africain ne perdra JAMAIS son triple A ! ! !

Info de dernière minute : le Zimbabwé pédale à fond pour garder son triple Z, talonné de près par la Somalie.

INTERMEDE PUBLICITAIRE :
Le Zimbabwé propose à tous les afrocentristes un séjour d'une semaine agrémenté de la visite de ses prisons, centres de torture, charniers et camps de travail.
L'Office du Tourisme de ce pays accueillant précise qu'il est formellement interdit de photographier ou filmer les cadavres ou leurs restes, de jeter de l'eau ou de la nourriture mème avariée aux prisonniers debout, assis ou agonisant.
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