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  Retour de Poutine : même en Afrique, ça ne se voit pas
Pourquoi le retour de Vladimir Poutine à la tête de la Russie est inédit...
 
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Retour de Poutine : même en Afrique, ça ne se voit pas

Nombre de messages
:  15
Pages:  1  

 
numéro 7 ( 08/03/2012 14:45 )
À Paris / France

La Russie est de retour en Afrique, mais elle est aussi présente en Amérique du Sud, du fait qu'elle effectue des manoeuvres navales en commun avec le vénézuela. La présence russe en Amérique du Sud, c'est aussi la fusée Soyouz en Guyane et des ingénieurs russes résidant à Sinnamary !
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numéro 7 ( 08/03/2012 15:11 )
À Paris / France

Aprés une vision de la Russie en tant que pays par rapport aux deux continents cités dans mon post précédent, sans grands projets je dirais qu'on ne peut pas vraiment comparer Poutine aux chefs d'état africains, dans un cas il y à un " détournement et une personnalisation du pouvoir " autoritaire et le placement d'oligarques de celui-ci pour servir le dessein politique d'une certaine Russie,ect......... de l'autre on à des dirigeants politiques sans ambition pour leur pays, qui gérent des pays autoritaires ou dictatoriaux, et qui sont fortement dominés pour beaucoup par des puissances étrangéres qui souhaitent obtenir leurs ressources minérales ou agricoles,ect...........
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  C'est le rêve du nain de jardin de se maintenir au pouvoir en tuant les Africains, même avec le soutien de la nièce d'HITLER Angela MERKEL.
( 08/03/2012 15:51 )
À Avenheim / France

Elle n'impressionne personne la grosse berline. Ça prouve à quel point Sarko a peur de l'effet Hollande. Le tour de Niko est arrivé de quitter l'Élysée et il partira car comme l'affirme De Villepin, cette démarche de "panique à l'Élysée" ne va rien apporter au nabot.

VIVE HOLLANDE !!!

La Pute de MERKEL, nièce de Adolf Hitler, prépare une nouvelle occupation de fait de la France avec son rattachement a la Rhénanie Westphalie, tout cela avec la complicité d'un collabo immigre hongroie. Allez français pour la Patrie, le moment de gloire est fini/C'est peut être une bonne chose pour l'Afrique.
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  Pauvre nègres dégénerés
lola ( 08/03/2012 20:48 )
À Paris / France

Hollande Sarkozy c'est la même chose, c'est le même système bande d'abrutis lobotomisés!!!
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  le nègre a perdu complètement la tête
( 08/03/2012 22:10 )
À Amsterdam / Netherlands

Ces journalistes de fasonet parlent pour rien dire. D'abord que savez-vous du système de gouvernance en rusie? Qand on est un nègre (c'est à dire produit du blacn) et utilisant un chrabia pareil, typiquement occidental en s'autorisant à aller voir chez les autres sans même comprendre leur mode de vie ni leur paradigme, on est et restera à jamais un être inférieur, suiveur et nullard . Pour votre gouverne les Russes s'enfoutent royalement de ce que pensent les occidentaux d'eux. Cette occident ne sert à rien et n'est en aucun cas un exemple pour la Rusie et s'ils veulent ils peuvent gogner cette occident comme ils le voudront. n'oubliez pas que ce sont eux qui ont liberer cette petite europe du nazisme hitlerien et pas les americans comme on l'enseigne dans leurs écoles de mensonge. Les Russes ne sont pas des omplexés comme vous les nègres malades mentaux.
Donc les Russes defendent leurs intérets et Poutine le sait bien comme personne qu'il est bien placé pour le faire, alors où est le problème dedans?
Mais le nègre comme un chien prend le devant de son maitre pour pondre un un charabia d'un éternel enfant et fait la comparaison avec les sous préfét fanssafricains.
cependant un bon africain (pas un noir ou encore moins un nègrei0 bien averti sait qu'il n'y a pas (hormis dans 2 ou 3 pays africains) de president en Afrique, mais bien des gérants bien formés pour commettre des bêtises contre leurs peuples.
cette bande de journaliste de fasonet doit le comprendre une fois pour toute, sinon vous pouvez toujours demeurer des nègres c'est à dire produit de leucoderme.
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( 09/03/2012 00:34 )
À Montreal / Canada

J'apprécie à sa juste valeur l'analyse précédente, celle du Mr ou de Mme d'Amsterdam et à cette fin je vous laisse lire, une partie, du discours d'investiture de Poutine, et il faudra le méditer en profondeur:

Le printemps arabe : les leçons et les conclusions
Il y a un an, le monde a été confronté à un phénomène nouveau — des manifestations pratiquement simultanées dans de nombreux pays arabes contre les régimes autoritaires. Au départ, le printemps arabe était interprété comme porteur d’espoir de changements positifs. Les Russes étaient du côté de ceux qui aspiraient aux réformes démocratiques.

Cependant, il s’est rapidement avéré que dans de nombreux pays, la situation n’évoluait pas selon un scénario civilisé. Au lieu d’affirmer la démocratie et de défendre les droits des minorités, on a assisté à l’évincement de l’adversaire, à son renversement, une force dominante se trouvant remplacée par une autre force plus agressive.

L’ingérence extérieure, qui s’est rangée du côté de l’une des parties au conflit, ainsi que le caractère militaire de cette ingérence, ont contribué à une évolution négative de la situation. Tant et si bien que certains pays ont éliminé le régime libyen grâce à l’aviation, en se protégeant derrière des slogans humanitaires. Et l’apothéose a été atteinte lors de la scène répugnante du lynchage barbare de Mouammar Kadhafi.

Il faut empêcher de réitérer le scénario libyen en Syrie. Les efforts de la communauté internationale doivent être avant tout axés sur la réconciliation en Syrie. Il est important de réussir à stopper au plus vite la violence, quelle que soit son origine, d’ouvrir enfin le dialogue national, sans conditions préalables, sans ingérence étrangère et en respectant la souveraineté du pays. Cela créerait des prémisses à la mise en œuvre réelle des mesures de démocratisation annoncées par le gouvernement syrien. Le plus important est d’empêcher une guerre civile à part entière. La diplomatie russe a travaillé et travaillera dans ce sens.

Après une expérience amère, nous nous opposons à l’adoption de telles résolutions par le Conseil de sécurité des Nations Unies, qui seraient interprétées comme un coup d’envoi à une ingérence militaire dans les processus intérieurs en Syrie. Et c’est en suivant cette approche fondamentale que la Russie et la Chine ont bloqué, début février, une résolution qui, par son ambiguïté, aurait encouragé en pratique la violence exercée par l’une des parties en conflit.

A cet égard, étant donné la réaction très violente et presque hystérique au veto sino-russe, je voudrais mettre en garde nos collègues occidentaux contre la tentation de recourir au schéma simpliste utilisé auparavant : en l’absence d’aval du Conseil de sécurité des Nations Unies, formons une coalition des États intéressés. Et à l’attaque.

La logique même d’un tel comportement est pernicieuse. Elle ne mène à rien de bon. En tout cas, elle ne contribue pas au règlement de la situation dans un pays frappé par un conflit. Pire encore, elle déstabilise davantage l’ensemble du système international de sécurité et détériore l’autorité et le rôle central de l’ONU. Rappelons que le droit de veto n’est pas un caprice, mais une partie intégrante de l’ordre mondial consacrée par la Charte des Nations Unies – sur l’insistance des États-Unis, d’ailleurs. Ce droit implique le fait que les décisions auxquelles s’oppose au moins un membre permanent du Conseil de sécurité ne peuvent pas être cohérentes et efficaces.

J’espère que les États-Unis et d’autres pays tiendront compte de cette expérience amère et ne chercheront pas à lancer une opération militaire en Syrie sans l’aval du Conseil de sécurité des Nations Unies. D’ailleurs, je n’arrive pas à comprendre d’où viennent ces "démangeaisons belliqueuses". Pourquoi manque-t-on de patience pour élaborer une approche collective ajustée et équilibrée, d’autant plus qu’elle commençait à prendre forme dans le projet de résolution syrienne, mentionné plus tôt. Il ne restait plus qu’à exiger la même chose de l’opposition armée que du gouvernement, en particulier de retirer les unités armées des villes. Le refus de le faire est cynique. Si nous voulons assurer la sécurité des civils, ce qui est la priorité de la Russie, il est nécessaire de raisonner tous les camps impliqués dans le conflit armé.

Et il existe également un autre aspect. Il s’avère que dans les pays touchés par le printemps arabe, de même qu’en Irak à l’époque, les sociétés russes cèdent leurs positions acquises au cours des décennies sur les marchés locaux et perdent des contrats commerciaux importants. Et les créneaux vacants sont récupérés par les acteurs économiques des pays qui ont contribué au renversement des régimes en place.

On pourrait penser que dans une certaine mesure, ces événements tragiques n’ont pas été motivés par le souci du respect des droits de l’homme, mais par la volonté de redistribuer les marchés. Quoi qu’il en soit, nous ne pouvons bien sûr pas rester les bras croisés. Et nous avons l’intention de travailler activement avec les nouveaux gouvernements des pays arabes afin de rétablir rapidement nos positions économiques.

Dans l’ensemble, les événements dans le monde arabe sont très instructifs. Ils montrent que la volonté d’instaurer la démocratie en utilisant la force peut conduire et conduit souvent au résultat inverse. On assiste à l’émergence de forces, y compris d’extrémistes religieux, qui cherchent à changer la direction même du développement des pays et la nature laïque de leur gestion.

La Russie a toujours eu de bonnes relations avec les représentants modérés de l’islam, dont l’idéologie est proche des traditions des musulmans russes. Et nous sommes prêts à développer ces relations dans les conditions actuelles. Nous sommes intéressés par la dynamisation des liens politiques, commerciaux et économiques avec tous les pays arabes, y compris, je le répète, ceux qui viennent de traverser une période de troubles. De plus, selon moi il existe de réelles conditions permettant à la Russie de conserver à part entière ses positions de leader sur la scène moyen-orientale, où nous avons toujours eu de nombreux amis.

En ce qui concerne le conflit israélo-arabe, la "recette miracle" qui permettrait de régler la situation n’a toujours pas été trouvée. Il ne faut en aucun cas baisser les bras. Etant donné la proximité de nos relations avec le gouvernement israélien et les dirigeants palestiniens, la diplomatie russe continuera à contribuer activement au rétablissement du processus de paix de manière bilatérale et dans le cadre du Quatuor pour le Moyen-Orient, en coordonnant ses actions avec la Ligue arabe.

Le printemps arabe a également mis en évidence l’utilisation particulièrement active des technologies avancées de l’information et de la communication dans la formation de l’opinion. On peut dire qu’Internet, les réseaux sociaux, les téléphones portables, etc. se sont transformés, avec la télévision, en un outil efficace aussi bien de la politique nationale qu’internationale. C’est un nouveau facteur qui demande réflexion, notamment afin qu’en continuant à promouvoir la liberté exceptionnelle de communication sur le web, on réduise le risque de son utilisation par les terroristes et les criminels.

On emploie de plus en plus souvent la notion de "puissance douce" (soft power), un ensemble d’outils et de méthodes pour accomplir des tâches de politique étrangère sans utiliser les armes, grâce à des leviers informationnels et autres. Malheureusement, ces méthodes sont souvent utilisées pour encourager et provoquer l’extrémisme, le séparatisme, le nationalisme, la manipulation de la conscience de l’opinion publique et l’ingérence directe dans la politique nationale des États souverains.

Il convient de faire clairement la distinction entre la liberté d’expression et l’activité politique normale, d’une part, et l’utilisation des outils illégitimes de puissance douce de l’autre. On ne peut que saluer le travail civilisé des organisations humanitaires et caritatives non gouvernementales. Y compris par leurs critiques actives des autorités en place. Cependant, les activités des "pseudo-ONG" et d’autres organismes ayant pour but de déstabiliser, avec le soutien étranger, la situation dans tel ou tel pays, sont inacceptables.

Je veux parler des cas où l’activité d’une organisation non gouvernementale n’était pas motivée par les intérêts (et les ressources) des groupes sociaux locaux, mais était financée et entretenue par des forces extérieures. A l’heure actuelle, il existe dans le monde de nombreux "agents d’influence" des grandes puissances, des alliances et des corporations. Lorsqu’ils agissent ouvertement, il s’agit simplement d’une des formes de lobbyisme civilisé. La Russie dispose également de telles institutions – l’agence fédérale Rossotroudnitchestvo, la fondation Rousski mir (Monde russe), ainsi que nos principales universités, qui élargissent la recherche d’étudiants talentueux à l’étranger.

Mais la Russie n’utilise pas les ONG nationales d’autres pays et ne finance pas ces ONG et les organisations politiques étrangères afin de promouvoir ses propres intérêts. La Chine, l’Inde et le Brésil ne le font pas non plus. Selon nous, l’influence sur la politique nationale et sur l’opinion publique dans d’autres pays doit être exclusivement ouverte. De cette façon, les acteurs agiront de manière la plus responsable possible.

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azerty ( 09/03/2012 01:16 )
À Metz / France

parfaite illustration de la schizophrénie de Noir
il ne veux pas que les"occidentaux" interviennent en Syrie mais fustige à longeur de posts la mainmise des dictateursafricains soutenus par Paris! comme si l'opposition de la russie à toute intervention n'avait rien à voir avec ses bases militaires sur place ni aux armes qu'elle vend

"Si nous voulons assurer la sécurité des civils, ce qui est la priorité de la Russie, il est nécessaire de raisonner tous les camps impliqués dans le conflit armé"

franchement sur grioo on a des beaux parleurs mais qui brassent du vent..8000 morts dont 400 enfants et il faudrait continuer à dialoguer depuis 40 ans que les Hassad dont au pouvoir?
si les togolais, camerounais, congolais & co se faisaient massacrer parcequ'ils rebelleraient contre leurs tyrans, on entendrait venir gémir sur Grioo que pourquoi les occidentaux ne font rien, etc etc..
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( 09/03/2012 22:47 )
À Montreal / Canada

À Mr Azerty,

Justement, si vous suivez très bien le raisonnement tenu par le dirigeant Russe, dont je ne suis pas un ami, vous comprendriez très vite l'évidence: ce n'est pas parce que Mr Assad est un dictateur qu'on veut le renverser, mais logiquement pour des raisons géostratégiques bien précises. Si Assad est un dictateur, je veux bien, et les autres dictateurs, les fameux émirats pétroliers qui font affaires avec certains pays, pourquoi personne n'en parle?

Si vraiment le but des occidentaux étaient de favoriser la démocratie, vous et moi sommes conscients qu'il existe des pays Africains où il y a urgence, et vous en avez vous mêmes pris la mesure en donnant quelques exemples précis.

Pourquoi dans ces pays il n'y a aucune intervention alors que ce serait plus facile de le faire, même en une semaine pour certains pays africains.

La manipulation médiatique étant une arme puissante aux mains de certains pays, je préfère ne jamais en être victime.

Par le passé, on nous a dit que Saddam Husseim possédait pratiquement l'arme nucléaire et qu'il soutenait Al KAIDA, aujourd'hui où sont les preuves?

Où en est la démocratie en IRAK?

En Lybie, on nous parlait de démocrate, tous le monde peut aujourd'hui voir comment la situation évolue dans ce pays.

Moi je ne défends pas Assad, mais je pense qu'il faut méditer sur chaque situation, ailleurs ou en Afrique, au lieu de suivre naivement les points de vue des puissances étrangères, qui de toutes les facons, ne sont jamais neutres, car ils défendent toujours des intèrêts dans chaque cas spécifique.

La démocratie à géométrie variable et à plus de 60. 000 morts, je ne la préfère pas pour les peuples, car l'histoire nous enseigne que les fameux démocrates imposés de l'extérieur seront logiquement les prochains bourreaux pour leurs peuples.

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( 10/03/2012 01:13 )
À Plaisir / France

Yeahhhh Russia is back !!! Vive Poutine
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  @ Amsterdam / Netherlands
numéro 7 ( 10/03/2012 10:44 )
À Paris / France

La psychologie, la mentalité et l'univers mental de l'homme noir (surtout de l'homme africain ) est littéralement " figée " , hors tant que nous ne changerons pas fondamentalement, radicalement des ensembles d'éléments culturels et de comportements hérités de l'esclavage et de la colonisation nous n'évoluerons pas, car au final nous retombons dans les memes types de comportements, les memes types d'aliénations. Le " retour aux paradigmes originels " par les africains me parait etre une quete utopique. Le Noir des Amériques, lui doit réinventer une culture forte, cohérente qui lui permette d'etre compétitif .
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numéro 7 ( 10/03/2012 10:46 )
À Paris / France

mon post s'adresse surtout à vous azerty.
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  @ azerty
numéro 7 ( 10/03/2012 11:13 )
À Paris / France

Un exemple, les noirs en Occident rejettent particuliérement l'intelligence collective, le concept de coopération dans le domaine économique pour privilégier la réussite individuelle ( voire arriviste ! ) dans la société , aucun cumul de capital pour le groupe, à la différence d'autres groupes qui eux cumuulent un capital pour les leurs et se structurent progressivement, résultat en France, en Grande-Bretagne et aux USA,, la réussite des noirs c'est surtout la réussite individuelle non la réussite d'un groupe !
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  Noir ou Africain! je parle uniquement d'africain c'est lui qui m'interesse
( 10/03/2012 22:31 )
À Amsterdam / Netherlands

Je lis de temps en temps le continu de tes écrits et la seule chose qui me vient à l’esprit, c’est que cela n’engage que toi et pour toi en tant qu’être noir ; c’est comme ça que tu te perçois et aussi c’est comme ça que l’autre t’ a défini depuis les cargaison des négrier jusqu’aux programme d’ajustement structurel de nos jours. C’est ce long processus qui créa le noir d’abord et en suite le nègre (produit du leucoderme) que les uns et les autres ne cessent d’embellir.
Personnellement, je suis pas contre que les Noirs hors d’Afrique, où qu’ils se trouvent (dans les Amériques ou quelque part ailleurs) réinventent une culture résistante et forte à eux ou à leurs communautés s’ils n’en possédaient aucune déjà. Là-dessus il n’y pas de débats à engager, du moins pas avec moi.
Ce que j’ai ensemble avec ces noirs hors d’Afrique c’est effectivement la couleur de peau . cependant culturellement on n’a rien de commun ou en commun, il ne connait l’Afrique que par l’ensemble des règles, des idées, des valeurs et des méthodologies des africanistes. Cet être n’a pas la même psychologie que l’africain de culture, parce qu’il ne dispose pas les mêmes armatures intellectuels.
L’africain n’a besoin de parler du ‘retour aux paradigmes originels’, car ce qu’on vous raconte toujours dans les livres africaniste, écrits par des noirs et les leucodermes, le paradigme africain est toujours intact dans les villages africains protégée depuis la nuits des temps jusqu’aujourd’hui. Alors ceux qui vous parlent de retour aux paradigmes originels ne sont que ‘new born africains’ ou bien maitrisent mieux la langue du colon plus que la langue africaine.
L’antinomie entre un noir et africain est que le noir a une logique de soumission acceptée c’est-à-dire qu’il croit sans faille qu’il est ‘un problème’, tant dis que l’africain sait qu’il a eu un problème à cause justement de ces noirs qui sont incapable scientifiquement de distinguer ’je suis et j’ai’. Ils sont mentalement facile à conquérir et à manipuler, il suffit que l’autre prononce le mot ‘nous sommes tous les mêmes’. Concernant le nègre, lui, il est déjà mort seulement il n’est enterré : ce n’est pas un sujet mais plutôt un objet de l’autre.
La force africaine réside dans la maitrise sa langue et langue africaine. Les langues européennes possèdent un vocabulaire très pauvres, incompétent de faire la distinction entre l’êtres humains et couleurs, car il n’y a dans aucune langue africaine où l’homme africain se définit par la couleur de sa peau.
Arrêtez vos charabia de l’Afrique colonisée, puisque certains peuples africains n’ont jamais été vaincu par ces diables, mais toujours dans la tête du noir il est vaincu. D’autres peuples ne sont jamais rentre en contacts avec des européens et ne sont pas aliénées comme on vous raconte ici depuis toujours. Et jusqu’à maintenant il existe des endroit en Afrique où l’européen ne peut pas venir sans un noir avec lui.
Tenez-vous bien et restez dans vos coins hors d’Afrique et faites ce qui vous semble bon, c’est une affaire générationnelle, car l’homme africain va bientôt résoudre le problème ; il récit dans le système éducationnel en langue africaine. L’’intelligente d’un africain de culture c’est lui seul qui peut la mesurer et le reste le chien aboie et la caravane passe.
Enfin je plein profondément des africains qui voient des noirs et des nègres de tout bord comme africains car ils ne le sont pas et le seront jamais (hormis quelques-uns) c’est un autre fléau pour l’Afrique avec des meurs occidental. Aujourd’hui nous sommes plus d’un milliard sur le continent avec un demi-milliard de jeunes, c’est à cette jeunesse africaine qu’il faut penser et rien d’autre.
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  @ Amsterdam / Netherlands
numéro 7 ( 11/03/2012 09:49 )
À Paris / France

La culture occidentale, est présente partout et à divers degrés, à travers toutes les cultures avec lesquelles elle à pris contact. Meme notre espace, notre cosmos n'échappe pas à cette régle ( exemple les planétes MARS, SATURNE, NEPTUNE,ect......... ) ! Cette mondialisation culturelle, est avérée. Les africains sont dans l'abstrait, la réflexion théorique non lié au réel, leur état, ainsi que leur systéme politique étant plutot faibles, ils sont encore de façon significative " strucrurés " par le monde occidental ( frontiéres des états, langues européenes, systémes politiques systémes d'éducation, organisation militaire, architecture,ect.......) donc ou s'arrete la culture occidentale et ou commence la culture africaine ?
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  @ Amsterdam / Netherlands
numéro 7 ( 11/03/2012 09:56 )
À Paris / France

Albert Memmi, dans son fameux ouvrage " Portrait du décolonisé " parle des choix que devra faire le " décolonisé " pour créer son propre état, sa propre nation. Selon ce qu'il dit, je ne pense pas qu'il soit possible de revenir à un "systéme originel " pour quelque peuple ou quelque ensemble de peuples, que ce soit !
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