Ce soir, je m’intéresserai à un problème qui m’a hanté pendant 4 années de ma vie à savoir, comment être heureux toute ma vie.Je vais commencer par expliquer pourquoi cette question est devenue primordiale pour moi. Le bonheur, je le définis comme un sentiment de bien être qui nous procure de la joie dans le cœur. Etre heureux c est quand on est pas malheureux.

Etre heureux, sentiment de plénitude, on ne cherche plus rien on a tout ce qu on voudrait, et ce « ce qu on voudrait », peut tout aussi bien être matériel que spirituel, je dis ça pour couper cours avec le fameux « l argent ne fait pas le bonheur », et de fil en aiguille je me demande ce qui ferait mon bonheur, et si ça a une signification d être heureux mais surtout d être toujours heureux. Si je prends mon cas personnel, le bonheur reste quelque chose de très matériel, je puis dire que je l’imagine comme l’état dans lequel je serais si j avais tout ce que je veux et que je n ai pas actuellement, je me demande aussi, si il est possible de l atteindre, parce que, aussi loin que je m en souvienne, j’ai toujours mis dans certaines choses mon bonheur, pour me rendre compte quand je les avais acquises que je n avais toujours pas atteint ce sentiment de plénitude, la conclusion logique qu on pourrait tirer de toutes ces expériences passées est que la condition siné qua none du bonheur c est peut être le détachement, de ne plus penser que, quand j aurais ci, je serais heureux tout simplement parce que, ce cela, n a plus aucune importance pour moi ; de penser plutôt que j apprécie ce que j ai maintenant même si j’envisage d’avoir autre chose, bien sur il s agit là d une vue de l esprit et la réalité est tout autre. Le détachement !! Peut être que l idée que l on se fait du bonheur est beaucoup influencée par le mimétisme. C est à dire que en voyant l autre heureux, manifestant extérieurement ce sentiment de plénitude je vais faire la conclusion logique, mais cependant peut être non fondée, que si moi aussi je me retrouvais dans la même situation je serais moi aussi heureux. Cependant, en réalité quand je parlais de mimétisme, je pensais à jalousie, à vue de l esprit grandement influencée par la société. Je pensais à jalousie parce que inconsciemment on a toujours tendance à penser que si on avait ce que l autre a, alors nous serons heureux et il me semble bien, (c est à vérifier) que c est sur ce principe qu est basé la théorie du mimétisme dont parle René Girard, « La relation de désir n’est pas binaire (sujet-objet) mais triangulaire (sujet, médiateur, objet). Le sujet désire l'objet désiré par un tiers, le « médiateur », qui est un modèle : en désirant l'objet, le sujet vise en fait l'être du médiateur. Autrement dit, l'objet du désir n'est pas interne au sujet (l'autre, de par sa relation au sujet, permettrait de le révéler) mais lui est montré par le modèle. L'on peut désirer n'importe quoi, mais pas n'importe comment. Le comment nous étant toujours montré (volontairement ou non) par un modèle. Le désir ne vise pas tant la possession de l'objet que l'être du médiateur. » De la même façon il est fort à parier, que je pense par exemple que je serais heureuse si je suis riche parce que je vois mon ssemblable qui l est, et non pas parce que la richesse en soi est la clé de mon bonheur, c est pourquoi je reste toujours un peu insatisfait, parce que mon bonheur est basé sur la convoitise de l autre. C est pourquoi la solution, certes utopique serait le détachement



le bonheur, plus de souci, tout nous semble acquis, c’est un sentiment qu’on aimerait qu’il ne nous quitte jamais. Pourquoi m’attarder sur cette question ? Parce que, d’abord, d’une manière personnelle, j’aime le succès, les victoires, elles me procurent une joie immense que j’aimerais bien conserver en moi. Ensuite, j’abhorre perdre, l’échec ; cela me rend malade. Puis, j’ai aussi vu beaucoup de gens souffrir et pleurer autour de moi que je me suis toujours demandé comment faire pour que tout roule pour moi, pour éviter les pleurs, la tristesse, l’échec et les défaite, la maladie et les infirmités.

On passe à un autre niveau dans notre discussion sur le bonheur, la peur de la maladie, des infirmités qui somme toute, sont des blessures que je ressens dans ma chair et qui me font souffrir physiquement.Ils peuvent aussi être des obstacles à mon bonheur, du moins tant qu on ne rentre pas dans un plan spirituel de la chose. C est vrai que là ça devient très compliqué d être heureux en dépit du fait qu’on soit meurtri dans sa chair

A ce stade, je vais rajouter dans la définition du bonheur que c’est un sentiment opposé à la tristesse dans lequel on n’a pas envie de pleurer. L’échec ne peut procurer le bonheur (pour moi bien entendu). Pour être heureux donc, je dois pouvoir gagner tout le temps. Cela signifiait pour moi avoir toujours de très bonnes notes à l’école, réussir les concours que je désire, pouvoir aller dans les écoles et universités que je désire à n’importe quel moment. C est à dire en gros avoir la chose que tu as désiré. Mais quelque temps après tu te reprends à désirer autre chose, cette chose acquise ne suffit plus à ton bonheur. Que toutes les entreprises que je monte marchent très bien, que je puisse réaliser tous mes rêves contribue à mon bonheur. Comment m’y prendre pour que ça marche ? Y croire, se battre toujours jusqu’au bout, donner son maximum à chaque fois, voilà comment je pensais pouvoir être heureux. Mais, force est de constater que cela n’est pas suffisant. D’abord, comment étant pauvre au Cameroun, pourrais tu traverser l’Afrique pour venir passer les concours X ou Y en France. Comment réaliser mes rêves si cela empêche certains d’atteindre leurs objectifs. J’entends à travers cette dernière phrase que certaines pourraient employer la manière forte si mes rêves les empêchent d’avoir quelque chose qu’ils désirent. Je pense à la politique ici. Et nous savons tous le rôle du sort dans tout çà. Un accident qui survient ici ou une rencontre fâcheuse et adieu la vie comme on la voyait. C’est vraiment terrible la vie, ne peut on vraiment pas être heureux ? Revenons un peu aux accidents et aux rencontres fâcheuses. Si je pouvais les faire disparaître comme tout serait facile. L’incertitude de la vie pour moi se trouve là. Nous avons tous vu, des gens riches perdre tout du jour au lendemain, ou bien un homme pauvre (qui pensait peut être qu’étant situé au bas de l’échelle sociale la chute serait moins dure) être encore meurtrie durement dans son âme par la perte d’être cher, ou par les catastrophes naturelles. Pire sont ces accidents de voiture, d’avion qui nous défigurent, nous handicapent, nous changent physiquement de manière irréversible. Qui peut se vanter d’en être épargné pour aujourd’hui et pour demain. Vraiment je ne vois pas comment être heureux. Peut être que si, il me reste la prière « Seigneur épargne moi de tous ces malheurs ». Mais à réfléchir de plus près est ce vrai ? Dieu n’a-t-il pas laissé le diable frappé Job (un homme de prière) de tous les malheurs qui puissent exister. L’apôtre Paul ne se plaignait il pas de douleurs atroces dans son corps que lui, qui a fait aussi des miracles au nom de Jésus, ne parvenait pas à guérir. Que dire aussi de tous ces chrétiens dans le monde frappés par les maux et les maladies les plus graves. Non, le bonheur que je cherche est impossible. Alors comme disent les gens, la vie c’est un mélange de happiness et de unhappiness. Si on arrive avoir un peu plus de joie que de pleur, nous dirons que nous sommes heureux. Ou bien, le bonheur n’existe pas : vivons juste l’instant présent, profitons en au maximum.

Tout à fait d accord Finalement c est peut être ça tout simplement, apprendre à apprécier à chaque instant ce que la vie nous apporte même si cela peut paraître petit, apprendre à se détacher de certaines choses (qu on envie aux autres) pour s atteler à d autres. Mais cette histoire de détachement me pose un problème, ou est la limite entre le détachement et le laxisme ? C est bien compliqué tout ça, je pense que pour un début le plus simple ce n est pas forcément de se détacher, c est utopique de vouloir le faire, c’est d’apprécier les petites choses de ce bas monde, une musique qui nous fait vibrer, la compagnie de gens chaleureux qui vous aiment et que vous aimez tels qu ils sont, tels que vous êtes. Et comment être heureux face à l’échec ? C est peut être tout simplement que la société occidentale a valorisé plus que de raison la pensée: « la fin justifie les moyens ». Cette idée je la sors un peu de son contexte politique, mais ce que j en retiens c est que la fin est plus importante que les moyens. On valorise plus le fait d’être riche que le parcours qu on a fait pour le devenir. Le plus important finalement ce n est pas tant que ça de réussir ou de gagner, mais c est de combattre valeureusement pour la cause qu on estime juste quitte à mourir pour elle, ou dans un langage plus courant : de l’échouer. Le bonheur ce serait finalement comme ce samouraï, qui même s il sait le combat perdu d avance se bat à 1 contre 10 parce que c est pour la cause qu il croit juste. Malheureusement nous évoluons dans une socuété qui ne reconnaît pas ces valeurs à leur juste titre. Et là je me pose la question de savoir si le bonheur dépend de la culture. en comparant le bonheur à l américaine réussir tout ce qu on entreprend, être fort , et le bonheur du samouraî, mourir pour la cause qu on croit juste, être courageux et se battre avec les forces que le sort nous aura donné ou que le temps et l entraînement nous auras fait acquérir, se battre jusqu au bout même si on a aucune chance de gagner : La fin versus les moyens.) . OUI LE BONHEUR EST IL DEPENDANT DE LA CULTURE ?

Comme se serait beau alors d’arriver à concilier, à accepter ses malheurs et ses bonheurs, à se résigner à ce que la vie nous offre dans son bon vouloir. Mais, le problème est que mon cœur et mon esprit ne l’acceptent pas. J’ai beau tout faire mais je veux être toujours heureux, je ne veux pas de pleurs, je veux, dirons certains le beurre et l’argent du beurre. En fait je voudrais minimiser au maximum ces moments de douleur et si possible les transformer en moment de joie.

Oui tout à fait d accord avec toi



Attardons nous un peu sur l’absence de bonheur.

Le malheur qu’est ce que c’est ? On est malheureux lorsqu’on est dans un état d’effondrement total. Les choses qui nous environnent perdent de beaucoup leur importance. On est malheureux lorsqu’on subit une douleur qu’on ne peut maîtriser. J’ai du mal à définir le malheur. Bon, je pense que nous avons tous compris ou bien peut être jetterons nous un coup d’œil dans le dico. Tout ce tralala, c’est pour en venir au fait que être malheureux est un état d’esprit causé par la déception, la perte d’êtres ou de choses auxquels on attache une grande importance.

Nous sommes d accord

Cela m’amène vers mon premier plan d’action pour lutter contre ce malheur. Etre au dessus de tout ie s’en foutre de tout, avoir un cœur dur pour ne jamais souffrir. Beaucoup de gens y ont pensé, moi aussi. On se construit une coque et quand on a l’impression qu’on est bien protégé un événement se produit pour nous rappeler que notre coque n’est pas assez dure. Mais bon, ce n’est pas grave, on continue malgré tout, il faut être déterminé ça marchera peut être, peut être pas. En tout cas dans mon cas, ça n’a pas marché. On se dit alors qu’on ne peut pas s’en foutre de tout. Qui plus est pour un chrétien, la Bible ne demande pas de sortir du monde mais d’y rester pour le changer, d’avoir de la compassion pour les autres. C’est donc mal barré si on veut être au dessus de tout et être aussi chrétien. Notons qu’ici, au dessus de tout signifie plutôt ne pas être effondré quand on subit les contingences de la vie et non pas s’en foutre comme il signifiait plus haut.

Tout à fait d accord avec toi

Il me vient une autre idée, peut être que pour nous le bonheur signifie une félicité permanente, un état perpétuel de béatitude, peut être qu on en demande trop, peut être qu on devrais apprendre à reconsiderer les choses comme je le disais plus haut, pourquoi ne pas pouvoir faire des choses toutes simples. Je persiste à croire que beaucoup de menus instants de bonheur sont gachés ou alors passent inapercus parce que nous n y somme pas assez attentifs, nous avons un idée fixe du bonheur qui est l’état de béatitude qui n est peut être pas la bonne somme toute. S’en foutre de tout signifierais dans ce cas précis voir les choses sous un tout autre angle, revoir ses priorités et les choses qui sont sensés nous rendre heureux. Parce que à bien y réfléchir il y en a bbeaucoup qui sont fondées sur le principe de jalousie et de convoitise, sur le principe d ‘émulation de la société être toujours le meilleur. Donc ma statégie n est pas de chercher un état de béatitude, mais éliminer toutes sources de malheur qui soit liée à la convoitise, apprendre l estime de soi. Mais c est si compliqué parce que finalement on cherhe aussi l approbation des autres et les choses qu on fait si on les faisait seulement pour soi, c st à dire sans envie d’impressionner les autres ou de « briller en société » peut être que ce serait bien. Je sens que je m éloigne de plus en plus du sujet



Notre deuxième stratégie vient de la Bible. Une phrase sublime dont on ne saisit souvent pas la portée. Elle se trouve dans Romain 8, verset 28 : « Nous savons du reste que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu… ». Cela signifie donc que tout ce qui nous arrive et nous arrivera, pour peu que l’on aime Dieu, nous y tirerons quelque chose de bien. C’est à ce moment que tout change. Mais n’allons pas vite. Comment est ce possible de trouver du bien dans tout ce qui nous arrive. Tu rates tes examens (par un coup de malchance, si si ça arrive. J’ai une histoire drôle, enfin triste là dessus par ailleurs), il y a du bon. Tu as un accident et tu es aveugle ou estropié ou défiguré ou tout autre chose de notre diabolique imagination, en fait tu y gagnes ? You can see in that something good ? Non tout de même, ne déconnons pas. Ce sont des balivernes. Mais pourtant, tout est dans cette phrase. Yes, everything is inside there. Aurais je donc trouver la solution à ma hantise ? Pour répondre à cette question, nous allons tenter d’expliquer ce beau verset. Cette phrase nous invite à l’optimisme, à regarder un verre à moitié rempli comme un verre à moitié plein. De même qu’il faut se focaliser sur l’eau ici et non sur l’espace dans le verre, de même il faut se focaliser sur les choses importantes de la vie. Il y a des versets dans la bible qui le disent parfaitement : Matthieu 6, 19-21 « Ne vous amassez pas des trésors sur la terre, où la teigne et la rouille détruisent, et où les voleurs percent et dérobent Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur ». Ce passage veut dire que si tu t’attaches aux choses futiles comme la richesse par exemple, lorsque la vie te la volera, ton cœur s’y trouvant aussi, elle s’en ira avec ton cœur et tu seras blessé, triste et malheureux. Attaches toi plutôt aux dont personne ne pourrait te l’enlever sans ton bon vouloir comme l’honnêteté, l’amour des autres… Ici, il faudrait définir ce qu’on entend par les choses futiles et s’attacher à quelque chose. Je ne le ferais pas, je suis paresseux là et il se fait déjà tard. La principale difficulté dans ces passages c’est d’arriver à se focaliser sur les choses importantes de la vie ou à aimer Dieu. Nous avons tous essayé en vain de ne pas prendre en compte l’opinion de certaines personnes dont nous savons bien qu’elle est fausse. C’est le contrôle de nos désirs et nos envies qui est en jeu ici. I try and I fail during four years of my life. It is really very difficult jusqu’au jour où l’on comprend ce que signifie véritablement la Foi ou la phrase de Jésus « Venez à moi vous qui êtes chargés et fatigués ». En fait, tout seul, c’est impossible mais si on croit qu’on peut réussir cela on y arrive. C’est absurde. Je sais. Il faut avoir la Foi que Dieu nous aidera à y arriver parce que c’est son souhait donc il va nous aider sûrement et donc sûrement on y arrivera. Pratiquement, je veux dire ici que si tu as un échec ou n’importe quel coup dur en apparence difficile à surmonter, réfugie toi chez ton Dieu et demandes lui de t’aider, de calmer ta douleur et même de l’enlever.

Ok et qu en est il de ceux qui ne croient pas en Dieu, ou tout simplement qui ne sont pas chrétiens ? Ils restent tout de même les enfants de Dieu, cela signifie, en partant du postulat que « Dieu aime tous ces enfants de la même façon » ( et encore si c’était si vrai que ça nous serons tous assis à la droite du père comme me le faisais remarquer quelqu un). Je pense qu il y a dans le fait de «décharger son fardeau » un principe UNIVERSEL accessible à tous qu ils soient ou non chrétien. Ce serait trop injuste sinon de ne pas connaître le bonheur juste parce qu on à pas eu l’heur de naître dans une contrée chrétienne, ou parce qu on a eu le malheur de naître dans une contrée lointaine de l amazonie avant que le christianisme ne se soit propagé dans le monde entier.

Et tu verras la toute puissance de Dieu. Allez, j’arrête, je deviens mystique là. En tout cas ça semble marcher, je peux en témoigner, enfin, avant la prochaine chute. Je conviens que je suis passer très vite sur certains points, à toi de les pointer. Pour ma part, il se fait tard et je vais me coucher mais avant une petite conclusion.

La solution que je propose ici ne t’empêche pas d’avoir mal même si en te focalisant sur les choses plus importantes tu réduis considérablement les causes de nos chagrins et pleurs. Elle t’aide plutôt à écourter ces mauvaises périodes et d’aller toujours de l’avant en te redynamisant à chaque fois.

Tout à fait d accord avec toi. Je me pose cependant une question, il existe en ce bas monde des gens qui n ont pas la chance ( est ce vraiment un chance d ailleurs ?) de pouvoir réfléchir sur le bonheur et sur comment se comporter pour être plus heureux, pensons par exemple à ces miniers qui travaillent toute leur vie, à ces enfants qui entrent très vite dans la vie active, peut on vraisemblablement trouver dans la vie de ces individus des instants de bonheur, je veux croire que oui, mais je n en ai pas la preuve formlle. La vie serait trop injuste sinon

Mais tout est dans la Foi, osez croire qu’on peut y arriver même si tout porte à croire qu’on y arrivera mais là je parle bien des choses importantes et non des choses futiles comme ce voleur qui a témoigné dans mon église qu’il allait prier Dieu pour qu’il l’aide à réussir ses coups.

Etre heureux c est avoir apprécier les petits instants de joie que la vie met sur notre chemin, c est prendre la vie simplement comme elle vient, c est avoir l estime de soi qui fait avoir ce sursaut de combattivité quand tout semble perdu, c est accorder plus d importtance au chemin parcouru qu à lobjectif visé, c’est de ne pas avoir de regret sur le passé, c’est savoir se pardonner à soi même et pardonner aux autres, c est se détacher tout simplement, c est faire les choses en se battant jusqu au dernier souffle, tout en pensant que ce n est pas si grave si on perd la bataille, C’est de penser que le plus valorisant ce n est pas la victoire mais la bataille, c est s aimer chaque jour et aimer chaque jour un peu plus les autres. Je pense en guise de conclusion que le commencement du bonheur c est l amour de soi et des autres.