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  Jacques Bonjawo raconte ses années chez Microsoft
Dans un nouveau livre intitulé "Mes années Microsoft - un Africain chez Bill Gates"
 
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Jacques Bonjawo raconte ses années chez Microsoft

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  Mes Années Microsoft de Jacques BONJAWO
bouf ( 05/07/2007 17:26 )
À La Seyne-sur-mer / France

La réussite des africains ne surprend plus dans le domaine de haute technologie puisqu'en dehors de l'exemple de ce brillant compatriote plusieurs camerounais sont au service de Microsoft et d'autres grandes entreprises et trusts d'envergure..

Je fécilite Jacques BONJAWO pour son ambition positive en faveur du progrès africain qui stagne encore mais qui surprendra par lles actes de ses potentialités humaines pas toujours négatives et surtout liées aux bonnes intentions de nombreux promoteurs dont Mr. BILL GATES à travers sa fondation et bien d'autres personnalités qui agissent dans l'anonymat.

A ce jour, une camagne de développement informatique est lancée pour l'Afrique, c'est à croire que nous décollons mais il est constaté tant d'arnaque autour de l'appelation même de "BILL GATES" ou alors Microsoft qu' il serait opportun de clarifier les normes de cet évènement africain qui tantôt est présenté par un Cabinet d'avocat en Côte d'Ivoire et dirigé par une française et d'autre part le même dossier est affiché par un bureau de UK brandissant des tiquets bleus de la loterie B.G. qui ne flatte point quand on est avisé

Il est certains que des applications et des interprétations multiples réussies ailleurs seraient mal adaptées au contexte africain... cf. Jacques BONJAWO dont l'étude ne fut pas tout à fait itappliquée -

A mon avis il est toujours nécessaire de mieux cerner les besoins, améliorer ou revoir les mentalités en Afrique et bien étudier différentes donnes dont le climat, l'environnement, les comportements, l'alimentation des individus, les us et traditions, etc... pour une bonne adaptation des technologies testées efficacement et réussies sous d'autres cieux.

Le point important pour l'Afrique c' est de doter les académies, les institutions et toutes les écoles d'Afrique des ordinateurs et des logiciels à la page pour une FORMATION DES JEUNES aux technologies modernes, c'est ainsi qu'au cours d'une Semaine Africaine "AFRICALTA SOLIDAIRE" de La Garde (Région PACA) le 26 juin 2007 LE FORUM NET DES JEUNES fut organisé entre des étudiants de Zone CÉMAC de GIC ATB-Cameroun avec des jeunes d'Afrique du Nord sur internet via WEBCAM autour de l'Institut Supérieur de Management de MANENGOUBA à Nkongsamba (ISMAM du Cameroun.) Ce forum international était très important pour les organisateurs qui ont constaté un besoin de formation continue des .jeunes africains sur le NET

Les diffusions des créations et des oeuvres qui mène l'Afrique à l'expansion sont très utiles pour qu'un maximum de ressources portent toute l'Afrique au niveau des 4 autres continents..

BOUF
WADAF RESEARCH
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  African hight technology ??
mannorun ( 05/07/2007 21:56 )
À La Seyne-sur-mer / France

Des chercheurs africains devraient de plus en plus sortir de l'ombre comme Jacques BONJAWO, BOUF WADAF que nous lisons régulièrement sur ce site et bien d'autres africains... pouvant participer à l'éclosion des peuples dl'Afrique, ce .qui nous interpelle grandement aujourd'hui : les africains doivent se prendre en charge !

Des grandes écoles dont on a commencé à parler sont implantées en Afrique : au Maroc, Cameroun, Sénégal, en Afrique du Sud et ailleurs, mais sont très insuffisantes pour le moment pour permettre le développement de tout ce grand continent !. Il en faudrait partout : dans les villes et les zones rurales pour édifier une égalité dans le savoir-faire !

Une concentration des énergies est absolument nécessaire à différents niveaux (culturels, scientifiques, organisationnels, mentaux et socio-politiques)

Outre la formation il reste uneVolonté politique ; l'entente des leaders d'opinion autour des programmes prioritaires à implanter dans le continent est à envisager car l'on constate ::

- le manque des infrastructures routières dans de nombreux pays africains
- l'absence de l'extention des réseaux de communication moderne
- la réorganisation du secteur de la santé dans tous les pays
- l'amélioration des conditions de vie des paysans africains qui fuient les campagnes pourtant fructueux
- une carence de la formation des fonctionnaires africains vis-à-vis de la gestion publique
- le manque des systèmes de contrôle de gestion dans les services financiers des états africain accusés de pertes et de détournements réguliers... etc

L'Afrique s'acheminera mieux si tous ces éléments sont structurés dans chaque état africain, pourtant certains états avaient entrepris des réalisations qui n'ont pas été entretenues... donc l'entretien des infrastructures pbliques devra aussi être au rendez-vous et à long terme.
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