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Camerounenmarche.com : un nouveau site web pour la présidence |
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Bidon |
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15/05/2009 13:02 )
À Hamburg / Germany
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Un bidon vide est mieux que ce site.
Encore des inutilités pour gaspiller l'argent du contribuable.
Alors que les universités camerounaises n'ont pas un site dign de ce nom. |
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Mako (
15/05/2009 14:04 )
À Amsterdam / Netherlands
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Mais de toute les façons, rien ne marche qu Cameroun! |
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rigolardgland |
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15/05/2009 17:03 )
À Marseille / France
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j'ai meme pas fait l'effort de lire l'article, juste la photo de BIYA ça m'a renseigné que c'était chose vaine! |
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gaspillage |
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15/05/2009 18:04 )
À Bochum / Germany
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encore un site.!juste pour gaspiller de l argent et créer les emplois pour les membres de la famille royale.on aurait mieux fait de dire mangeoire.com |
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Campagne |
no you can't (
15/05/2009 19:36 )
À Fontenay-sous-bois / France
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ça sent le début d'une campagne numérique à la Obama, avec la seule différence que le résultat est déjà connu d'avance... |
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CRIMES TORTURES PILLAGE CRIMES TORTURES APPELLE A MAGNIFESTATION DEVANT LES AMBASSADES DU CAMEROUN DANS TOUS LES OAYS OCCIDENTAUX BIYA DOIT PARTIR |
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15/05/2009 19:38 )
À Nanterre / France
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http://www.camer.be/index1.php?art=5632
L A DIASPORA A UN ROLE A JOUER BIYA DOIT PARTIR |
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PILLAGE DES RESSOURCES CAMEROUNAISE EN DOUCEUR |
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15/05/2009 19:44 )
À Nanterre / France
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http://www.camer.be/index1.php?art=5571 |
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magnifestation |
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15/05/2009 19:46 )
À Nanterre / France
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http://www.lecode.canalblog.com/ |
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QU4IL REALISE UN SONDAGE AU PRES PEUPLE |
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15/05/2009 19:49 )
À Sarcelles / France
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vous ne trouverez pas sur ce site, un cameroun qui affirme comme ce dictateur, que le cameroun marche.C'est une generation d'hommes politiques qui ne considerent jamais l'opinion de leur peuple. |
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FIXER LA DATTE |
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15/05/2009 19:55 )
À Sarcelles / France
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d'accord pour la manif à deux temps:
1--------------letrres de protestations à l'ambassade du Cameroun.
2---------------manif sur place avec des lettres que nous deposerons devant l'ambassade/
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Bassadai (
15/05/2009 20:53 )
À Montfermeil / France
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Alors que les universités camerounaises n'ont pas un site dign de ce nom.
N'importe quoi, réaliser un site demande plus d'imagination que de moyens, les étudiants camerounais pour peu qu'ils s'investissent pourraient réaliser un site à faire palir d'envie les autorités du Cameroun. Pour le reste, certains continuent à présenter le Cameroun comme l'enfer sur terre, j'aimerais qu'ils m'indiquent les paradis en terre africaine. Mon pays en dépits de problèmes réels, vit dans une relative paix. Ceci permet la mise en place des structures économiques qui un jour nous sortirons de notre misère actuelle.
Vive le Cameroun |
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Il ne faut qu'on exagère aussi avec les critiques |
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15/05/2009 22:31 )
À Villejuif / France
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Est-ce à un président de la république de plus de 70 ans d'aller mettre les sites dans les universités? La seule question que j'allais me poser, c'est pourquoi il est allé faire son site en France; mais vous avez donné la réponse: pourquoi voulez-vous qu'il fasse faire son site par des universitaires qui n'ont pas pu réalisé un site pour eux même? Quand on voit les sites des universités occidentales, même les grandes entreprises peuvent en palir de jalousie.
Alors camerounais, secouez-vous un peu. |
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APPELLE A MAGNIFESTEZ LE 19 MAI DEVANT TOUTES LES AMBASSADES DU CAMEROUN BIYA DOIT PARTIR |
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15/05/2009 23:16 )
À Nanterre / France
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Le n°131 de l’Avenue Brugman, situé dans la commune de 1190 à Bruxelles connaîtra des séries de manifestations à contenus différents dès le 19 mai prochain. Le Code sera une fois de plus présent le 19 mai de 14 à 17 heures pour protester contre les 27 années de Paul Biya à la tête de la magistrature suprême au Cameroun, pendant que le 20 mai pour la première fois dans l’histoire de la Belgique, le RDPC quant à lui manifestera aussi et ce, pendant toute la journée devant ladite ambassade.
Pour le Code, dont les affiches sont disponibles dans plusieurs commerces tenus par des Africains en général et des Camerounais, ce sera l’occasion pour les manifestants de demander au chef de l’Etat camerounais de s’en aller.
Selon Delphine Fouda de la cellule de communication du Code que nous avons pu avoir au téléphone, à cette occasion, de 14 heures à 17 heures ce 19 mai, « 27 ballons gonflables seront lancés dans le ciel de Londres, Genève, Paris, Bonn, Washington, Bruxelles, Moscou, Douala et Yaoundé, pour symboliser les 27 années de gabegie de Paul Biya et de sa clique au pouvoir ».
Elle invite par ailleurs tous les Camerounais soucieux de l’avenir de leur pays de se joindre à cette manifestation « pacifique et non violente » et annonce pour les manifestants « une surprise » en provenance du Cameroun et qui sera dévoilée sur place ce mardi 19 mai 2009.
Le RDPC, parti au pouvoir au Cameroun entrera lui aussi en scène le lendemain 20 mai à travers une manifestation devant les mêmes locaux abritants les services de l’ambassade du Cameroun à Bruxelles et ce de 09 à 17heures. Interrogé par nos soins sur l’objet de ladite manifestation, Désiré Essono par ailleurs président de la section RDPC du Bénélux a affirmé que le « RDPC doit défiler comme au Cameroun ».
Selon des sources introduites auprès du RDPC Benelux, plusieurs Camerounais ont été réquisitionnés à la Rue Heyvaert, la rue dite des débrouillards à Bruxelles pour venir gonfler le nombre de manifestants le 20 mai prochain.
Les mêmes sources indiquent que parmi ces recrues, l’on retrouvera des camerounais qui étaient présents à l’ambassade en avril 2007 lors des élections qui avaient abouti au renouvellement des membres du bureau du RDPC Belgique et placées sous la supervision d’une délégation du comité central du parti des flammes, conduite par M. Jacques Roger Boh Boh
La manifestation projetée pour la même date par le SCNC n’aura plus lieu. Selon prince Laurent le secrétaire du SCNC Belgium, la date du 20 mai choisie coïncide avec celle du RDPC. Néanmoins, le SCNC compte organiser une grande manifestation générale dans les jours à venir à Bruxelles ajoute t-il.
Au niveau de l’ambassade du Cameroun que nous avons également pu joindre, l’interlocutrice que nous avons eu au bout du fil affirme n’être pas au courant des différentes manifestations annoncées.
En attendant le 19 et le 20 mai prochain, nous reviendrons de façon précise sur les tenants et les aboutissants de ces différentes manifestations dans notre édition prochaine.
© Camer.be : Hugues SEUMO
Paru le 15-05-2009 13:00:30
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biya neocolons tu dois partir |
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15/05/2009 23:39 )
À Nanterre / France
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Biya sème le chaos pour présider à viecameroun / vendredi 29 février 2008 par Moussa Ka
Pendant que Sarko visite l’Afrique du Sud, le Cameroun s’embrase. Bien plus qu’une simple grève des taxis, le Cameroun vit une vraie crise politique.
Rien n’était plus prévisible que les événements qui ensanglantent le Cameroun depuis la mi-février, et qui ont déjà fait – selon un bilan très incertain et loin d’être définitif – au moins une vingtaine de morts à travers le pays . Depuis des mois, le cocktail était prêt pour faire exploser cette « Afrique en miniature » dont les guides touristiques et les thuriféraires aveugles vantent sur papier glacé la « stabilité », la « paix », et autres balivernes.
Depuis des mois en effet, on parle partout de l’envolée des prix du carburant qui atteignent dans ce pays – pourtant producteur de pétrole – presque le même niveau qu’en Europe. Partout on se plaint du prix exorbitant des denrées de base, des transports, de l’électricité – et du racket permanent dont profitent des autorités gangrénées par la corruption. Et lorsque les gens tentent de protester, comme ce fut le cas ces derniers mois à Buea, Abong Mbang ou Kumba, on ramasse chaque fois des cadavres criblés par les balles réelles des forces de l’ordre [1].
Une crise politique profonde
Mais cette fois, l’étincelle sociale a fait sauter le baril de poudre politique. Car s’il est possible, un temps, de supporter la misère, cela devient plus difficile lorsque la caste des dirigeants repus annonce qu’elle se maintiendra au pouvoir pour toujours, et par tous les moyens. Aussi ne faut-il pas s’étonner que quelques semaines après l’annonce par Paul Biya lui-même, de son intention de modifier l’article de la Constitution camerounaise qui lui interdit de se représenter aux prochaines élections présidentielles en 2011, la situation dérape (lire encadré).
Telle est la clef de la crise camerounaise actuelle. Loin de se limiter, comme certains le prétendent, à une grève de taximen qui aurait mal tourné ou aux difficultés passagères liées à la « vie chère », il s’agit en fait d’une profonde crise politique. La plus grave qu’ait connue le pays depuis les fameuses « années de braises » du début des années 1990, qui avaient contraint le régime dictatorial à « s’adapter » – à coup de répression, de scrutins truqués et de biftons bien placés – aux règles nouvelles d’une « démocratie » et d’un « multipartisme » arrachés de haute lutte par une population désarmée soumise à l’abondante mitraille des « forces de l’ordre » (les affrontements avaient, à l’époque, fait plusieurs centaines de morts).
Chronique mortuaire
Samedi 16 février : le coup d’envoi des événements a eu lieu ce jour lorsqu’une manifestation organisée à Douala par le Social Democratic Front (SDF), le principal parti d’opposition, contre la révision imminente de la Constitution, est réprimée dans le sang (deux morts).
Jeudi 21 février : alors qu’elle a diffusé en direct les images de la manifestation du 16 février, et notamment celles de l’attaque de la voiture du président provincial du SDF Jean-Michel Nintcheu par les forces de l’ordre, la chaîne de télévision privée Equinox TV est fermée par les autorités.
Lundi 25 février : la grève organisée par les syndicats des « transports terrestres » (taxis urbains et bus inter-urbains) pour protester contre les prix du carburant, est massivement suivie dans la plupart des villes du pays. À Douala : manifestation de 2000 personnes devant les locaux de la télévision Canal 2 (clone privé de la télévision d’État), et marches de protestation contre la hausse des prix et la révision de la Constitution. La ville de Douala est bouclée et quadrillée par les « forces de l’ordre ». Des renforts militaires sont envoyés de Yaoundé et de Koutaba. Bilan de la journée : quatre morts.
Mardi 26 février : la grève des transports se poursuit dans toutes les villes et les manifestations prennent de l’ampleur à Douala (quartiers de Bepanda, Grand Moulin, Logpom, Maképé, Konamoussadi, etc.). Des commerces, des stations services et des symboles de la France (Orange, PMUC, etc.) sont détruits. Le portrait de Paul Biya est maculé. Dans le 5e arrondissement de cette ville, fief de Françoise Foning, figure importante du parti au pouvoir, la préfecture, la mairie et le centre provincial des impôts sont brûlés par les manifestants.
Déjà paralysées et isolées par la grève des transports, plusieurs villes à l’ouest et au nord-ouest du Cameroun rejoignent le mouvement de protestation contre Paul Biya et contre la hausse des prix : Bamenda, Buea, Dschang, Foumban, Bafoussam, Loum. On dénombre au moins sept morts dans cette seule région.
Mercredi 27 février : ayant obtenu une baisse des prix du carburant de 6 francs CFA (1 centime d’euros), les syndicats de transporteurs annoncent qu’ils mettent fin à la grève. Mais ils ne sont pas suivis par leur base qui considère cette baisse très insuffisante : la grève continue. Les émeutes se poursuivent à Douala et gagnent Yaoundé. La capitale politique est à son tour quadrillée par les militaires et un hélicoptère largue des bombes lacrymogènes sur le quartier populaire de Mokolo. Des affrontements violents ont lieu entre la population et les forces de l’ordre dans plusieurs quartiers de Yaoundé (Tsinga, Mendong, Ngousso, Mimboman, Ekounou, etc.). Dans l’après-midi, l’AFP évoque un bilan de 17 tués depuis le début du mouvement.
A 20 heures, Paul Biya sort de son silence en prononçant un discours de cinq minutes à la télévision. Il évoque un complot visant à le déstabiliser. Selon lui, l’objectif des comploteurs est d’« obtenir par la violence ce qu’ils n’ont pu obtenir par la voie des urnes, c’est-à-dire par le fonctionnement normal de la démocratie (…). Les apprentis sorciers qui, dans l’ombre, ont manipulé [l]es jeunes ne se sont pas préoccupés du risque qu’ils leur faisaient courir en les exposant à des affrontements avec les forces de l’ordre ». Après le discours de Paul Biya, des jeunes gens manifestent au quartier Essos de Yaoundé. La police descend sur le campus universitaire de Ngoa Ekele (au centre de Yaoundé) : plusieurs étudiants sont molestés, d’autres sont arrêtés. Alors que les « forces de l’ordre » continuent à tirer nuitamment dans les villes de Yaoundé et de Douala, le présentateur vedette de la chaîne gouvernementale, Charles Ndongo, menace les jeunes et stigmatise les parents « irresponsables ». « J’espère que tout le monde a entendu le message de responsabilité, de paix, d’unité et de stabilité lancé ce soir par le Chef de l’État », lance-t-il.
Jeudi 28 février : Les principales villes du pays restent quadrillées par les militaires. Tous les commerces sont fermés. Lorsqu’elles sont ouvertes, les banques sont placées sous haute surveillance militaire et policière. La pénurie d’essence commence à se faire fortement sentir. Mis à part le quotidien privé Le Jour et le quotidien gouvernemental Cameroon Tribune, aucun organe de presse n’est disponible dans la capitale. Alors que les directeurs des différentes publications de la place sont convoqués par le ministère de la Communication, la gendarmerie investit les locaux de la radio privée de Yaoundé Magic FM et confisque son matériel. Les médias ne parlent plus d’affrontements. Des coups de feux sont pourtant à nouveau notés à Yaoundé au court de la journée, et la situation reste extrêmement tendue à Douala et dans d’autres villes (comme à Bamenda, capitale de la province anglophone, où les affrontements ont fait, dans la seule journée de jeudi, entre un et trois morts selon les sources).
Les Camerounais réclament à nouveau et bruyamment le départ de Biya
Vingt-cinq ans après l’accession au pouvoir du « Père de la Nation » et quinze ans après les « villes mortes », les Camerounais réclament donc à nouveau, et bruyamment, le départ de Biya, héros de leurs cauchemars depuis bien trop longtemps. Depuis quelques mois, la grogne semble même gagner jusqu’aux fonctionnaires pourtant privilégiés et à certains militants de l’ex-parti unique au pouvoir, le RDPC – peut-être conscients de l’impatience frondeuse de millions de Camerounais.
Mais Paul Biya, sûr de son fait, certain de gagner toujours les élections truquées et soutenu depuis toujours par ses parrains parisiens (il a officiellement annoncé, début janvier, la visite prochaine de Nicolas Sarkozy au Cameroun…), persiste et signe. Au terme de trois jours d’affrontements sanglants dans les principales villes de la partie sud du pays, il peut donc s’inventer un vaste complot, ourdi par de mystérieux « apprentis sorciers », et promettre à ceux qui en douteraient que « force restera à la loi » du plus fort. Le ton est donc donné pour les prochains jours : feu à volonté.
[1] Voir : Exercice de lèche-Biya, Bakchich, 22 novembre 2007.
Forum
Biya sème le chaos pour présider à vie
le dimanche 18 mai 2008 à 17:19
Paul Biya l’homme Lion le père du renouveau , le roi fainéant, tous ces attributs il les à gagnés, à présent c’est paul biya L’eternel ? et mobutu ? il pensait aussi etre eternel, je pense pour ma part que nous vivons certe des années difficiles mais une chose est certaine à moins de mettre le cameroun à feu et à sang, nous devons etre patient, nous les jeunes qui n’avons connu que cet homme, car oui ce n’est qu’un homme et donc : un homme meurt,paul biya est un homme, conclusion ? Merci à Moussa kaka et que sa libération intervienne le plus vite possible
Répondre poliment et sans gros mots
Biya sème le chaos pour présider à vie
le jeudi 24 avril 2008 à 07:56, Anticrétins a dit :
Je suis pour la modification de la constitution. En effet, il s’agit d’un acte souverain. De plus, j’ai une confiance totale en Son Excellence le Président Paul BIYA.
VIVE LE CAMEROUN VIVE Son Excellence, le Président Paul BIYA
Répondre poliment et sans gros mots
Biya sème le chaos pour présider à vie
le samedi 26 avril 2008 à 17:09
Paul Biya est l’ autocrate le plus sanguinaire d’ Afrique .Après 25 ans de dictature le Cameroun est passé du statut de pays à revenus intermediaires à celui de Pays Pauvre Très Endetté (PPTE) gangréné par la corruption.En modifiant unilatéralement la constitution pour se maintenir à vie au pouvoir ,il crée les conditions du chaos . Suite aux émeutes de fevrier pour contester cette modif de la constitution , une partie de sa soldatesque a tué plus de 100 manifestants ,en a blessé des milliers et emprisonné plus de 2000.
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16/05/2009 02:00 )
À Fleury-les-aubrais / France
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le Cameroun est loin d'être la risée de tous les pays du monde; ya des pays pire que le Cameroun sur le plan politique comme sur le plan économique et même sur le plan sociologique!
les raisons de la fierté des camerounais qui sont dignes!:
le Cameroun c'est l'Afrique en miniature, il ya tout les climats, et tout les reliefs qu'on trouvent en Afrique dans ce pays;
le football qui a prit une dimension énorme dans la société donc doit être cité: les lions sont les n°1 sur leur continuant; on a de nombreux joueur célèbres pas besoin de les citer alors que d'autre ne peuvent même pas en citer un de leur pays qui soit connu!
les chanteurs..., les sportifs...: une médaille d'or au jeu olympique, j'ai oublié le nom de cette championne!
Jannick Noa un franco camerounais qui a porter à lui tout seul le tennis français; depuis qu'il est parti ce tennis est mourant! les...
la feymania a eu des enfants sur le continent! encore une invention camerounaise! certain diront que c'est une tare et d'autre que c'est une qualité!
mais il n'empêche que les feymans frappent plus à l'étranger et font pousser des villas au pays comme des champignons!
les autres qui critiques les feymans camerounais s'y sont mis aussi (cote ivoire ,guinée...!)
L'OMC pillent légalement et ouvertement l'Afrique mais personne ne dit rien!
l'argent c'est le nerf de la guerre!
donc quand un feyman frappe même un pauvre occidental qui pleure son argent, à la guerre comme à la guerre, car ce dernier ne pleure pas quand l'union européenne déstabilise l'agriculture et les fermiers africains!
les camerounais sont battants partout où ils vont ils font tout pour réussir; du commerce se sont des travailleurs!
vous ne verrez presque jamais un jeune camerounais ayant eu le temps de s'imprégner de l'esprit camerounais venir devenir un dealeur à la con ou autre..
le gars va décrocher ses diplômes;
ce n'est malheureusement pas le cas de toute la diaspora jeune africaine en Europe qui va accepter un job de merde ou qui va laisser tomber l'école.
si les camerounais réussissent à l'étranger pourquoi ils ne le font pas chez eux?
déjà beaucoup de camerounais réussissent au Cameroun sans quitter le pays (les fermiers homme d'affaire...);
mais les capacités de la jeunesse sont mises à mal par l'aliénation , par le tribalisme, et la corruption
combattons l'aliénation culturel et toute les chaines tomberont (France Afrique, mobutisme, tribalisme, corruption...)
les politiciens camerounais actuels sont le mal de ce pays.
des raisons d'espérer, un cancer brutal et incurable aux dirigeants (non pour rire!)
l'arrivée au pouvoir d'une génération qui ne baisse pas la le crane, inaliéné, déterminé et qui privilégie une politique ouvertement panafricaine!
un exemple personnel; mes anciens voisins des arabes étaient voisins d'une familles camerounaise et ils s'apprécient bien et cette famille m'a dit que les camerounais étaient des gens très biens!
une autre dame gitane m'a de mon quartier, n'ayant confondue avec une personne m'a dit que les camerounais étaient des gens biens!
j'ai pris ces exemples car ici se sont des témoignages ''extra racial" sur les camerounais donc une vision plus distante.
( non au tribalisme administratif, oui au respect des bonnes traditions!
le pistonnage existe partout et Cameroun aussi ceci est un frein énorme au développement économique car on met en place des incompétents à la place des méritant entrainant les dérives, corruption, bureaucratie....!)
il existe surement des gens qui parlent en mal des camerounais mais moi personnellement j'en connait pas physiquement et le net n'est fait pour donner des fleurs!
à ceux qui viennent geindre sur ce site de la réputation du Cameroun, soyez en fière, car force est de constater qu'on parle beaucoup de ce pays et moins d'autre!
en bien ou en mal peu importe, l'essentiel c'est de tirer leçon de ces critiques avec toute la distance nécessaire pour toujours faire mieux;
car, une fois la génération politicienne post coloniale décimée, il ne s'agira plus de critiquer ou de pleurer mais de mettre le pied à l'étrier!
quand à ceux qui appellent à manifester contre Biya je vous soutient, mais ça ne suffit pas! moi j'irai plus loin en préconisant l'anéantissement de toute cette génération politicienne néocoloniste! |
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Hallo! |
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16/05/2009 13:03 )
À Aarhus / Denmark
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Feymans, c'est quoi???? |
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16/05/2009 13:45 )
À Colombes / France
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quel est vraiment l'homme credible qui s'est presenté devant les camerounais, intellectuellement convaincant, faisant campagne,rassemblant les camerounaisdu nord sud,del'est à l'ouest au tour d'un programme politique credible ,autre que ce que Biya ;et nest pas parvenu? a- t- on un Obama chez nous et nous n'avons pas éte derriere lui?je doute fort.Il faut savoir que l'actuelle opposant est vieux ,rejeté par une partie de la population. |
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16/05/2009 21:12 )
À Dortmund / Germany
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il est le president |
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17/05/2009 12:36 )
À Gennevillers / France
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il est vraiment un dictateur comme bongo , moboutu, il a regressé notre patrie. |
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Bassadai (
17/05/2009 15:45 )
À Montfermeil / France
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il est vraiment un dictateur comme bongo , moboutu, il a regressé notre patrie.
On commence par choisir son pseudo pour discuter... Et toi tu as fait quoi pour aider ta "patrie". Toujours à aboyer, je t'invite à regarder les 3 chaines du pays, tu verras le dynamisme des gars sur place... |
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