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Retour à l'article: Barack Obama surpris par la controverse autour de sa déclaration
  Barack Obama surpris par la controverse autour de sa déclaration
Le président américain avait déclaré que la police avait agi de façon "stupide" en arrêtant Henry Louis Gates Jr sachant que ce dernier n'était pas un cambrioleur et se trouvait chez lui
 
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Barack Obama surpris par la controverse autour de sa déclaration

Nombre de messages
:  39
Pages:  1  2 > >> 

 
S ( 24/07/2009 18:03 )
À Toulouse / France

je suis tout a fait d'accord avec la reaction d'obama l'humiliation et la terreur doivent cesser !!!!
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  Taissez-vous !
D_turux ( 24/07/2009 18:06 )
À Schmallenberg / Germany

Si vous voulez être respectés, rentrez construire vos états comme les autres peuples de la terre le font, au lieu de venir s'installer chez les autres et réclamer l'égalité des droits: pas de droits pour vous sur les terres construites par nos ancêtres.
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S ( 24/07/2009 18:15 )
À Toulouse / France

si vous en etes la aujourd'hui a revendiquer le pays de vos ancetres, c'est grace aux africains a leurs sueurs et leurs sangs !!!
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  Il ose critiquer la police blanche, et on lui tappe sur les doigts!!!
zaza ( 24/07/2009 18:15 )
À Martigny / Switzerland

On comprend donc pourquoi Obama, en donnant la leçon aux africains lors de son discours au Ghana, a sciement éludé la responsabilité de l'esclavagisme, du colonialisme et ses conséquences sur les noirs en genéral.

Ils ne sont responsable de rien, merci!!! heureusement pour lui, il n'a pas connu ces deux crimes contre l'humanité.

Certains sur ce site trouveront toujours moyen de s'autoflageler, et nous répèter, blabla bla, il faut se prendre en main, le gentil blanc n'est nullement responsable de rien.

L'idée même d'une reparation est hors sujet.

Pendant ce temps, c'est le juif qui rigole.
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Quimboiseur ( 24/07/2009 18:16 )
À Colombes / France

Ha ha ha !
C'est maintenant que ces Noirs comprennent que meme avec un Barak Obama à la tête du pays, rien ne va changer pour les Noirs !

Concernant la construction du pays, je voudrai signaler que dans les usines, sur les chantiers de travaux publics, de construction de batiments, etc il y a plein d'Africains qui travaillent.



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  Les Noirs Aux USA sont les Batisseurs de USA
Zoulou ( 24/07/2009 18:55 )
À / Canada

Je voudrais vous rappeller ques les Noirs AUYX USA sont les batissurs de ce pays. Ils n'ont plus d'attachemnt A l'Afrique. ils y sont depuis plus de 400 ans.. Ils subissent des injures constamment aux meme titres que les Indiens.. et les Espagnols.
La majorite des NOirs aux USA ne sont pas necessairement des Immigrants aux USA.
On les avaient amene de forces..

Ils se font appele African American.. sans pour autant avoir un reel attachemtn a l'Arique actuel.

Obama veut faire cesser la mechancete contre notre peuple..
Il ne pourra pas malheureusement faire annuler 400 ans d'histoires morbides.. que les Demons blancs infligent constamment sur ce peuple.

Obam Bravo.. bien dit..
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( 24/07/2009 19:10 )
À Dundalk / Ireland

L'Amérique et le reste du monde pourront vivre en paix que lorsque la race blanche sera définitivement éradiquée. Il n'y a pas d'autre solution envisageable!
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  obama
( 24/07/2009 19:13 )
À Schilde / Belgium

AFRICAINs prennés vous en main.
faites aussi les machines sinon nous ne vous respecterons jamais.
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  revolution
kisskoffson@gmx.de ( 24/07/2009 19:36 )
À Duisburg / Germany

Salaud de blancs,cesser de venir chercher les ressources minieres chez nous en Afriques.Les vrais meurtres c´est les blancs.
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( 24/07/2009 19:53 )
À Paris / France

Moi je respecte toutes les races de la terre; mais je dis que si gates etait blancs, il n'allait pas etre aussi ridiculise' (il ont menote' ce pauvre viellard qui de plus, marche avec une canne). Obama a raison de dire que le geste de l'inspecteur etait stupide, il ne faut pas qu'obama s'excuse.
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Hopto ( 24/07/2009 20:57 )
À Saint-michel-sur-orge / France

Aux USA, lorsqu'un policier entend : "un noir est en train de ...", le policier se precipite dans sa voiture avec son gun et un grand sourire
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( 24/07/2009 21:07 )
À Antony / France

tout à fait d'accord avec zaza
il est souvent difficile de mettre les blancs face à leurs responsabilités

chaque fois qu'il donnera son avis sur ce genre de conflit , il passera toujours pour le défenseur des noirs,ce sera dur pour ce homme de gouverner encore pour trois ans
au moins il remonte dans mon estime,bien que je ne lui pardonne toujours pas de n'etre pas exprimer pour le décès de MJJ
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  Bravoo OBAMA! you are the best
Frank DZANGUE ( 24/07/2009 21:19 )
À / Cameroon

moi je pense qu'une fois de plus , Barack a réagi de la meilleure des manières. çà aurait été une erreur de laissé passer cette injustice, non seulement parce qu'il est le président des usa , mais ausii parce qu'il vient de cette minorité qui n'a jamais été bien traité et il se doit de la représenter valablement,sans pour autant devenir raciste(jusqu'ici je ne pense qu'il l'est déjà été) ,donc désolé pour les antagonistes , mais qu'ils aient tendre leurs pièges ailleurs.
Barack est infaillible!!!!!!
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K.N. ( 24/07/2009 21:22 )
À Strasbourg / France

Le drame des occidentaux est qu'ils sont incapables de reconnaitre leurs travers.

Nous savons tous que les USA ont été bâtis sur l'asservissement des Noirs qu'est ce qu'il ya d'extraordianire à ce que les miasmes de racisme survivent encore dans le subconscient des blancs d'autant qu'aucun travail de déconstruction n'a jamais été initié de leur coté. Nous, nous lisons Fanon, Diop, X etc ;nous appellons à notre guérison! Eux, nada et pourtant ils sont tout aussi malades que nous.

Ce pauvre flic n'est que le résultat de ce la pensée occidentale est capable de produire.

Les occidentaux gagneraient beaucoup à reconnaitre leurs travers et l'humanité toute entière avec. Ce n'est pas être faible que de reconnaitre ses erreurs!

Les rapports de force sur l'échiquier mondial sont ne train de changer, les peuples qui hier étaient faibles le sont de moins en moins. Si les intellectuels occidentaux n'invitent pas les leurs à changer leur perception de autre, je ne donne pas cher de la pérennité de leur civilisation.



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  Face à la grogne qui commençait
( 24/07/2009 22:33 )
À Villejuif / France

à grandir,

BO va inviter l'officier et Gates à la maison blanche pour un barbecue ensemble.

BO, très fort le gars.
Mais ton message est passé
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  Obama
black power ( 24/07/2009 23:35 )
À Paris / France

à un staff et des conseillers en communications, qui ont du lui dire que cette affaire, ne seraient pas bon pour son mandat !!!
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A ( 24/07/2009 23:36 )
À Toulouse / France

Vendredi 24 juillet 2009
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Obama n'est pas postracial

La réaction du président des Etats-Unis à l'arrestation controversée d'un éminent intellectuel noir met en lumière un aspect de son discours que la presse occulte presque toujours : il est un ardent défenseur des droits civiques et a pleinement conscience des difficultés de certaines minorités.

24.07.2009 | Brent Staples | New York Times

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Pendant ce temps, on oublie qu’il est noir
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ÉTATS-UNIS
Obama victime de sa couleur de peau Sur le web
Article original sur le site du New York Times
La National Association for the Advancement of Colored People (NAACP) Fiches pays
Etats-Unis

© AFP

Barack Obama le 23 juillet 2009.
L’obsession américaine pour ceux dont on dit qu’ils transcendent les questions de race a débuté bien avant l’arrivée de Barack Obama à la Maison-Blanche. Quand Obama était encore un petit garçon en culottes courtes, les Noirs riches et bien éduqués étaient déjà utilisés comme symbole du progrès racial et preuve que le racisme n’existait plus. Les Américains blancs font rarement l’expérience de ce type de récupération. En règle générale, leurs triomphes personnels et professionnels sont considérés comme le produit de leur courage individuel et la démonstration que les idéaux fondateurs de la nation sont toujours vivants et se portent bien. On fait jouer aux Africains-Américains qui parviennent au sommet un rôle plus ingrat. En plus d’être considérés comme une preuve de l’extinction du racisme, ils sont souvent utilisés comme des armes dans la campagne visant à discréditer, voire rabaisser, les plus défavorisés. L’argument classique va comme suit : “Ne nous parlez pas de discrimination. Vous êtes un exemple de réussite. Si les autres s’étaient bougé les fesses, eux aussi ils auraient réussi, comme vous.” Cette rhétorique ignore les désavantages sociaux. Seules les personnes vertueuses qui travaillent fort réussissent, et les autres, les paresseux

Obama a refusé de jouer ce rôle bien qu’on ait tenté de le lui faire endosser. Il a toujours dit très clairement que l’élection du premier président africain-américain, qui fait date dans un pays construit sur le dos des esclaves, ne marquait pas la fin soudaine et magique de la discrimination.

Il l’a encore répété mercredi 22 juillet, lorsqu’il a commenté l’arrestation, à Cambridge, dans le Massachusetts, de l’intellectuel africain-américain Henry Louis Gates Jr., Professeur à Harvard. Ces remarques pourraient bien bouleverser l’idée que se fait la presse de l’opinion du président américain concernant les questions raciales. Jusqu’à présent, il a été considéré systématiquement, et, à tort, comme prêt à réprimander les Noirs parce qu’ils ne répondent pas à ses attentes. Il n’aime pas qu’on le décrive ainsi. C’est ce qui ressort d’une récente interview accordée au journaliste Eugene Robinson du Washington Post. Obama s’y plaint de la couverture médiatique de ses discours et semblait particulièrement irrité par le compte rendu fait de celui qu’il a prononcé ce mois-ci devant la National Association for the Advancement of Colored People (NAACP) [la plus influente des associations de défense des droits civiques].




Il estimait que la presse accorde trop de places à ses remarques sur la “responsabilité personnelle” – un thème important au sein de l’église africaine-américaine – en ignorant “toute l’autre moitié du discours”, qui reprenait notamment des critiques régulièrement formulées par les militants des droits civiques. Le président a parlé des taux disproportionnés de chômage et d’emprisonnement des minorités, ainsi que de leur manque d’accès aux assurances-santé comme les obstacles actuels à surmonter. Il a ensuite rappelé que les manifestants noirs au cours des années 1960 avaient eu le courage d’affronter des matraques et des chiens policiers, et que la même détermination était aujourd’hui nécessaire pour résoudre les problèmes des minorités.

“Mais ne vous y trompez pas, a-t-il ajouté, la douleur de la discrimination est toujours ressentie aux Etats-Unis. Par les femmes africaines-américaines payées moins cher pour faire le même travail que leurs collègues blancs ou masculins.” Pendant la campagne électorale, Obama a cherché à éviter de se prononcer directement sur des questions raciales jusqu’à ce qu’explose la controverse concernant ses liens avec le pasteur Jeremiah Wright [auteur de propos anti-Blancs et antisémites]. Il vient de vivre un moment comparable mercredi 22 juillet lorsqu’il a dû commenter l’arrestation de Gates. Dans une remarque qui est instantanément devenue célèbre, il a répondu que la police avait “stupidement” agi en arrêtant M. Gates alors qu’aucun crime n’avait été commis et que le professeur se trouvait chez lui. Obama a par la suite souligné que l’attention disproportionnée accordée par les policiers était un fait douloureux de la vie des Noirs américains. Ceux qui considéraient jusqu’à présent Obama comme une abstraction “postraciale” ont sans aucun doute été surpris par ses remarques. Peut-être l’écoutaient-ils vraiment pour la première fois.
En kiosque : n° 977 23.07.2009

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  ils lui
black power ( 24/07/2009 23:36 )
À Paris / France

ont donc demander "d'arranger le coup" !!!
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jess ( 25/07/2009 00:24 )
À Antony / France

c'est dommage car il s'est senti désolé pour ses paroles
maintenant il va devoir s'excuser ,
c'est triste de le dire mais il lui manque quelque chose dans le pantalon
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Mary ( 25/07/2009 00:54 )
À Sarrebourg / France

N'importe quoi ! Il semble plus vraisemblable qu'Obama a pris spontanément parti pour un ami sans être suffisamment informé des circonstances exactes de cette interpellation musclée.
Se souvenir qu'il existe aussi de la part des intellectuels (blancs ou noirs) une fâcheuse tendance consistant à accoler aux policiers, le plus souvent à tort, l'étiquette automatique de fachos, de racistes ou de bêtes brutes. Tous préjugés à l'égard des policiers noirs et blancs et de tous grades qui s'apparentent eux aussi au racisme et qui expliquerait la réaction épidermique de ce monsieur alors que les policiers appelés par un voisin ne faisaient que leur travail.
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