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Retour à l'article: Côte d'Ivoire : Venance Konan à Ake Ngbo : ''quittez dans ça''
  Côte d'Ivoire : Venance Konan à Ake Ngbo : ''quittez dans ça''
Venance Konan s'adresse à quelques personnalités qui ont intégré le dernier gouvernement Gbagbo
 
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Côte d'Ivoire : Venance Konan à Ake Ngbo : ''quittez dans ça''

Nombre de messages
:  23
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Gnata ( 23/12/2010 01:47 )
À / Canada

Je ne sais pas pourquoi en Afrique nous sommes convaincus de devoir passer par la politique pour se faire une place dans la société ???
Venance Konan un tel talent, dont les écrits aujourd'hui ne suintent que la frustration et la grisaille, je me demande ce qui a bien pu se passer ?

En fait tout ce pamphlet n'est basé que sur du vide, puisque le seul souvenir de la seule personne qu'il dit connaître vient d'une image sous un apatam, je ne pense pas que Mme Gnonsoa soit la seule qui appréciait vos écrits Mr V. Konan, je crois que nous étions nombreux, alors que cette dame vous l'ai dit en son temps je peux le comprendre parce que c'était vrai en ces temps-là (bien lointains) enfin bref ...

Il s'agit de l'opuscule d'un blasé de la vie qui a cherché et qui cherche encore une petite place ministrable si possible au soleil, être ministre sous Allassane 1er ne serait effectivement pas mal, sauf qu'il faut attendre qu'il sorte de son repère de truands, las d'attendre on se fait la main en vomissant ici et là des trucs nauséeux dans le pur style journalistique alimentaire, bof, le pays est gouverné et heureusement qu'il n'a que faire de telles arguties !
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( 23/12/2010 03:07 )
À Montreal / Canada

Venance Konam, tu ferais mieux de te taire. Tu racontes des inepties. Il y aura toujours des collaborateurs comme vous pour empêcher l'indépendance des Etats africains dits francophones de la France.
Que cela vous plaise ou pas, sachez que Monsieur Gbabo est déjà entré dans l'Histoire, je veux dire la véritable histoire pas celle là que le président français du bout de ses talons croit tenir les clés avec ses acolytes de l'ONU, du FMI ainsi que les dictateurs égarés africains qui trouvent de l'obscurité en plein jour et marchent à tâtons comme si c'était dla nuit.
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  à sert tout ceci...
( 23/12/2010 03:33 )
À Amsterdam / Netherlands

Mais dis donc ,certainement il est et sera très difficile de changer cette logique africaine de soumission presque acceptée chez certains nègres, perpétrée depuis les cargaisons des négriers jusqu’aux programmes d’ajustements structurel que nous connaissons et subissons les conséquences de nos jours sur tous les endroits de cette planète.

Vraiment, ce torchon de ce soi-disant journaliste ou autre chose, lui seul en sait ce qui l’anime, est perdu complètement dans sa tête et ne connaît plus la spirale de ses connaissances et sentiments.

Négliger l’aspect juridique de la chose, donc des élections et promptement soutenir une argumentation autoritaire appuyant sur la communauté internationale, qui elle-même si quelque chose de tel nom existe, pratique le droit de la jungle, demande une explication de ce qu’on entends sous cette désignation, que seul le nègre dominé, analysera par le paradigme de son maître.
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Trubli ( 23/12/2010 03:40 )
À Épinay-sur-seine / France

Gnata es-tu raciste ?
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  Cool Venance Konan!
Kaika ( 23/12/2010 09:31 )
À Bray / Belgium


Monsieur Venance Konan

Ne soyez pas un Oncle Tom. Ne soyez pas le relais d'un discours occidental fallacieux. Vous avez pourtant - à l'insu de votre plein gré sans doute - mis le doigt sur la plaie et vous le dites-vous même en vous adressant à votre interlocuteur: "Vous imaginez les États africains, européens, l’ONU, accepter de perdre la face devant Gbagbo ?"

Car le problème est là! Comment sauver la face après avoir déclaré orbi et urbi sans preuves matérielles que Ouattara est vainqueur? Eh bien que tous ceux qui ont déclenché les hostilités trouvent une solution pacifique car les Ivoiriens veulent la paix, la paix et encore la paix.
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  Article sans interet !!
Shomari ( 23/12/2010 09:36 )
À Colombes / France

Je n’ai jamais rien lue d'aussi vide ! Bref encore un hymne à l'homme blanc en témoignage des derniers vestiges de sa soumission ! J'adore le dossier Ivoirien, il est anthologique et marquera à jamais l'histoire de la politique du continent dans sa lutte d'indépendance face aux forces prédatrices occidentales. Il y aura toujours des Venance Konan qui n'auront pas su profité de cette opportunité pour émanciper sa conscience la raison du plus fort et des impératives tribale !
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  femmenoire
( 23/12/2010 10:02 )
À Sarcelles / France

Après avoir libéré l' Afrique il faudra exorciser les colonisés mentaux et je crois que ce sera le travail le plus difficile
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piment_tropical ( 23/12/2010 11:12 )
À Karlsruhe / Germany

Ah lala, Venant, ton cas est serieux....
Bon je te propose de rediscuter apres que Ouattara et Soro aient payé pour le sang qu'eux aussi ont sur les mains.
Je te propose de rediscuter lorsque l'Hotel du Golfe ne sera plus un nid d'agents americains, isreliens et francais de renseignement...

Vraiment vous faites pitié pitié comme on dit chez nous en afrique. Obama a niqué tout le monde, on s'en est rendu compte. Et son dernier coup c la CI , c'est Ouattara. Venant quittez dans ca, avant que les blancs ne viennent vous blanchir le c.. apres vous avoir blanchi la cervelle
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( 23/12/2010 11:34 )
À Tarbes / France

QUELS QUE SOIENT LES POSITIONS DES UNS ET DES AUTRES (PRO OU CONTRE GBAGBO), JE ME REJOUIS D'UNE CHOSE. AVEC L'AVENEMENT D'INTERNET, LES JEUNES AFRICAINS ONT MAINTENANT, MIEUX QUE CEUX DES ANNEES D'AVANT LES INDEPENDANCES, DE QUOI REAGIR AUX EVEMENTS DU MONDE ET DE L'AFRIQUE. ILS SONT D'AUTANT PLUS OUTILLES QU'ILS ONT REUSSI UNE PERCEE IMPRESSIONNANTE DANS LA SPHERE DES INTELLECTUELS. C'EST LA PENSEE UNIQUE A LAQUELLE LA JEUNESSE AFRICAINE TORD LE COUP.
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  quel journalisme
insomnia ( 23/12/2010 12:18 )
À Paris / France

mon cher venance konan tu n'as aucune dignité comme tout le peuple du centre de la cote d'ivoire par qui la breche a servi aux rebelles .personne ne parle de nos freres baoulé mais ceux aussi sont une plaie pour la cote d'ivoire moderne eux et leur femmes sont tous hypnotisé devant une peau blanche ils n'ont aucun caractere a l'image de bedie leur chef. alors venance konan si le peuple ivoirien ne dit rien sur vous c 'est parceque le peuple ivoirien n'attend rien des baoulés pour sauver sont pays vous avez du le constaté en donnant vos voix a ouattara que ca n'a rien changé .konan venance je te rassure tout de suite que la communauté etrangere sur laquelle vous mettez tous vos espoirs n'en fera rien face a la determination des ivoiriens
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  faite circulez dans vos site l'heure et grave attention danger en côte d'ivoire mes chere frères et soeurs ecoutez moi tout ceux-ci de la folie unrgent faite circulez
( 23/12/2010 13:49 )
À Paris / France

http://www.dailymotion.com/video/xg519j_danger-alerte-aux-ivoiriens_news
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  urgent faite cir culez s'il vous plait danger en côte d'ivoire
( 23/12/2010 13:50 )
À Paris / France

http://www.dailymotion.com/video/xg519j_danger-alerte-aux-ivoiriens_newsai
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  Bonne nouvelle
( 23/12/2010 14:38 )
À Croissy-sur-seine / France

les salaires des fonctionnaires ont été virés. Mes compatriotes ont enfin compris qu'il vaut mieux retourner travailler et s'occuper de sa famille que de manifester et se faire trouer la peau pour des politiques qui se gaveront sur leurs dos.
Mes cher(e)s compatriotes, en ces moments très difficiles pour vous qui êtes au pays, je penserai et prierai très fort pour vous et notre pays lors de la veillée de Noël. Quoiqu'il arrive, n'oubliez jamais que nous sommes ensemble.
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  Dire que je me suis réjoui de la très belle analyse du frère Jean Jacques Dikongué
yuotam ( 23/12/2010 14:46 )
À Strasbourg / France

GRIOO me surprendra toujours, nous bassiner avec Venance Konan, écrivaillons en mal de copie, pourquoi ne va t' il pas rejoindre Mossi Dramane, dans la république bananière du GOLF HOTEL, paradis sous lagune ébrié.

Venance Konan, il faut quitter dans ça là, pauvre idiot de village, ou alors tu va rejoindre les voleurs, les tricheurs, les collabos, les traîtres, tant que tu es tu leur dira que la Kalachlocratie, qu'ils ont emmené en C.I., même avec la complicité des Gaulois, et de l'autre assassin de SANKARA, ça ne marche pas.

Ha bon je pensais, que l'autre fils de "p" voulait, s'emparer de la RTI et de la primature, il est tomber sur un os, quel con il à trouver garçon.

En C.I., on est trop gentil, trop accueillant, c'est pour ça que n'importe quel apatride se croit obliger de venir essuyer ses chez nous.

Au grand jamais ton BURKINABE, ne sera jamais président dans ce monde ni dans l'autre, parce que c'est un adorateur de shaïtan, avec tous les sacrifices humains qui ont été fait en son nom , autant allez compter les grains de sables au bord de la mer.

Et sa blondinette de Gauloise ne sera jamais 1ére dame en C.I. même si elle s'est fait sauter par SARKO, qui a surtout la réputation de débaucher toute les nanas qu'il à marier en étant maire de neuilly/canapé, d'où l'acharnement thérapeutique de Nabot -léon 1er roi des francs.

Va dire a tes traîtres qui ont rejoint mossi dramane, de sortir ils ne leur sera rien fait, même si les Gaulois ont liquider tous leurs collabos après la guerre, contre les nazies, nous en C.I. on pardonne, on permettra a ton Burkinabè de changer de slips, après 3 semaines, sa doit sentir la cocotte, puah.
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  Café Fort
( 23/12/2010 15:16 )
À Pointe-noire / Congo

Lu pour vous

Francis Wodié (Juriste en droit constitutionnel) : "L’attitude de Gbagbo est un coup d’Etat"

Il attendait sans doute de clore un débat qui n’avait que trop étalé, à la face du monde, la mauvaise foi du Conseil constitutionnel ivoirien. Romain Francis Wodié, détruit dans cette déclaration, tous les arguments juridiques de Paul Yao Ndré, le président « conditionné » de cette institution qui fait honte à notre pays, au lendemain de l’élection présidentielle remportée par Alassane Ouattara et qu’il a malhonnêtement « offerte » à son ami Gbagbo. Professeur Titulaire, Francis Wodié, Président du PIT, est considéré comme l`un des plus brillants juristes en droit constitutionnel et en droit international public.

Après plusieurs reports depuis 2005, l`élection présidentielle, donnée comme la porte de sortie de la crise, a pu, enfin, se tenir, le 31 octobre 2010 pour le 1er tour et le 28 novembre 2010 pour le second tour. Les résultats proclamés par la Commission Electorale Indépendante, confirmés par le "certificateur", donnent M. Alassane OUATTARA vainqueur, avec 54,10 % des suffrages exprimés, face à M. Laurent GBAGBO, crédité de 45,90 % des voix. Quant au Conseil constitutionnel, après avoir, comme par hasard, annulé, sans discernement, le scrutin dans sept départements du Centre et du Nord, sur requête du candidat Laurent GBAGBO, il a proclamé celui-ci élu avec 51,45 % des voix contre 48,55 % au candidat Alassane OUATTARA, inversant de son seul chef les résultats fournis par la CEl. La Côte d`Ivoire, déjà meurtrie, les Ivoiriens, déjà épuisés et ruinés par une crise sans fin, se retrouvent en présence «de deux chefs d`Etat « investis» et ayant constitué leur Gouvernement, donnant ce monstre de bicéphalisme qui est à l`origine des affrontements sanglants que connaît depuis le pays. Le Parti Ivoirien des Travailleurs (PIT) ne peut se taire, face à une telle situation qui menace d`un péril certain la Nation tout entière. SUR LES RESULTATS DU SCRUTIN

Tout est parti de là : quels sont les vrais résultats du scrutin et, par conséquent, qui en est le vainqueur ? L`observation et l`analyse des faits, à la lumière des textes régissant l`élection présidentielle en Côte d`Ivoire, amènent à constater, d`une part, la validité des résultats proclamés par la Commission Electorale Indépendante (CEl) et certifiés par le Représentant spécial du Secrétaire Général de l`ONU et, d`autre part, le caractère irrégulier et surréaliste de la décision du Conseil constitutionnel. La validité des résultats proclamés par la CEl et certifiés par le Représentant spécial du Secrétaire Général de l`ONU.

1- La validité des résultats proclamés par la CEl Il est constant qu`au regard de la Constitution (art. 38) et de l`ordonnance portant ajustements au code électoral (art. 59), la CEl est compétente pour proclamer les résultats provisoires de l`élection présidentielle. Ce point n`est pas contesté. Ce qui, au contraire, fait débat, se rapporte au moment et au lieu où la proclamation des résultats est intervenue. D`abord, la date : le délai dans lequel la CEl doit agir n`apparaît pas avec toute la clarté souhaitable. Toutefois, en interprétant les textes et en ne perdant pas de vue le précédent né du 1er tour de l`élection présidentielle, on doit admettre que la CEl avait à (devait) proclamer les résultats dans un délai de trois jours. La Commission n`a pu agir dans ce délai, ayant, comme chacun a pu le constater à la télévision, été empêchée de le faire par Messieurs DAMANA PICKAS et TOKPA, membres de la CEl pour le compte du camp présidentiel. Au regard du droit et même du simple bon sens, le camp présidentiel est mal-fondé à invoquer la forclusion qu`il a provoquée intentionnellement. Car, nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude (de sa propre faute), pour en tirer un avantage quelconque. Au surplus, existe le précédent né du 1er tour, lequel donne à constater que les résultats ont été proclamés au petit matin du 4ème jour suivant la clôture du scrutin, acceptés de tous, confirmés par le Conseil constitutionnel (qui n`avait guère parlé de forclusion) et certifiés par le Représentant spécial du Secrétaire Général des Nations Unies ; ce précédent autorise à affirmer que les résultats du second tour, donnés également au quatrième jour, doivent être tenus pour réguliers. Ensuite, le lieu : les résultats proclamés, non pas au siège de la CEl, mais plutôt au Golf Hôtel, seraient-ils frappés de nullité ? Pas du tout. Car, ayant l`obligation de proclamer les résultats, et physiquement empêché par les mêmes de le faire au siège de la CEl, le Président de ladite Commission n`avait pas le choix : à l`impossible nul n`est tenu. Enfin, la vraie question, par-delà la diversion tenant à la date et au lieu de la proclamation des résultats, est celle-ci : les résultats proclamés sont-ils, oui ou non, conformes à ceux contenus dans les procès-verbaux collectés et validés par les différents niveaux des Commissions électorales ? La réponse est sans équivoque : il résulte des procès-verbaux dont copie a été adressée à différentes autorités et au Conseil constitutionnel que le candidat Alassane OUATTARA est le vainqueur de l`élection présidentielle. Et c`est parce qu`il en est ainsi que des problèmes ont été artificiellement suscités et entretenus. C`est dire que la Commission Electorale Indépendante (CEl), qui n`a pas pouvoir pour modifier les résultats issus des procès-verbaux mais plutôt l`obligation de Ies proclamer tels quels, après vérification de la régularité formelle des procès-verbaux, a fait son travail régulièrement, proprement, conformément aux exigences de la loi et de la démocratie et que, par suite, les résultats par elle proclamés sont valides. 2- La régularité de la certification La certification est prévue par l`accord de Pretoria de 2005, donc acceptée par les différentes parties engagées dans le processus de sortie de crise. Elle est confirmée et organisée par le Conseil de Sécurité des Nations Unies à travers la résolution 1765 adoptée en juillet 2007. Dans un contexte de suspicion généralisée et de déficit de confiance, la certification, voulue par les parties ivoiriennes, et donc par Laurent GBAGBO, a pour but d`éviter les contestations inutiles, en permettant d`avoir des élections "ouvertes, libres, justes, et transparentes" avec des résultats reconnus et acceptés en toute confiance et sérénité. La mise en œuvre de la certification a été confiée au Représentant spécial du Secrétaire Général de l`Organisation des Nations Unies qui a déjà certifié, entre autres, la liste électorale et les résultats du le 1er tour de l`élection présidentielle, à la satisfaction générale. Et c`est la méthode par lui utilisée au 1er tour qui a servi pour la certification des résultats du second tour. C`est pourquoi, le PIT salue l`objectivité et l`honnêteté du Représentant spécial du Secrétaire Général de l`ONU, et constate la régularité et la sincérité de la certification opérée. Il suit de ce qui précède que le camp Laurent GBAGBO n`est pas fondé à parler d`ingérence ou d`immixtion dans les affaires intérieures de la Côte d`Ivoire. L`ingérence, à la supposer établie, cesse d`en être, dès lors qu`elle est consentie par les autorités ivoiriennes dont la plus haute était Laurent GBAGBO, tout comme nous sommes allés chercher honteusement à Pretoria en 2005 l`autorisation d`user de l`article 48 de la Constitution ivoirienne. C`est donc à la demande expresse des Autorités ivoiriennes que la communauté internationale s`est impliquée financièrement, techniquement et matériellement autant que dans les domaines de l`arbitrage et de la certification. La certification bien que contraignante pour la souveraineté nationale mais voulue et placée à la fin de la procédure, postérieurement à la décision du Conseil Constitutionnel, s`offre comme la décision finale ; ceux qui l`ont voulu doivent s`y plier en toute bonne foi. Pour toutes ces raisons, le PIT ne peut comprendre ni accepter la position et la décision du Conseil constitutionnel et tout le brouhaha suscité par cette certification. B- Le caractère irrégulier et surréaliste de la décision du Conseil constitutionnel Tout d`abord, le PIT se choque de la précipitation avec laquelle le Conseil constitutionnel, qui disposait de sept jours pour dépouiller les 22.000 procès-verbaux et examiner le recours et les moyens invoqués par le candidat Laurent GBAGBO, a rendu sa décision le 3 décembre 2010 à 15 heures 30. On peut douter et on doute que les membres du Conseil constitutionnel aient pu dépouiller tous les procès-verbaux en quelques heures. En effet, tout porte à croire que la décision du Conseil constitutionnel, qui s`étale sur de longues pages, était prête avant même la réception du dossier et qu`il ne s`était agi que d`apporter les adaptations à partir des instructions du candidat Laurent GBAGBO. En deuxième lieu, les violences et les irrégularités sur la base desquelles le Conseil constitutionnel a invalidé globalement le scrutin dans sept départements du Centre et du Nord ne sont pas corroborées par les faits : les préfets affirment, au contraire, que le scrutin s`est déroulé de façon acceptable. Et puis, comment se fait-il que le Conseil constitutionnel, si soucieux de justice, n`ait pas invalidé le scrutin dans les zones de l`Ouest où des troubles sérieux et des assassinats ont eu lieu avant et pendant le scrutin? Voudrait-on susciter de graves divisions de caractère régionaliste avec à la clé des conflits interethniques qu`on n`aurait pas procédé autrement. Enfin, la violation de la loi portant code électoral: son article 64 nouveau, alinéa 1er, tel que résultant de l`ordonnance de 2008 portant ajustements au code électoral, énonce : «Dans le cas où le Conseil constitutionnel constate des irrégularités graves de nature à entacher la sincérité du scrutin et à en affecter le résultat d`ensemble, il prononce l`annulation de l`élection et notifie sa décision à la Commission électorale indépendante qui en informe le Représentant spécial du Secrétaire Général des Nations Unies et le Représentant spécial du Facilitateur à toutes fins utiles. La date du nouveau scrutin est fixée par décret pris en Conseil des Ministres sur proposition de la CEl. Le scrutin a lieu ou au plus tard 45 jours à compter de la date de la décision du C.C » Comment se fait-il alors, que privant le candidat Alassane OUATTARA de plus d`un demi million de voix sur la base d`irrégularités graves (article 64 nouveau du Code électoral en inversant ainsi les résultats, le Conseil constitutionnel n`ait pas cru devoir appliquer la loi en annulant toute l`élection afin qu`on la reprenne conformément à la soi ? En imposant une telle obligation au Conseil constitutionnel, celle d`annuler l`élection en pareil cas, la loi a voulu restituer au peuple souverain son droit de désigner souverainement ses représentants, ici le Président de la République. Le rappeler, c`est souligner qu`il n`appartient pas au Conseil constitutionnel de substituer sa volonté à celle du peuple, seul arbitre en pareille situation. Voilà qui est bien curieux et qui dénote le parti-pris du Conseil constitutionnel qui ne pouvait pas ignorer la loi en la matière ; le Conseil constitutionnel achève ainsi de se discréditer et de se disqualifier. La décision du Conseil constitutionnel est contraire au droit ; elle est tout aussi contraire à la volonté clairement exprimée du peuple de Côte d`Ivoire. Le problème a cessé d`être juridique ; il est devenu un problème essentiellement politique et moral. II- LA VOLONTE DU PEUPLE SOUVERAIN DOIT ETRE RESPECTEE La Côte d`Ivoire s`est proclamée République depuis 1958. La Constitution ivoirienne du 3 novembre 1960 et celle du 1er août 2000 ont repris et reconduit ce principe. Ce qui veut dire que le pouvoir politique appartient au peuple et que, par conséquent, le peuple est la source du pouvoir dans ce régime qui se veut démocratique. Or, le peuple a parlé à travers les urnes ; il a désigné le nouveau président de la République en la personne de M. Alassane OUATTARA qui a remporté de façon claire et nette le scrutin du 28 novembre dernier. Par conséquent, M. Laurent GBAGBO doit, en toute conscience et responsabilité, céder le pouvoir à M. Alassane OUATTARA. L`attitude qu`observe M. GBAGBO constitue, en tous points, une usurpation, voire un coup d`Etat. Elle traduit un mépris souverain à l`égard de la République et du peuple dont la volonté est ainsi bafouée. M. Laurent GBAGBO doit se ressaisir pour que triomphe la volonté du peuple de Côte d`Ivoire pour que cesse cette situation tragique pour le pays et pour les populations, avec l`économie qui s`affaisse, des assassinats çà et là, des enlèvements et disparitions de personnes, des agressions dans des mosquées aux heures de prière. A quoi s`ajoutent des pénuries de toutes sortes, exposant les populations à la mort. C`est le lieu de rappeler aux Forces de défense et de sécurité l`obligation qui leur incombe de protéger les populations dans le respect de la légalité républicaine. La souveraineté de l`Etat (qui, souvent, ici ne sert que d`alibi) et la dignité du peuple commandent que nous sachions régler entre nous nos problèmes pour éviter les ingérences extérieures. Comment ne pas évoquer et condamner, dans ce contexte, la confiscation des médias d`Etat et leur utilisation à des fins de propagande, avec tous les risques de violence et de guerre civile? Comment ne pas condamner la mesure d`interdiction de paraître qui a frappé une partie de la presse privée? Que fait-on des droits et libertés, et notamment de la liberté de la presse, consacrés par notre Constitution? Il est temps que M. GBAGBO qui se proclame de gauche et se dit « enfant des élections », comprenne qu`il doit céder le pouvoir au plus tôt en cessant d`instrumentaliser la jeunesse qui a besoin de se former et de travailler. Quand le peuple a parlé, nous devons, tous et chacun, savoir nous taire, en nous faisant le devoir de sauver la paix et la patrie en danger. Que M. Gbagbo retrouve la raison et le sens de l`honneur et que cesse cette épreuve aussi tragique que ridicule. Nous nous sentons humiliés par le spectacle déplorable que nous offrons au monde. Tout cela doit prendre fin sans délai pour que nous puissions tous nous rassembler pour former un seul bloc autour de la Côte d`Ivoire qui, ainsi libérée et rendue à elle-même, pourra s`attaquer aux problèmes majeurs qui de reconstruction, de normalisation, de démocratisation, de moralisation et de développement, un développement solidaire et partagé. C`est notre intérêt commun, c`est notre devoir commun.

Fait à Abidjan, le 21 décembre 2010
Pour le Comité Central du PIT
Le Président du PIT
Francis WODIE


la question que je me pose, si réellement GBAGBO était un patriotique ivoiro-africain, pourquoi avait-il la proposition des institutions internationales , à savoir celles de prolonger son mandat qui avait pris fin? Pourquoi avoir accepté l'argent des occidentaux aux fins d'organiser les élections?

Patriote mon œil!

Café Fort, toujours bon pour la journée!


Café fort, toujours bon pour la journée!
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lolo ( 23/12/2010 15:26 )
À Nouzerines / France

Konan ou connérie

Des analyses simplistes tu es payé par qui ? Je crois c'est avec ce gebnre d'individus qu'on va construire l'Afrique.

Je ne soutiens pas Gbagbo mias pourquoi alors la communauté internationale ne va t-il pas faire la loi partout où la loi est bafouée ?
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  femmenoire
( 23/12/2010 16:01 )
À Sarcelles / France

En fait ce Venance Konan est journaliste ou avocat?
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  @ À Pointe-noire / Congo, ton charabia est trop long et surtout pleins d'âneries, plus petit que le cerveau de moineau de SASSOU N'GUESSO
( 23/12/2010 16:22 )
À Strasbourg / France

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  Gbagbo la GRANDE ARNAQUE du XXI siècle" !!
TouTPuissant ( 23/12/2010 20:10 )
À Paris / France

Euro RSCG a "stoppé" tout conseil à Gbagbo "dès les premiers incidents" (Séguéla)

Jacques Séguéla, vice-président de Havas
dont le premier actionnaire est Vincent Bolloré, a affirmé mercredi que
Euro RSCG (Havas), conseil du président sortant ivoirien Laurent Gbagbo,
avait "stoppé" toute "collaboration" avec ce dernier "dès les premiers
incidents".



Invité de Questions d`Info LCP/AFP/France Info, M. Séguéla, co-fondateur
de RSCG (devenu Euro RSCG), était interrogé sur les raisons pour
lesquelles Euro RSCG s`était engagé dans la campagne électorale de
Laurent Gbagbo.



"Parce que Vincent Bolloré a des intérêts en Afrique, dans toute
l`Afrique - c`est le plus gros investisseur français, je crois que c`est
le plus gros investisseur européen en Afrique - et que de longue date
il a toujours conseillé Gbagbo", a répondu M. Séguéla.



Le publicitaire a affirmé que "dès que les premiers incidents (avaient)
commencé, tout le monde (s`était) retiré". "Toute collaboration s`est
instantanément stoppée", a-t-il insisté ajoutant que l`agence de
communication était "prête à faire campagne pour des candidats, à
condition qu`on ait le sentiment qu`ils vont être démocratiques".



"Dès qu`ils ne sont pas démocratiques, les choses s`arrêtent", a-t-il dit aussi. Comme on lui demandait si cela rapportait de l`argent à l`agence, il a
répondu par la négative. "C`est un conseil permanent donné à un
président comme on en donne à beaucoup et tant qu`il est président
normalement élu, c`est tout à fait normal qu`il ait des consultants",
a-t-il fait valoir.
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  L'argent FRANCAIS de GBAGBO BLOQUÉ !!
TouTPuissant ( 23/12/2010 20:14 )
À Paris / France

Le président autoproclamé a cédé une propriété de l'Etat ivoirien pour 12 millions d'euros...
Alors que l'Union européenne cherche à geler les bien de Laurent Gbagbo,
elle va peut-être devoir commencer par un compte français. Le leader
africain a vendu une villa de l'Etat ivoirien située en Suisse pour 12
millions d'euros, et cette somme aurait été versée sur un compte
parisien, révèle La Croix dans son édition à paraître jeudi.



La vente, effectuée l'été dernier, «intrigue», selon le quotidien. En
effet, la propriété a été cédée à une société de promotion immobilière
créée deux semaines plus tôt (En general, quand l'acheteur se constitue en societe 2 semaines seulement avant la transaction, c'est signe evident de malversation. On vend a soi-meme via une societe ecran, et on garde la propriete, surtout quand les fonds de la vente ne sont pas reverses au Tresor ivoirien). Surtout elle a été réalisée «pour le
compte de l'Etat», mais les fonds ont été reversés sur le compte
«Président de la République», ouvert à la Société Générale, à Paris,
déjà utilisé par Gbagbo pour vendre plusieurs biens immobiliers entre
2005 et 2008. Pour La Croix, il est «étonnant» que le destinataire de la vente ne soit pas le Trésor public ivoirien.



Les différents partis jurent que tout a été effectué selon les
règles, notamment via une procuration donnée par Gbagbo au directeur de
cabinet adjoint des Affaires étrangères. Mais selon une source
ivoirienne citée par le journal, «ce n’est pas à un directeur adjoint
des affaires étrangères de signer l’autorisation d’une vente de 12
millions d’euros ».

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