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Retour à l'article: Rencontre encourageante entre Laurent Gbagbo et les émissaires de la Cedeao
  Rencontre encourageante entre Laurent Gbagbo et les émissaires de la Cedeao
Une rencontre positive selon le président béninois Yayi Boni
 
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Rencontre encourageante entre Laurent Gbagbo et les émissaires de la Cedeao

Nombre de messages
:  25
Pages:  1  2 > >> 

 
LILOU ( 28/12/2010 21:12 )
À Étampes / France

çà ne nous dit pas ce qui a été dit,on reste sur notre faim
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  Ca suffit !
Arouna ( 28/12/2010 22:51 )
À Dortmund / Germany

La basilique de Yamoussoukrou sera transformée en mosquée et les frontières du Burkina seront déplacées vers Bouaké.
Nous ne voulons plus de Baoulés et autres ethnies chrétiennes dans le nord.
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  HONTEUX
( 28/12/2010 23:05 )
À Garges-lès-gonesse / France

Dans LEPOST.FR: Que ceux qui donnent des leçons à Gbagbo s’observent un peu…
Actualites General — Ivorian.Net
Maliweb-28/12/2010

Les occidentaux, au premier chef les dirigeants français et américains, utilisent à présent les chefs d’Etats de la CEDEAO pour régler à leurs places “son compte” à Laurent Gbagbo. Une manière hypocrite des occidentaux de dire : c’est aux “barbares” de faire ce qu’ils savent faire le mieux, c’est-à-dire, se bagarrer… Et comme les “barbares” ne réfléchissent pas, voilà donc quelques chefs d’Etats africains prêts à faire la guerre pour renverser Laurent Gbagbo, et ainsi faire plaisirs aux grandes puissances qui tirent les ficelles à distance, peu importe les dégâts collatéraux d’une telle ignominie.

C’est comme les requins, dès qu’il y a une odeur de sang ils abondent pour participer au festin… Les occidentaux veulent la tête du frère Gbagbo, pas de problème, ils l’auront “chieff”, “merci messiéé”. Mais, regardez de plus près ces présidents de la CEDEAO qui reprochent à Laurent Gbagbo tous les pêchés du monde, la plupart sont arrivés au pouvoir à la suite d’opérations douteuses, de manœuvres dilatoires ou s’accrochent obstinément à la tête de leur pays dont ils ont fait leur propriété privée…

Des exemples ? Oui. Blaise Campaoré, l’inamovible président du Burkina Faso, en place depuis l’assassinat crapuleux de Thomas Sankara le 15 octobre 1987 et récemment (le 25 novembre 2010) réélu dès le premier tour avec plus de 80% de suffrages, Abdoulaye Wade du Sénégal, arrivé au pouvoir par voie démocratique en 2000 se comporte depuis en véritable autocrate et pense même faire de son fils le successeur désigné à la présidence de la République du Sénégal, le togolais Faure Gnassingbé, c’est le prototype même de chef d’Etat africain que les occidentaux savent installés au pouvoir pour finir par s’en débarrasser comme un Kleenex lorsqu’ils n’en ont plus besoin… Qui encore ? J’en passe et des meilleurs.

Les violations répréhensibles de constitution ajustée à répétition par les présidents en exercice pour éviter l’alternance politique, sont un mode opératoire qui n’a jamais irrité les puissances occidentales (USA, France, etc.) dés l’instant où leurs intérêts sont garantis.

Assez ! L’Afrique n’est pas un département de la France encore moins un terrain de chasse pour les occidentaux, et la Côte d’Ivoire n’est pas une sous-préfecture française…L’Afrique est libre de prendre attache avec les pays émergeants tels que la Chine, l’Inde et le Brésil que cela plaise ou non à la France et aux Etats-Unis.

L’interventionnisme des puissances occidentales dans les affaires africaines qui n’a pour but que de faire main basse sur les matières premières du continent noir, on ne le dira jamais assez, commence par agacer. Trop c’est trop ! Lumumba en a été victime, Kwamé Kruma en a souffert, Sékou Touré en a fait les frais, Marien Ngouabi en a payé de sa vie… Hier, c’était Lissouba au Congo Brazzaville, président élu démocratiquement mais chassé du pouvoir par les armes avec la complicité de qui vous savez, le centrafricain Anges Patassé renversé par un coup d’État le 15 mars 2005 de François Bozizé, un ancien réfugié politique en France… A qui le tour demain ?

Nous savons tous qu’en Afrique noire les élections sont souvent truquées, les élus sont corrompus, la fraude dans tous les domaines est un sport national, la concussion une règle, la compromission fait office de programme, l’assassinat politique avec l’aide parfois de lointains complices est un moyen pour accéder au pouvoir, alors que veut nous faire croire la CEDEAO ?

Qu’un seul chef d’Etat de la CEDEAO se lève et dise qu’il est propre, blanc comme neige… et je conseillerais alors à Laurent Gbagbo de quitter tout de suite le pouvoir.

Amis Ivoiriens, je m’arrête ici avec cette crise qui s’éternise dans votre pays. Ça commence à sentir mauvais votre histoire. Ça pue !!!

Que dieu vous protège…

Source: LEPOST.FR - 28/12/2010 à 09h21
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  OBAMA, qu'elle vrai tête de " C ". décevant le pitre des Yankees
yuotam ( 28/12/2010 23:27 )
À Ranspach / France

Je le croyais plus intelligent, c'est vraiment dommage, qu'il se laisse entraîner, dans la descente aux enfers avec les Gaulois, et surtout le nabot-léon 1er.

Pourquoi ce Good luck luck, ne balai pas devant sa porte, avant de venir chercher a balayer devant la case de la C.I.

Dans tous les cas, le mossi dramane, de nabot-léon 1er, peut s'agiter comme un beau diable, dans son nouvel habit de golfeur, ce n'est pas en lançant des âneries depuis sa république bananière du Golf, paradis sous lagune ébrié, qu'il pourra, nous vaincre, ou con vaincre.

La désinformation, que tu lance depuis radio mille collines mis à disposition, par CHOI de l' ONUCI, 1érement est maladroit, 2émement c'est idiot de ton trou de rat de vouloir bloquer économiquement, politiquement, la C.I. mon pays.

C'est pas ton pays, donc tu t'en fous pour foutre le feu, quel bande d'assassins, je n'ose même pas imaginer ta fin, avec tous les crimes qui ont été commis en ton nom en zone C.N.O. Centre, Nord, Ouest.

Alors qu'il te suffisait juste, de dire sur la radio mille collines, a tes buveurs de sang, d'arrêter le massacre de pauvres bougres, et même ça tu n'était même pas capable, quelle gâchis, tu as montrer au peuple que tu n'es pas l'homme qu'ils veulent a leur tête.

Je crains fort que tu soit intelligent ou peut être malin, pas intelligent, ou plutôt mal entourer, qui te pousse a la violence, a occuper les l'ambassade, a violenter les honnêtes citoyennes et citoyens qui disent non a votre bouffonnerie ce font agresser vous ne connaissez que la violence.

La vérité finie toujours par triompher.


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  Le portrait de Guillaume Soro par Bedel Baouna d'afrik.com
( 28/12/2010 23:45 )
À Garges-lès-gonesse / France

Guillaume Soro, un lionceau sans repères
Une tribune libre de Bedel Baouna
mardi 28 décembre 2010 / par Bedel Baouna, pour l'autre afrik


Tel un cheval de courses, Guillaume Soro, 38 ans, premier ministre de l’un des deux présidents proclamés de la Côte-d’Ivoire, change constamment de ligne dans le dernier tournant. Et ce, dans des allures douteuses. A Vincennes –le temple du trot -, il subirait tout le temps les foudres de la disqualification. Miser sur Guillaume Soro comme base au Couplé gagnant, c’est dilapider son énergie et son argent pour rien. Immaturité, amateurisme ou manque de stratégie ?
Dans une tribune, Nous sommes tous des Ivoiriens, le Gabonais Bruno Ben Moubamba compare Guillaume Soro à Joseph Mobutu en 1961, « attendant l’heure propice… » pour régner. Erreur de jugement. En 1961, le futur léopard ne se mêla pas de l’affrontement Kasa-Vubu-Lumumba. Bien au contraire, il se tint à l’écart. Guillaume Soro, lui, a pris parti pour Alassane Ouattara, aussitôt les résultats de la présidentielle proclamés. En gardant sa neutralité et en appelant à une solution pacifique et rapide - souhait de la France-, Guillaume Soro serait apparu comme un recours, voire un secours. Il a préféré emprunter le chemin balisé de la facilité. Ou de demeurer au pouvoir, à tout prix. Aussi, et c’est là le comble de son amateurisme, a-t-il remis sa démission non pas à celui qui l’avait nommé premier ministre, mais à celui qui n’avait jamais été, jusqu’au 4 décembre, président de la Côte-d’Ivoire. A vrai dire, cet acte dénote un changement de ligne de plus du lionceau affamé et sans réelle stratégie de chasse, qu’est Guillaume Soro. Il oublie que quand deux lions s’affrontent pour un territoire, les lionceaux se réfugient dans un terrier ou se tiennent à l’écart. Si leur géniteur l’emporte, les lionceaux respirent ; si c’est l’adversaire, ils disparaissent. Et pour cause : le lion n’éprouve aucune mansuétude pour la progéniture de son prédécesseur. Politiquement, Guillaume Soro est né sous Laurent Gbagbo. Rien donc ne garantit qu’Alassane Ouattara le gardera longtemps à ses côtés. Alassane Ouattara est criblé de dettes morales vis-à-vis de ses soutiens nationaux et internationaux, il est à craindre qu’ils ne lui imposent, un jour, des valets locaux, plus naïfs que Guillaume Soro. Alassane Outtara courtisera d’autant moins Guillaume Soro que ce dernier constitue une menace potentielle - le MPCI (Mouvement patriotique de la Côte-d’Ivoire) dont Guillaume Soro est le secrétaire général est majoritairement composé d’ex-rebelles.

Manque de constance

En s’affichant d’emblée avec Alassane Ouattara, Guillaume Soro n’a sans doute pas voulu perdre le Nord et les ex-rebelles. Mais la Côte-d’Ivoire ne se limite pas au Nord, il y a aussi le Sud. L’Ouest et l’Est. Le chaos actuel résulte en partie de son incapacité à rassembler les Ivoiriens, trois ans durant lesquels il a été Premier ministre de Laurent Gbagbo. Il aurait pu se forger une carrure d’homme d’Etat. Rien de tel. Il préfère les gesticulations à l’accomplissement politique. Déjà, en 1999, il a approuvé et soutenu le coup d’Etat de Robert Guei. Puis il s’est opposé au Général pour rallier Alassane Outtara, exclu de la présidentielle 2000.

Profitant du tintamarre médiatique occidental, à sens unique et à géométrie variable, dans le seul but de sauvegarder les intérêts stratégiques des grandes puissances – la Côte-d’Ivoire regorge de réserves de pétrole et de gaz naturel -, Guillaume Soro monte plus au front qu’Alassane Ouattara. Il éclipse ainsi l’échec patent de sa tentative de prise de la RTI (Radio Télé ivoirienne) du 16 décembre dernier.

« La solution, c’est la force », martèle-t-il désormais. A-t-il mesuré les conséquences d’un éventuel recours à la force ?

La fin ne justifie pas tous les moyens

En fait, les seuls torts de Laurent Gbagbo, c’est de n’être pas assez « malléable » aux yeux de l’Occident, et d’avoir accepté le débat démocratique. S’il avait imité Blaise Compaoré, Paul Biya, Denis Sassou Nguesso ou Paul Kagamé, des présidents qui se font réélire dès le premier tour avec des scores à la soviétique, le monde entier ne l’aurait pas blâmé. La CEDEAO -manipulée par Barack Obama (selon le New York Times, le président américain aurait téléphoné à son homologue nigérian pour lui promettre une assistance logistique -, qui envisage de recourir à la force pour déloger Laurent Gbagbo, n’est composée que de présidents contestés. Blaise Compaoré, par exemple, a verrouillé le Burkina Faso ; il ne tolère pas la contradiction politique. Et, aujourd’hui, il est le recteur de l’université de la morale.

Guillaume Soro, dont le mouvement contrôlait jusqu’en 2007 la moitié du territoire ivoirien, sait que la démocratie en Côte-d’Ivoire n’est pas un acquis, mais une valeur à conquérir. L’élection présidentielle ne s’est pas passée dans un climat apaisé. La violence, ou plutôt la guerre civile, qu’entraînera forcément l’usage de la force armée, sonnera pour toujours le glas de cette démocratie embryonnaire. Ce sera du reste une tentative affreuse pour nier les Ivoiriens. Non, la fin ne peut justifier n’importe quel moyen. Et que s’il existe un « combat juste », il n’autorise pas tout. Dans cette perspective, les chefs traditionnels ivoiriens ont eu la grandiose idée de demander à Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo de « prendre, chacun, un verre d`eau glacée et d`apaiser son cœur ». Car, ont-ils dit, « Dieu ne descendra pas sur terre pour leur parler ».

Les « îles sonnantes » pensent qu’une arme servant à défendre la démocratie en Côte-d’Ivoire ne peut être qu’une violence légitime. Soit ! Mais « aucun d’entre nous ne détient le monopole de la pureté d’intention », dixit Saint-Exupéry dans Lettre à un otage. Et d’ajouter : « Je respecte celui qui parcourt une autre route, s’il peine vers la même étoile… » Une mise au point qui résonne comme un garde-fou contre l’utilisation du « combat juste » en faveur de toutes les aventures totalitaires.

La violence en Côte d’Ivoire sera un échec total ; « l’on ne peut l’admettre, même contre la violence ». Ou alors, il faudra employer aussi la force à l’encontre des présidents usurpateurs… Et ils sont nombreux en Afrique. Mais on serait mal avisé d’attendre quelque chose de ce genre, de Guillaume Soro et de ses amis de la CEDEAO. En quelques jours, ils ont fait de la violence un moyen rationnel de régler les désaccords ivoiriens que reculer, serait à leurs yeux une défaite inacceptable. Est-on sûr, qu’une fois installé, Alassane Ouattara et le facétieux Guillaume Soro ne conserveront-ils pas le pouvoir par des moyens antidémocratiques ?

En un mois, quelque 14 000 Ivoiriens ont déjà fui vers le Liberia voisin. Certains ont été empêchés par des éléments des Forces nouvelles (ex-rébellion alliée à Ouattara) de traverser la frontière, ont indiqué samedi les Nations unies. Combien faudra-t-il de réfugiés ou de morts pour arrêter l’escalade de la violence ? Pour les fêtes de fin d’année, Guillaume Soro, le premier, devrait s’offrir les écrits de Jean Paul Sartre...

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  Le TPI as-til une légitmité? lisez la suite
( 29/12/2010 00:20 )
À Garges-lès-gonesse / France

27/12/2010
Crise post-électorale/ le Ministre Emile Guiriéoulou ‘’Brandir l’épouvantail du TPI ne nous fait pas peur’’
Actualites General — Ivorian.Net
L’Intelligent d’Abidjan-27/12/2010

Animé un point de presse le dimanche 26 décembre 2010 à son cabinet au Plateau. A cette occasion il a donné la position du gouvernement face à la récente déclaration de la Haut commissaire adjointe aux droits de l’homme de l’Onu. LE GOUVERNEMENT de la République de Côte d’Ivoire bat en brèche les accusations selon lesquelles des « atrocités » ont été commises après les élections présidentielles du 28 novemebre2010. Pour le premier responsable du ministère de l’Intérieur « cette marche dite pacifique était une marche insurrectionnelle dont l’objectif inavoué était de prendre le pouvoir d’Etat », a avoué le ministre Emile Guriéoulou avant de préciser que le bilan de ces incidents post-électoraux se chiffre à 53 morts, dont 14 éléments des Forces de Défense et de sécurité de Côte d’Ivoire tués par des militaires de la rébellion. Contrairement aux allégations de violations de droit de l’homme et du droit international. Evoqué par la Haut commissaire adjointe, qui présente un bilan de 173 meurtres, 90 cas de tortures et mauvais traitements, 471 arrestations et incarcérations, 24 cas de disparitions forcées ou volontaires. Puis le ministre de mentionner que « les organes des Nations Unies à Genève, comme l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire ont pris une position partisane dans le traitement des informations avant toute vérification qui vise à occulter le bilan officiel et véritable des incidents post électoraux fourni par le gouvernement de Côte d’Ivoire ». Selon lui, les autorités demeurent vigilantes afin d’éviter que des gens ne fassent des montages de charniers comme en 2000 en amassant des corps. Poursuivant, il a rappelé que la mort des 64 Ivoiriens lors des événements de novembre de 2002 à l’hôtel Ivoire par des éléments de la force Licorne n’a pas suscité un tel entrain des défenseurs des organes de l’Onu. « Cela frise le racisme et c’est malsain. C’est pourquoi en Côte d’Ivoire nous nous battons pour que notre souveraineté soit respectée. En brandissant l’épouvantail du Tpi, on ne nous fera pas taire », a martelé l’intervenant du jour. Et d’ajouter que ces menaces n’ébranlent pas l’administration de Gbagbo. « Qu’on ne pense pas nous faire peur », a-t-il déclaré. Réagissant à une intervention de la presse relative au recours de la force militaire par la Cedeao (Communauté des Etats de l’Afrique de l’Ouest) pour résoudre la crise ivoirienne, le conférencier, a ainsi ironisé : « Si la Cedeao pense qu’en intervenant par la force militaire elle va ramener la paix en Côte d’Ivoire, c’est bien. Pour nous le déni de notre souveraineté n’est pas négociable. Mais si elle pense qu’elle est sérieuse, elle ne le fera pas ».Aussi il a fait remarquer que toute initiative de résolution de la crise doit s’inscrire dans la vision du président Laurent Gbagbo et que « tous ceux qui veulent nous aider doivent pouvoir adhérer à la mise en place d’un comité d’évaluation», note le ministre Emile Guiriéoulou
JM Tokré

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  Si ce n'est pas la folie la pardonnez dites moi ce que c'est...
( 29/12/2010 02:07 )
À Chilly-mazarin / France

Côte d`Ivoire: le gouvernement Ouattara lance un appel aux fonctionnaires
Publié le mardi 28 dcembre 2010 | AFP





© Abidjan.net par KS




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Crise politico-militaire en Côte d’Ivoire: Les raisons de l’implication de la CEDEAO dans cette crise
- RTI - 28/12/2010

Dossier Contestation des résultats de la présidentielle 2010
ABIDJAN - Le gouvernement d`Alassane Ouattara, reconnu président ivoirien à l`extérieur, a menacé mardi de sanctions les fonctionnaires qui continueront de collaborer avec le régime de Laurent Gbagbo.

Le cabinet Ouattara réitère "son appel pressant à tous les fonctionnaires et agents de l`Etat de s`abstenir de collaborer, de quelque manière que ce soit, activement ou passivement, avec le régime illégal et illégitime de M. Laurent Gbagbo", indique un communiqué signé de Gnamien Konan, ministre de la
Fonction publique.

Le ministre a été chargé d`établir "une liste exhaustive" des fonctionnaires "qui contreviendront" à cet appel et de "mettre en place un comité de discipline" en vue d`adopter des sanctions administratives "ou même d`apprécier l`opportunité de poursuites judiciaires", indique le texte.

Après un mois de grave crise politique, M. Gbagbo contrôle toujours l`essentiel des leviers du pouvoir, dont l`administration
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  des vrais
( 29/12/2010 11:56 )
À Saint-avertin / France

Thème : La politique de deux poids deux mesures en Afrique : Quel rôle joue « La Communauté Internationale » dans les crises qui endeuillent et retardent le développement de l’Afrique ? Les exemples du Togo et de la Côte d’Ivoire.


Introduction

Après les deux grandes guerres mondiales qui avaient montré aux yeux du monde entier la barbarie des Occidentaux, nous avions su et compris que les fourberies inhumaines du genre « tuer mon prochain dans un but économique » n’ont de nature qu’occidentale. Pour preuve cette guerre qui n’avait rien avoir avec le peuple noir fut appelée mondiale dans le seul but de la légaliser afin de blanchir l’homme blanc déjà blanc de peau mais pas comme la neige. Par la suite, nous assistions par dimension extrapolée à la scène de la guerre froide jusqu’à la chute du mur de Berlin qui y mit fin.

Le Continent Africain jusque là n’a servi que de cobaye pour les occidentaux dans ces crises qui ont mis à nu le « monstre blanc ». La preuve en est qu’aucun pays Africain ni chef traditionnel Africain ne fut convoqué ni assisté à la création de l’ONU le 25 juin 1945.

Mais la grande question à l’ordre du jour de cette grande messe était de savoir quel serait l’avenir de l’industrie et des entreprises d’armements si celles-ci représentaient une source d’emploi et de survie pour les populations occidentales ? Alors tout comme en 1454, le Pape Nicolas V ordonna à un empereur portugais de soumettre les noirs en esclaves, le continent Africain fut désigné par les uns et autres pour déverser le rendement y compris les armes. Cette fois ci ce n’est pas le colon armé qui tirera sur les indigènes africains mais, par une ruse calculateur de ce dernier, les africains, montés les uns contre les autres.

Nous assisterons donc par la suite aux indépendances empoisonnées, suivies de coups d’état de façon sporadique sur le continent africain, berceau de l’humanité. Le summum serait les guerres civiles entretenues par les occidentaux en guerre tribale et de clan comme on peut le lire ces derniers temps sur la cote d’ivoire selon un journal suisse, le 20 minutes du 21 décembre 2010 qui qualifie la crise ivoirienne de guerre de deux clans, Chrétiens contre musulmans.

Mais les exemples les plus patents furent : la guerre du Biafra du 6 juillet au 15 janvier 1970 (Nigeria) qui fut alimentée par la France du Général de Gaulle contre le gouvernement nigérian d’alors qui a condamné le troisième essais nucléaire français à Reggane (Sahara algérien), la guerre civile Rwandaise en 1994 qualifiée par les occidentaux de génocide alors que ce sont ces mêmes occidentaux de près ou de loin qui ont cuit à la soupe cette guerre, et même avec « les mains bénites » de certains prêtres catholiques suisses ; la guerre civile du Libéria depuis 1989 et qui a duré plus de 10 ans, la guerre d’Angola de 1975, les guerres au Congo, Tchad , ivoirienne etc..

Presque tous les pays africains ont connu des tensions armées qui ont mis en danger la vie des populations civiles et continuent de traumatiser les pauvres citoyens que sont les africains. Et ces crises, guerre et désordres sur le continent ne sont que des programmations bien conçues dans les laboratoires occidentaux pour fragiliser le peuple noir. Du coup, et avec un calcul mathématique, ces occidentaux sans cœur ont réussi à transformer le continent noir en une zone de guerre et de violences armées à tel enseigne que nous avons tendance à oublier la barbarie des occidentaux du 20ième siècle.

L’homme civilisé, démocrate, intelligent, bon, qui aide, qui respect les droit de l’homme serait donc le blanc au détriment de l’homme noir, sauvage, qui aime faire la guerre…….

La crise ivoirienne et son enjeu géopolitique

La Côte d’Ivoire tout comme bon nombre d’Etat africain, fait parti du plan de la fragilisation des peuples rendus faibles par nos bourreaux occidentaux. La crise Ivoirienne vu de loin est une baliverne du feu président Houphouët Bobigny et Ouattara jadis son premier ministre qui n’ont pas réussi tout comme bon nombre de pays africain à assoir une stabilité politique voir préparer en bonne et du forme une alternance socialement acceptable et acceptée.

Houphouët et son mentor Ouattara que la communauté internationale impose aux ivoiriens, furent des bons élèves de la métropole par laquelle beaucoup de coups d’état se sont orchestrés sur le continent Africain. D’où la prospérité de la Côte d’Ivoire sous le règne sans partage d’Houphouët. Madame Compaoré, la 1ère dame du Burkina Faso serait un cadeau inoubliable d’Houphouët à son sbire Blaise Compaoré pour avoir assassiné le démocrate Nationaliste Africain Thomas Sankara.

A la mort du maitre, l’élève, Blaise Compaoré, devient donc l’instrument de conflit sur le continent par la France. C’est ainsi que les racines de la crise ivoirienne sont Burkinabés d’une part, et d’autre part dues à un manque de stabilité politique continue sous la responsabilité d’ Houphouët. Et c’est cette conquête que le démocrate partisan et panafricain Gbagbo veut gagner pour le peuple ivoirien afin de servir d’exemple pour le peuple noir.

La côte d’ivoire est une puissance en Afrique qui peut entraîner pas mal d’Etats africains à se sortir du néocolonialisme. Et voila tout ce qui fait peur à la communauté internationale en général et à la France notamment qui se permettent de foutre la merdre dans la vie des ivoiriens.

Depuis quand on a vu un africain proclamer des résultats d’une élection d’un pays occidental ? Et depuis quand l’ONU se permet de proclamer des résultats électoraux dans un tiers pays ?

C’est ici le lieu de rappeler en passant les bavures sanglantes de 2005 au TOGO, pays meurtri par feu Eyadéma et son fils Faure Gnassingbé face à laquelle la même ONU, qui s’active en beuglant la démocratie en côte d’ivoire et le respect des urnes, avait présenté dans ces rapports officiels 400 à 500 morts. De surcroît l’ONU a mentionné dans ses rapports les auteurs de ces bavures à savoir : les colonels Titipkina, Yark, Kouloum et que sais je encore… Aucun de ces criminels n’a vu ses biens gelés, ni interdit pour quoi que ce soit, ni interpelé par la CPI.

Et de plus, Abass Bonfo le président du parlement togolais s’est permis allégrement de dire qu’il n’y a eu aucun mort en 2005. Pris de colère, le CACIT et d’autres organisations de défenses des Droits de l’Homme du Togo avaient demandé sa démission, mais « La communauté Internationale » n’a levé un seul doigt. Par ailleurs, à travers son président Me Zeus Ajavon, le CACIT avait saisi la haute représentation de l’Onu en la personne de Madame Navanethem PILLAY, Haut- Commissaire des Nations Unies aux Droits de l’Homme au Palais des Nations à Genève afin que l’ONU prenne ses responsabilités en matière de lutte pour les droits de l’homme. Et pourtant, point de réaction, point de sanction.

Mais dans la crise ivoirienne, comme Laurent Gbagbo est devenu une personne très gênante parce qu’il refuse de brader les biens du peuple noir de la Côte d’Ivoire à « la communauté internationale », sous prétexte que c’est Alassane Dramane Ouattara qui aurait gagné les élections, on ne sait sur quelle base, cette « communauté internationale » afflige des sanctions, des gèles de biens et des interdictions de voyager. Toute honte bue, au lieu de privilégier une voie pacifique de sortie de crise comme « Elle » en a l’habitude lorsqu’il s’agit de ses marionnettes de chefs d’Etat qu’ « elle » impose au peuple noir, « Elle » va jusqu’à envisager une option armée sans se soucier des pauvres populations de la Côte d’Ivoire.

C’est aberrant, humiliant et honteux cette politique de deux poids de mesures que la France et ses amis infligent au peuple noir. Outre l’exemple du Togo, des journalistes français ont témoigné que les dernières élections au Gabon furent truquées et détournées en faveur d’Ali Bongo en complicité avec la France qui veut toujours choisir et imposer ses hommes de mains sur le continent africain.

La France en perdant du terrain à cause de la concurrence montante de la Chine en Afrique ne peut que s’armer de ses vielles habitudes pour imposer au peuple africain des idiots noir à sa solde.

Les Etats-Unis se sont invités dans la danse et il faut comprendre par la crise ivoirienne un début d’alliance entre la France et les Etats-Unis pour contrer et contrôler la Chine en Afrique. Mais cette bataille leur sera très difficile car c’est le cours de l’histoire qui se répète. Personne ne freinera la Chine et après elle ce sera le tour du continent noir.

C’est donc le moment du sursaut du panafricanisme, c’est le temps pour que les africains se désolidarisent des concepts européens pour réfléchir par eux- même afin de pondre au jour « J » la force de l’homme abécédaire qu’ils furent en Egypte Antique.

La chine n’est pas un Etat démocratique mais une puissance qui prime le développement sur la démocratie. Aujourd’hui pas mal d’européens s’activent pour apprendre le chinois car comme ils nous laissent entendre, c’est la langue de demain.

En ce moment l’ONU qui est sensé incarner la démocratie se permet de soutenir et d’alimenter la rébellion en côte d’ivoire. Il faut signaler en passant que l’ONU à travers ses casques bleus a ouvert le feu sur les populations ivoiriennes le 11 octobre 2002, des populations aux mains nues qui manifestaient pour le désarmement des rebelles. La France n’en était pas du reste et a commis des bavures sous l’ordre de Jacques-Chirac.

Quoique nous ne sommes pas totalement d’accord pour l’invasion de la Chine, nous ne devons pas perdre de vue le choix de la Chine : le développement d’abord, la démocratie ensuite, car entre deux maux, il faut choisir le moindre mal.


Pour le Collectif des Associations Contre l’Impunité au Togo (CACIT)
donfrancky@hotmail.com, Pour le Regroupement des Jeunes Africains pour la Démocratie et le Développement(REJADD), josedag07@yahoo.fr,

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  Ouattaraaaaaaaaaaaaaaa!!!!
( 29/12/2010 12:39 )
À Dortmund / Germany

Le mec avec la complicité du maître blanc s'apprêtre à traîner les intestins des ivoiriens dans les rues.

Va y Ouattara, les maîtres esclaves sont avec toi ; ouvre les ventres et coupe les têtes pour orner ton musée.
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  Voici un document secret des militaires français / Kahia 2 : Le plan pour tuer Gbagbo
zingh2006 ( 29/12/2010 14:51 )
À Paris / France

http://cote-d-ivoire.senego.com/voici-un-document-secret-des-militaires-francais-kahia-2-le-plan-pour-tuer-gbagbo/

A DIFFUSER AU PLUS GRAND NOMBRE...

VIVE L'AFRIQUE !!!!!!!
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  voici exactememnt la lettre que les maîtres ont demandé à leurs esclave de faire
( 29/12/2010 16:12 )
À Nanterre / France

la letrre date du 24 decembre
Africahttp://news.abidjan.net/h/385227.hhttp://news.abidjan.net/v/5028.htmltml?http://cote-d-ivoire.senego.com/a-defaut-de-pouvoir-imposer-ouattara-aux-ivoiriens-l%e2%80%99elysee-prepare-un-genocide-en-cote-d%e2%80%99ivoire/n=385227in attention
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  l'onu avaient déjà programmé le genocide de la côte bien avant les election en voici la preuve
( 29/12/2010 16:15 )
À Nanterre / France

Opération des Nations Unies en
Côte d’Ivoire
ONUCI
UNITED NATIONS
United Nations Operation in
Côte d’Ivoire
DECLARATION D’INTERET
La Mission des Nations Unies en Côte D'Ivoire cherche à identifier d’éventuelles
sociétés spécialisées dans la provision de prestation des services mortuaires .
Les compagnies devront disposer d’une expertise a un niveau international dans le
domaine.
L’ONUCI invite par la présente, chaque société intéressé par cette offre, à visiter son
site web et à soumettre le formulaire de déclaration d’intérêt ainsi que la fiche de
renseignement dûment rempli, à l’adresse suivante :
ONUCI,
Ancien Hôtel Sebroko,
Bureau des Achats
Bd de la Paix, Attécoubé 19, Abidjan
Att. Mme Emelyne Ndikumasabo, Section des Achats
Tel. 2023 5429
Fax: 2023 3280
Email: ndikumasabo@un.org
Le formulaire de déclaration d’intérêt est disponible sur le site de
l’ONUCI.
Site web: http://www.onuci.org
1. cliquer sur Publication, ensuite cliquer sur Achats
2. cliquer sur prestation des services mortuaires
3 .ouvrir, imprimer et remplir le formulaire de Déclaration d’Intérêt et la fiche
de renseignement.
NB : prière noté que ceci n’est pas une demande de cotation, ce n’est qu’un
moyen pour nous d’identifier les sociétés qui sont intéressées à participer à
notre futur appel d’offre au moment opportun.
Votre déclaration d’intérêt devra être soumise à l’adresse sus-indiquée au plus tard
Vendredi 1 Octobre 2010 à 15 h00.
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  voici la lettre des maîtres à leurs esclave il faut qu'il yaient beaucoup de sang Africian entre Africain au moins la crise Ivoirien nous permet de voir exactement d'où nos guerre merci ado
( 29/12/2010 16:18 )
À Nanterre / France

Paris, Vendredi 24 décembre 2010

Lettre à la CEDEAO
Urgent: Décision concernant la Côte d'Ivoire



Mesdames et Messieurs,

Concernant la situation en Côte d'Ivoire, la décision que vous allez
prendre aura un impact énorme et significatif non seulement sur le futur
des États de l'Ouest de l'Afrique mais sur l'ensemble du Continent
Africain. Vous endosserez encore plus la responsabilité si la décision
que vous prenez aboutit à plus de bain de sang entre Africains.

Le véritable enjeu, ce n'est pas tant le soutien ou le rejet de Laurent
Gbagbo ou de Alassane Ouattara.
Parce que nous savons tous par expérience que quel que soit celui que
nous supporterons, Gbagbo ou Ouattara, s'il lui arrivait de servir les
intérêts de son propre peuple et que ces intérêts là ne servaient pas
les intérêts des [anciennes] puissances coloniales, alors il sera
vilipendé et présenté comme un ennemi de la démocratie.
Nous devons gardé à l'esprit l'exemple du Tchad où l'[ancienne]
puissance coloniale a maintes fois soutenu ou rejeté alternativement un
camp ou l'autre

Nous devons concentrer nos efforts pour nous débarrasser de ces
pompiers-pyromanes qui mettent le feu à l'Afrique au travers de guerres
tribales ou ethniques qu'ils attisent; ils viennent ensuite proposer
leurs aides et pendant ce temps ils contrôlent nos ressources.
Car si nous ne nous débarrassons pas de ce système-pompier-pyromane,
nous ne parviendrons pas à éteindre ce feu qui n'a que trop duré et qui
tue notre peuple mais maintient intactes nos ressources pour le bénéfice
des colons.

Nous devons impérativement conjuguer nos efforts pour rassembler notre
peuple et nos populations et pour construire pour de bon l'Unité
Africaine dans le sens des intérêts des Africains.
La France et l'Allemagne, la France et l'Angleterre, l'Angleterre et les
États-Unis, après des siècles de guerres sauvages ont [semble-t-il]
décidé de mettre de côté leurs différences pour construire une Europe
Unie qui sera même étendue à l'Europe de l'Est.

Une organisation d'États Africains ne peut pas et ne doit pas obéir aux
[anciennes] puissances coloniales dont les intérêts reposent sur nos
ressources et entravent nos chances de ré-unification

Apprenons à asseoir nos leaders à la même table, peu importe leurs
différences; cela aura un impact positif et significatif sur nos
enfants; ils auront plus confiance en eux-mêmes et à l'avenir et par
voie de conséquence nos leaders de demain aussi.
Aidons nos leaders à révoquer tous les accords secrets que les
[anciennes] puissances coloniales ont imposé à nos États indépendants.

Redonnons la vie à l'Afrique et aux Africains!


ANGLAIS
Dear Sirs,

Regarding the situation in Côte d'Ivoire the decision you are about to
take will have a huge and significant impact on the future not only of
the West African States but of the whole African Continent. You will be
held more accountable if the decision you take leads to more bloodshed
between Africans.

What is at stake is not to support or rebuke Laurent Gbagbo or Alassane
Ouattara.
Because we all know by experience that whoever we choose to back, Gbagbo
or Ouattara, if he happens to serve the interests of his own people and
that these very interests do not serve the interests of the [former]
colonial powers, then he will be vilified and turned into an enemy of
democracy.
We must all bear in mind the example of Chad where the [former] colonial
power has repeatedly back or rebuke one side or the other.

We must concentrate on getting rid of those firefighter arsonists who
set Africa ablaze through mastered tribal or ethnic wars and then offer
to help when in fact they control our resources.
Because if we do not get rid of this firefighter-arsonist-system, we
will not be able to extinguish this long lasting fire that kills our
people but keeps intact our resources for the benefits of the settlers.

We MUST put all our efforts to bring our people together and really
build the African Unity for the interests of the African people.
France and Germany, France and England, England and the US, after
centuries of wars they [apparently] decided to put aside their
differences and build a United Europe that they even try to enlarge to
East Europe.

An Organization of African States CANNOT and MUST NOT obey to the
[former] colonial powers whose interests lay in our resources and
jeopardize our chances to re-unite.
Let us learn to bring our leaders to the same table no matter their
differences; this will have a positive and significant impact on our
children self-confidence and as a consequence on our leaders of tomorrow.
Let us help our leaders to revoke all the secrets agreements imposed
upon our independent states by the [former] colonial powers.

Let us give life back to Africa and to the Africans!

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  un ministre de ouattara demission et crache tout faite circulez merci
( 29/12/2010 16:20 )
À Nanterre / France

http://www.djibitv.com/video/7333/Les+v%C3%A9rit%C3%A9s+de+Jean-Jean+BECHIO

un minsitre ouattara demission et denonce tout

merci d'écouter la vérité
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  voilà comment le les maître prepare le genocide en côte d'ivoire lisez plustôt ils ont votez une aide humanitaire pour aidez les ivoiriens en cas de guerre le genocide ivoirien et en route mais cette fois-ci ils vont trouvez cequ'ils veulent
( 29/12/2010 16:43 )
À Nanterre / France

Bruxelles débloque 5 M d`euros en cas de crise humanitaire
La Commission européenne a débloqué mercredi 5 millions d'euros pour faire face à une crise humanitaire dans les pays
voisins de la Côte d'Ivoire en cas d'afflux de réfugiés fuyant les violences.
"Nous sommes préoccupés par l'évolution de la situation en Côte d'Ivoire et
leur impact possible sur les pays voisins", a expliqué la commissaire chargée
de l'aide humanitaire, Kristalina Georgieva.
"Même si nous espérons un règlement politique rapide de la crise, il est de
notre devoir de préparer des plans d'urgence et de veiller à ce que toute
l'aide humanitaire nécessaire soit à la disposition des victimes sans délai",
a-t-elle ajouté dans un communiqué.
Jusqu'à présent, quelque 11.000 Ivoiriens, dont la majorité sont des femmes
et des enfants, ont fui vers le Liberia, la Guinée et le Ghana, a estimé la
Commission.
Les fonds débloqués par la Commission européenne pourraient permettre de
venir en aide à 100.000 personnes.
L'ONU a dénoncé dimanche des "violations massives des droits de l'homme"
qui ont fait plus de 50 morts ces derniers jours en Côte d'Ivoire, commises
par les forces de l'ordre restées fidèles à Laurent Gbagbo.
La Côte d'Ivoire traverse une grave crise depuis la présidentielle du 28

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  article pour grioo?
( 29/12/2010 20:12 )
À Paris / France

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hta95CtoaIL2AfqesIzb8e7knpLA?docId=CNG.03b3dfdf557bded5af9bd80f109998ba.4d1
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  Regardez la réalité
( 29/12/2010 21:43 )
À Garges-lès-gonesse / France

Bongo aurait financé Sarkozy et Chirac selon une fuite Wikileaks
Par Blandine Grosjean | Rue89 | 29/12/2010 | 20H42
Partager:Changer mon statut sur 'Twitter'Partager sur 'Facebook'Partager sur 'del.icio.us'...Selon le quotidien espagnol El Pais qui publie ce mercredi soir plusieurs notes diplomatiques américaines, près de 28 millions d'euros auraient été détournés de la Banque centrale des Etats d'Afrique centrale (BCEAC) par le président gabonais Omar Bongo. Cet argent aurait profité à des partis politiques français, et plus précisément à Nicolas Sarkozy.
Au début du mois de juin 2009, alors qu'un juge parisien venait d'admettre la plainte déposée contre Bongo par Transparence internationale, l'autocrate gabonais s'éteignait dans une clinique de Barcelone. Quatre jours après la mort du dictateur, soit le 12 juin 2009, un haut fonctionnaire de la BCEAC se confiait à un diplomate de l'ambassade américaine de Yaoudé, au Cameroun (siège de la BCEAC). Selon lui :

« Les dirigeants gabonais ont utilisé les fonds détournés pour leur enrichissement personnel et, suivant les instructions de Bongo, ont remis une partie de l'argent à des partis politiques français, y compris en soutien au président Nicolas Sarkozy. »


« La meilleure manière de voler de l'argent à une banque africaine »

L'argent aurait profité « aux deux camps, mais surtout à droite, en particulier à (l'ancien président français Jacques) Chirac mais aussi Sarkozy. Bongo était le président africain préféré de la France » indiquent les cables.

Des informations en ce sens circulent depuis des années. Dans « Affaires africaines », le journaliste Pierre Péan racontait déjà comment Omar Bongo avait financé, en 1981, les campagnes de Valéry Giscard d'estaing et de François Mitterrand.

Le document confidentiel remis par l'ambassadrice Janet Garvey à la Secrétaire d'Etat Hillary Clinton décrit en détail « la meilleure manière de voler une banque » africaine, contrôlée par le clan du président gabonais.

La BCEAC regroupe les réserves des Etats membres de la Communauté économique et monétaire d'Afrique centrale : le Gabon (qui en désigne le gouverneur), le Cameroun (où est situé le siège), la République du Congo, la République centrafricaine, le Tchad et la Guinée Equatoriale.

L'ambassade pas en mesure de vérifier les accusations de financement politique

Selon le câble datant de juillet 2009, le gouverneur de la BCEAC, le gabonais Philip Andzembe, avait placé en secret 500 millions d'euros dans un investissement à haut risque de la banque française Société Générale.

Un audit de la BCEAC a été mené et aurait révélé des malversations encore plus larges et plus audacieuses, liées à la hiérarchie des officiels gabonais.

« L'enquête interne a montré que 36 millions de dollars (environ 28 millions d'euros) ont été détournés via des chèques à des hauts responsables du Gabon ».


« Cette ambassade n'est pas en mesure de vérifier la véracité de l'accusation selon laquelle des hommes politiques français ont bénéficié du détournement de fonds » conclue le télégramme signé de l'ambassadrice américaine au Cameroun, Janet Garvey.

Le président Omar Bongo est mort à la clinique Quiron de Barcelonne, le 8 juin 2009, après 42 ans de règne sans partage sur un petit pays riche en pétrole. Son fils Ali l'a remplacé à la tête du pays en août de la même année.


A lire aussi sur Rue89 et sur Eco89
► Omar Bongo, Elf et la France : le pacte de corruption
► Les « biens mal acquis » ont une chance de revenir aux Africains
Ailleurs sur le Web
► Cable sobre la corrupción en seis países africanos, sur elpais.com (en espagnol)
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  source liberation
( 29/12/2010 21:48 )
À Saint-avertin / France


WikiLeaks, révélations en série
Les révélations diplomatiques | Le cas Assange | Attaques sur le net Monde 29/12/2010 à 18h49 (mise à jour à 19h14)
Omar Bongo aurait détourné 30 millions d'euros, notamment pour soutenir Sarkozy
245 réactions


Omar Bongo et Nicolas Sarkozy, en 2007. (REUTERS)

Près de 30 millions d'euros auraient été détournés de la Banque des Etats d'Afrique centrale (BEAC) à son profit par le défunt président gabonais Omar Bongo et auraient aussi profité à des partis français, selon des notes diplomatiques américaines divulguées par Wikileaks, visibles mercredi sur le site de El Pais.

Cette information a été donnée quatre jours après la mort d'Omar Bongo, en juin 2009, par un haut fonctionnaire de la BEAC à un diplomate de l'ambassade américaine au Cameroun, précise le journal espagnol.

Selon la même source, «les dirigeants gabonais ont utilisé les fonds détournés pour leur enrichissement personnel et, suivant les instructions de Bongo, ont remis une partie de l'argent à des partis politiques français, y compris en soutien au président Nicolas Sarkozy».

L'argent aurait profité «aux deux camps, mais surtout à droite, en particulier à (l'ancien président français Jacques) Chirac; mais aussi Sarkozy». «Bongo était le président africain préféré de la France», a ajouté cette source.

La BEAC regroupe les réserves des Etats membres de la Communauté économique et monétaire d'Afrique centrale: le Gabon (qui en désigne le gouverneur), le Cameroun (où est situé le siège), la République du Congo, la République centrafricaine, le Tchad et la Guinée Equatoriale.

«Malversations larges et audacieuses»

Selon le câble datant de juillet 2009, le gouverneur de la BEAC, le gabonais Philip Andzembe, avait placé en secret 500 millions d'euros dans un investissement à haut risque de la banque française Société générale.

Après que ce placement non autorisé a été rendu public, un audit de la BEAC a été mené et «a révélé des malversations encore plus larges et plus audacieuses, liées à la hiérarchie des officiels gabonais», a indiqué le fonctionnaire à l'origine de cette information.

«L'enquête interne a montré que 36 millions de dollars (environ 28 millions d'euros, ndlr) ont été détournés via des chèques à des hauts responsables du Gabon», a-t-il dit. Le clan au pouvoir au Gabon, «dont le défunt président Omar Bongo et son fils Ali, ministre de la Défense et candidat à la présidence (élu depuis à la tête du pays, ndlr), a bénéficié du détournement de fonds», indique le document.

«Cette ambassade n'est pas en mesure de vérifier la véracité de l'accusation selon laquelle des hommes politiques français ont bénéficié du détournement de fonds», se contente de conclure le câble, signé de l'ambassadeur américain au Cameroun Janet Garvey.

Une enquête est en cours en France sur le patrimoine dans l'Hexagone de trois présidents africains et de leurs proches, dont Omar Bongo, suite à une plainte de Transparency International, une ONG spécialisée dans la lutte contre la corruption.

(Source AFP)

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  FRANÇAFRIQUE; Infrarouge La Raison D'État
( 30/12/2010 11:39 )
À Dublin / Ireland

FRANÇAFRIQUE; Infrarouge La Raison D'État


Françafrique, La Raison d'Etat 1-6 : http://www.youtube.com/watch?v=pSD1yIExTx0&feature=related
Françafrique, La Raison d'Etat 2-6 : http://www.youtube.com/watch?v=eH0YcqXQwRE&feature=related
Françafrique, La Raison d'Etat 3-6 : http://www.youtube.com/watch?v=G3OtF_xkjRk&feature=related
Françafrique, La Raison d'Etat 4-6 : http://www.youtube.com/watch?v=bULl5OOwdys&feature=related
Françafrique, La Raison d'Etat 5-6 : http://www.youtube.com/watch?v=w9GZE5J__0M&feature=related
Françafrique, La Raison d'Etat 6-6 : http://www.youtube.com/watch?v=pZI5WQaCyN4&feature=related
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Bambou-ici ( 30/12/2010 12:48 )
À Castelnau-le-lez / France

Il faut soutenir gbagbo ici même en France et ne pas hésiter à s'en prendre aux institutions françaises en attendant de s'e prendre aux français leucos eux-mêmes. De toute façon ils sont tous à mettre dans le même sac ces descendants d'esclavagistes.

La France n'est plus si puissante que ça et si elle se mêle si ouvertement des élections en CI c'est qu'elle est soutenue voir dirigée par les USA, celà n'augure rien de bon pour l'avenir de l'Afrique.
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