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Alassane Ouattara reçu par Nicolas Sarkozy ce jeudi |
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numéro 7 (
26/01/2012 22:36 )
À Paris / France
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Le destin de la Cote-D'Ivoire, c'est son destin............................. Je constate, que Grioo, à évité de parler de la visite de Mr Sarkozy dans " le plus grand département de France " , ainsi il à pu voir par lui-meme en autres par exemple, que la réalité guyanaise n'est pas la réalité creusoise. Quoi qu'il en soit, il faudra bien un jour que la Guyane change de statut politique et ait son propre gouvernement, cela reléve du bon sens. La Grande-Bretagne, a accordée des gouvernements et des parlements à L'Irlande, à L'Ecosse et meme au Pays de Galles ( alors que le Parlement de Westminster pourrait éventuellement retiré ces institutions à ces territoires par le vote d'une simple loi !) ............................... alors que tout ces territoires ont une continuité géographique avec L'Angleterre, ce qui n'est pas du tout le cas de la Guyane. |
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numéro 7 (
26/01/2012 22:38 )
À Paris / France
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............... avec la France. |
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erreur |
numéro 7 (
26/01/2012 22:39 )
À Paris / France
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Sauf L'Irlande qui à simplement une proximité géographique. |
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Ce Burkinabés n'est pas chez lui, en EBURNIE, il peut signer tout ce qu'il veut ont le feras partir cet apatride, avec les 2 pieds devants. |
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26/01/2012 23:03 )
À Avenheim / France
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Ce MOSSI DAO, n'est pas de chez moi, sinon comment un connard comme lui peut faire appel à des étranger pour tuer ces sœurs et frères, par ce geste il nous à démontré qu'il n'est pas de chez nous, il à foutu la chienlit dans mon beau pays, depuis que ce fils de pute a mis ces gros sabots dans mon pays dans les années fin 1980.
« Nous pouvons pardonner aux petits blancs de tuer nos enfants, mais nous ne pourrons jamais leur pardonner de nous obliger à tuer leurs enfants, le comportement de SARKOZY en Afrique, actuellement ce nabot des Gaulois, qui na aucun respect, de la vie d'un noir, la paix viendra en Afrique et surtout en EBURNIE, quand les petits blancs aimeront leurs enfants plus qu'ils nous haïssent », « Des femmes, des enfants, des vieillards, des bébés, ont été rayé de la carte en Côte d'ivoire, et en LYBIE, pour satisfaire la cupidité blanche, la férocité, la Folie douce, l'imbécillité blanche ».
« Ce même SARKOZY, na pas hésité une seconde à donner l'ordre a son armée d'occupation NAZI, d 'assassiner 2700 jeunes Ivoiriens et Ivoiriennes, dans la journée du Lundi 4 Avril 2011, tout simplement parce qu'ils faisaient un SIT – IN, devant le palais et la résidence présidentielle, pour protéger leur président KOUDOU Laurent GBAGBO élu démocratiquement », qui demandait juste le ré comptage des voix, comme entre Bush et ALGOR aux USA, BAN KI MOON n'avait rien en foutre que des nègres crèves, C'est ce même Nasillons qui à décider de l'embargo avec la complicité des petits blancs, ainsi que la fermeture abusive des banque SIONISTES, en EBURNIE, ont causé la mort de plus d'un ½ millions d'africains, en Côte d'ivoire.
Vraiment GBAGBO KAFISSAH, que ce BURKINABEH, admette où reconnaisse:
1) Qu'il admette qu'il est le père de la rébellion de 2002.
2) Qu'il reconnaisse son entière responsabilité dans les massacres commis depuis cette date dans le CNO.
3) Qu'il reconnaisse la gigantesque fraude durant la dernière élection présidentielle.
4) Qu'il se démette de ses fonctions
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5) Qu'il renonce à la nationalité ivoirienne en reconnaissant l'avoir usurpée par mensonges et fausses déclarations.
6) Qu'il libère tous les prisonniers d'opinion.
7) Que tous les Burkinabés qui occupent en toute illégalité les terres ivoiriennes les rendent à leurs propriétaires.
8) Que tous les ministres burkinabés, hauts fonctionnaires de même origine venus traire les vaches ivoiriennes démissionnent immédiatement.
9) Qu'il quitte définitivement ce pays en demandant pardon pour toute la souffrance endurée par ce peuple.
10) Qu'il n'oublie pas d'emmener avec lui sa grosse femme de Dominique (Israël leur fera un plaisir de leur accorder l'asile).
Une fois que ces 10 points, non négociables, seront satisfaits, le dialogue sera possible et la paix reviendra dans ce très beau pays. |
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Accords de défense |
olmèque (
26/01/2012 23:25 )
À Montreal / Canada
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Voilà où est le problème... Vous devez réagir Ivoiriens. On signe un autre alibi!! Ça veut dire j'ai le droit d'être chez vous, et d'aider à ce maintenir celui que je reconnait comme celui qui gouverne... cercle vicieux parce que celui au pouvoir, est celui que j'ai confortablement installé. À vous ivoiriens ça c'est une sacré quenelles!!! Est ce que c'est vrai que c'est Ouatarra qui veut le maintient ou c'est la France? En tout cas s'il laisse dire c'est qu'il n'est pas contre. Malheureusement une force militaire ce n'est pas pour apprendre à lire aux enfants à l'école. Si la France veut signer un accord de défense et sécurité c'est qu'elle veut maintenir son emprise sur ce pays, purement et simplement décider jusqu'à la gouvernance. C'est ça qui fait de Ouattarra celui qu'il ne fallait pas pour ce poste. Les affaires de Mossi, burkinabé, toute ses batailles de village, pour lesquelles vous vouliez déclaré une guerre nucléaire, dans lesquelles nous tous Africains savons ce laisser piéger, ce n'est même pas important. Par contre les accords de défense, de " aide exceptionnelle" de plusieurs centaines millions comme disent les journalistes Français, en fait des prêt à intérêt biensûr!! Qu'est ce qui sera libéralisé pour rembourser ça??!! La poste? Le secteur de l'audiovisuel? Ce sera fait ce trimestre. À parier que la France va parfaitement ce positionner la dessus, l'art de la communication reste son arme la plus meurtrière sur notre continent. Quoi d'autre de libéralisé, l'armé ce n'est déjà plus à vous et visiblement çà restera ainsi, les ports d'importance, la filière la du cacao, tous ça, c'est depuis bien longtemps... Bref bientôt vous serez simple locataire chez vous!! |
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L'africain ne sauvera pas le monde noir !!! |
numéro 7 (
27/01/2012 10:21 )
À Paris / France
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Hier, l'esclave Alain Mabanckou accompagné de François Durpaire sont venus sur l'émission " avant-premiéres " pour conforter les blancs dans leur complexe de supériorité. Mabanckou, venu " servir la soupe " aux blancs discriminateurs en chef, arrogants qui veulent " soumettrent " des noirs comme lui, en les excluant de sa société. Certes les noirs ont des défauts, mais quand à aller tous prix les noirs dans la Rfaire du masochisme. Durpaire le " blanc pro-noir " s'entete dans une idée " faire entrer à tous prix dans la République les noirs" . Les antillo-guyanais, mendient une place dans une France qui les méprise, n'assument pas leur spécificité, sont dans un mimétisme social qui ne ménera à rien,ect..................... quand des peuples, des groupes ne s'entendent pas ils se séparent et ne se mélangent pas, vivent leur culture. |
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L'africain ne sauvera pas le monde noir !!! ( correction ) |
numéro 7 (
27/01/2012 10:25 )
À Paris / France
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Hier, l'esclave Alain Mabanckou accompagné de François Durpaire sont venus sur l'émission " avant-premiéres " pour conforter les blancs dans leur complexe de supériorité. Mabanckou, venu " servir la soupe " aux blancs discriminateurs en chef, arrogants,.............. qui veulent " soumettrent " des noirs comme lui, en les excluant de sa société. Certes les noirs ont des défauts. Durpaire le " blanc pro-noir " s'entete dans une idée " faire entrer à tous prix dans la République métissée, les noirs" . Les antillo-guyanais, mendient une place dans une France qui les méprise, n'assument pas leur spécificités, sont dans un mimétisme social qui ne ménera à rien,ect..................... quand des peuples, des groupes ne s'entendent pas ils se séparent et ne se mélangent pas, vivent leur culture,............. . |
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La vérité est sortie imprudemment de sa bouche. |
MAHAMAT (
27/01/2012 11:44 )
À Juvisy-sur-orge / France
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"L'INTERVENTION FRANçAISE A EVITE UN NOUVEAU GENOCIDE COMME AU RWANDA " Ces propos ont été bel et bien tenus par OUATTARA .Pour ceux et celles qui doutaient qui en doutaient encore ou qui faisaient preuve de mauvaise foi, on ne peut pas être plus clair.C'est bel et bien la france qui a tout manigancé en CI. |
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L'Injustice Hexagonale !!! |
numéro 7 (
27/01/2012 15:49 )
À Paris / France
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Comment un territoire qui abrite cela en autre http://www.cieletespace.fr/files/image_du_jour/Soyuz_1280.jpg peut etre autant " maltraité " par l'hexagone ingrat ??? |
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Info Prioritaire |
numéro 7 (
27/01/2012 16:11 )
À Paris / France
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Quand Grioo, parlera t'elle de cet événement qui s'est déroulé en Australie ( j'ai pu voir, comment les policiers australiens traitaient les aborigénes sur Euronews !!! ) Les noirs en France, sont sensibles à la cause aborigéne trés mal connu ici, nous les soutenons. http://www.bladi.net/forum/306417-premier-ministre-australien-bouscule-aborigenes/ |
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numéro 7 (
27/01/2012 16:17 )
À Paris / France
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Soutien aussi aux habitants de Papouasie Nouvelle Guinée ( d'origine et de traits africains ) qui subissent le colonialisme de L'Indonésie, la destruction de son écosystéme et le pillage de ses richesses , leur cas à d'ailleurs fait l'objet d'une émission de " Rendez Vous avec X " avec Patrick Pesnot. |
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Vanessa Tchatchou une héroïne blessée ,Courbée.. Elle refuse de rompre... |
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27/01/2012 16:23 )
À / France
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Couchée dans un lit d'hôpital depuis sept mois pour se tenir debout devant son droit d'avoir son bébé volé dès sa naissance, Vanessa Tchatchou devient un modèle pour ce peuple camerounais qualifié très souvent de lâche lorsqu'il s'agit de réclamer ses droits. Un bébé est-il devenu un objet sans valeur au Cameroun de Paul Biya? Qui prend la défense des mineurs au Cameroun pour que Vanessa Tchatchou 17 ans se batte toute seule contre le système judiciaire?
Quel exemple à suivre dans la lutte de l'établissement d'une société juste au Cameroun!
Brave , sportive, déterminée Vanessa Tchatchou du haut de son métre75 nous émerveille par sa détermination de retrouver son bébé volé dès sa naissance mais surtout nous émeut devant sa souffrance d'obtenir justice dans un pays nommé Cameroun pays passoire sans filtre.
Son histoire nous trouble d'autant plus qu'elle reflète la triste réalité du système judiciaire camerounais à plusieurs vitesses.
Quand le vol du bébé de Vanessa Tchatchou met à nu l’incompétence manifeste du système judiciaire camerounais aux yeux du monde entier, c'est tout un régime qu'il faut blâmer et un peuple qui voit une fois de plus l'image de son pays écorchée sur la scène internationale.
En 2012 au Cameroun il est évident que la justice est pour les riches les moins nantis n'ont que leurs larmes à verser et quand on est orpheline comme Vanessa Tchatou, il devient normal et acceptable de se faire voler son bébé dès sa naissance et surtout qu'aucun mécanisme public soit en mis en branle pour retrouver ce poupon.
Normal et acceptable, voilà deux qualificatifs qui qualifient le mieux le régime Biya. Au Cameroun de Paul Biya tout est normal et acceptable. Ce qui rend ce pays un passoire sans filtre qui laisse tout passer.
Genèse :
Vanessa Tchatchou Orpheline, 17 ans, son bébé a été volé quelques heures après sa naissance à l’hôpital gyneco-obstétrique et pédiatrique de Ngousso à Yaoundé. C’était le 20 août 2011. Depuis cette date, elle n’a pas quitté la formation hospitalière.
Lire la suite de l'histoire : http://www.camer.be/index1.php?art=17589&rub=11:1
Cadrage :
comment expliquer qu'une histoire d’enlèvement ou de vol d'enfant soit restée muette pendant sept mois au Cameroun?
Toutes les études démontrent que dès qu'il y a un cas de disparition ou de vol d’un enfant une alerte généralisée lancée le plutôt permet d’augmenter les chances de retrouver l'enfant disparu ou volé.
Au Canada il existe l'Alerte AMBER qui permet de répondre à une situation comme celle du vol du bébé de Vanessa Tchatchou.
Qu'est-ce que le programme d'alerte AMBER?
Chaque province du Canada a un programme d'alerte AMBER.
Le programme d'alerte AMBER est un programme innovateur mis en place dans toute la province en partenariat avec les services de police, les télédiffuseurs, les stations de radio et le grand public visant à retrouver des enfants victimes d'enlèvement.
Le programme donne de l'information immédiate et à jour sur un enlèvement par le truchement des médias à grande diffusion et demande l'aide du public afin de retrouver l'enfant rapidement et en toute sécurité.
Le programme d'alerte AMBER est un plan complet qui répond rapidement et de façon coordonnée aux enlèvements d'enfants dans chaque province.
Il s'agit d'un programme volontaire et concerté entre les services de police et les sociétés de diffusion locales visant à envoyer une alerte d'urgence au public lorsqu'un enfant a été enlevé et que l'on croit que sa vie est en danger.
L'alerte AMBER ne peut être activée que par un membre désigné d'un service policier ayant reçu l'autorisation de le faire et elle ne doit servir que dans les cas très graves d'enlèvement d'enfants.
Au Cameroun depuis sept mois c'est la confusion totale suite au vol du bébé de Vanessa Tchatchou depuis le 20 août 2011. Les circonstances du vol sont floues, les versions discordantes. Mais surtout il est dit selon une source proche du dossier que l’enfant se trouve entre les mains d’une femme magistrat résidant à Mfou.
Quand le vol du bébé de Vanessa Tchatchou met à nu l’incompétence manifeste du système judiciaire camerounais aux yeux du monde entier, c'est tout un régime qu'il faut blâmer et un peuple qui voit une fois de plus l'image de son pays écorchée sur la scène internationale.
Qui prend la défense des mineurs au Cameroun pour que Vanessa Tchatchou 17 ans se batte toute seule contre le système judiciaire?
Un bébé est-il devenu un objet sans valeur au Cameroun de Paul Biya?
Parce qu'on a 17 ans il est normal et acceptable de se faire voler son bébé dès sa naissance?
Telles nos questions de la semaine.
À toi Vanessa Tchatchou ma fille . Je t'appelle ma fille parce que tu es plus jeunes que certaines de mes nièces.
Ma fille, hier tu étais toute seule avec ta famille à te battre contre cette injustice, cette cruauté humaine que le système justiciaire camerounais t’impose suite au vol de ton bébé alors que tu n'as que 17 ans. Dans un État de droit c'est la protection de la jeunesse qui devrait t'accompagner dans tes démarches.
Ma fille j'ai lu avec une grande tristesse ton histoire. Pourtant de cette grande tristesse jaillissait l’espérance d'un Cameroun nouveau et justice.
Ma fille cette lumière qui brille dans tes yeux aux traits tirés signe de toute la pression que tu endures me fait croire au Cameroun de demain par des personnes aussi déterminées comme toi pour faire régner une justice pour tous.
Ma fille j'ai une grande admiration pour toi. En te Couchant dans un lit d'hôpital depuis sept mois pour te tenir debout devant ton droit d'avoir ton bébé volé dès sa naissance. Vanessa Tchatchou tu deviens un modèle pour ce peuple camerounais qualifié très souvent de lâche lorsqu'il s'agit de réclamer ses droits. Et c'est la raison pour laquelle tu fais la une de cette rubrique.
Ma fille, ton combat me rappelle celui des vaillantes combattantes comme Rosa parks qui s'est assise dans un bus pour se tenir debout, geste qui a marqué grandement la quête d'un monde juste.
Ma fille, un jour sur le web lors d'une action menée pour un monde meilleur et juste au Cameroun j'ai reçu ce commentaire d'un internaute( ConceptmanUsa)et je te le dédie: « VOUS ETES JEUNE,TENACE,COURAGEUSE ET ANIMEE DE CETTE VERVE INTELLIGENTE QUI SE TRADUIT PAR L'AUDACITE DE VOS ACTES ET ENGAGEMENTS!
SUR FOND DE SOURIRE,JE ME DIS...ELLE A DU CRAN,LA GAMINE...
ALORS N'ETES VOUS PAS DE CETTE CATEGORIE DE FEMMES REINCARNATRICES DE NOS LEGENDES ANCESTRALES TELLES,NEFERTITI,MAKEDA OU ENCORE LES AMAZONES DU BENIN,QUI D'ANTAN BRISERENT DES TONES DE TABOUS POUR QU'AU FIL DU TEMPS SURVIVENT LEURS GLOIRES? »
Tu es restée fidèle à tes valeurs à 17 ans tu es tombée enceinte et tu as gardé ton fœtus alors que certaines auraient opté pour l'avortement. Tu voulais de ce bébé et qu'on te rende ton bébé.
Ma fille aujourd'hui tu n'es plus seule. Je te prends dans mes bras et te couvre de tout mon amour et te rassure plus jamais tu ne seras seule. Le monde entier avec le pouvoir de la communication est avec toi et surveille de près ta situation.
Ma fille j’essuie tes larmes et laisses toi bercer par cette chanson de Bob Marley le temps d'un espace pour te ressourcer et te recentrer sur toi car tu en as grandement besoin comme toutes les grandes guerrières pendant le combat.
Vanessa Tchatchou une héroïne blessée dans sa chair, blessée dans son âme et blessée dans son esprit...Courbée, elle refuse de rompre...
L’objectif visé par ce débat est de faire de cette rubrique un carrefour de savoir, favoriser l’interaction; susciter la participation de tous et trouver des réponses ou des pistes de solutions sur certains enjeux précis de notre pays; Demeurer toujours avant-gardiste; Rendre utile au peuple camerounais la popularité de la rubrique; Apprendre à connaître la Chine une option stratégique et utile pour la nation camerounaise;
Le contenu de ce texte ne reflète pas nécessairement la prise de position des auteurs sur le sujet.
Le débat se doit d’être constructif et participatif. Nous vous convions d’ailleurs très fortement de soumettre des thèmes pour le futur.
Pour cette raison, veuillez contacter l’équipe de Camer.be (webmaster@camer.be ) qui se fera un réel plaisir de me transmettre vos questions et suggestions.
Votre participation est gage de réussite de cette rubrique hebdomadaire sur notre site http://www.camer.be C’est l’intérêt de notre peuple qui prime. Comment faire pour réagir ? Cliquer sur l’onglet réagir en bas de l’article et suivre les instructions. Nous vous remercions d’avance. Bonne semaine… A vos claviers...
Capsule de la semaine sur la Chine :
Année Lunaire Chinoise Année 2012 Commence le Lundi 23 Janvier 2012 au 09 février 2013 , c'est l’année du Dragon d'Eau!
Bonne année, bonne santé, que Bouddha vous offre la bonne fortune !.
Qu'est-ce que c'est le calendrier lunaire chinois ?
Le calendrier chinois est un calendrier soli-lunaire. Il intègre aussi bien la révolution de la Terre autour du Soleil que le mouvement de la Lune autour de la Terre.
Un mois commence toujours par le jour de la nouvelle lune (Lune invisible) et se termine par le jour avant la nouvelle lune suivante. La pleine lune se situe soit au 15, soit au 16 du mois.
Une année chinoise peut avoir 12 ou 13 mois lunaires, qui correspondent au nombre de nouvelles lunes entre les deux solstices d'hiver successifs. L'année est appelée bissextile s'il y a 13 mois lunaires dans l'année. |
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Cameroun, Affaire du bébé volé: Vanessa Tchatchou expulsée |
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27/01/2012 16:25 )
À Paris / France
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La mère a été interpellée, hier, par les gendarmes de la brigade de Ngousso, à la demande du procureur du Tribunal de première instance d’Ekounou.12h. Vanessa Tchatchou sort en larmes du bureau du commandant de brigade de Ngousso. Pieds nus, elle est vêtue de sa robe de chambre rose floquée du logo de l’hôpital gynéco-obstétrique et pédiatrique de Yaoundé. Elle vient de recevoir un appel. Son lit est sur le point d’être occupé par une autre patiente, lui a-t-on appris. La jeune maman semble déboussolée et ne sait pas quoi faire. « Depuis six mois ? J’ai fait quoi pour mériter ça ? Je ne vais pas à l’école à cause de cette histoire », se plaint-elle alors. Vanessa est accompagnée de sa mère et d’autres membres de sa famille qui expriment, eux aussi, leur ras-le-bol. Vanessa décide donc de rentrer à l’hôpital afin de récupérer son lit. Un gendarme l’en empêche. Dans l’altercation, sa robe se déchire au niveau de l’aisselle droite.
Tout commence aux environs de 10h, hier, mardi 24 janvier 2012. Deux gendarmes de la brigade de Ngousso demandent à Vanessa, assise sur son lit d’hôpital, de les suivre, sur ordre du procureur du Tribunal de première instance d’Ekounou. Celui-ci souhaite la rencontrer. Aucune convocation n’atteste leurs dires. Selon Me Olivier Pengue, avocat au barreau du Cameroun, il s’agit d’une interpellation. Cependant, au lieu de conduire directement la jeune maman auprès du procureur, les gendarmes se dirigent plutôt vers la brigade de Ngousso.
12h45mn. Trois gendarmes sont chargés de conduire la famille au bureau du procureur. D’emblée, Sylvie Jueyep refuse de s’y rendre. « Je ne vais nulle part ! Pourquoi vous voulez nous tuer dans l’obscurité. Tuez-nous sur la place publique, que tout le monde voie », hurle-t-elle. Après quelques minutes, elle change d’avis et grimpe à l’arrière du pick-up vert de la gendarmerie. Direction le palais de Justice d’Ekounou. Le procureur les y attend. Vanessa, sa mère et sa tante sont invitées à entrer dans le bureau du magistrat. L’entretien dure près de 45 minutes.
Coup de théâtre
D’après Sylvie Jueyep, il était initialement question d’expulser Vanessa de l’hôpital. « Il a commencé par dire qu’on n’a pas le droit de rester à l’hôpital et qu’il faut qu’on en sorte immédiatement. Quand je lui ai expliqué le problème en détail, il nous a écoutées et a demandé qu’on rédige une requête à travers laquelle on retrace tous les événements qui ont suivi le vol du bébé de Vanessa depuis le 20 août 2011 », explique Sylvie Jueyep. L’adolescente, quant à elle, doit rentrer à l’hôpital. Le procureur aurait demandé aux gendarmes de la reconduire dans l’enceinte de la formation hospitalière afin que le directeur lui signe un billet de sortie.
Seulement, les gendarmes n’ont pas l’intention d’obéir. Premier point de discorde : le procureur n’a pas signé une note les autorisant à raccompagner Vanessa jusqu’à son lit d’hôpital. « On a fini notre mission », répond l’un d’eux. Mais, la mère du bébé volé exige d’y être reconduite. Elle remonte donc dans le pick-up vert, qui prend la direction de la brigade de Ngousso. Lorsque nous mettions sous presse, Vanessa s’y trouvait encore. Jointe au téléphone, celle-ci nous fait comprendre que « j’ai l’impression que tout ça était un plan pour me faire sortir de l’hôpital. Les gendarmes disent ici qu’eux-mêmes vont aller prendre le billet de sortie. De plus, j’ai reçu un coup de fil qui m’annonce que la police nous attend là-bas et qu’elle a reçu l’ordre de m’empêcher d’entrer. On va seulement escalader pour accéder à l’hôpital. J’ai aussi appris que le directeur général a laissé à la guérite, une facture d’un montant de 500.000 FCfa à payer ».
Irène Fernande Ekouta
Intimidations: L’hôpital gynéco sous haute surveillance
La conférence de presse annoncée par Sosthène Fouda a été dispersée par les gendarmes et les policiers. L’homme politique de nouveau interpellé.
14h10. Esplanade de l’hôpital gynéco-obstétrique de Ngousso. Une dizaine de policiers sont en faction à l’entrée de l’hôpital. Armés de matraques, ils surveillent toutes les entrées et sorties des usagers. Ils sont aidés dans cette tâche par quatre gendarmes et les deux gardiens de service. La consigne est de ne pas laisser entrer les journalistes, ou toute personne qui cherche Vanessa Tchatchou, la mère du bébé volé. Des membres de la commission nationale des droits de l’homme et des libertés, qui se sont rendus hier à l’hôpital gynéco pour rencontrer Vanessa Tchatchou, ont été refoulés.
Quiconque se rapproche de la salle néo-natale, porte 2, est alors un suspect et refoulé. Ici, même les infirmiers sont en état d’alerte. « Monsieur, vous cherchez qui ici ? Il n’y a personne. Mettez-vous dehors ! ». Aussitôt, un des gardiens est prévenu. Celui-ci, à son tour, fait part de la « menace » qui se promène dans les couloirs de l’hôpital, au policier ou au gendarme. Les faits et gestes sont contrôlés. C’est l’ambiance qui régnait hier jusqu’en fin d’après-midi à l’hôpital gynéco, quelques heures après que Vanessa ait été expulsée par les gendarmes, de la chambre qu’elle occupait.
Vincent Sosthène Fouda
Le directeur général de l’hôpital, le Pr Doh Sama Anderson, n’était pas en reste du dispositif sécuritaire. Pendant de longues minutes, il s’est entretenu avec les forces de l’ordre à qui il faisait de grands gestes. Il semblait leur donner des instructions fermes. Du genre « Je ne veux plus voir cette fille ici ». Visiblement embêté par cette histoire de bébé volé, même à bord de sa Prado « CA 2430 C », il continuait à s’entretenir avec les gendarmes. « On ne veut plus le bien du père-ci », commente une infirmière de l’hôpital.
Trente minutes avant le déploiement du Dg, Vincent Sosthène Fouda avait déjà fait les frais des policiers. Ces derniers l’ont à nouveau interpellé, après avoir interdit qu’il tienne une conférence de presse au sujet du bébé volé de Vanessa, dans la cour de l’hôpital. « Vous allez perturber les autres malades. Vous-mêmes, si votre femme vient ici et elle voit cet attroupement, elle sera déstabilisée », lui lance le commissaire, brandissant l’interdiction de tenir la conférence de presse. Et Vincent Sosthène Fouda de lui rétorquer : « Ma femme ne viendra jamais dans un hôpital où on vole les enfants ». L’homme politique est embarqué et conduit au commissariat central n°1 où il se trouvait toujours au moment où nous mettions sous presse hier soir.
© Le Jour : Eitel Elessa Mbassi et Younoussa Ben Moussa (Stagiaire) |
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Cameroun, Affaire du bébé volé: Vanessa de nouveau à l’hôpital |
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27/01/2012 16:27 )
À Paris / France
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Décidée, déterminée, courageuse et prête à tout pour retrouver son bébé, Vanessa a passé la nuit plutôt devant le portail de l’hôpital, sous le froid et les intempéries, sous les regards médusés et troublés des passants, des malades et des personnels médicaux.Tôt ce matin, profitant de l’entrée d’un véhicule qui avait à bord une malade en urgence absolue, Vanessa a forcé pour entrer, malgré l’opposition des gardiens qui n’ont pas pu résister devant la fougue ultime et légitime de cette jeune maman. Elle était accompagnée de sa mère et de sa belle tante.
Vanessa s’est précipitée aussitôt vers sa chambre qu’elle a quitté hier et a réoccupé son lit, le même lit où elle a séjourné depuis six mois, n°12 de la chambre n°2.
Quelques instants après, deux femmes policières se sont présentées pour tenter de la chasser. Vanessa leur a demandé d’imaginer, en tant que femme et mère, ce qu’elle subi et ce qu’elle ressent. Les femmes abattues et profondément troublées à leur tour par le récit de toute cette souffrance, ont préféré se retirer sans violence.
Vanessa est donc à nouveau à l’hôpital, et le feuilleton continue.
Fait à Yaoundé, le 25 janvier 2012
Le président de la commission
© Comicodi.org : SHANDA TONME, Médiateur universel |
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Cameroun: Des membres du gouvernement suspectés de « complicité » du vol du bébé |
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27/01/2012 16:31 )
À Paris / France
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Cathérine Bakang Mbock affirme qu’il n’y a jamais eu vol de bébé. Son collègue Mama Fouda se terre dans un mutisme suspect, malgré les pressions venant de toute part. Le procureur d’Ekounou instruit une nouvelle enquête. Entre temps, des gendarmes tentent de déloger de force Vanessa Tchatchou de son lit d’hôpital.Aux dernières nouvelles, le procureur de la République près le tribunal de première instance de Yaoundé-Ekounou, a instruit l’ouverture d’une nouvelle enquête au sujet du bébé de Vanessa Tchatchou, volé quelques heures seulement après sa naissance le 20 août 2010 à l’Hôpital gynéco-obstétrique de Ngousso. Cette enquête sera diligentée, selon les instructions du magistrat, par le commandant de la brigade de gendarmerie de Ngousso en personne. Entre temps, des sources indiquent que la présumée voleuse aurait été refoulée d’une représentation diplomatique, où elle sollicitait un visa en vue de s’échapper avec le fruit des 8 mois de grossesse de cette pauvre ancienne élève du Lycée de Ngousso. Jusqu’ici, les précédentes enquêtes sont toujours au point mort. Celle ouverte par la brigade de Nkolmesseng à la suite de la plainte déposée par le directeur de l’Hôpital gynéco-obstétrique de Ngousso, deux jours après le constat du coup de vol, reste sans suite. De même que celle ouverte par la police judiciaire.
Entre temps, les membres du gouvernement dans leur entièreté restent silencieux face à cette grossière disparition de bébé dans la couveuse d’un hôpital pompeusement baptisé de référence. Une histoire rocambolesque qui ternit l’image du Cameroun. Même le ministre de la Santé publique, André Mama Fouda, sous la responsabilité de qui travaille le directeur de cet hôpital, reste muet. Ceci malgré les multiples interpellations venant aussi bien du président de la commission nationale anti-corruption, Dieudonné Massi Gams que des représentations diplomatiques.
« Je vais recouper l’information et te relancer », s’est contenté de promettre le chef de la cellule de communication du ministre Mama Fouda, joint au téléphone par le reporter de Le Messager en vue de savoir la position de son ministre au sujet de cette scabreuse affaire. Même Issa Tchiroma Bakary, le ministre de la Communication d’habitude très disert, n’a jusqu’ici fait aucune sortie médiatique pour situer les Camerounais sur les raisons de ce laxisme dans les enquêtes.
Le ministre Cathérine Bakang Mbock des Affaires sociales va même plus loin, en affirmant qu’aucun enfant n’a été volé à l’Hôpital gynéco-obstétrique de Ngousso. Ceci rentre d’ailleurs en contradiction avec la position du directeur de cet hôpital, qui reconnaît le vol du bébé de Vanessa dans une correspondance du 7 décembre. «En temps que femme, mère et ministre de la République à qui le chef de l’Etat a confié un certain nombre de missions, madame Bakang Mbock sait quelle est la douleur de l’enfantement. Elle sait qu’il y a une fille Vanessa Tchatchou qui a porté un enfant durant 8 mois de grossesse, que cet enfant est venu au monde et qu’il a disparu comme par enchantement dans un hôpital public. Elle sait comment l’enfant a été soustrait de l’affection de sa mère. Elle sait aussi là où il se trouve actuellement. Il faut qu’elle s’exprime. Sinon, son silence ne peut être considéré que comme complice », dénonce Vincent Sosthène Fouda, homme politique camerounais dont la candidature pour la présidentielle de 2011 a été recalée par Elections Cameroon.
Il se dit d’ailleurs très déterminé à faire jaillir la vérité dans cette affaire, pour que les criminels qui continuent d’être protégés soient démantelés. Ce mercredi, cet homme politique organise une manifestation pacifique devant l’hôpital incriminé.
Focal. Attention à l’enlèvement !
La jeune Vanessa Tchatchou fait face aux violences physiques de toutes sortes, malgré les souffrances morales qui la hantent au quotidien. Hier, 24 janvier 2012, aux environs de 13 heures, cette dernière à été presque traînée au sol par les éléments de la gendarmerie nationale, qui souhaitaient l’amener on ne sait trop où, pour une audition instruite par le procureur.
On dirait une tentative d’enlèvement, puisque le cas Vanessa devient déjà un casse tête pour les trafiquants aux cols blancs, qui exerceraient à l’hôpital gynéco. On se serait attendu que le procureur lui-même vienne entendre la jeune Vanessa sur son lit d’hôpital, compte tenu de la gravité de la situation et du manque d’objectivité qui caractérise les hommes en tenues dans le suivi de l’affaire. Mais ce qui reste curieux dans cette histoire, c’est que l’infirmière major qui officiait le jour du vol d’enfant, et sous la responsabilité de qui ce bébé se trouvait, n’a jamais été auditionnée. Un médecin dont le nom est régulièrement cité dans cette mafia, continue de vaquer sereinement à ses occupations.
La présumée voleuse aussi, une dame originaire de l’une des deux régions anglophones du pays et qui travaillerait comme substitut du procureur auprès du tribunal de première instance de Mfou, serait toujours terrée dans son domicile au quartier Odza à Yaoundé. Alors que cela ne fait plus l’ombre d’aucun doute, c’est elle qui détiendrait le bébé volé, selon certaines sources.
© Le Messager : Joseph Flavien KANKEU |
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Où est le rapport? |
MAHAMAT (
27/01/2012 19:43 )
À Juvisy-sur-orge / France
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"Paris France", avez-vous bien lu le titre, à savoir "Ouattara reçu jeudi par Sarkozy".
Je ne vois pas le rapport entre vos copies-collées et le sujet.
Soyez un peu plus discipliné.
Merci |
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Il n y a pas de rapport |
olmèque (
27/01/2012 21:56 )
À Montreal / Canada
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c'est du détournement d'attention...volontaire. Pourtant c'est la preuve la plus flagrante de la Françafrique. Le problème est grave parce que l' ingérence Française se cache derrière ses Accords, dans l'opinion interntional. En faites se sont des accords de droit de gouvernance, donc vous leur appartiendrez, chers amis ivoiriens, encore un moment. |
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Nous éburnéens, on est habitué à ce genre d'amusement de la galerie. |
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28/01/2012 01:09 )
À Avenheim / France
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Premièrement avec les écrivaillons petits Gaulois, les chantres de la désinformation, mais par contre a ce que les Françafricains si mettent aussi avec des copies collés, c'est vraiment lamentable, c'est affaire du vol de bébé c'est une affaire purement Camer de Camer.
Par contre le vol de la dépouille mortelle de ce digne fils d'Afrique MOUMIE, empoisonné en Suisse par les criminelles FranSSais.
Dépouille voler par les barbouzes Gaulois dans le cimetière de CONAKRY en GUINEE de Sékou TOURE, les même ont fait silence radio, y compris pour l 'assassinat de son épouse.
Ce MOSSI Adokaflêh, partira les 2 pieds devants dans son Burkina, à SINDOU.
Ce Apatride, n'est pas chez lui, en EBURNIE, il peut signer tout ce qu'il veut avec le nain de jardin Gaulois, ont le feras partir, ont lui fera une grosse blague, ont va lui décharger ses piles cardiaques, comme ça il verra qui à mis l'eau dans COCO. |
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La FranSSe pays du dictateur nabot, à la sortie du METRO des champs élysées, pour le dépôt de gerbe de MOSSI Watt-le-Rat, sur la tombe du soldat inconnu, la police FranSSaise, à rafler, tous les noirs qui sortaient du métro, pourvus que tu sois noirs, san |
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28/01/2012 04:17 )
À Avenheim / France
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Le nain de jardin, dégage dans moins de 90 jours, et ton Mossi Adokafleh dégage avant le nain de jardin et puis y a rien.
Ces 2 là ce sont fait plaisir, ces signatures de merde, n'engage que ces 2 connards, les éburnéens ne se reconnaissent pas
dans ces pseudo accord de défense.
Ce apprenti dictateur apatride de surcroît pense, by-passé, nos parlementaires, et même notre sénat, ainsi que les membres
de la société civile, pour prendre des engagement farfelue au nom du peuple d'éburnie, il se croit où là dans son village de SINDOU, et même que le chef du village consulte d'abord les notables, ce dingue en liberté, va mordre la poussière.
C'est là on voit que ce Burkinabé n'est pas du tout intelligent, il avait juste à attendre que son parlement tribale élue avec 14% du corps électoral, se mette en place pour donner un semblant de crédit a son mépris des éburnéens.
Notre patience à ces limites, vraiment GBAGBO, Kafissa, c'est bien ce que je disait ce trouduc va se sauver de notre pays sans demander son reste.
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a FranSSe pays du dictateur nabot, à la sortie du METRO des champs élysées, pour le dépôt de gerbe de MOSSI Watt-le-Rat, sur la tombe du soldat inconnu, la police FranSSaise, à rafler, tous les noirs qui sortaient du métro, pourvus que tu sois noirs, sans |
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28/01/2012 04:20 )
À Avenheim / France
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