noir dans es camps nazis |
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13/10/2004 10:05 )
À Nice / France
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Un sujet explosif |
Kamatari (
13/10/2004 10:31 )
À Enghien / Belgium
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Pour le moins, ce livre, s'il est sérieux et bien documenté, est une bombe dont les effets pourraient être énormes. Le sujet était et fut oblitéré sans espoir d'être un jour cité.
Il faut penser que ce que Mitterand a fait du Rwanda n'est pas différent de ce qui s'est passé en Europe entre 1936 et 1945.
Ce serait une vision de ce back-office de l'Europe qui se veut de piété et de moraliste.
Ce serait la face cachée de cette Europe qui ne veut pas montrer cette face hideuse de ses syncrétismes religieux et barbares.
Car, il faut bien se rendre à l'évidence, la société de rejet de la différence qui domine en Europe est une dimension qui prend ses racines dans l'empire romain et de l'OPA de l'Eglise chrétienne sur ce domaine culturel.
C'est ce qui a eu pour conséquence le protestantisme et les autres mouvements de révolte que l'Europe a vécu.
Le My Flower des colons américains est cette forme de fuite face à l'intolérance de l'Europe du moment et probablement actuel.
Un feu ne s'éteint pas s'il est alimenté à tout moment.
Bref, après le calvaire des Juifs, des Gitans et d'autres "minorités" ethniques, nous pourrons avoir celle des "noirs" dans l'Europe de la barbarie nazie et fasciste.
On se rappelera que Henri Salvador a dû fuir Paris à vélo vers le Midi, dit-il, face à l'avancée des troupes allemandes. Il avait peur sans se rendre compte que beaucoup de Français étaient pro-nazis et fascistes déclarés.
Et aujourd'hui? Qu'en est-il?
L'Union Européenne serait-elle exempte de relents fscistes? Cela est peu probable lorsqu'on voit où vont certains financements des budgets et les distances que prennent la Grande Bretagne et les pays nordiques vis-à-vis de cette institution.
Déjà, le budget militaire est ddéfini en fonction des actions futurs en Afrique. Mais pourquoi là et nul part ailleurs? Gbagbo, Mobutu, Biya ou Sasu-Ngweso? Non! Contre les pays qui voudraient s'affranchir de la domination étrangère comme .... |
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Historique |
Cerno (
13/10/2004 10:58 )
À Éperon / Reunion
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Bravo à GRIOO pour cette fenêtre sur ce film courageux et son non moins entreprenant réalisateur.
Ma question : Il était prévu un DVD avec le livre. Or sur le site AMAZON.FR seul le livre (à 13,21 euros) est annoncé. Y-a-il eu des problémes particuliers pour la sortie conjointe ou bien il s'agit d'un choix éditorial : une sortie séparée ?
Quelle est la nature des pressions subies pour freiner sinon empêcher la réalisation de ce film.
Je suis fier que cette initiative vienne d'un Ivoirien (pour ne pas dire un Africain du Continent ou Diaspora). Nous participons enfin à l'écriture sérieuse de notre histoire.
Bon Ku-rage. |
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Bravo Serge Bilé |
Stan (
13/10/2004 12:15 )
À Paris / France
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Bravo Serge !
Nous souhaitons tous que ton livre se vendra bien, d'ailleurs dès sa sortie, moi le premier, je courrai l'acheter et aussitôt l'avoir lu, je l'installerai dans ma bibliothèque au côté des nombreux oeuvres dont je dispose : écrits par des Noirs ou parlant d'eux. Merci encore d'enrichir notre culture et notre savoir. |
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curieuse |
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13/10/2004 12:37 )
À Lens / France
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Merci à grioo de nous informer sur cette partie de l'histoire parfois ignorée et oubliée.Dès que le livre sortira je pense que nous serons des milliers à aller l'acheter. |
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Le docu |
FT (
13/10/2004 13:06 )
À Créteil / France
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Le documentaire de Serge Bilé a-t-il été diffusé à la télévision française ? |
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souba |
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13/10/2004 18:59 )
À Montreal / Canada
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serge bilé avait été victime de racisme de la part d'antillais en martinique ou il présentait le journal sur RFO martinique, vitres de voiture cassée, crachat etc parce qu'il est africain |
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Le nègre est têtue |
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14/10/2004 10:25 )
À Sainte-clotilde / Reunion
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de quoi sagit-il, et surtout pas une decouverte de la part de Bilé, les livre sur les Nègres dans les camps existent, sur deux ouvrages, Michele Maillet et celui Dores. Ils sont ou les bibliothèques et libraires africain's, des nègre de Bordeaux, Paris et Nancy on fut deporter des les camps nazi des 1943.
"un homme cultiver est un homme intelligent"
le seul risque que prend Bile est le plagiat... |
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la critique inutile est le propre du nègre |
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14/10/2004 11:56 )
À / France
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votre réaction me choque, mais autant vous dire que mieux vaut plagier et instruire un grand nombre, que être instruit et mourir enflé d'orgueil de sa connaissance |
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les noirs dans les camps des nazis |
africaine (
14/10/2004 12:41 )
À / Switzerland
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bravo à mr bilé et souba merci pour l'information aux antilles il faut que le message on va le projecter le 21 10donc jeudi prochain bravo encore mr bilé voici mon mail souba ndaje27@yahoo.fr |
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la lettre de mr bilé sur le racisme dont il était victime |
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14/10/2004 20:54 )
À Montreal / Canada
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La lettre de Serge Bilé :
CHRONIQUE D'UN RACISME ORDINAIRE A RFO-MARTINIQUE
Le mardi 21 janvier 2003, je me retrouve à la cafétéria de RFO avec Michel Traoré, le directeur des antennes de la station de Martinique.
Je lui fais remarquer que la rédaction, mais pas seulement elle, n'était pas d'accord avec la direction sur la façon dont nous avons rendu hommage à Edith Lefel la veille à 20H après le journal télévisé et qu'il y avait mieux à faire avec plus d'archives encore.
Michel Traoré me toise alors et me répond sèchement : « dès lors que mon peuple est content, ça me suffit. Toi, tu peux dire ce que tu veux » avant d'ajouter plus loin : « moi, je suis martiniquais et je te parle comme je veux ».
Non content de cela, il se rend dans plusieurs bureaux pour se vanter de ce qu'il vient de faire. La scripte Huguette Odina l'a ainsi vu raconter fièrement au directeur-adjoint de RFO, Max-Maurice Madelon qui en a ri, qu'il avait « ramassé un étranger ».
J'alerte aussitôt la directrice régionale Liliane Francil qui, au lieu de prendre ses responsabilités, cherche à minimiser l'incident en expliquant qu'il ne faut pas s'en faire pour si peu, qu'elle a connu le même racisme quand elle travaillait à RFO-Guadeloupe où on la considérait comme une « étrangère » martiniquaise.
Elle finit tout de même, en apprenant que je menace de voir le procureur de la république, par réagir le lendemain à la demande de la direction nationale, également alertée et indignée qu'un cadre de RFO puisse tenir de tels propos d'exclusion.
Mais voilà, pour rédiger son rapport, elle me fait appeler à son bureau deux heures avant le journal télévisé alors que j'insiste pour lui dire que « je n'ai à cet instant ni le temps ni la tête à ça ».
Et à ma grande surprise elle me reçoit avec son adjoint Max-Maurice Madelon comme pour me montrer qu'elle n'a rien à faire qu'on reproche à celui-ci d'avoir acquiescé des propos racistes en en riant avec son auteur.
Plus grave, j'apprends qu'elle a également convoqué la scripte Huguette Odina pour faire pression sur elle afin qu'elle se désolidarise de moi.
Mais je ne suis pas au bout de mes surprises : quand j'arrive chez le procureur Serge Samuel, il m'apprend qu'il a reçu quelques minutes plus tôt un coup de fil de Liliane Francil qui a voulu lui faire comprendre que « ce qui m'arrive n'est pas bien grave » et que je réagis en gros ainsi parce que je suis « aigri » faute d'avoir obtenu « une promotion ». Hallucinant !
Ai-je l'air d'un garçon « aigri » quand on me voir faire tout ce que je fais ici en et pour la Martinique ?
Le procureur lui en tout cas est « abasourdi » et « consterné » d'apprendre, en les lisant, qu'au delà de cet incident, je reçois depuis des mois des lettres anonymes d'insultes et de racisme de la part de mes propres collègues.
Il faut dire que cette affaire intervient une semaine après un autre incident que j'ai eu à dénoncer publiquement au sein de RFO. La directrice régionale a transmis au rédacteur en chef qui me l'a remise une lettre dans laquelle une téléspectatrice (Liliane Mangatal habitant au C402 Morne Vannier Village à Fort-de-France/ 0596736253) s'indigne qu'on ait « importé » un « Africain » pour présenter le journal télévisé en Martinique.
Difficile de faire pire pour déstabiliser un journaliste qui s'apprête alors à interviewer la ministre Brigitte Girardin sur fond de tension dans la rédaction.
Ayant en effet été désigné pour présenter le journal ce soir-là, j'avais demandé à faire cette interview seul alors qu'un de mes collègues avec lequel je ne m'entends pas spécialement voulait venir en plateau réaliser l'entretien. Il y a eu passe d'armes et des allers-retours crispés avec l'encadrement.
Or il se trouve que depuis plusieurs mois, chaque fois qu'il y a une tension dans la rédaction, je reçois automatiquement des lettres anonymes écrites-je le répète encore- par des gens de RFO.
En 1996 déjà, deux ans après mon arrivée, j'avais eu à publier un communiqué de presse repris par les médias, pour dénoncer une attaque raciste dont j'avais été victime de la part d'un de mes confrères.
Depuis, les plus acharnés s'étaient calmés, du moins en apparence, mais les vexations n'ont jamais cessé : tentative de déstabilisation sur le journal télévisé avec une intervention de salariés demandant qu'on m'enlève de l'antenne au profit d'un Martiniquais (Maître Claude Dispagne qui m'accompagnait ce jour là dans le bureau du directeur de l'époque, Claude Ruben, peut en témoigner).
Problème de titularisation avec un syndicaliste-maison qui s'oppose publiquement à ses collègues de la CSTM pour ne pas qu'on intègre un « Africain » en Martinique, crachats plusieurs fois sur le pare-brise de ma voiture garée dans la cour de la station, graffitis racistes sur mon bureau après une élection de délégué du personnel où j'étais candidat.
Exclusion sans explication de la cellule politique à l'avènement d'un encadrement antillais, maintien depuis 10 ans dans un statut de « journaliste de base » comme un simple débutant par une direction qui vient paradoxalement de proposer ma candidature pour un poste, mais ailleurs, sur la radio… Africa n°1.
Dégoûté, mais ne voulant pas faire de « scandale » et jeter l'opprobre sur la station, j'ai alerté Luc Laventure et demandé au directeur de l'information Stéphane Bijoux de me trouver une autre affectation loin de laMartinique.
Mais aujourd'hui, après avoir trop longtemps gardé tout ça pour moi au risque de verser parfois dans des réactions d'agressivité contraire à ma nature, j'ai décidé quoi qu'il m'en coûte de faire front face à cette escalade qui gagne désormais les cadres de RFO et qui arrive en écho à des propos racistes, anciens et récents, lancés à mon encontre également par quelques hommes politiques comme le conseiller régional Louis Boutrin qui s'est lui aussi devant témoin (le photographe Bernard Dordonne de France-Antilles) laissé aller à dire que ma place « n'était pas ici mais à Ouagadougou »
Oui ! J'ai décidé de faire front parce que maintenant ça suffit ! Tout ce que je veux, c'est qu'on me foute la paix une fois pour toutes !
Serge Bilé
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!!! |
? (
14/10/2004 21:00 )
À Montreal / Canada
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!!! décidément les antillais me dégoutent de plus en plus du moins la majorité. le metissage explique cela |
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Bravo x 2! |
Ma-Lembe (
14/10/2004 21:36 )
À Le Gosier / Guadeloupe
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À Grioo pour l'annonce de cet information, ce petit "détail" oublié de nos livres d'histoire. À chaque fois que je posais la question à mes profs d'histoire, ils ne savaient pas me répondre et rebondissaient immédiatement sur la communauté tzigane!
Quant aux critiques sur les antillais et le "métissage qui explique cela", encore une fois, je trouve qu'écrire ce genre de réactions à côté d'un tel article, démontre d'un esprit étroit et plus ou moins tortueux. Bravo! |
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Une africaine |
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14/10/2004 23:12 )
À Oakland / United States
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A celui qui a ecrit du plagiat. Il y a plusieurs livres sur les juifs. Nul ne parle de plagiat a ce point. Pour mon frere Serge Bile, ton livre est tres attendu aux EU. Je te souhaite une bonne continuation et surtout beaucoup de succes. Je laisse cette pensee aux africains(antillais)une lionne nee en afrique, se retrouve au pole nord. Ses enfants ne seront pas de la glace. Ils resteront a jamais des lionceaux. Des que les africains du monde comprendront qu'ils n' y a pas de difference entre eux. La bataille sera gagnee a moitie. |
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a une africaine (
15/10/2004 02:13 )
À / United States
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ok mais quand ces antillais te diront qu'en arrivant au pole nord ils ont rencontré des esquimaux avec qui ils se sont melangés pour ne plus te ressembler tu leur diras quoi
je lis ce mot de bilé et franchement, on ne s'en sortira jamais car le colon a vraiment trop bien accompli son travail. sans commentaires |
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FT (
15/10/2004 09:08 )
À Créteil / France
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Quelle tristesse cette guerre permanente entre certains Antillais et certains Africains du continent !
Le sujet initial était la déportation des Noirs pendant la période nazie. Je ne crois pas qu'Hitler et ses sbires aient fait une quelconque différence entre les Noirs.
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vivi (
15/10/2004 15:24 )
À Madrid / Spain
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Martiniquaise, je suis étonnée et attristée par le racisme que subit Mr Bilé, d'autant plus que contrairement à ce que l'on pourrait penser beaucoup de Martiniquais le considère comme un bon journaliste.
Je ne vais pas m'étendre sur les relations souvent difficiles entre Africains et Antillais, mais je trouverais dommage qu'on mette tous les antillais dans le même sac. La connerie existe de partout, aux Antilles, en Europe et en Afrique et généraliser les comportements n'améliore en rien les choses.
En ce qui concerne l'initiative de Serge Bilé, je la trouve louable et nécessaire. J'avoue que je ne savais rien de la présence de noirs dans les camps de concentration (je ne savais même pas qu'il y en avait); aussi je compte bien me procurer ce livre. Je partage cette volonté de faire savoir notre histoire à notre peuple mais aussi aux autres. Et Mr Bilé, à démontrer qu'il s'en sortait très bien en ce domaine.
Merci M. Bilé. |
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Une africaine |
(
16/10/2004 01:58 )
À Oakland / United States
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Je les guiderai a des librairies. Ou, ils pourront se procurer des livres d'histoires, comme "The slaves narratives du Dr. Henri Gates ". Ensuite je les conseillerai de prendre des cours d'histoires africaines parce que je retrouve tous les criteres d'une personne tres complexee dans leur message"pour ne plus te ressembler". Je leur dirai de me montrer la difference entre aimee cesaire et senghor. Tous les deux sont des africains. A une fouille a Paris ou New York, Montreal ou Londre les policiers les traiteront de la meme maniere sans distinction. Pour finir je prendrai l'exemple d'aristide puisque c'est la plus recente. Apres 400 ans en Haiti les esquimaux n'ont apparement pas vu le geant melange pour le confondre a eux. Lorsqu'ils l'ont rapatrie en Afrique, sa mere patrie. |
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Une africaine |
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16/10/2004 06:07 )
À Oakland / United States
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Je les guiderai a des librairies. Ou, ils pourront se procurer des livres d'histoires comme" The slave narratives du Dr. Henri gates". Je les conseillerai de prendre des cours d'histoires africaines parce que, je retrouve tous les criteres d'une personne bourre de complexes d'inferiorite. je leur dirai de me montrer la difference entre Aimee Cesaire et Senghor. la suite est au-dessus. |
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frantim (
16/10/2004 22:04 )
À Cusset / France
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Sans tenter d'excuser de tel comportement oh combien répréhensibles et condamnables . mettre tout les antillais dans le même sac du dégout me parait excessif .comme dans toute société qui se respecte il y a des imbeciles notoires se qui est de plus en plus inquietant c'est que cela touche de plus en plus des gens qui occupent de haute fonction ou responsabilité qui s'autoprotège en toute quietude et inpunité.bravo mr bilé de vous êtes montré digne face a ce corporatisme de carrieristes exacerbés et sottement hautain dénués de tout respect même le plus élémentaire. |
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