Ecrire
une réaction
Bamba Yacouba : "ce qui se passe en Côte d'Ivoire est scandaleux" |
Nombre de messages:
16
Pages:
1
|
samojah (
03/01/2011 18:15 )
À Maisons-alfort / France
|
MR Bamba Yacouba à vous lire on peut avoir l' impression que vous dites des choses coherentes j' ai suivi les explications du president de la cei france vous semblez être celui par qui la fraude a été validé à grande echelle de plus vous ne pouvez pas être crédible tout comme le president de la cei vous residez actuellement en france donc on sait plus clairement qui sont les maîtres du hold up electoral vous avez mis la côte d' ivoire a feu et à sang et au lieu d' être traduit au TPI toi et BAGAYOKO on assiste à un renversement de valeurs les voleurs en libérté et les justes en prison |
|
 |
 |
Bamba Yacouba : Fraudeur |
Komlan (
03/01/2011 18:35 )
À Abidjan / Cote D'Ivoire
|
Voici un proche de OUATTARA, érigé en porte-parole de la CEI. Un petit TRUAND qui pensait que nous allions rester les bras croisés face à leur hold-up électoral.
Nous avons été vigilants. Malgré nos maigres moyens (parceque vous avez les grandes chaines d'information avec vous), nous nous battrons pour que le monde entier découvre vos fraudes, vos mensonges, vos trichéries....
Vous avons pu faire cette video pour montrer comment vous avez fraudé. Dans certaines régions, le nombre de votants est tout simplement supérieur au nombre d'inscrits (ça s'appelle bourrage d'urnes). Dans la précipitation vous n'avez meme pas vu ça. C'est quand meme grossier. Regardez vous meme les documents de fraudes avec la signature de ce piètre Bamba Yacouba.
http://www.youtube.com/watch?v=3eXTTNZJObo&feature=player_detailpage
|
|
 |
 |
Fraude |
Henri (
03/01/2011 18:42 )
À Paris / France
|
Au premier tour à Bouake, ADO avait fait 83.000 et HKB 63.000, comment ADO aurait-il pu faire 42.000 au second tour?
On parle de "multiples" fraudes, pourquoi c'est le même PV qu'on voit partout? |
|
 |
 |
@ Henri |
Gohi-BI (
03/01/2011 19:31 )
À Abidjan / Cote D'Ivoire
|
Tu as quel problème avec ce PV ?
Il ne te suffit pas pour démontrer l'esprit des ces fraudeurs ?
Tu veux qu'on scanne les 2000 autres PV de fraude pour que tu sois convaincu ?
Come on ! |
|
 |
 |
Oui |
Henri (
03/01/2011 19:37 )
À Paris / France
|
Oui, scannez donc d'autres PV.
Ca fait plus d'un mois qu'il y a eu l'élection, il y a eu "beaucoup de fraudes", mais c'est le même PV qui circule.
Et quand on regarde certaines vidéos de France 24, c'est pas ce format de PV qu'on aperçoit.
S'il y a tant de fraudes, pourquoi on nous montre pas plus de PV bidonnés?
Et réponds à ma question:
pourquoi ADO aurait perdu plus de la moitié de ses votes à Bouake entre deux tours alors que même LG a augmenté ses votes dans cette zone "tenue par les rebelles"? |
|
 |
 |
bravo m. yacouba!!!! |
djibril (
03/01/2011 20:09 )
À Versoix / Switzerland
|
Bravo m. Yacouba, votre exposé est très clair, il n'y a rien à en redire.... bravo et bon travail... il est clair qu'en Afrique la plupart des pays ne sont pas encore prêt pour la démocratie.... |
|
 |
 |
La chine est-elle démocratique?et Pourquoi attaque-t-on la Côte d'Ivoire? |
(
03/01/2011 21:58 )
À Garges-lès-gonesse / France
|
Complot international contre la Côte d’Ivoire La jeunesse africaine fait bloc derrière Gbagbo
Source : Le Temps : Dernière Mise à jour : 03/01/2011
L’Afrique aux Africains. Tel est le slogan de l’Union de la jeunesse africaine (Uja). Celle-ci a pris position dans la crise post-électorale que la France a créée en Côte d’Ivoire. Réunie en décembre dernier à Bamako au Mali, la jeunesse africaine s’est rangée du côté de la légalité constitutionnelle incarnée par le Président de la République, Laurent Gbagbo. Son président, Zadi Dago André Guythaud, élu à Bamako a donné clairement la position de cette organisation à travers un communiqué. L’Uja estime que l’Afrique doit être entièrement libre. Elle est pour la défense et la protection des intérêts du continent noir dans le respect de l’ordre constitutionnel. Après avoir effectué une mission de consultation d’environ une semaine en Côte d’Ivoire auprès des acteurs de la crise, l’Uja décide que : « nous jeunes de l’Union de la jeunesse africaine, sommes soucieux et conscients de ne pouvoir demeurer indifférents à la crise post-électorale en Côte d’Ivoire. Nous éprouvons donc la nécessité de soutenir la légalité constitutionnelle donc les résultats proclamés par le Conseil constitutionnel. En d’autres termes, nous soutenons le Président Laurent Gbagbo, président démocratiquement élu lors du deuxième tour de l’élection présidentielle du 28 novembre 2010 », a tranché l’Uja. Elle invite les jeunes africains à adopter des stratégies afin de faire reculer totalement l’impérialisme occidental hors du continent africain. L’Uja s’insurge contre l’attitude méprisante et irrespectueuse de la communauté internationale manipulée par la France dans la crise ivoirienne. «En définitive, l’Uja regroupant les 53 Etats africains met en garde la France et ses acolytes qui s’ingèrent dans les affaires intérieures des Etats africains», a menacé le président Zadi Dago. Notons que le soutien de l’Uja au président Gbagbo s’est fondé sur l’étude de certaines pièces à conviction qu’elle a obtenues au cours de sa mission en Côte d’Ivoire. Il s’agit de la constitution ivoirienne, des textes de la Cei, de la décision du Conseil constitutionnel, des procès verbaux de dépouillement et d’audition des victimes, de la composition des membres de la Cei et des cassettes audiovisuelles sur la présidentielle ivoirienne du 28 novembre.
Fabrice Tété
|
|
 |
 |
La vérité est imperissable,lisez |
(
03/01/2011 22:04 )
À Garges-lès-gonesse / France
|
Des anomalies troublantes dans les chiffres de la participation, au second tour du scrutin présidentiel en Côte d'Ivoire
L'examen attentif du taux de participation au second tour de l'élection présidentielle ivoirienne laisse apparaître de troublantes anomalies entre les chiffres annoncés immédiatement après le scrutin -le lundi 29 novembre et les jours suivants-, faisant état d'une participation autour de 70 % des électeurs et ceux proclamés le jeudi 2 décembre à l'Hôtel du Golf, par Youssouf Bakayoko, le président de la Commission électorale indépendante (CEI) qui indiquent une participation de 81 %.
Immédiatement après le second tour, le lundi 29 novembre et les deux jours suivants, des voix autorisées de la CEI, largement reprises par les agences de presse AFP, AP, Reuters et les médias internationaux, ont évoqué une « forte baisse de la participation » à l'élection présidentielle. Un sentiment partagé par la plupart les observateurs présents sur le terrain.
Ainsi, le vice-président de la CEI, Amadou Soumahoro, annonçait aux médias le lundi 29 novembre : « Le taux de participation au second tour de la présidentielle dimanche se situe autour de 70 %, en baisse par rapport au premier tour le 31 octobre où elle avait atteint 83 % »
Sur la chaîne nationale RTI Amadou Soumahoro indiquait encore: « Nous sommes surpris que le taux soit aussi élevé, contrairement à ce que nous pensions hier (dimanche). Nous craignions que nous n'atteignions même pas les 60% de taux de participation »
Cette annonce est reprise sous une forme ou une autre par l'ensemble des médias, y compris France24. Elle figure, bien entendu, sur l'ensemble des sites ivoiriens, dont le plus important d'entre eux (et proche d'Alassane Ouattara) www.abidjan.net.
La déclaration de M. Soumahoro confirme celle du porte-parole de la CEI, Bamba Yacouba le lundi 29 novembre 2010 qui déclare: « pour ce second tour de la présidentielle, le taux de participation qui est d'environ 70 % est en baisse par rapport à celui du premier tour qui s'élevait à plus de 80 % ».
Le mandat de la CEI a expiré le mercredi 1er décembre à minuit. La constitution ivoirienne prévoit alors qu'il appartient au Conseil constitutionnel d'examiner les recours et de proclamer les résultats, avant certification par le représentant spécial du SG de l'ONU, M. Youn-Jin Choï.
Or, coup de théâtre : le jeudi 2 décembre à 15h00, M. Youssouf Bakayoko, dont le mandat de président de la CEI avait expiré depuis minuit, a été conduit au siège de campagne d'Alassane Ouattara à l'hôtel du Golf, sous escorte armée d'éléments des FN (rébellion).
Là, devant Alassane Ouattara et Guillaume Soro, Henri Konan Bédié n'étant pas là et en l'absence de la majeure partie de la presse ivoirienne, le président de la CEI a présenté aux rares journalistes étrangers présents des résultats correspondant à une participation de 81,1 % :
Bureaux de vote : 19 854 Inscrits : 5 784 490 votants : 4 689 321 blancs et nuls : 99 147 Laurent Gbagbo : 2 107 055 Alassane Ouattara : 2 483 164
La différence de voix est de 376 109 en faveur d'Alassane Dramane Ouattara. Celui-ci obtiendrait alors 54,1 % des suffrages exprimés, contre 45,9 % à Laurent Gbagbo.
Maintenant que la pression électorale est retombée, il est légitime de s'interroger sur cet écart surprenant entre la participation estimée peu après la fermeture des bureaux de vote, confirmée par la CEI et par l'ensemble des observateurs et celle annoncée trois jours plus tard par la CEI à l'Hôtel du Golf. Cette différence est de 11 points soit 636 293 électeurs supplémentaires. Or, à l'évidence, personne n'a voté après la fermeture des bureaux de vote...
En déduisant 2,1 % de bulletins blancs et nuls (taux indiqué par la CEI) on arrive à environ 625 000 suffrages exprimés qui sont tombés du ciel entre la clôture du scrutin et le jeudi 2 décembre. A comparer avec une avance de 376 109 voix en faveur d'Alassane Ouattara selon la CEI.
On peut donc raisonnablement penser que les résultats annoncés par M. Youssouf Bakayoko (possiblement sous la contrainte de son escorte en armes) ne sont ni sincères ni véritables. Et que la certification des résultats par le représentant spécial du SG de l'ONU, M. Choï, s'est faite sur une base truquée.
Il semble d'ailleurs que cette incertitude sur la validité de la certification ait été à la base de la détermination de la Russie à refuser toute résolution du Conseil de sécurité en ce sens, celui-ci devant se contenter d'une simple déclaration, certes très dure dans le ton, mais non contraignante.
Pour préserver la démocratie en Côte d'Ivoire et trouver une issue à l'impasse politique actuelle, il est donc indispensable qu'un réexamen objectif des chiffres du scrutin aboutisse à la reconnaissance par l'ONU d'une erreur de certification, son représentant ayant probablement été abusé. Une annulation totale des résultats du second tour est alors possible avec fixation d'une nouvelle date. C'est le plus sûr moyen de sortie de crise.
http://resultatelectionpresidentielle2010-cotedivoire.ivoire-blog.com/archive/2010/12/14/des-anomalies-troublantes-dans-les-chiffres-de-la-participat.html
|
|
 |
 |
Il n'est qu'un chat sale ce Yacouba Bamba! |
(
03/01/2011 22:11 )
À Essen / Germany
|
Bel article à lire sur le monde.
http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/01/03/l-onu-recolonise-l-afrique_1460370_3232.html#ens_id=1445146 |
|
 |
 |
GRANDE MANISFESTATION DEVANT LEPARLEMENT EUROPEEN DE STRASBOURG le Samedi 08/01/2011 de 13h à 15h30 Avenue de l'Europe face à l'orangerie, a la suite de la manifestation une lettre sera remis au président Mr BUZEK |
yuotam (
03/01/2011 22:12 )
À Huningue / France
|
AFRICAINS ET IVOIRIENS venez nombreux dire non, à une nouvelle tentative, de ré-colonisation et de pillage.
C'est maintenant ou jamais, l'assassinat de Patrice LUMUNBA, dans les années 1960, avec la complicité de l' O.N.U., depuis cette date soit près de 50 années,
certains esclavagistes, veulent nous maintenir a leurs bottes.
Ne dite pas je m'en fou, c'est là tu te retrouve dans le bled de si je savais.
Pourquoi les Africains doivent-ils continuer à être humiliés en acceptant les coups d’états permanents de l’impérialisme français.
La Françafrique, 50 ans après les indépendances nominales? Force n’est-il pas de constater que les criminels dictateurs à l’instar du tyran Déby au Tchad, ou encore l'autre assassin de Thomas SANKARA, du Burkina-fasso Blaise COMPAORE.
Soutenus par la France sont imposés aux peuples ?
Ces despotes du pré carré français d’Afrique sont au pouvoir depuis au moins 20 ans pour chacun d'eux.
Et organisant des élections ou ces hommes de la Françafrique sont élus au 1er tour avec 80%, par la volonté impériale de la France.
En revanche, elle vilipende les dirigeants ou candidats africains insoumis ou progressistes, soutenus par les peuples.
|
|
 |
 |
BAMBA Yacouba ment avec sa bouche qui ressemble a un trou du " C " |
(
04/01/2011 01:05 )
À Huningue / France
|
Ce connard c'est assis sur les votes de la diaspora ivoirienne en France.
Il a vraiment bien appris sa leçon par cœur. “Nous avons payé 242 milliards pour rester maîtres de notre destin”. Elles ont coûté 261 milliards. Sur cette somme l'État de Côte d'ivoire a payé 242 milliards, soit 93%.
Nous avons consenti ces sacrifices politiques et financiers, pour rester maîtres de notre destin. C’était le prix à payer pour que personne ne nous impose ses choix de l’extérieur.
La côte d'ivoire c'est pas ton pays c'est pour cela, que toi et ton mossi dramane envoie tous ces apatrides brûler le drapeau Ivoirien dans nos Ambassades.
Même en temps normal cela mérite qu'on vous fusil avec des balles plonger dans du cyanure, au moins c'est sure qu'on ne vous rate pas.
Je dit bien c'est pas votre pays, c'est pour cela que vous le mettez a feu et a sang, toi ton papa qui s'appelle Séré qu'houphouet, a sauvé sous le régime d'hamed Sekou TOURE, tu veux venir foutre la merde dans un pays qui ta accueillie, et puis ton mossi dramane, toujours le même Houphouet à accueillie quand le FMI ne voulait plus de lui.
Quel ingratitude, le prochain peut crever au bord de la route, plutôt que de lui donner a boire fait moi confiance qu'on l'achèvera avant.
voici des connards qu'on accueillie si gentillement chez nous, en signe de reconnaissance ils viennent foutre le feu dans notre pays, bandes d'ingrats, les vrais ivoiriens mettront de l'ordre dans notre pays.
Depuis l'arrivée de mossi dramane en Côte d'ivoire en 1989, la CI na pas cesser sa descente en enfer, on va écraser la tête du serpent, même qu'on ne lui laissera aucune chance a sa queue de bouger, parce que celui là on le coupera avant.
Voici un gars et sa blondinette qu'on a laisser nous voler, au lieu de profiter du fruit de leur larcin, ils foutent la chienlit depuis 11 ans dans un pays si paisible, comme si la CI na pas de propriétaire, maintenant on va vous montrer qui à mis de l'eau dans noix de coco. |
|
 |
 |
MR BEMBA SI TU A ete paye par les francais |
(
04/01/2011 13:22 )
À Lübeck / Germany
|
petits fou ,,,,,,,,,,,, salaud tu ne sort pas a ABIDJAN POUR PARLER O ET FORT QUE OUATTARRA A GAGNER????????? pourquoi reste tu bloque a l hotel du golf comme ton reveur de mr ouattarra??????????? il fo sotir et parler |
|
 |
 |
voila un vrai faussaire |
(
04/01/2011 14:32 )
À Ilford / United Kingdom
|
je ne sais pas pa par quel tour de maggie ce yacou bien connu a abidjan pour etre un supporteur de ouattara est devenu porte parole de la cei. |
|
 |
 |
on veut fabriquer un président pour la ci |
(
04/01/2011 22:46 )
À Garges-lès-gonesse / France
|
Lu dans Korean Times, Journal de chez Young Jin Choi :On veut fabriquer un président pour la Côte d’Ivoire
Source : Notre voie : Dernière Mise à jour : 04/01/2011 (Auteur : autres)
La lutte du peuple ivoirien pour sa souveraineté est perçue, très loin, au-delà des frontières de la Côte d’Ivoire. En Corée du Sud où il enseigne à l’Université Hankuk de Séoul, le professeur Aka Miézan a fait publier, par le très célèbre quotidien Korean Times, l’article que nous reprenons ci-dessous. Sous le titre de « On veut fabriquer un président pour la Côte d’Ivoire », cet article a permis aux Coréens de mieux comprendre le rôle néfaste joué par leur compatriote, Young Jin Choi, Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU en Côte d’Ivoire.
La Côte d’Ivoire est dans une impasse politique à la suite de l’élection présidentielle qui était supposée réunifier le pays. Qu’est ce qui n’a pas marché ?
Après l’échec du coup d’Etat de 2002 qui s’est mué en rébellion avec l’occupation par les forces rebelles du Nord du pays, il a été organisé la table ronde de Marcoussis en France qui a réuni 10 partis et groupements politiques. Les participants se sont mis d’accord pour mettre en place un gouvernement d’union nationale et procéder au désarmement des rebelles et des milices. Cela devait se faire sous la supervision des forces françaises et ouest africaines en vue de créer les conditions idoines et nécessaires à l’organisation d’élections présidentielles libres, transparentes et démocratiques. Une nouvelle Commission électorale indépendante, composée des représentants des différents partis et groupements politiques fut mise en place.
La Commission électorale indépendante est composée de 461 membres desquels 42, c'est-à-dire 9% sont pro-Gbagbo, qui est le président-candidat à sa propre succession et 419 membres qui sont pro-Alassane Ouattara et opposition. Le Président de la Commission, M. Youssouf Bakayoko, est un pro-Ouattara. Pour équilibrer les choses et crédibiliser le travail de la CEI, le mode opératoire qui a été retenu pour la proclamation des résultats est le consensus et le comptage des bulletins manuellement et électroniquement.
La Constitution ivoirienne dit que la Commission électorale indépendante a 72 heures pour proclamer les résultats provisoires consolidés de manière consensuelle. Le Conseil constitutionnel est la seule et la plus haute juridiction du pays chargée de proclamer les résultats définitifs de l’élection présidentielle après avoir examiné toutes les requêtes formulées et les cas d’irrégularités observées. Il est important d’indiquer que le gouvernement a désarmé les milices dans la zone sud sous son contrôle. Les Forces rebelles occupant le nord du pays n’ont pas désarmé.
La situation de blocage que vit la Côte d’Ivoire est née des fraudes massives que le comptage électronique a fait apparaître et qui concernent les régions du pays encore sous le contrôle de la rébellion. Les rapports, procès verbaux et autres documents électoraux relatifs aux votes dans ces zones ont montré que dans la majorité des cas le nombre de suffrages exprimés était supérieur au nombre d’électeurs inscrits.
En outre, il ressort des rapports des observateurs africains des élections, invités et accrédités par la Commission électorale indépendante, que les électeurs pro-Gbagbo ont fait l’objet d’intimidation, ont été physiquement agressés (y compris des cas de viol et de meurtre) ; des bureaux de vote ont été vidés des représentants du candidat Gbagbo pour permettre le bourrage des urnes et leur transport par des éléments des forces rebelles. Ce qui est tout à fait contraire aux lois électoraux et à la démocratie. Le décompte des résultats dans la Vallée du Bandama, sous contrôle de la rébellion, n’a donc pas permis à la CEI d’arriver à un consensus.
Selon des documents soumis à la commission à la fin du vote, le candidat de l’opposition a eu les résultats suivants : Katiola (38.416) voix ; Bouaké (42.070) ;
Cependant, Sangaré Moussa, président de la CEI de la vallée du Bandama, a rapporté sur le PV un total de 244.571 voix. Soit un rajout de 94.873 voix en faveur du candidat de l’opposition Alassane Ouattara.
A la fin du scrutin électoral, tous les observateurs et les responsables des deux candidats ont affirmé que le taux de participation était de 70%. Quelques heures plus tard, le président de la Commission électorale indépendante annonce un taux de participation de 81% soit une différence de 11points. Ensuite, sur un total 20.073 bulletins de vote soumis à la vérification électronique, 2000 ont été rejetés pour chiffre du nombre d’électeurs non compatible avec le nombre d’inscrits. Tous les cas de fraudes observés s’élèvent à plus de 600.000 voix.
Sur 19 régions et départements électoraux, la Commission centrale de la CEI avait consolidé 15. Mais la commission avait des difficultés pour arriver à un consensus en ce qui concerne les régions et départements restants, zones sous le contrôle de la rébellion et où de graves irrégularités ont été observées. En plus de ces irrégularités, le porte-parole de la CEI, agissant sans le consensus prescrit par le mode opératoire et sans attendre l’arbitrage du Conseil constitutionnel, a pris sur lui d’invalider les résultats de toute la France au premier tour ainsi qu’au second tour alors que des échauffourées avaient éclaté entre des Ivoiriens seulement dans trois bureaux de vote de Paris.
Ces votes ainsi que les irrégularités graves (intimidations, atteintes à l’intégrité physique, femmes publiquement dénudées et violées, meurtres), dénoncées et consignées dans les rapports des observateurs, devraient être soumises à l’examen du Conseil constitutionnel pour délibération.
A cause donc de toutes ces irrégularités et surtout à cause de l’incapacité de la Commission électorale indépendante à proclamer les résultats provisoires dans le temps et conditions prescrits par la loi, il revenait, selon la Constitution de la Côte d’Ivoire, au Conseil constitutionnel le droit de se saisir du dossier, de délibérer et de proclamer les résultats définitifs de l’élection présidentielle.
Mais pendant que le Conseil constitutionnel était au travail, le Président de la Commission électorale indépendante a été précipitamment convoyé à l’hôtel du Golf, quartier général du candidat de l’opposition, pour y proclamer en toute illégalité des résultats et déclarer devant les caméras d’une télévision française et étrangères et du représentant des Nations Unies, Ouattara vainqueur du scrutin présidentiel.
Par la suite, le Conseil constitutionnel a déclaré que la Commission électorale indépendante était forclose et qu’elle n’avait plus, selon les procédures en vigueur et les prescriptions de la Constitution ivoirienne, le pouvoir de déclarer Ouattara vainqueur.
Il est tout aussi important de souligner que les
«résultats provisoires » certifiés par le représentant des nations Unies et communiqués par lui sont illégaux et de nul effet. Etant entendu que le Représentant des nations Unies ne certifie que les résultats définitifs proclamés par le Conseil constitutionnel et l’ensemble du processus électoral. Il a donc outrepassé ses prérogatives.
Le Conseil constitutionnel a donc analysé toutes les irrégularités, examiné l’ensemble des requêtes, des rapports, des procès verbaux et tous les documents électoraux. Il a déclaré en toute responsabilité Gbagbo Laurent vainqueur du scrutin. C’était le début du cauchemar post électoral ivoirien.
Par Ekra Miézan,
Ph.D, Maître Assistant, Université HANKUK,
Faculté d’Etudes étrangères de Séoul.
ekra@hufs.ac.kr
|
|
 |
 |
Si Gbagbo recule, sa femme va le taper Grave !! |
(
05/01/2011 11:05 )
À / France
|
A voir une des photos (Mr et Mme Gbagbo) de cet article. Si Gbagbo laisse le tablier ! Sa femme va le fouetter grave.
|
|
 |
 |
|
wattson mlac lorgb (
06/01/2011 01:27 )
À Chartres / France
|
ho cher yacouba vous menter .ils faisait double jeu soit au debut des elections ou ou au jour du deuxiemme tours il a changer d avis soit acheter ce jour la preuve ils dit nous cherchions un endroit pour donner les resultat . qui les ont deranger pouqoi ils les ont laisser aller a l hotel bizzarre ca ne colle pas cest un montage des mots inportant a retenir comme ultimatum democratie dictatur des mots qui resone qoi comme dit les policier |
|
 |
 |
Nombre de messages:
16 Pages:
1
|