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  Côte d'Ivoire : des tirs nourris entendus ce matin à Abidjan
Notamment autour de la résidence du général Philippe Mangou
 
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Côte d'Ivoire : des tirs nourris entendus ce matin à Abidjan

Nombre de messages
:  12
Pages:  1  

  Attaque de la résidence du chef d’état-major de l`armée: La situation sous contrôle!
zingh2006 ( 15/03/2011 07:30 )
À Paris / France

Des tirs à l’arme lourde ont été entendus lundi par des témoins autour de la résidence du chef d’état-major des Forces de défense et de sécurité, le général Philippe Mangou, à Yopougon (Abidjan) alors que les voies de sortie et d’entrée sont fermées depuis le matin par un dispositif de l’Opération de l’Onu en Côte d’Ivoire.

Les tirs d’une grande intensité ont débuté autour de 06h00 (heure locale et GMT), créant la panique au sein de la population riveraine dans le quartier populaire de Yopougon. Ces témoins font état de l’irruption d’un « groupe armé en treillis » à Yopougon Andokoua, dans le périmètre où habite le général Mangou.

Des soldats FDS postés en permanence autour de la résidence ont riposté, donnant lieu à un échange de coups de feux.

Il est 11h GMT, au moment où nous mettons sous presse, on apprend que les ponts ont été libérés et que la circulation a repris. Les FDS procèdent actuellement à un ratissage. Les rebelles qui ont attaqué ont pris la fuite. Un témoin signale un mort du côté rebelle qui a été pris avec des armes te des munitions dans un véhicule de transport en commun, appelé communément TAXI. Le véhicule serait actuellement aux mains de la police du 16 ème arrondissement pour nécessité d'enquête.

http://cotedivoire-lavraie.over-blog.fr/article-atta-69291992.html
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( 15/03/2011 08:37 )
À Paris / France

1er Gaou - Reuters sur la Côte d'Ivoire : entre lobbying cacaotier et propos débilisants

Reuters, comme l'AFP, jouit du douloureux privilèges de faire autorité. D'être (abondamment) citée comme "source fiable". Moyennant quoi elles peuvent raconter ce qu'elles veulent, ça devient de l'information. Il faut avoir vu l'AFP pondre en deux heures quatre différents dépêches-communiqués, aux contours résolument identiques pourtant, annonçant l'imminence d'une cruciale réunion de l'UA... ces dépêches-communiqués ne servant, empiriquement, qu'à rappeler jusqu'à ce que cela devienne vrai, en guise de conclusion, que Ouattara "a été élu" ou "est reconnu par la communauté internationale"... ou même "maintenant" seulement par "la quasi totalité de la communauté internationale"... Dernière pitrerie de Reuters (reprise illico par les chiens-chiens de l'Express du servile Barbier) : "Les jours de Gbagbo sont comptés, estime Paris"



Où l'on apprend par un diplomate (comme c'est agréable, la gorge profonde), que "des sacs de cacao pour une valeur de 1,5 milliard de dollars s'accumulent sur les quais du port d'Abidjan faute de pouvoir être vendus à l'étranger. La décision de Laurent Gbagbo, lundi, de spolier les entreprises des filières cacao et café présentes en Côte d'Ivoire semble inopérante." Si ça c'est pas du pur Lobbying !!!

C'est pas fini... "Les salaires de la fonction publique ne peuvent plus être payés", a ajouté le diplomate en expliquant que le moral des soldats encore fidèles à Gbagbo est d'autant plus bas qu'ils ont été incités à tuer des femmes qui manifestent." En 2011, en France, il y a des diplomates qui osent évoquer le moral à la baisse de soldats noirs tueurs de femmes...

http://www.legrigriinternational.com/article-1er-gaou-reuters-sur-la-cote-d-ivoire-entre-lobbying-cacaotier-et-propos-debilisants-69008296.html
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  Une question à"Grioo"
( 15/03/2011 10:38 )
À Strasbourg / France

Pourquoi vous ne faites pas part des avancées constantes et irréversibles des forces de Guillaume SORRO?
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  Les insurgés progressent dans Abidjan, les habitants plongés dans la peur danshttp://www.seneweb.com/news/Afrique/les-insurges-progressent-dans-abidjan-les-habitants-plonges-dans-la-peur_n_42443.html
( 15/03/2011 10:41 )
À Strasbourg / France

Des insurgés ont progressé lundi dans Abidjan, menaçant le pouvoir du président ivoirien sortant Laurent Gbagbo, alors que les combats à l`arme lourde qui se sont étendus dans la métropole plongeaient les habitants dans la peur. Jamais Abidjan n`avait connu des tels affrontements depuis le début de la crise née de la présidentielle de novembre 2010, qui a déjà fait près de 400 morts selon l`ONU, et menace de faire basculer le pays le plus riche de l`Afrique de l`Ouest francophone dans la guerre civile. De « grandes décisions » seront « arrêtées dans quelques heures », a annoncé lundi soir la télévision pro-Gbagbo, après une rencontre entre le président sortant et les généraux qui lui sont fidèles. Dans le quartier stratégique d`Adjamé (nord), des tirs sporadiques à l`arme légère avaient été entendus dans la journée. Mais vers 17H00 (locales et GMT), des tirs nourris d`armes lourdes ont éclaté, terrorisant les habitants des quartiers résidentiels voisins, a constaté un journaliste de l`AFP. Selon plusieurs témoignages, ces tirs provenaient du secteur de Williamsville, dans le centre d`Adjamé, qui abrite deux importants camps militaires, dont le camp de gendarmerie d`Agban, le plus grand du pays. « Ils sont en train de tirer, les murs tremblent, on est tous enfermés dans la maison », a confié une mère de famille, la gorge nouée. Les parents se sont précipités dans les écoles pour aller chercher leurs enfants. Un mécanicien de retour du travail en début de soirée a raconté qu`il avait dû « passer entre les rebelles » pour regagner sa maison située dans le secteur. En début de soirée, les armes lourdes se sont progressivement tues. Des tirs de kalachnikov ont retenti jusqu`à environ 20H30. Les militaires pro-Gbagbo ont installé un strict périmètre de sécurité autour des deux camps de Williamsville, dont ils gardaient toujours le contrôle, selon des habitants. Des insurgés favorables à Alassane Ouattara, reconnu président ivoirien par la communauté internationale, sont en grande partie maîtres de la zone nord d`Abidjan, dont le quartier voisin d`Abobo, au nord d`Adjamé. Ces insurgés, qui affrontent les forces armées fidèles à M. Gbagbo, ont au cours des derniers jours progressé vers le sud d`Abobo, Adjamé mais aussi la lisière du quartier de Cocody, menaçant de plus en plus le régime Gbagbo. Au sud d`Adjamé se trouve le quartier du Plateau, abritant le palais présidentiel. Dans la matinée avait eu lieu une attaque près de la résidence privée du général Philippe Mangou, chef d`état-major des forces pro-Gbagbo, à Yopougon, un autre quartier d`Abidjan. Des tirs à l`arme lourde avaient alors été entendus, pour la première fois depuis le début de la crise dans ce bastion du président sortant. A Koumassi (sud), des tirs d`arme légère ont également été signalés. Dans ce contexte d`extrême tension, la vie à Abidjan, métropole de cinq millions d`habitants, s`est presque arrêtée au cours de la journée. La circulation automobile s`est très fortement réduite, seuls circulant encore quelques taxis et de très rares transports en commun. Les nouveaux combats interviennent au lendemain d`une avancée des partisans de M. Ouattara dans l`ouest du pays, et alors que l`Union africaine a confirmé la victoire d`Alassane Ouattara, déjà reconnue par une grande partie de la communauté internationale mais rejetée par le camp Gbagbo. Samedi, les militaires pro-Gbagbo avaient lancé une offensive pour déloger les insurgés d`Abobo, faisant au moins une dizaine de morts. Mais cette opération n`avait manifestement pas enrayé la dynamique du « commando invisible ». Sur le front de l`ouest, les éléments des Forces nouvelles (FN), ex-rébelion alliée à M. Ouattara, ont encore progressé dimanche en prenant une quatrième ville depuis la mi-février, Doké. Ils tiennent le nord du pays depuis 2002.
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  En Côte d'Ivoire, la peur change de camp
( 15/03/2011 10:46 )
À Strasbourg / France

Abidjan, Envoyé spécial - Il y a encore quelques semaines, les soldats de Laurent Gbagbo auraient semé la terreur à Abobo, immense quartier du nord d’Abidjan, bastion de l’opposition au président sortant. Aujourd’hui, la peur a changé de camp .
A présent, une insurrection, qui avance masquée sous le nom de commando invisible pour taire l’identité de ses véritables chefs, est en train de faire
basculer le rapport de force en chassant par les armes d’une large bande couvrant tout le nord d’Abidjan les partisans armés de Laurent Gbagbo, civils et militaires.

Au fil des jours, les troupes de Laurent Gbagbo ont commencé à perdre de plus en plus d’hommes et de matériel, au fur et à mesure que le commando invisible voyait ses effectifs et son organisation se renforcer.
Il y a trois semaines, ils se glissaient en civil dans la foule, grenade en poche, enterraient leurs armes la journée pour ne les ressortir qu’à la nuit tombée. A présent, ils sont partout, depuis l’entrée d’Abobo jusque dans la banlieue d’Anyama, porte d’Abidjan vers les régions voisines.
http://www.lemonde.fr/international/article/2011/03/14/en-cote-d-ivoire-la-peur-change-de-camp_1492731_3210.html#ens_id=1476585
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  Côte d`Ivoire: les forces pro-Ouattara prennent une 4e localité de l`ouest
( 15/03/2011 10:49 )
À Strasbourg / France

Les forces alliées à Alassane Ouattara, président ivoirien reconnu par la communauté internationale, ont pris dimanche une nouvelle localité dans l`ouest au lendemain d`une offensive de leurs rivaux dans un quartier d`Abidjan ayant fait une dizaine de morts. Ces développements militaires, les plus importants depuis le début de la crise post-électorale, interviennent après un sommet jeudi de l`Union africaine consacrant l`impasse politique, avec la confirmation de la victoire de M. Ouattara, rejetée par le président sortant Laurent Gbagbo.

Ils coïncident également avec le retour à Abidjan, annoncé dimanche, de M. Ouattara, fort des soutiens de l`UA, du Nigeria, le poids lourd de la région, et du Burkina Faso. Dans l`ouest, les "rebelles" des Forces nouvelles (FN) "ont pris la ville de Doké, entre Toulépleu et Bloléquin" à l`issue de combats, a affirmé à l`AFP un milicien pro-Gbagbo, joint par téléphone depuis Abidjan. "Nos hommes sont actuellement stationnés à Doké", a confirmé un responsable FN basé à Man, principale ville du "Grand Ouest" ivoirien, frontalier du Liberia.

Depuis mi-février, les FN, qui tiennent le nord du pays depuis 2002, ont ainsi pris quatre localités de l`ouest, leur prise majeure ayant été la ville de Toulépleu, tombée le 6 mars après des combats contre les Forces de défense et de sécurité (FDS) fidèles à M. Gbagbo et les miliciens qui les appuient. L`objectif des forces pro-Ouattara est de prendre la ville de Bloléquin, à une dizaine de kilomètres de Doké, qui leur ouvrirait un accès au centre-ouest et au port de San Pedro (sud-ouest), le plus grand port d`exportation de cacao au monde. La Côte d`Ivoire est le premier producteur et exportateur mondial de cacao, la fève brune représentant avec le café (à un niveau moindre) 40% des recettes d`exportation du pays en temps normal.

Loin des caméras, M. Ouattara a effectué pendant ce temps un retour discret au Golf hôtel d`Abidjan, où il vit retranché sous blocus des FDS mais protégé par des Casques bleus de l`ONU et des éléments FN depuis fin 2010. Le camp Gbagbo avait interdit de vol les appareils de la mission de l`Onu en Côte d`Ivoire (Onuci) et de la force française Licorne, utilisés pour le transport des personnalités du camp Ouattara. Mais cette interdiction avait été rejetée tant à Paris qu`à New York. Ce retour intervient au moment où les habitants d`Abobo, quartier nord d`Abidjan et fief des partisans -civils ou armés- de M. Ouattara, comptaient leurs morts après l`offensive samedi des forces pro-Gbagbo. L`opération ne semblait pas pour l`heure avoir fait bouger les lignes, et Abobo demeurait un nid d`insurgés. Aucun bilan global n`a été fourni mais il atteint au moins une dizaine de morts, selon des constatations de journalistes de l`AFP et de témoins. Aucun tir d`arme lourde n`a été rapporté depuis samedi soir.

La vie reprenait progressivement, les commerces avaient rouvert, les minibus circulaient, des habitants se rendaient à l`église. Mais dans certains secteurs la tension restait palpable, et des habitants préféraient faire leurs valises. Quartier le plus peuplé d`Abidjan avec quelque 1,5 million d`habitants, Abobo est devenu l`épicentre de la crise post-électorale, qui a fait près de 400 morts dans le pays selon l`ONU. Le secrétaire général de l`Organisation internationale de la Francophonie (OIF), Abdou Diouf, a appelé le Conseil de sécurité de l`ONU à "prendre ses responsabilités", évoquant l`option d`une "opération militaire". "Il ne faut pas qu`on laisse s`installer cette guerre civile, a-t-ilalerté. Elle commence".
http://www.seneweb.com/news/Afrique/cote-d-ivoire-les-forces-pro-ouattara-prennent-une-4e-localite-de-l-ouest_n_42398.htm
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( 15/03/2011 21:48 )
À Garges-lès-gonesse / France

Nouvelles violences à Abidjan: 4 personnes tuées près d'un barrage pro-Gbagbo
De Christophe KOFFI (AFP) – Il y a 4 heures

ABIDJAN — Quatre personnes ont été tuées mardi par des hommes armés dans un quartier résidentiel d'Abidjan près d'un barrage tenu par de jeunes partisans du président ivoirien sortant Laurent Gbagbo, dans un nouvel accès de violences dans la capitale économique.

Ce raid ciblé intervient après une attaque lundi des insurgés favorables à Alassane Ouattara, président reconnu par la communauté internationale, sur un camp de policiers dans le quartier voisin d'Adjamé (nord). Les assaillants ont été repoussés par les militaires pro-Gbagbo.

Mardi, derrière un supermarché du quartier résidentiel de Cocody, des hommes armés non identifiés, arrivés à bord d'au moins un taxi à la hauteur d'un barrage tenu par des "jeunes patriotes" pro-Gbagbo, ont ouvert le feu, faisant quatre morts, selon des témoins.

L'identité des victimes restait incertaine, certains témoins affirmant qu'il s'agissait de passants alors que d'autres assuraient que les tués étaient des jeunes pro-Gbagbo.

"J'ai vu trois personnes sortir d'un taxi, mitraillette au poing, et ils ont +rafalé+. Les personnes touchées sont des passants, c'est horrible", a indiqué un habitant, racontant que les agresseurs avaient "pris la fuite à bord du même taxi".

Un autre témoin a de son côté affirmé que les "quatre jeunes couchés" sur le sol étaient des partisans de M. Gbagbo.

Selon un autre habitant, les auteurs de l'attaque étaient des "rebelles", terme employé par le camp Gbagbo pour désigner les insurgés favorables à Alassane Ouattara.

Depuis le début de la crise née de la présidentielle de novembre 2010, près de 400 personnes ont été tuées selon l'ONU, ces affrontements menaçant de faire basculer le pays dans la guerre civile.

Les Ivoiriens restaient mardi suspendus aux annonces des deux rivaux: la télévision publique contrôlée par le président sortant Gbagbo a promis lundi soir que de "grandes décisions" seraient "arrêtées dans quelques heures" alors que le camp adverse annonçait une intervention de M. Ouattara mardi soir sur sa propre chaîne de télévision.

La pression internationale demeurait forte: les chefs de la diplomatie des huit pays les plus industrialisés (G8) ont réaffirmé à Paris leur soutien à Alassane Ouattara et évoqué la possibilité de "nouvelles sanctions" à l'égard de "ceux qui font obstacle à une solution pacifique".

Lundi, dans le quartier d'Adjamé, les combats avaient été "très très durs", a raconté mardi à l'AFP un des policiers qui avaient défendu face aux insurgés le camp CRS du secteur de Williamsville, soulignant que les forces pro-Gbagbo avaient réussi à en garder le contrôle.

Les insurgés "étaient déterminés, ils escaladaient les murs comme des commandos, ils étaient nombreux", a-t-il ajouté.

Les Forces de défense et de sécurité (FDS) fidèles à M. Gbagbo ont repoussé les insurgés avec des armes lourdes et des renforts venus du camp de gendarmerie d'Agban, le plus grand du pays, situé aussi à Williamsville, un peu au sud-est du camp CRS.

"Sans l'appui des militaires d'Agban, le camp CRS serait tombé", a reconnu le policier du camp attaqué. Le camp d'Agban abrite le commandement de la gendarmerie, des unités d'intervention et de blindés.

Ces deux camps hautement stratégiques contrôlent l'accès au quartier du Plateau, coeur du pouvoir où est situé le palais présidentiel de Laurent Gbagbo.

Les insurgés avaient lancé leur offensive sur le camp CRS depuis la zone nord de la métropole ivoirienne, notamment du quartier voisin d'Abobo, qu'ils contrôlent en grande partie.

Lundi matin, une attaque avait aussi eu lieu à Abidjan près de la résidence privée du général Philippe Mangou, chef d'état-major des FDS, dans le quartier de Yopougon (ouest), bastion du président sortant visé pour la première fois depuis le début de la crise.

Copyright © 2011 AFP.
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( 15/03/2011 23:21 )
À Djelfa / Algeria

c'est bien noté, ce sont toujours les femmes de Ouatara aix mains nues qui avancent sur les autres quartiers d'Abidjan
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( 15/03/2011 23:22 )
À Djelfa / Algeria

J’ai toujours dit que ce qui qu’est passé en Tunisie n’aboutirait pas s’il avait une armée française stationnée dans le pays. Le cas du Gabon, du Togo du Cameroun (pour ces deux pays, détachement armé français prédisposé dans les régions : Afrique centrale et Afrique de l’Ouest) et de la Côte d’Ivoire.
J’ai dit aussi que ce qui s’est passé en Tunisie n’a rien à avoir avec le taux d’alphabétisation ou Face book. Les gens connaissent le chômage, la faim, l’injustice, la dictature, etc. et il a eu un évènement déclencheur avec un environnement favorable plus que jamais : Le président Américain qui a mis en garde dès le début les officiers des forces armées et de la police et a demandé aux dirigeants tunisiens et Egyptiens de reconnaître les droits à leurs peuples de manifester en appelant en même temps les 2 présidents à quitter les pouvoirs. Cela n’a jamais été le cas auparavant, encore moins dans un pays africain au sud de Sahara.
En ce qui concerne l’aspect intellectuel évoqué dans le 2 cas tunisiens et égyptiens, quoi de plus intellectuel que d’organiser les conférences nationales (initiée par le Bénin) pour la démocratie et le changement des régimes ! Cela veut dire que les pays arabes entrant dans le processus de démocratisation et de certaines libertés accumulent un retard d’une vingtaine d’années par rapport aux pays africains. Le Mali et l’Algérie ont suivi il y a plus de 20 ce que les tunisiens et égyptiens connaissent aujourd’hui. Le premier a abouti, le deuxième a échoué.
J’ai dis aussi que les évènements n’atteindront pas les pays Africains, car cela s’est déjà passé dans pays africains dans les années 1990 sous formes de conférences nationales et de révolutions. Les gens qui disent le contraire ne connaissent pas les réalités des pays africains. Les prises de positions à contre courant du président français concernant les cas ivoirien, tunisien, égyptien et libyen, et le discours du Sénégal en sont des exemples éloquents.
Le cas libyens aurait dû être un autre cas pour justifier le fait que le tribalisme n’est pas du tout un facteur défavorable en Afrique comme certains esprits ignorants le prétendent. Mais le problème libyen est tout autre qu’une révolution civile. Il s’agit d’une rébellion fortement armée et manipulée de l’extérieur pour solder le compte de Kadhafi (que je ne soutiens pas et ne justifie pas les morts).
Dans tous les 3 pays du Maghreb, ce qui est passé inaperçu, s’est aussi la haine, le mépris et la déshumanisation que ses populations ont à l’égard des Africains depuis 1400 ans à leur arrivée sur le continent Africain et qui transparaît dans les évènements que les Africains suivent de loin. Les Tunisiens ont brandi la menace d’envahissement des Africains pour recevoir la sympathie et les aides des Européens. On parle des Africains qui massacrent les libyens dans leur pays avec des chiffres précis sans jamais nous montrer les hommes. Ils demandent qu’ils soient abattus par les européens. Ils sont pour la plupart des pauvres immigrés candidats vers d’autres horizons (Europe) ou travailleurs qu’on ne trouve qu’en Libye en grand nombre du faut du panafricanisme du guide Libyen. Ce qui n’est pas le cas dans aucun autre pays arabe d’Afrique du nord et du moyen orient et qui fait réagir ainsi ces populations.
En clair, je n’écarte pas le fait qu’il y ait des mercenaires de nombreux pays pas seulement Africains, mais aussi du Maghreb de l’Europe et d’Asie, ceux-là mêmes que les mêmes libyens utilisent pour déstabiliser les pays africains et détruire leurs peuples (Tchad, Niger, Mali, Guinée, etc. Tout ce dernier fait a échappé à nos intellectuels, notamment journalistes africains qui ne sont que des journaleurs perroquets.
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  LE PANEL DE L'UA S'EN REMET AU CONSEIL CONSTITUTIONEL IVOIRIEN
( 16/03/2011 09:21 )
À Paris / France

http://www.dailymotion.com/video/xhll79_cote-d-ivoire-compte-rendu-des-decisions-du-panel-de-l-ua_news
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  DECULOTTEE DES REBELLES FACE AUX FDS : LES IMAGES DES COMBATS
zingh2006 ( 16/03/2011 11:07 )
À Paris / France

http://www.djibitv.com/video/8832/Une+arm%C3%A9e+de+M%C3%A9tier+face+%C3%A0+l%E2%80%99ennemi
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  @zingh2006
KAK ( 16/03/2011 18:32 )
À Paris / France

lol
Vous êtes de plus en plus nerveux. Ca sonne la fin n est ce pas? Votre gbagbo pdt que vous le soutenez envoie sa criminelle de femme acquérir des résidences dans certaines capitales de l'ouest africain... lol
Ah ha... Vos videos etc.. ne servent à rien, c'est le terrain qui compte. Finalemnt, moi qui pensait qu'il y allait avoir la guerre civile pour servir tous les haineux de votre petit pays , je suis déçu... Parce que la haine par la bouche c'est facile.. On l'entend moins ble goude la matchette.. Trop facile, d intimider les civils. Là ce sont les hommes comme eux habitués à se battre armes en mains qui arrivent et c'ets la debandade entre soldats qui glissent au liberia ....lol
GBAGBO tu as rtaison.. Restes au pouvoir, qui va t'en degager..... Y a personne ...mangou, ble goude etc....sont là pour garantir la securité du peuple..
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