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Côte d’Ivoire : Impossible extradition des pros Gbagbo du Ghana |
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la raison du porteur de fusil est toujours la meil.. |
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28/09/2012 13:13 )
À / Monaco
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quel article!
aucune analyse des faits mais plutot des opinions personnels,d'observations d'experts
sans nom.
n'ayant pas reussit a emprisonner tous ses opposants ouattara voudarit que les autres etats enferment les exilés sur simple denonciation,oui dires voire suspissions.
incapable de produire de preuves probantes ils ont ete debouté par la justice d'un autre etat.tout le monde ne peut pas s'offrir le luxe de la justice au bout de la kalach!
l'auteur parle de politique qui aurait mordu dans le champs de la politique mais n'est ce pas le cas quand un officer de justice militaire ange kessy transmet des soit disant preuve a un chef d'etat. etranger et pas a ses homologues de la justice?
katinan a fait de la prison sur de simple presomptions et a du payer une forte caution pour etre liberer meme face a une absence de preuve.
soro et ses com zone n'ont jamais passe 1 journée en prison au burkina faso ou ils etaient nourrit et logés par l'etat burkiné en preparant leur coup d'etat en 2002.
ouattara n'a jamais passe un jour en prison sous bedié quand il etait dans l'opposition et qu'il avait un mandat d'arret international sur le dos!
il faut savoir raison garder.mandela a mis fin a l'aparthaid sans tuer pourchasser ou emprisonner ses opposants.
ouattara peut bien reconcilier ses concitoyens pour une crise qu'il a financer et dont il est aujourdhui beneficiaire.
il a enfin le pouvoir qu'il arrete de se comporter en putchiste et qu'il devienne un vrai president
fini les exactions ,les viols ,les enlevement ,le musellement de la presse,la chasse aux opposants,les meurtres,la circulation d'armes,le rattrapage ethnique etc...
il ne va pas tuer les 46% qui ont voté pour gbagbo quand meme?
quant au ghana ,meme ouattara qui a ete en exil connait l'importance d'avoir un endroit sur ou vivre meme en dehors de son pays.lui qui sautait les murs pour se refugier dans les enceintes des ambassades etrangeres.
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28/09/2012 16:29 )
À Saint-avertin / France
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http://www.koaci.com/videos-77778 |
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Torchon |
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28/09/2012 17:38 )
À Paris / France
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25.09.2012
Lucie Bourthoumieux, avocate de Koné Katinan : "Alassane Ouattara a peut-être raté une carrière de gardien de prison"
Ce 25 septembre au matin, avant l'audience qui a eu lieu au tribunal d'Osu et au cours de laquelle Justin Koné Katinan, le porte-parole du président Laurent Gbagbo a bénéficié d'une mise en liberté sous caution, face à l'incapacité de l'accusation à fournir des documents pertinents - et traduits en anglais - venant d'Abidjan, le quotidien Le Nouveau Courrier publiait une interview de Lucie Bourthoumieux, avocate de Koné Katinan. Extraits.
Ce que Koné Katinan est allé faire en Afrique du Sud
"Nous y étions dans le cadre des missions traditionnelles du porte-parole, dont la feuille de route est de trouver par tous les moyens le chemin d’une vraie réconciliation en Côte d’Ivoire. Pour qu’enfin les Ivoiriens connaissent, dix ans après le début de la guerre, la paix que le président Gbagbo lui-même n’a eu de cesse de rechercher. C’est dans le cadre de cette mission que nous étions en Afrique du Sud, invités par les plus hautes autorités de cet Etat, pour faire le point, un an et demi après la chute du président Gbagbo, sur la situation politique et sociale en Côte d’Ivoire. Et à partir de là, voir ce que le grand pays qu’est l’Afrique du Sud peut faire pour encourager la paix et la réconciliation en Côte d’Ivoire. (...) L’Afrique du Sud est le seul pays d’Afrique qui fait partie du groupe des BRICS (pays émergents au sein duquel on trouve le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine, ndlr). A ce titre, il a un rôle géopolitique certain à jouer en Afrique. L’Afrique du Sud ne peut pas ne pas s’intéresser à ce qui se passe en Côte d’Ivoire. C’est pour cette raison que nous avons eu droit à un accueil attentif et à une grande écoute lors de nos entretiens. (...) Je pense que tous les pays du monde, l’Afrique du Sud, la France, les Etats-Unis, les pays d’Afrique… pour peu qu’ils veuillent être objectifs, ont conscience que la Côte d’Ivoire est un pays sans Etat. Pensez qu’en 2002, ce pays est attaqué par des déserteurs de l’armée ivoirienne qui se retrouvent dans une partie du pays dont ils font, dit-on, leur fief. On les appelle alors les «comzones». Pensez que ce sont ces mêmes personnes qui, pendant dix ans, ont vécu hors-la-loi, dans une région de non-droit, qui aujourd’hui s’occupent de la sécurité de la Côte d’Ivoire, l’Etat le plus important en termes économiques et financiers de l’Afrique de l’Ouest francophone. Des gens qui ne connaissent ni la notion de l’Etat ni le concept d’Etat de droit ! Je vous laisse faire des déductions sur tout ce que ces pays peuvent penser aujourd’hui. On espérait que malgré cette formidable promotion qu’ils ont eu de Ouattara, ce dernier ferait de la politique, prendrait en compte l’intérêt du peuple ivoirien. Il n’en est rien. Gbagbo représente au moins la moitié de la population ivoirienne. Et manifestement, cette moitié dérange Alassane Ouattara. Dans ces conditions, je ne connais pas un pays sérieux qui peut regarder la Côte d’Ivoire comme un Etat solide et tourné vers son avenir. La Côte d’Ivoire est un pays sans Etat, fragile, livré aux seigneurs de guerre, qui font leur loi, qui piétinent les lois internationales et la Constitution ivoirienne."
L'affaire Tsikata et les "mensonges" de Ouattara
"l y a une affaire pendante aujourd’hui devant les juridictions ghanéennes. L’affaire Tsikata [du nom de l’homme d’affaires véreux associé à Hamed Bakayoko qui devait servir d’appât pour impliquer les exilés dans un faux complot destiné à les compromettre, ndlr]. Le grand quotidien ghanéen, qui s’appelle Daily Graphic, a parlé de cette affaire en utilisant l’expression «faux coup d’Etat» en Côte d’Ivoire. Si ses journalistes ont pris le risque d’utiliser ce terme, c’est qu’ils ont certainement des éléments concordants qui le leur permettent. Je ne vais pas rentrer dans les détails de l’affaire, mais elle est très troublante et elle montre la façon de faire de M. Alassane Ouattara. Je ne suis pas sûr que les Ivoiriens méritent cela. Mentir de cette manière à son peuple devrait être considéré comme un crime. Figurez-vous que M. Alassane Ouattara se promène avec cette cassette [des enregistrements du Colonel Katé Gnatoa, «l’appât» de Tsikata, ndlr] dont il est le commanditaire comme preuve que le Ghana est une plateforme de déstabilisation de son pays ! Je rappelle que le Ghana est à l’est de la Côte d’Ivoire et tous les troubles que connaît la Côte d’Ivoire sont à l’ouest ! [L’interview a été réalisée avant la troublante attaque de Noé, ndlr]. Au-delà de ce que Koné Katinan et moi avons pu vivre, se pose le problème du type de société qu’Alassane Ouattara propose aux Ivoiriens."
L'enjeu du procès de Katinan
"Koné Katinan a une feuille de route donnée par le président Gbagbo. Un des points de cette feuille de route, c’est de considérer qu’à chaque fois qu’il arrive quelque chose à un responsable de la galaxie pro-Gbagbo, il est essentiel de penser aux autres. Il s’agit de mettre fin, à travers cette affaire, à la terreur psychologique à laquelle Alassane Ouattara soumet les exilés au Ghana. Il s’agit d’amener la justice ghanéenne à statuer, une fois pour toutes, sur cette question d’extradition des réfugiés politiques qui n’est pas possible au regard de la loi. Or la justice a ses propres lois, ses propres lenteurs, ses procédures auxquelles nous nous soumettons. On ne peut pas préjuger d’une décision judiciaire, mais en tant qu’auxiliaire de justice et au regard des textes, je peux vous affirmer que ni la loi ghanéenne ni les conventions qui lient le Ghana ne permettent d’extrader Koné Katinan vers la Côte d’Ivoire. Que Koné Katinan ait un statut de réfugié ou pas. Mais il se trouve qu’il a en plus un statut de réfugié. Koné Katinan ne peut être extradé. Et les autorités ghanéennes en sont conscientes. Il s’agit d’appliquer la loi et rien que la loi."
L'état d'esprit de Koné Katinan, ce qu'il faisait de ses journées à la DST ghanéenne
"Vous savez, Koné Katinan, c’est l’enfant de Gbagbo. Il est serein, déterminé et combatif. Comme le président Gbagbo. Il fait comme son mentor. Il lit beaucoup. Il ne reçoit pas beaucoup pour des raisons de sécurité. Bien entendu, en tant qu’avocate, j’ai la latitude d’entrer en contact avec lui très régulièrement. C’est le droit dans son expression la plus basique."
Les manoeuvres du régime Ouattara
"Je ne travaille pas avec l’équipe de M. Alassane Ouattara. Mais ce que je peux vous dire, c’est que les documents qui m’ont été transmis par l’Etat du Ghana provenant de l’Etat de Côte d’Ivoire étaient des documents en français traduits en anglais. Ce qui s’est passé le 13 septembre, c’est que le gouvernement ghanéen a reçu à la dernière minute – à l’audience, d’ailleurs – des documents venant d’Abidjan. Et au regard de cela, le juge, qui fait bien son travail, a demandé un ajournement pour en prendre connaissance. (...) Ce que je sais, c’est que la procédure inquisitoire a ceci de formidable qu’elle ne permet pas à un tribunal de prendre une décision sur des déclarations. Il faut qu’elles soient documentées avec des éléments de preuves et des éléments physiques, c’est-à-dire des témoins. Nous n’avons pas vu de témoins le 13 septembre. En l’état actuel de la procédure, je n’ai pas encore vu les documents qui ont été versés le 13 septembre à l’audience. Je ne sais pas s’ils étaient en français ou en anglais. C’est quand je les verrai que je pourrai dire si des éléments de preuve ont été constitués. Mais je peux vous dire que nous restons très curieux des éléments de preuves dont M. Alassane Ouattara peut bien se prévaloir. Je rappelle tout de même que l’on parle, en ce qui concerne la BCEAO, de 300 milliards de FCFA qui auraient été dérobés ! Il faut, bien entendu, mettre cela en parallèle avec le fait que de décembre à mars, l’Etat de Côte d’Ivoire a fait face à ses engagements… Les fonctionnaires ont été payés. Je n’ai pas souvenir qu’une fois au pouvoir, Ouattara ait payé les salaires de ces mois aux fonctionnaires…"
Propos recueillis par Grégory Protche (Le Gri-Gri International) et Théophile Kouamouo (Le Nouveau Courrier)
http://kouamouo.ivoire-blog.com/
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FASO Pas Net du Tout |
Coolman (
28/09/2012 18:19 )
À Abidjan / Cote D'Ivoire
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Ouattara est un Burkinabé. C'est donc normal que vous (Journal Burkinabé) parliez pour lui.
En ce qui nous concerne (nous ivoiriens), cet imposteur devant l’Éternel est un Usurpateur, soutenu par une mafia internationale pour s'accaparer des richesses du Pays.
Le moment viendra ou cette souffrance qu'il fait subir au paisible peuple de Côte d'Ivoire prendra FIN. |
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Pauvre RCI... |
TouTPUISSANT (
28/09/2012 20:10 )
À Paris / France
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Voila ce journal Burkinabé qui prend partie pour Wat- a- Rat,quoi de plus normal vs me direz...Mais la conscience collevctive Ivoirinne n'oubliera JAMAIS d'ou sont venus TOUS ces rebelles NORDISTE en 2002, qui les a ébérgé ,nourri et blanchit.Les Ivoiriens savent aussi que ce pays sahéliens du Nord a vendu pendant 10Ans leur cacao.Les Ivoiriens savent et se aussi avec quel argent des quartiers entier ont été érigés au BURKINA!!!!Don s les articles du FASO.NET...De grace, on s'en branle!!! |
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Pouriture de journaliste |
Adama (
01/10/2012 04:01 )
À / United Kingdom
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Qui est cette pouriture de journaliste qui ecrit ce genre d'ordures?. Cet article est minable. Ce journaliste n'est qu'un vendu a la solde de Ouattara le petit chien de service de la France en Cote d'ivoire.. |
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Ou les sont les soit disant preuves ??? |
(
01/10/2012 19:31 )
À Paris / France
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01.10.2012
Affaire Koné Katinan : les policiers ivoiriens ne se sont pas présentés à Interpol Ghana (Steve Beko)
Comme annoncé le samedi, policiers ivoiriens que Dramane avait envoyés au Ghana pour procéder à l’extradition du ministre Katinan étaient attendus ce jour au bureau d’Interpol Ghana pour justifier la nouvelle procédure pour crime de sang intentée contre le porte parole du président Gbagbo. A la stupeur générale, ceux-ci ne se sont pas présentés ce matin arguant qu’ayant saisit Interpol Ghana pour une affaire criminelle et non politique, cette organisation devrait simplement procéder à l’extradition sans confrontation devant la justice.
Malgré les gages pris le samedi, c’est toute honte bue que les preuves qui dit-on surabondent contre le ministre Katinan et qui étaient attendues par la justice ghanéenne se sont volatilisées. Cette fuite en avant confirme que c’est bel et bien une tentative d’enlèvement du porte parole du président Gbagbo qui vient d’être déjouée grâce à la vigilance de son avocat et des exilés ivoiriens au Ghana.
Me Patrick Sobodjor et le conseil des avocats du ministre Katinan saisiront dans les minutes qui suivent la Haute cour de justice Ghanéenne pour démontrer à Interpol non seulement le caractère politique de cette affaire mais aussi dénoncer le fait que Ouattara veut snober la justice d’un pays libre et souverain comme le Ghana dans une affaire est qui pourtant pendante devant le Tribunal du District de Ossou Accra.
Une affaire présentée au départ comme un crime économique et pour laquelle Katinan est en Liberté provisoire et qui se transforme subitement pour les besoins de la cause en crime de sang et meurtre. Une conférence de presse animée par les avocats est prévue à cet effet dans les heures qui suivent.
Steve Beko
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