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  Crise ivoirienne : pour Alassane Ouattara, les discussions sont terminées
C'est ce qu'il a affirmé ce lundi après sa rencontre avec les émissaires de la Cedeao, accusant Laurent Gbagbo de gagner du temps
 
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Crise ivoirienne : pour Alassane Ouattara, les discussions sont terminées

Nombre de messages
:  13
Pages:  1  

  Gbagbo ne cedera aucune parcelle de pouvoir
Kodjo ( 04/01/2011 01:23 )
À Abidjan / Cote D'Ivoire

Ouattara est un assassin et un usurpateur.

Gbagbo ne lui donnera aucun pouvoir.

S'il faut faire cette guerre, nous la ferons. Il devra passer sur les corps des ivoiriens qui ont massivement voter Gbagbo pour aller s'installer au pouvoir.

L'armée te buterait de toute manière donc calmos, petit Broukinabé.
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( 04/01/2011 01:29 )
À Ballston Spa / United States

Pourquoi Grioo ne precise pas que cet article est redige par l'Afp?

A moins que, comme bcp le savent... Afp et Grioo soient la meme chose, i.e. des sites francais...
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  A Anonyme
Kainfri ( 04/01/2011 01:37 )
À Bagneux / France

Pourquoi quand Grioo précise aujourd'hui la position russe (qui en gros de ne pas reconnaître Ouatarra) on n'entend pas de positions aussi outrancières?

Pourquoi Grioo a contesté en leurs temps les "victoires" de MM Bongo et Faure au Gabon et au Togo alors qu'elles étaient applaudies voire encouragées par la France?

Cela prouve juste la stupidité de soi-disantes "réflexions" comme les votres qui voient des "complots" partout et pour qui on est forcément "vendus" si on est d'avis différent...
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  grioo & afp associated
concept ( 04/01/2011 03:04 )
À Chelles / France


Kainfri quand on a la chance d'écouter FRANCE 24 (l'outil de propagande médiatique français) et la RTI (la télévision ivoirienne). On arrive très facilement à déterminer le positionnement de Grioo et de "kainfri". Pour l'instant, mais tout le monde sait que AFP = GRIOO = Kainfri et que cela peux changer. Non pas que les internautes soient d'accord avec vous pour une bonne partie d'entre eux mais la ligne éditoriale de ton site n'est pas neutre (or la neutralité peut exister oui oui c'est possible !!), elle n'est même pas critique. Les articles que vous publiez ou reprenez vont dans un seul sens. heureusement les "grioonautes" corrigent ou contestent votre vision. Je suis très en phase avec les idées de mahmadou koulibaly du FPI. j'admets que je suis pro-gbagbo dans cette affaire ou plus precisemnt pro-FPI. C'est un moindre mal comparé à la mise sous tutelle Onusienne, l'ignominie que peuvent répresenter les organismes tels que FMI (et leur anciens employés), la Banque mondiale, l'OMC et l'occident AKA la nouvelle communauté internationale et les trop nombreux dictateurs qu'ils nous imposent ou tentent de nous imposer. Nous sommes en lutte contre ces puissances (depuis des siècles), dont les derniers atouts résident dans la corruption tout azimuts(par l'argent) de nos pays,nos institutions, nos organisations, nos résistance, nos idées ainsi que l'usage de la violence militaire et du mensonge médiatique. Un homme qui s'éternise au pouvoir peut être un leader éclairé (voyez Singapour, voire même Chavez ou bien Evo en Bolivie), ça existe messieurs (Biya, Bongo(s), Blaise, Idriss, Sassou, ne font pas partie de ceux là...). De la même manière on peut concéder des contrats à l'ennemi, les contrats que Gabgbo a concéder aux entreprises françaises (je suis moi même opposé à cette démarche) que pour mieux les empêcher de venir casser l'appareil productif et les infrastructures nationales. Le temps est venu pour la cote d'ivoire de s'armer sérieusement afin garantir sa souveraineté, de se débarrasser du franc CFA, des rebelles, de rechercher ces alliés parmis les pays suivants (Angola, Afrique du sud, Soudan, Brésil, Zimbabwe, Russie, Chine, Corée du nord, Iran, Bolivie, Venezuela, Japon et d'autres). L'occident n'est pas un allié (aucune éthique en occident...) des peuples noirs et je dirais qu'il se posent comme une menace de tous les peuples non blancs sur cette planète. Bien sur les compromissions dans nos rangs sont nombreuses mais faut-il s'en étonner ??!!, la prostitution se décline sur différents plans : intellectuelle, politique, économique, militaire, médiatique, physique, morale . Peu importe... Le combat continue, mais paix à nos ancêtres, à notre mère-père et comme c'est bon de voir les masques enfin tomber !!! (cette crise me semble salutaire, nos institutions étant noyautées par les USA,l' UE et notre petite Françe). Les Ouatara, Odinga, Tsvangiraï, Goodluck sont une énieme génération de leader compromis et corrompus par l'Occident. Ceci dit Gbagbo n'est pas parfait bien entendu, gageons que le FPI saura se montrer révolutionnaire et intraitable car il lui appartient désormais d'opérer cette révolution au coté du peuple ivoirien (ou des peuples ivoiriens, c'est du pareil au même). Quant à Kainfri, il me semble une fois de plus qu'il est du mauvais coté de l'histoire car nos peuples ne seront pas libérer par l'occident, la publicité en ligne ou cette fameuse communauté internationale.
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  Odinga n'est pas crédible
Kaika ( 04/01/2011 09:51 )
À Mons / Belgium

M. Odinga qui conduit ces négociations n'est pas crédible. Il a, en son temps, au Kenya refusé de reconnaître le verdict des urnes et a usé de violence pour tenter de prendre la place de son adversaire, sans succès. Il a causé la mort de plusieurs Kenyans et beaucoup se sont retrouvés mutilés à cause de ces violences.

Il est très mal placé pour donner des leçons de "bienséance" à Gbagbo.
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Anka ( 04/01/2011 09:58 )
À Montmorency / France

hé les gars Kainfri c'est vrai il a souvent des raisonnement un peu étranges. Mais bon, il essaie de faire au mieux son boulot; il met les infos qui viennent de partout et de toutes opinions. Concernant la CI c'est vrai qu'il y a davanatage de médias qui soutiennent Ouatarra; donc faut pas s'étonner que Grioo reprennent plus d'infos qui viennent de ces médias connus; ceci dit grioo reprend rarement les infos venant des sites africains...
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  La Cedeao de retour pour « raisonner Ouattara »
zingh2006 ( 04/01/2011 10:42 )
À Paris / France

http://www.koaci.com/index.php?k=main&koaci=actualite_info&numero_article=37357
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  Crise ivoirienne: La médiation africaine va se poursuivre
zingh2006 ( 04/01/2011 10:46 )
À Paris / France

http://www.rti.ci/cgi-bin/page.cgi?g=Detailed%2F4039.html;d=1
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  Décidé à salir Gbagbo d’un crime contre l’humanité / Ban Ki-moon veut fabriquer un charnier
zingh2006 ( 04/01/2011 11:23 )
À Paris / France

http://news.abidjan.net/h/385861.html
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  Où est passé Sarkoclown?
( 04/01/2011 12:39 )
À Herten / Germany

Il entendait dire qu'on adressait des ultimatums . Le pauvre ! En crachant dans les airs, le pantin de l'elysée ne se doutait pas de la suite. La France ne vaut plus rien en CI . Bravo sarko le comique.

Le grand satan américain comme savent le dire les iraniens a pris personellement l'initiative de faire partir le panafricaniste Gbagbo. Laissez moi rire !

Si barbare Obama s'essaye bien à l'art de la rhétorie, Laurent prouve bien qu'il est en politique ce que Samuel Eto'o est au foot: un génie.

Raila Odinga, 1er ministre kenyan a été piégé par l'UA. En l'envoyant en CI, on savait que Gbagbo le tournerait dans la farine de la vérité. Le pauvre en a prit pour son grade.


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  Mr Kainfri
( 04/01/2011 12:52 )
À Saint-avertin / France

Il faut s'émanciper de l'esclavage mentale . Comment est la condition de vie des Noirs en Europe ? Sont ils cosiderer humainement egaux en FRANCE? Votre pouvoir est limité je le sais mais soyez neutre .Quand les Noirs sont brullés dans des incendies delibérés ,qui montre sa condoleance humainement envers eux ? MERCI .
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  Je commence à comprendre GRIOO
Diogo ( 04/01/2011 13:28 )
À Abidjan / Cote D'Ivoire

Les fondateurs de Grioo sont connus du public. Les gars vivent à Paris et travaillent dans des entreprises Françaises.

Or, la position de Sarkozy est claire : Il a fait son choix et gare au petit Nègre en France qui va s'y opposer; surtout lorsqu'on connait la force de nuisance de Nabot (ce n'est pas PPDA qui dira le contraire).

Nos amis de Grioo font donc attention à leurs prises de positions, sinon ils se veraient leurs cartes de sejour plus renouvellées, ou pour ceux qui ont la nationalité (elles pourraient leur etre retirées), ou encore les entreprises dans lesquelles ils travaillent pourraient les marginaliser allant jusqu'à leur trouver des fautes pour les virer. Ce n'est pas facile quand tu manges dans les mains de quelqu'un.

Comprenez nos amis de Grioo, ils n'ont pas envie de perdre leur pain à cause de Gbagbo.

Grioo n'est pas leur metier principal (ils sont des salariés d'entreprises françaises). Ils font donc attention !

Comprenez-les.
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  on veut fabriquer un président pour la ci
( 04/01/2011 22:43 )
À Garges-lès-gonesse / France

Lu dans Korean Times, Journal de chez Young Jin Choi :On veut fabriquer un président pour la Côte d’Ivoire
Source : Notre voie : Dernière Mise à jour : 04/01/2011 (Auteur : autres)
La lutte du peuple ivoirien pour sa souveraineté est perçue, très loin, au-delà des frontières de la Côte d’Ivoire. En Corée du Sud où il enseigne à l’Université Hankuk de Séoul, le professeur Aka Miézan a fait publier, par le très célèbre quotidien Korean Times, l’article que nous reprenons ci-dessous. Sous le titre de « On veut fabriquer un président pour la Côte d’Ivoire », cet article a permis aux Coréens de mieux comprendre le rôle néfaste joué par leur compatriote, Young Jin Choi, Représentant spécial du Secrétaire général de l’ONU en Côte d’Ivoire.
La Côte d’Ivoire est dans une impasse politique à la suite de l’élection présidentielle qui était supposée réunifier le pays. Qu’est ce qui n’a pas marché ?
Après l’échec du coup d’Etat de 2002 qui s’est mué en rébellion avec l’occupation par les forces rebelles du Nord du pays, il a été organisé la table ronde de Marcoussis en France qui a réuni 10 partis et groupements politiques. Les participants se sont mis d’accord pour mettre en place un gouvernement d’union nationale et procéder au désarmement des rebelles et des milices. Cela devait se faire sous la supervision des forces françaises et ouest africaines en vue de créer les conditions idoines et nécessaires à l’organisation d’élections présidentielles libres, transparentes et démocratiques. Une nouvelle Commission électorale indépendante, composée des représentants des différents partis et groupements politiques fut mise en place.
La Commission électorale indépendante est composée de 461 membres desquels 42, c'est-à-dire 9% sont pro-Gbagbo, qui est le président-candidat à sa propre succession et 419 membres qui sont pro-Alassane Ouattara et opposition. Le Président de la Commission, M. Youssouf Bakayoko, est un pro-Ouattara. Pour équilibrer les choses et crédibiliser le travail de la CEI, le mode opératoire qui a été retenu pour la proclamation des résultats est le consensus et le comptage des bulletins manuellement et électroniquement.
La Constitution ivoirienne dit que la Commission électorale indépendante a 72 heures pour proclamer les résultats provisoires consolidés de manière consensuelle. Le Conseil constitutionnel est la seule et la plus haute juridiction du pays chargée de proclamer les résultats définitifs de l’élection présidentielle après avoir examiné toutes les requêtes formulées et les cas d’irrégularités observées. Il est important d’indiquer que le gouvernement a désarmé les milices dans la zone sud sous son contrôle. Les Forces rebelles occupant le nord du pays n’ont pas désarmé.
La situation de blocage que vit la Côte d’Ivoire est née des fraudes massives que le comptage électronique a fait apparaître et qui concernent les régions du pays encore sous le contrôle de la rébellion. Les rapports, procès verbaux et autres documents électoraux relatifs aux votes dans ces zones ont montré que dans la majorité des cas le nombre de suffrages exprimés était supérieur au nombre d’électeurs inscrits.
En outre, il ressort des rapports des observateurs africains des élections, invités et accrédités par la Commission électorale indépendante, que les électeurs pro-Gbagbo ont fait l’objet d’intimidation, ont été physiquement agressés (y compris des cas de viol et de meurtre) ; des bureaux de vote ont été vidés des représentants du candidat Gbagbo pour permettre le bourrage des urnes et leur transport par des éléments des forces rebelles. Ce qui est tout à fait contraire aux lois électoraux et à la démocratie. Le décompte des résultats dans la Vallée du Bandama, sous contrôle de la rébellion, n’a donc pas permis à la CEI d’arriver à un consensus.
Selon des documents soumis à la commission à la fin du vote, le candidat de l’opposition a eu les résultats suivants : Katiola (38.416) voix ; Bouaké (42.070) ;
Cependant, Sangaré Moussa, président de la CEI de la vallée du Bandama, a rapporté sur le PV un total de 244.571 voix. Soit un rajout de 94.873 voix en faveur du candidat de l’opposition Alassane Ouattara.
A la fin du scrutin électoral, tous les observateurs et les responsables des deux candidats ont affirmé que le taux de participation était de 70%. Quelques heures plus tard, le président de la Commission électorale indépendante annonce un taux de participation de 81% soit une différence de 11points. Ensuite, sur un total 20.073 bulletins de vote soumis à la vérification électronique, 2000 ont été rejetés pour chiffre du nombre d’électeurs non compatible avec le nombre d’inscrits. Tous les cas de fraudes observés s’élèvent à plus de 600.000 voix.
Sur 19 régions et départements électoraux, la Commission centrale de la CEI avait consolidé 15. Mais la commission avait des difficultés pour arriver à un consensus en ce qui concerne les régions et départements restants, zones sous le contrôle de la rébellion et où de graves irrégularités ont été observées. En plus de ces irrégularités, le porte-parole de la CEI, agissant sans le consensus prescrit par le mode opératoire et sans attendre l’arbitrage du Conseil constitutionnel, a pris sur lui d’invalider les résultats de toute la France au premier tour ainsi qu’au second tour alors que des échauffourées avaient éclaté entre des Ivoiriens seulement dans trois bureaux de vote de Paris.
Ces votes ainsi que les irrégularités graves (intimidations, atteintes à l’intégrité physique, femmes publiquement dénudées et violées, meurtres), dénoncées et consignées dans les rapports des observateurs, devraient être soumises à l’examen du Conseil constitutionnel pour délibération.
A cause donc de toutes ces irrégularités et surtout à cause de l’incapacité de la Commission électorale indépendante à proclamer les résultats provisoires dans le temps et conditions prescrits par la loi, il revenait, selon la Constitution de la Côte d’Ivoire, au Conseil constitutionnel le droit de se saisir du dossier, de délibérer et de proclamer les résultats définitifs de l’élection présidentielle.
Mais pendant que le Conseil constitutionnel était au travail, le Président de la Commission électorale indépendante a été précipitamment convoyé à l’hôtel du Golf, quartier général du candidat de l’opposition, pour y proclamer en toute illégalité des résultats et déclarer devant les caméras d’une télévision française et étrangères et du représentant des Nations Unies, Ouattara vainqueur du scrutin présidentiel.
Par la suite, le Conseil constitutionnel a déclaré que la Commission électorale indépendante était forclose et qu’elle n’avait plus, selon les procédures en vigueur et les prescriptions de la Constitution ivoirienne, le pouvoir de déclarer Ouattara vainqueur.
Il est tout aussi important de souligner que les
«résultats provisoires » certifiés par le représentant des nations Unies et communiqués par lui sont illégaux et de nul effet. Etant entendu que le Représentant des nations Unies ne certifie que les résultats définitifs proclamés par le Conseil constitutionnel et l’ensemble du processus électoral. Il a donc outrepassé ses prérogatives.
Le Conseil constitutionnel a donc analysé toutes les irrégularités, examiné l’ensemble des requêtes, des rapports, des procès verbaux et tous les documents électoraux. Il a déclaré en toute responsabilité Gbagbo Laurent vainqueur du scrutin. C’était le début du cauchemar post électoral ivoirien.

Par Ekra Miézan,
Ph.D, Maître Assistant, Université HANKUK,
Faculté d’Etudes étrangères de Séoul.
ekra@hufs.ac.kr

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