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Mali : la junte reste aux commandes dans le pays |
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8
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pouvoir sans immagination |
(
02/05/2012 11:51 )
À Saint-avertin / France
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Les autres peuples accèdent au développement pour changer la condition de vies des leur citoyens par contre l'Afrique francophone passe son temps pour garder le pouvoir en achetons des armes pour terroriser les peuples et semer des confusions en r'amenons la pauvreté de plus en plus difficile ressoude . Quelque chose est manquant dans la tète de ces dirigeants . |
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triste |
Ami (
02/05/2012 13:25 )
À Aarhus / Denmark
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Pauvre Afrique! Pauvre MALI!!
Qu'est-ce qui a donc fait abattre ce double malheur sur le Peuple malien?? D'abord une rébellion/ sécession insensée (lire www.rue89 , Nouvelobs), et ensuite quelques petits militaires écervelés qui piétiennent la démocratie et passent leur temps à s'entre-tuer. Pauvre Mali. |
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Décidément |
EMA (
02/05/2012 13:34 )
À Paris / France
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La moitié du Mali a été attaquée et les nègres de maisons parlent de sous-conscience africaine.
Si ça avait été la France comme en 45 à moitiée occupée, ces nègres de maisons seraient encore venus la sauver à la place des français et aurait criés au nazisme.
On a pas besoin de gens qui n'ont aucune géostratégie et conscience politique pro-africaine. Des gens qui se lèvent pour le 11 septembre mais quand la moitiée d'un pays d'Afrique en CI, Libye et Mali sont attaqués par des mercenaires étrangers de partout... zéro nègre de maison pour crier au terrorisme.
on comprend pourquoi la France vous néglige, qui peut trahir sa mère, peut vendre la France pour un plat de lentille!!!
PS: c'est pour ça que Napoléon ne saluait jamais les traitres... |
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@ EMA: Il faut une négresse de maison... |
Anna (
02/05/2012 19:03 )
À Lachine / Canada
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pour en reconnaître d'autres. C'en est une de ne pas partager les positions neutres, tièdes ou mollasses (qualifiez-les comme vous voulez) des autres, mais de là à traiter les gens de "house niggers"? Vous devez être bien familière avec la notion pour faire autant de projection. |
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Makan (
02/05/2012 20:20 )
À Bamako / Mali
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L'article est comme toujours beaucoup trop orienté et partisan.
On a l'impression que cette fameuse communauté internationale traite les problèmes de l'Afrique de sorte qu'il n'y ait pas de porte de sortie pacifique.
Résumons : un groupe de soldats se mutine contre un pouvoir (celui d'ATT) qui s’effondre à leur grand étonnement (le capitaine a avoué qu'il a profité de la situation mais n'avait pas pensé à faire un coup d'état). On leur demande de retourner dans leurs casernes tout en rétablissant une constitution qui stipule que le coup d'état est un crime imprescriptible. Et bien entendu ce sont des humains, ils ne veulent pas aller à l'abattoir aussi facilement donc ils refusent naturellement.
Devant le blocage des négociations s'ouvrent et un accord est signé avec la CEDEAO, accord qui prévoit entre autre l'amnistie des putschistes et le rétablissement des institutions mais laisse des zones suffisamment floues pour être interprétées par les uns et les autres. Pendant que la mise en oeuvre dudit accord avance, la CEDEAO se rebiffe et exige de nouveau aux soldats de retourner dans les casernes en menaçant d'envoyer une force militaire pour sécuriser les autorités de transition, autorités pourtant issues de l'accord.
Et bien sûr la junte se sentant de nouveau menacée se rebiffe elle aussi. Un corps de l'armée restée fidèle à l'ancien président, et peut être se sentant encouragé par les décisions prise par la CEDEAO, décide de contre-attaquer sans vraiment évaluer ses chances de réussite, sachant qu'elle se battra contre tout le reste de l'armée. Et naturellement, elle perd.
Pourquoi ne pas continuer sur la voie de la négociation déjà entamée, donner une porte de sortie aux putschistes et laisser la situation se normaliser ? Apparemment, comme le disent certains, ce serait encourager les putschs à l'avenir. Il faut donc les punir coûte que coûte et décourager d'autres de faire la même chose dans la sous-région. Peut-être mais en attendant, nous vivons à Bamako sous le feu croisé des uns et des autres, et bientôt des troupes de la CEDEAO. Et plus grave, on nous distrait de l'essentiel : la récupération des territoires perdues et le sort des populations au Nord qui semblent moins importants aux yeux de la CEDEAO que le fait de punir les mutins. |
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le départ précipité du Burkinabé Watt le Rat, l'empereur ADOKAFLÊH 1er, USURPATEUR du fauteuil présidentiel IVOIRIEN, est en France serait lié et surtout son implication dans le putsch, contre SANOGO, du MALI. |
Yuotam (
02/05/2012 21:07 )
À Illkirch-graffenstaden / France
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Il y a 2 BURKINABES Watt le Rat et Compaoré, commencent serieusement, a nous faire vraiment chier dans la sous région, encore ces 2 collabos et traîtres aux service des petits blancs, plus précisément les boys du nain de jardin Gaulois ce « BABIÊH de Nicolas SARKÖZY de DAGNINNIN–NAGY- BOCSA ».
Des Frères Cissé des marchepieds où va-nique-pied, appelé militaires ivoiriens des FRCI, Force Républicaine de Côte d'ivoire, version du Burkinabé Watt le Rat, et des DOZOS Burkinabés figurent parmi les prisonniers, 27 ont été étalé, preuve de l’implication de ces deux pays dans la tentative de coup d'État avortée, ces frères cissés, différent de vrais soldats de métier ivoiriens FDS « Force De Sécurité »,
KOUDOU LAURENT GBAGBO KAFISSA n 'aurait jamais agressé un pays comme le MALI, par apport a ces USURPATEURS Burkinabés les 2 frères COMPAORE et l'empereur MOSSI drame ADOKAFLËH 1er, qu'il commence par payer les 5 millions soit 7 000 €, qu'il à promis à tous ces chiens errants de venir en CÔTE D'IVOIRE, violer nos grands maman, égorger nos parents pour s' accaparer de nos plantations, de cacaos et de café en saccageant au passage nos forêts sacrées, voici le travail de ces Burkinabès dans la sous région, avec l'aide des petits blancs nos fossoyeurs depuis la nuit des temps. |
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03/05/2012 13:42 )
À Saint-avertin / France
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GABON : Ali Bongo dénonce la corruption et le harcèlement sexuel dans l'administration gabonaise
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Par nick | 03/05/2012 | 10:40:42
GABON :: SOCIéTé
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Ali Bongo a tenté ce mercredi à Libreville de moraliser l'administration gabonaise
GABON - LIBREVILLE LE 3 MAI 2012 - Ali Bongo prêcherait il dans le désert? Le chef de l'Etat gabonais, Ali Bongo Ondimba a dénoncé, dans un discours devant les hauts cadres du pays mercredi à Libreville, la corruption, le harcèlement sexuel et le trafic d'influence dans l'administration de son pays.
"Le racket et la corruption à tous les niveaux de notre administration deviennent monnaie courante", a craché le chef de l'Etat gabonais avant de poursuivre "l'impunité, encouragée par la hiérarchie, gangrène les services".
Ali Bongo Ondimba a eu le courage de dénoncer que "le harcèlement sexuel prend de l'ampleur et démotive les personnes compétentes".
Dans ce réquisitoire le numéro un gabonais a aussi fustigé certains comportements rétrogrades des fonctionnaires dont "les horaires de travail (...) déterminés en fonction des humeurs de chacun, l'absentéisme devient un fléau, quelques fonctionnaires se complaisent à multiplier des trafics d'influence".
Ali Bongo qui veut faire du Gabon un pays émergeant d'ici 2025 a regretté que "la recherche d'une information, le suivi d'un dossier, ou encore la délivrance d'un acte administratif prennent la forme d'un parcours du combattant".
"Les dossiers ne sont pas traités avec la plus grande diligence, car ils servent à décorer les bureaux et à garnir les tiroirs des agents", a-t-il dénoncé pour le regretter en faisant constater que "l'insulte et le manque de respect envers les usagers prennent le pas sur les règles élémentaires de bienséance".
"Il nous faut (...) une Administration où règne et prévaut le sens de justice et de l'égalité", a-t-il suggéré en réponse à tous ces travers.
Ali Bongo Ondimba a instruit le ministre de la reforme pour "tout mettre en œuvre pour redonner à notre Administration ses lettres de noblesse, de la mettre résolument au service des usagers, et de raffermir le lien de proximité".
Cette déclaration du chef de l'Etat intervient à quelques jours des nouvelles nominations dans la haute administration suite à la formation d'un nouveau gouvernement.
Ali Bongo Ondimba même si bon nombre doute des suites de certaines observations notamment celle du respect d'arrivée au bureau à 7h30 le matin, est apparu déterminé à renouveler et à moderniser les relations entre l’administration et le pouvoir politique. En effet, ce dernier a manifesté ce mercredi dans son discours à l’Administration Centrale, sa détermination à renouveler et à moderniser les relations entre l’administration et le pouvoir politique.
«L’Administration est au cœur du dispositif d’animation de l’action publique. C’est pourquoi, j’ai tenu à vous rencontrer, car vous êtes des maillons essentiels dans son fonctionnement et, votre rôle est capital dans la réalisation de notre ambition commune qui vise à faire du Gabon un pays émergent à l’horizon 2025. En effet, l’administration et le pouvoir politique que j’incarne ici, au delà du lien juridique consacré par notre Constitution, jouent un rôle complémentaire : l’un prend des décisions et l’autre les met en œuvre. C’est pour cette raison que depuis mon accession à la Magistrature Suprême en octobre 2009, j’ai tenu à renouveler et surtout à moderniser cette relation, afin qu’elle gagne en efficacité et en pertinence. », a déclaré Ali Bongo Ondimba.
Pour le numéro un Gabonais, la répartition très claire des tâches qui articule désormais toute l’organisation administrative : le pouvoir politique se chargera désormais de concevoir les politiques publiques et de suivre leur mise en œuvre ; l’administration s’occupera des tâches d’exécution, en partenariat avec le secteur privé et les acteurs non étatiques. Les structures de contrôle continueront leurs missions légales et réglementaires. Pour atteindre nos différents objectifs, nous devons tendre vers une administration encore plus performante.
« Ce sont les services et organismes à la tête desquels vous vous trouvez qui doivent donner corps à cette vision. Pour cela, vous devez être les premiers dépositaires et relais de l’émergence au sein de vos services pour faire du Gabon Emergent une vision partagée. Vous y arriverez en vous consacrant avec rigueur, détermination et enthousiasme à sa mise en œuvre. », a précisé le président de la République.
Selon lui, la traduction de cette vision en actions concrètes suscite un réel espoir chez nos compatriotes tout comme auprès de divers partenaires de plus en plus attirés par la dynamique de changement induite par le Gabon Emergent. Cet attrait est lié à la fois à une perception globale de l’Afrique, perçue comme un véritable territoire d’opportunités pour l’investissement et les affaires mais surtout, à la nouvelle image du Gabon, bâtie sur le changement, les efforts, les réalisations, une nouvelle gouvernance et les effets de la CAN 2012.
Ali Bongo | administration | Libreville | sexe | | | |
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L'homme africain n'est pas assez entré dans l'histoire |
Nicolas Ier, Sarközy de Nagy-Bocsa (
05/05/2012 18:05 )
À Beynes / France
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Amis Africains,
De toute façon, nous Européens savons que bous n'êtes qu'une race vile et servile. C'est pourquoi il est du devoir d'une grande nation comme la France de s'occuper de vos ressources naturelles. En attendant que vous preniez l'exemple de l'Asie et du Moyen-Orient pour mettre en place une civilisation digne de ce nom, je vous ordonne de promouvoir l'identité naZionale franSSaise. Car elle est un appel à la raison et à la conscience universelle.
Comme au Cameroun, au Tchad, au Congo, en Gambie, au Sénégal, au Togo, en Centre-Afrique, au Burkina Faso, au Guinée, en Côte d'Ivoire, au Niger, à Madagascar, au Gabon, en Erythrée, au Djibouti, au Biaffra, en Mauritanie, au Rwanda, au Burundi, nous souhaitons, en RDC, préserver les intérêts supérieurs de la patrie des droits de l'homme blanc. Voilà pourquoi cette promotion sans retenu à l'endroit de nos serviteurs les plus zélés comme ces dictateurs françafricains, francs-maçons ( à l'instar de guillaume sogro , est primordiale. En effet ces derniers sont de la trempe des roitelets nègres qui sacrifièrent les ancêtres des noirs Américains et des Antillais aux négriers Arabes et Européens. Le travail de ces laquais doit aboutir à une coopération plus étroite entre l'Empire Français et ses satellites africains au détriment de l'Empire du milieu. Afin d'assurer à la nation française des débouchés économiques et un accès privilégié aux matières premières.
Suivez donc l'auguste vérité de cet ali bongro aliéné en vous accouplant à des cochonnes gauloises et autres goyïms de leur espèce, comme l'émotif leopold senghor, ce zombie d'abdou wade, alassane "oie à rat" et sa oie blanche, la ramatoutou qu'on a tenue en laisse à l'Elysée. Afin de pondre des bâtards sans race, sans racine ni identité. Lorsque vous serez suffisamment entrés dans l'histoire venez donc me voir pour que nous ne parlions plus d'homme à vous mais enfin d'homme à hommes. Surtout évitez les kamo-nubiens comme Sankara, Lumumba, Biko et consort...
La supériorité de la race blanche que je représente est évidemment éclatante et il ne tient qu'à vous que l'humiliation des nègres ne soit pas plus cuisante. Pourquoi restez-vous bêtement dans cet ordre immuable où la nature commande tout? Indéniablement vous représentez ce fameux chainon manquant entre les premiers primates hominidés et la splendeur de l'humanité, l'homme moderne de type Européen. D'ailleurs, vous avez le nez si écrasé et d'affreux cheveux crépus qu'il serait presque impossible de vous plaindre. Courage amis Africains mon beau pays, la France, est de votre côté. Sortez donc davantage de la pré-histoire et de votre répétition pour enfin vous inventer un destin! Je vais vous faire entrer tout droit dans la glorieuse histoire de France et de Navarre.
Nicolas Ier, Sarközy de Nagy-Bocsa,
Président de la Monarchie Républicaine betteravière française |
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