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Montfermeil : deux policiers soupçonnés de bavure en garde à vue ! |
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J’ai été victime d’une barbarie exécrable de la police ferroviaire |
patrick (
23/10/2008 11:59 )
À Paris / France
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J’ai été victime d’une barbarie exécrable de la police ferroviaire Française. Ayant vécu vingt années à Sarcelles dans le 95, je me suis acheté un hameau de paix en Eure et Loire. Ma femme et moi avons en effet acheté une maison sur une superficie de 565 m2 dans à la Campagne dans le 28. Ma femme et moi travaillons dure pour élever notre fille de 9 ans dans les meilleurs conditions. Fort de ce principe nous sommes arrivés à la conclusion qu’il fallait coûte que coûte, vaille que vaille partir de Sarcelles pour avoir des conditions de vie meilleures.
J’habite à présent à 130 km de paris et je travaille dans une filiale de la société générale à Saint-Denis. J’y fais de l’informatique. Je me lève aux aurores car je commence à 8h. Mon train TER Centre s’arrête à la Gare D’Austerlitz et je dois rallier la gare de Lyon rapidement pour prendre la ligne D et descendre à l’arrêt Stade de France. Pour glaner des minutes j’ai eu a posteriori la mauvaise idée de faire l’acquisition d’une trottinette car j’étais loin d’imaginer que cette trottinette serait à l’origine de mon interpellation musclée, de mon mo lestage éhonté.
En achetant cette trottinette, j’ai ouvert la boite de Pandore.
Mardi le 21 Octobre alors que le train venait de s’arrêter à la gare D’Austerlitz, je pris ma trottinette et me dirigea à la gare de LYON, c’est alors qu’une fonctionnaire de police me fit un signe, je n’ai pas compris sur le moment ce qu’elle voulait. Je continuai donc mon bonhomme de chemin. Quelques instants plus tard je la vis derrière moi avec son collègue, ils me hurlèrent Monsieur arrêtez vous, j’obtempérai. Elle me demande alors ma pièce d’identité. Je répondis que j’étais en retard, j’allais travailler, je n’ai pas le temps de m’arrêter madame, je ne suis pas un brigand, je ne suis pas l’ennemi public numéro 1.
Je refuserai catégoriquement de montrer ma pièce d’identité parce que je ne supporte pas les délits de faciès, les contrôles d’identité sélectifs dont j’ai été beaucoup victime à Sarcelles. Ce contrôle ressuscitait les vieux démons de mon passé à Sarcelles.
Devant mon refus poli, cette policière appela les militaires en faction à la gare D’Austerlitz. Je fus encerclé par les militaires. Non contente de la présence dissuasive des militaires, cette fonctionnaire appela ses collègues par talkiwaki interposé ; et là.. Ce fut le drame. Une horde de policiers me tomba alors dessus, il pleuvait des cordes, l’un deux me fit un croque en jambe, un autre m’asséna un coup sur la nuque et ce en présence de ma femme mésusée et groggy. Je hurlai à tue-tête : « C’est quoi ce pays de merde, bande de racistes ». Je fus plaqué au sol manu militari, et menotté. Cette horde de fachos m’a immobilisé au sol pendant cinq bonnes minutes. Ce sol rempli de fange, de boue et de pluie. L’un des policiers a eu un zeste d’humanité en clamant : « Ce n’était pas la peine de le plaquer au sol parce qu’il pleut » ; Un de ses collègues rétorqua : « il méritait qu’on le plaquât au sol ». vive la France, vive la république, vive la patrie des doits de l’homme…. Blanc.
Résultat des courses, je suis resté en garde à vue de 8h30 à 20 heures. Le médecin de l’hôtel dieu où j’ai été ausculté pendant ma garde à vue m’a donné quatre jours d’ITT, en effet après cette ubuesque interpellation, j’ai ressenti de vives douleurs derrière la nuque et derrière la jambe, j’ai décidé de porter plainte.
J’ai raté mon dernier train qui devait me ramener dans mon hameau de paix à la Campagne à 19h07. Ma fille de 9 ans a passé la nuit chez sa nourrice. Ma femme et moi avons dû passer la nuit à Paris. J’ai dit in extenso au commissaire de police lors de mon audition et lors de mon départ ceci : « Je n’ai qu’un seule envie M. le commissaire, c’est de revendre ma maison et retourner vivre au Cameroun, parce que Monsieur, en France quoi qu’on fasse on n’est toujours rattrapé par la couleur de sa peau. La couleur de ma peau m’a rattrapé aujourd’hui. Je me suis fait molesté par vos sbires pitoyablement racistes, et négrophobes, oui je crois que je vais tout laisser tomber et retourner vivre au Cameroun, au moins là-bas je ne serai pas victime de préjugés.
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23/10/2008 14:49 )
À Nutley / United States
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T'aurai mieux fait de rester a Sarcelles et de mettre ta fille dans une école privée à partir du collège.
Au fait qu'est-ce que c'est que ce camer qui se contente d'une fille? Ta femme est blanche? |
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23/10/2008 18:23 )
À Nice / France
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Quelle est cette quetsion a la noix?
Quel rapport avec ce qu'il raconte
Pfffffffffffffff
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@ Patrick,ton témoignage reflète le délit de faciès |
yuotam (
23/10/2008 20:37 )
À Jebsheim / France
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.Notre championne du monde en décathlon EUNIS BARBER, a été victime de ses nasillons, vidéo a l'a puis elle s'est fait massacré le bras, ce qui a mis fin a sa carrière.
Après les Starsky et Huch, nous ont donné une version a dormir débout.
Moi je vis dans une grande ville de l'est de la France, une brave dame d'origine Africaine qui allait paisiblement a 6 h du matin a son boulot d'aide soignante a eu la même mésaventure que toi, tout simplement parce qu'elle avait oublié sa carte d'identité a la maison, malgré son titre de transport et sa carte de travail d'un hôpital de la place.
Les apprentis fachos ont emmené cette brave dame, fouiller dans la bouche d'en bas et surtout qu'il prenait un malin plaisir a humilier cette dame , en la mettant a poil, comme si ont pouvait cacher quelque chose dans la bouche d'en bas.
Cette dame traumatisée a vie, elle a eu je ne sais combien de jours D' ITT.
Patrick je t'assure demain si HITTLER revenait en Allemagne, les descendants de arrières petits fils de collabos Français vont se bousculer, pour reprendre du service comme en 1936, les mêmes qui faisaient le salut nazis aux jeux olympiques de Munich, lorsqu' un certain nabot avec sa petite moustache nous traitait de sous hommes. |
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