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Retour à l'article: Obama : Kadhafi a manqué la chance d’instaurer la démocratie
  Obama : Kadhafi a manqué la chance d’instaurer la démocratie
Sa fin envoie un message aux dictateurs selon le président américain
 
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Obama : Kadhafi a manqué la chance d’instaurer la démocratie

Nombre de messages
:  28
Pages:  1  2 > >> 

  Cet Homme est un nègre collabo et traître, assassin avec des gants de velours
yuotam ( 26/10/2011 15:41 )
À Strasbourg / France

En créant toutes sortes de verbiage, comme C.N.T. = Comité National des Traîtres ou encore F.R.C.I. = Force Rebelle de la Communauté Internationale, peine perdue heureusement qu'il y a des noirs éveillés pour déjouer toutes leurs fumisteries.

Non contant d'avoir sacrifié un peut plus de 1/2 millions d' EBURNIENS, après avoir donné l'ordre aux petits blancs d'assassiner de sang froid par l'embargo sur les médicaments et la fermeture abusive des Banques Gauloise.

Assassin avec des gants de velours, avec la complicité des petits blancs et leur allier de toujours les SIONISTES N'es ce pas B.H.L..

LES REALISATIONS DE KHADAFI:

Voici un résumé de la Libye sous la gouvernance de KHADAFI :

0- La plus grande réserve d'eau sortie du Sahara, un travail herculéen du guide, qui à vue le désert reverdir des oasis pousser partout.

1-L’électricité à usage domestique est gratuite !

2 - L’eau à usage domestique est gratuite !

3- Le prix d’un litre d’essence est de 0,08 EUROS ! ...

4- Les banques libyennes accordent des prêts sans intérêts !

5- Les citoyens n’ont pas d’impôts à payer, et la TVA n’existe pas !

6- La Libye est le dernier pays dans la liste des pays endetté ! La dette publique est à 3,3% du PIB, en France, elle est à
84,5% ,Aux USA , 88,9%, Au Japon à 225,8% !

7- Le prix pour l’achat d’une voiture (Chevrolet, Toyota, Nissan, Mitsubishi,
Peugeot, Renault...) est au prix d’usine (voitures importées du Japon, Corée du
sud, Chine, États-Unis...) !

8- Pour chaque étudiant voulant faire ses études à l’étranger, le « gouvernement
» attribue une bourse de 1 627,11 Euros par mois !

9- Tout étudiant diplômé reçoit le salaire moyen de la profession du cursus choisi s’il ne trouve pas d’emploi !

10- Lorsqu’un couple se marie, l’ »État » paie le premier appartement ou maison (150 mètres carrés) !

11- Chaque famille libyenne, sur présentation du livret de famille, reçoit une aide de 300 EUROS par mois !

12- Pour tout employé dans la fonction publique, en cas de mobilité nécessaire à travers la Libye, l'État fournit une voiture et une maison gratuitement. Et quelque temps après, ces biens sont à lui.

A cela s'ajoute les investissements faits dans les pays pauvres et "ingrats" de l'Afrique noire !

Aucun président au monde ne pourra se vanter d'avoir fait le tiers de ce que KHADAFI, a fait pour son pays.

Donc si c'est cela le travail d'un dictateur, j'aimerai vivre sous cette dictature.

Cet OBAMA voyou au col blanc, a part faire tourner la planche à billets, il ne nous à rien démontrer depuis 4 ans, a part aller assassiner d'innocent personnes, avec complicité de l'ONU, OTAN, et faire la fine bouche avec l'argent voler à KHADAFI.
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numéro 7 ( 26/10/2011 15:41 )
À Bezons / France

Réalpolitik !!!
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A ( 26/10/2011 16:59 )
À Brampton / Canada

Il manqué 40 années pour faire de son pays un véritable moteur economique pour toute l`afrique.

Un bon dictateur est un dictateur mort.
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  @Yuotam
NONTRAN ( Dit La Mota) ( 26/10/2011 18:22 )
À Paris / France

Yuotam; tu es un pseudo_intelectuel
( comme la plus part des africains se disant intellectuels). En effet, deslors que tu n'as pas parlé, on ne connait rien de l'Afrique, et une fois que tu as parlé de l'Afrique, on se rend compte qu'on est beaucoup plus ignorant de l'Afrique qu'au premier jour.
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( 26/10/2011 18:50 )
À Crawley / United Kingdom

Curieusement quand je consulte le PNB ou l'IDH de la Lybie, je constate qu'elle devance tous les pays Africains. Ce n'est quand meme pas Kadafi qui a produit ses chiffres...et du coup, je m'interroge.
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  Les USA= Voyous et criminels
Mahatma ( 26/10/2011 19:32 )
À Juvisy-sur-orge / France

Yuotam, tu as parfaitement raison.L'Irak était calme, son pays y est allé installé la démocratie;idem pr l'Afghanistan.La Lybie était un pays tranquille et les lybiens avaient un niveau de vie largement supérieur à bon nombre d'états dits démocratiques.Les USA y st allés installer la démocratie.

Tt le monde sait désormais qui ils sont et aucun américain aujourd'hui ne vit ds la sérénité.Il faudra en payer le prix de tt ce sang qu'ils ont versé.La médaille a toujours un revers, et c'est bien connu.
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  d'ou viens les Americains blancs ? EUROPA
( 26/10/2011 19:38 )
À Saint-avertin / France


TOGO: Dupuydauby fustige la « Sarkafrique des concessions »


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Par Aghu | 26/10/2011 | 16:51:40 CÔTE D'IVOIRE :: POLITIQUE


Jacques Dupuydauby (ph)


© koaci.com - Condamné à 20 ans de prison dans l’affaire qui l’oppose à Vincent Bolloré dans la lutte pour une main mise sur le port de Lomé, Jacques Dupuydauby semble décidé à se lâcher. En ligne de mire de l’ancien chouchou du pouvoir de Lomé, Nicolas Sakozy, mais aussi Charles Debbasch ainsi que la justice togolaise. Il s’est exprimé sur mediapart.

« Quand on est l’ami de la France, on est l’ami des sociétés françaises », c’est selon Jacques Dupuydauby se fondant sur un aveu de Faure Gnassingbé, la fameuse phrase qui a scellé son sort dans la lutte qu’il livrait avec la complicité des autorités togolaises, à Vincent Bolloré pour la main mise sur le Port autonome de Lomé. Unique port en eau profonde de la Côte de l’Afrique de l’ouest et réputé pour ses nombreux atouts. « J’ai un gros problème », c’est ainsi que l’ « héritier » de Gnassingbé Eyadéma aurait selon l’ancien employé du Groupe Vincent Bolloré, introduit à son retour du Sommet « Europe-Afrique » tenu à Lisbonne en 2007, le début de son calvaire qui vient de se traduire par une lourde décision de justice.
Jacques Dupuydauby qui entretenait plusieurs pontes du pouvoir, affirme que l’information lui a également été rapportée dans les milieux du pouvoir. « Plusieurs ministres togolais me l’ont également confirmée. Faure Gnassingbé m’a dit qu’il allait résister, mais il n’a pas pu. Car, le coupable, dans cette affaire, ce n’est pas Faure Gnassingbé. Vous êtes président du Togo, vous avez des élections qui approchent, vous savez que cela va être très tendu, par conséquent vous espérez que le gouvernement français reconnaisse votre légitimité –ce type de geste diplomatique a encore beaucoup d’importance en Afrique francophone. La suite est assez simple à comprendre » a révélé M. Dupuydauby.
La preuve, adoubé par le pouvoir de Lomé malgré les décisions de justices qui confirmaient sa forfaiture ayant consisté à détourner des actifs du Groupe Bolloré dans les Sociétés SE2M et SE3M en faveur de son groupe portuaire PROGOSA, Jacques Dupuydauby faisait la pluie et le beau temps au Togo, multipliant les œuvres humanitaires, inaugurant au port en présence du Chef de l’Etat du matériel douteux à grand renfort de médiatisation des médias publics. Mais tout est allé extrême vite, depuis la rencontre entre Faure Gnassingbé et Nicolas Sarkozy à Lisbonne, au point que le « roitelet » Dupuydauby a du fuir la capitale togolaise avec une partie de sa famille, abandonnant les sociétés convoitées, à Vincent Bolloré.
Dupuydauby accuse directement Nicolas Sarkozy

Pourtant, aux temps forts de sa complicité avec le pouvoir, l’ancien employé du Groupe Bolloré, avait réussi à faire arrêter à l’aéroport de Lomé, des responsables de premiers rangs du puissant Groupe, expression de la perpétuation de la Françafrique. Pour l’homme d’affaire déchu au Togo et qui déclare « ne pas être un perdreau de l’année », « on est passé de la Françafrique des mallettes à la Sarkafrique des concessions ». La reconnaissance d’un hold-up électoral avec confiscation des PV du candidat qui revendique la victoire et entend la prouver par la compilation des résultats recueillis par ses représentants dans les bureaux de vote, contre la concession de marchés et autres services aux sociétés françaises. De préférence, celles qui appartiennent à des proches de Nicolas Sarkozy. Tel semble être le deal.

« Quand Bolloré s’implante quelque part, il utilise le président français comme son VRP de luxe. M. Sarkozy, de son côté, met dans la balance les relations franco-africaines et fait des pressions », analyse Dupuydauby. Agé de 65 ans et considéré comme un chiraquien, l’industriel accuse directement le président français d’être à la source de son éviction au Togo. « Je mets directement en cause Sarkozy. D’ailleurs, je vous signale qu’un député socialiste, Jean Launay, a posé en octobre 2010, une question au gouvernement sur les pressions de Nicolas Sarkozy en faveur du Groupe Bolloré au Togo. Le ministre des affaires étrangères de l’époque, Bernard Kouchner, n’a pas démenti. Il s’est abstenu de répondre », a-t-il dit.

Quid du mercenaire en col blanc, Charles Debbasch ?

Considéré comme un délinquant et condamné en France dans « l’affaire Vasarely », Charles Debbasch s’est refugié au Togo, où il bénéficie d’un statut lui garantissant une immunité diplomatique. Plus d’une fois, il est intervenu dans des montages rocambolesques visant à entraver la construction de l’Etat de droit et la démocratie au Togo. Mais aussi, il tient sous dépendance la justice togolaise, grâce à sa position à la Présidence de la République aux côtés de Faure Gnassingbé qu’il conseille dans la gestion de la colossale fortune paternelle. Jacques Dupuydauby dont l’ancien professeur de droit était le complice dans la guerre avec Vincent Bolloré, raconte.

« Je m’interroge fortement sur le mode de fonctionnement de la justice togolaise et de son indépendance à tous égards. Mais ma conviction, c’est que celui qui fait la pluie et le beau temps au Togo, sur la justice comme sur le reste, s’appelle Charles Debbasch, condamné en France dans l’affaire Vasarely, manifestement protégé depuis un certain temps puisqu’il circule librement alors qu’à ma connaissance, il n’a pas été dispensé de peine. Il est vrai, qu’entre-temps, il a écrit de magnifiques livres à la gloire du président Sarkozy. Ces œuvres sont disponibles sur Internet. Vous m’expliquerez comment on peut travailler au Togo sans avoir recours aux services de l’avocat Debbasch, aujourd’hui l’avocat radié Debbasch. Si vous connaissez une seule entreprise au Togo qui ait pu travailler sans passer par lui et ses éminents conseils juridiques, vous me la signalerez », relate l’homme d’affaire franco-espagnol.
Après des rebondissements, le verdict est tombé dans le contentieux qui oppose Jacques Dupuydauby à Vincent Bolloré. Comme récemment dans l’affaire Kpatcha Gnassingbé et coaccusés, la justice, jugée aux ordres, a eu la main très lourde contre l’ancien vice-président de Bouygues. Jacques Dupuydauby, président du groupe portuaire PROGOSA, écope depuis le 07 septembre 2011, de Vingt ans de prison ferme et 350 millions d’euros d’amendes. Il était poursuivi devant le Tribunal de Première Instance de Lomé pour « abus de confiance ; délit d’escroquerie ; usage de faux ; fraude fiscale ; destruction volontaire et groupement de malfaiteurs ».

Dupuydauby qui dit n’avoir appris l’information que sur le site republioftogo, proche de la Présidence de la République et sur lequel s’épanche régulièrement en contre-vérités Charles Debbasch, réagit : « ce jugement n’est l’aboutissement de rien : je n’ai jamais été convoqué dans cette affaire. Je ne sais même pas ce qui m’est reproché factuellement. Je me pose beaucoup de questions sur ce soi-disant jugement qui fait suite à un soi-disant procès auquel nous n’avons pas été conviés », s’est- il indigné.

Aghu, KOACI.COM LOME, copyright © koaci.com


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( 26/10/2011 20:26 )
À Montreal / Canada

Le Colonel a été assassiné, et alors ? →Adame Ba Konaré sur RFI : “Kadhafi, un héros qui s’est battu contre l’ingérence étrangère”
Publié le octobre 26, 2011 par aymard
L’historienne et ex-Première dame du Mali, Adame Ba Konaré, répond aux questions de RFI.

Rfi : La mort de Kadhafi a été vécue comme une libération par les libyens. Elle a été saluée à quelques rares exceptions près par de nombreux Etats de la planète. Est-ce que vous vous en félicitez ou vous déplorez cette mort ?

Adame Ba Konaré : Permettez-moi avant de répondre à votre question de formuler des vœux en tant que croyante pour le repos de l’âme du colonel Kadhafi et d’avoir une pensée pour sa veuve éprouvée. De la même façon, je présente mes condoléances à toutes les familles endeuillées par la tragédie libyenne. L’assassinat d’un chef d’Etat en exercice, de surcroît par le biais de puissances étrangères, n’est pas une affaire banale. On ne peut pas se réjouir de la mort d’une personne même s’il s’agit de son ennemi. Toute vie est sacrée. Moi, mon jugement d’historienne est qu’à cet égard, les évènements qui se sont succédé rappellent la pénétration coloniale européenne de la fin du 19ème siècle. En ce qui concerne la France que je connais particulièrement, c’est le même scénario. Au nom de la civilisation, de convoitise des richesses, des interventions militaires se sont toujours soldées par l’assassinat soit des grands résistants à la pénétration coloniale, soit des rois régnants. C’est la façon dont se sont passé les évènements qui nous laissent augurer que partout où il y aura des contestations, c’est le sentiment qu’on a ici, les vertus de généreuses nations entre guillemets voleront au secours comme par le passé, au nom de la démocratie cette fois-ci, pour sauver les pauvres africains de leurs méchants dirigeants. Dans les évènements qui viennent de se passer en Libye, je vois les prémices de la partition de la Libye, la désintégration de l’Afrique et de sa division en Afrique blanche et noire avec le risque de nouveaux tracés de frontières africaines. Mais aussi de la liquidation de l’Union africaine.

Rfi : Mais est-ce vous ne voyez pas dans l’intervention des puissances étrangère à travers l’Otan, le fait d’avoir prévenu probablement des massacres de civiles. C’est ce que Kadhafi avait annoncé sur Benghazi…

Adame Ba Konaré : C’est facile à dire. Malheureusement, cette intervention des forces de l’Otan n’était pas faite non plus de façon ordonnée. Ça été vraiment un acharnement contre des villes qui ont été pilonnées à longueur de journée. Je pense que les responsabilités sont absolument partagées.

Rfi : Si par exemple, l’Union africaine avait les mêmes moyens et intervenait, est-ce que ça vous choquerait de la même façon ?

Adame Ba Konaré : L’intervention des puissances étrangères et puis la façon dont le Colonel kadhafi est mort a choqué l’opinion africaine dans sa très grande majorité…

Rfi : Mais lorsque l’Union africaine et donc des pays africains interviennent de façon unilatérale, en Somalie par exemple, est-ce que cela vous choque ?

Adame Ba Konaré : Ce n’est pas le même cas de figure. On a déploré dans cette affaire, l’instrumentalisation des institutions internationales notamment par les anciennes puissances coloniales avec la complicité des Etats-Unis d’Amérique comme si ces puissances coloniales voulaient régler des comptes à Kadhafi. Donc, l’opinion africaine et moi avons, bien entendu, déploré également le dépassement du mandat de l’Otan. L’Otan est allé bien au-delà de la protection des civiles.

Rfi : Est-ce qu’il n’est pas finalement étrange pour certains de pleurer les conditions dans lesquelles est mort Kadhafi, quand on pense que pendant plusieurs décennies, il a lui-même exécuté tout ce qui pouvait s’opposer à lui. Il y a eu le massacre de plus de 1200 personnes dans la prison d’Abou Slim en 1996. Des gens pendus publiquement…

Adame Ba Konaré : Vous avez tout à fait raison de dénoncer tout ce que vous venez de dire. Ce visage du personnage qui a perpétré des actes répréhensibles, tel que le soutien aux mouvements terroristes, le manque d’ouverture démocratique, la personnalisation outrancière du régime. Mais, il y a l’autre visage de Kadhafi qui est quand même le nationaliste. C’est lui qui a mis à l’ordre du jour avec d’autres, bien sûr, le projet panafricaniste conduit par beaucoup de moyens même si ses méthodes étaient discutables. Mais avec la façon dont il a été fauché sous les balles des occidentaux, je crains qu’il ne soit devenu plus qu’une victime, un héros qui s’est battu contre l’ingérence étrangère jusqu’au bout comme il l’avait annoncé en martyr. Je ne crois pas du tout que l’Afrique va l’oublier.

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numéro 7 ( 26/10/2011 21:33 )
À Bezons / France

Je remarque que ce sont toujours certains pays du nord qui font la morale à d'autres, et jamais L'ONU et son secrétaire général !!!
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  @ NONTRAN ( Dit La Mota) ( 26/10/2011 18:22 )
yuotam ( 26/10/2011 22:32 )
À Strasbourg / France

C'est vraiment dommage que tu sois un petit blanc non initié, égaré sur ce site afro, qui essai de s'informer, sur l'Afrique, c'est vrai aussi que l'information, au niveau des blablater et d'écrivaillons en mal de copie, des petits blancs était nul a chier comme un rat mort, a part passer leur temps à tronquer l'information, pendant vos différentes agressions contre l'Afrique, et puis quand on ne comprend pas on demande gentille ment, tu trouvera toujours un initier pour t'expliquer.

On la bien vue avec l'agression de SARKOZY, pour placer son beau frère le Burkinabé D.A.O. usurpateur du fauteuil présidentiel en EBURNIE, qui à donné l'autorisation d'assassiner 2700 jeunes patriotes le Lundi 4 Avril 2011, qui faisaient juste un sit-in devant le palais et la Résidence présidentielle, pour protéger leur président, Koudou Laurent GBAGBO.

Cet assassinat de nos jeunes gens et jeunes filles, par cette armée d'occupation NAZI Gauloise, je comprend, @ NONTRAN ( Dit La Mota) n'a pas été informé, parce que la presse des petits blancs est a la botte du pouvoir, ils sont aller jusqu'à bombarder notre télévision Ivoirienne, pour nous empêcher de suivre l'information de notre pays, avec sabotage des sites qui permettait aux ivoiriens de la diaspora d'être informé, notamment ( ORANGE ) pour ne pas le nommé pas une seule voie discordante et tous les partis politiques des Fachos de Gauche en passant par les fachos de droite était en parfaite harmonie, avec les médias mensonges de la désinformation au service du pillage organisé par les petits blancs affamés.

Quand petit blanc a faim, le reste du monde doit crevé, cette foi ci, par votre barbarie vous nous avez rendu service, car votre mensonge ne passe plus, même avec complicité de nos collabos et traîtres.
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  LES VRAIES RAISONS DE LA GUERRE CONTRE LA LIBYE ET L'AFRIQUE
( 27/10/2011 11:23 )
À / France

A- LES VRAIES RAISONS DE LA GUERRE EN LIBYE

>>> Une enquête/un article approfondie écrit par notre Frère Jean-Paul POUGALA pougala@gmail.com

Après 500 ans de relations de dominateur et de dominé avec l’Occident, il est dès lors prouvé que nous n’avons pas les mêmes critères pour définir le bon et le méchant. Nous avons des intérêts profondément divergents. Comment ne pas déplorer le Oui de 3 pays africains au sud du Sahara, Nigeria, Afrique du Sud et Gabon pour la Résolution 1973 inaugurant la nouvelle forme de colonisation baptisée « protection des peuples », validant la théorie raciste que les Européens véhiculent depuis le 18e siècle selon laquelle l’Afrique du Nord n’a rien à partager avec l’Afrique Subsaharienne, l’Afrique du Nord serait ainsi plus évoluée, plus cultivée et plus civilisée que le reste de l’Afrique. Tout se passe comme si la Tunisie, l’Egypte, la Libye , l’Algérie ne faisaient pas partie de l’Afrique. Même les Nations unies semblent ignorer la légitimité de l’Union africaine sur ses Etats membres. L’objectif est d’isoler les pays d’Afrique subsaharienne afin de mieux les fragiliser et les tenir sous contrôle. En effet, dans le capital du nouveau Fonds monétaire africain (Fma), l’Algérie avec 16 milliards de dollars et la Libye avec 10 milliards de dollars contribuent à eux tous seuls pour près de 62% du capital qui est de 42 milliards de Dollars. Le premier pays d’Afrique subsaharienne et les plus peuplés, le Nigeria suivi de l’Afrique du Sud arrivent très loin derrière avec 3 milliards de dollars chacun.

C- QUELLES LECONS POUR L’AFRIQUE ?

La guerre civile, les révoltes, les rebellions sont les ingrédients d’un début de démocratie, soutient Rousseau. Parce que la démocratie n’est pas une fin, mais un processus permanent pour réaffirmer les droits naturels des humains que dans tous les pays du monde (sans exception) une poignée d’hommes et de femmes, confisquant le pouvoir du peuple, l’oriente pour se maintenir aux affaires. On trouve ici et là des formes de castes qui usurpent le mot « démocratie » qui doit être cet idéal vers lequel tendre et non un label à s’approprier ou un refrain à vanter parce qu’on est juste capable de crier plus fort que les autres. uy. Si les Libyens se révoltent, ce n’est pas une mauvaise chose. C’est prétendre que les peuples acceptent stoïquement le système qui les opprime partout dans le monde sans réagir qui est très mauvais. Et Rousseau de conclure : «Malo periculosam libertatem quam quietum servitium -traduction : S'il y avait un peuple de dieux, il se gouvernerait démocratiquement. Un gouvernement si parfait ne convient pas à des hommes». Dire qu’on tue les Libyens pour leurs biens est un leurre.
Combien de personnes dans les pays autoproclamés «démocratiques» savent qu’au Pérou, la Constitution interdit un deuxième mandat consécutif au président de la République sortant ? Combien de personnes savent qu’au Guatemala, non seulement le président sortant ne doit plus jamais se présenter comme candidat à cette fonction, mais qu’en plus à aucun degré de parenté, aucun membre de sa famille ne pourra plus prétendre à cette fonction ? Combien savent que le Rwanda est le pays qui intègre politiquement le mieux les femmes au monde avec 49% de parlementaires femmes ? Combien savent que dans le classement de la Cia 2007, sur 10 pays les mieux gérés au monde, 4 sont Africains ? Avec la palme d’or à la Guinée Equatoriale dont la dette publique ne représente que 1,14% de son Pib.
Le sociologue américain C. Wright Mills a décrit en 1956 la démocratie américaine comme «la dictature des élites». Selon Mills, les Etats-Unis d’Amérique ne sont pas une démocratie parce qu’en définitive, c’est l’argent qui s’est substitué au peuple. Le résultat de chaque élection y est l’expression de la voix de l’argent et non la voix du peuple. Après Bush-père et Bush-fils, pour les primaires républicaines de 2012, on parle déjà de Bush-benjamin. En plus, si le pouvoir politique se base sur la bureaucratie, Max Weber fait remarquer qu’il y a 43 millions de fonctionnaires et militaires aux Etats-Unis qui commandent effectivement le pays, mais qui n’ont été votés par personne et qui ne répondent pas directement au peuple de leurs activités. Une seule personne (un riche) est donc votée mais le vrai pouvoir sur le terrain est tenue par une seule caste de riches qui ne résulte purement et simplement que de nominations comme les ambassadeurs, les Généraux de l’armée etc...
4- Pas de luxe. selon Rousseau pour qu’il y ait la démocratie dans un pays, il ne faut pas qu’il y ait de luxe parce que selon lui, le luxe rend nécessaire la richesse et cette dernière devient la vertu, l’objectif à atteindre à tout prix et non le bonheur du peuple, « le luxe corrompt à la fois le riche et le pauvre, l'un par la possession, l'autre par la convoitise ; il vend la patrie à la mollesse, à la vanité ; il ôte à l'Etat tous ses citoyens pour les asservir les uns aux autres, et tous à l'opinion ». Y a-t-il plus de luxe en France ou en Libye ? Ce rapport d’asservissement des employés qui sont poussés jusqu’au suicide les employés mêmes des entreprises publiques ou semi-publique, pour des raisons de rentabilité et donc de possession de luxe d’une des parties est-il plus criant en Libye ou en Occident ?

3- L’égalité dans les rangs et dans les fortunes. Il suffit de voir le classement Forbes 2010 pour voir quels sont les noms des personnes les plus riches de chacun des pays qui jette la bombe sur la tête des Libyens et voir la différence avec le salaire le plus bas dans chacun des pays et faire de même pour la Libye pour comprendre qu’en matière de redistribution de la richesse du pays, c’est à la Libye d’exporter son savoir-faire à ceux qui la combattent et non le contraire. Même sous cet angle, selon Rousseau, la Libye serait plus démocratique que ceux qui veulent pompeusement lui exporter la prétendue démocratie. Aux Etats-Unis 5% de la population possèdent 60% de la richesse nationale. C’est le pays le plus déséquilibré, le plus inégal du monde.
2- Il faut la simplicité des mœurs et des comportements pour éviter que l’on passe l’essentiel du temps à parler de justice, de tribunal pour trouver des solutions aux multitudes querelles d’intérêts divers qu’une société trop complexe fait naitre naturellement. Les Occidentaux se définissement comme des pays civilisés, donc aux mœurs complexes et la Libye comme pays dit primitif, c’est-à-dire aux moeurs simples. Sous cet angle, encore une fois, c’est la Libye qui répondrait mieux aux critères démocratiques de Rousseau que tous ceux qui prétendent lui donner des leçons de démocratie. Dans une société complexe, les trop nombreux conflits sont résolus par la loi du plus fort, puisque celui qui est riche évite la prison parce qu’il peut se permettre un meilleur avocat et surtout, orienter l’appareil répressif de l’Etat contre celui qui vole une banane dans un supermarché, plutôt que le délinquant financier qui fait crouler une banque. Dans une ville comme New York où 75% de la population est blanche, 80% des postes de cadres sont occupés par des Blancs et ils ne sont que 20% des personnes en prison.

1- Dimension de l’Etat : plus un Etat est grand, moins il peut être démocratique, pour Rousseau l’Etat doit être très petit pour que le peuple soit facile à rassembler et que chaque citoyen puisse aisément connaître tous les autres. Avant donc de faire voter les gens, il faut s’assurer que chacun connaisse tous les autres sans quoi voter pour voter est un acte dénué de tout fondement démocratique, c’est un simulacre de démocratie pour élire un dictateur. La structure de l’organisation de l’Etat libyen se fonde sur une base tribale qui regroupe par définition le peuple en de petites entités. Le sentiment démocratique est plus présent dans une tribu, dans un village que dans une grande Nation, parce que le fait que tout le monde se connaisse et que la vie tourne autour des mêmes points communs apporte une sorte d’autorégulation, d’autocensure même pour peser à chaque instant, la réaction ou la contre-réaction des autres membres pour ou contre les opinions qu’on peut avoir. Sous cet angle, c’est la Lybie qui répond le mieux aux exigences de Rousseau, ce qu’on ne peut pas dire de même pour les Etats-Unis d’Amérique, la France ou la Grande-Bretagne , des sociétés fortement urbanisées où la majorité des voisins ne se disent même pas bonjour et donc ne se connaissent pas, même vivant côte-à-côte pendant 20 ans. Dans ces pays, on est passé directement à l’étape suivante : « le vote » qu’on a malignement sanctifié afin de faire oublier que ce vote est inutile à partir du moment où je m’exprime sur l’avenir d’une Nation sans en connaitre ses membres. On est ainsi arrivé jusqu’à la bêtise du vote des citoyens vivant à l’étranger. Se connaitre et se parler est la condition essentielle de la communication pour le débat démocratique qui précède toute élection.
La question que tout être humain doté de la moindre capacité intellectuelle de jugement et d’appréciation ne peut s’empêcher de se poser est : ces pays comme la France, l’Angleterre, les Usa, l’Italie, la Norvège, le Danemark, la Pologne dont la légitimité pour aller bombarder les Libyens se base sur le seul fait de s’être autoproclamés « pays démocratiques » sont-ils réellement démocratiques? Si oui, sont-ils plus démocratiques que la Libye de Kadhafi ? La réponse, sans équivoque est Non, pour la simple et bonne raison que la démocratie n’existe pas. Ce n’est pas moi qui l’affirme, mais celui-là même dont la ville natale, Genève abrite l’essentiel du commandement des Nations unies. Il s’agit bien entendu de Jean-Jacques Rousseau né à Genève en 1712 qui affirme dans le chapitre IV du Livre III de son très célèbre ouvrage du Contrat social que : «il n'a jamais existé de véritable démocratie, et il n'en existera jamais». Pour qu’un Etat soit véritablement démocratique Rousseau pose 4 conditions selon lesquelles la Libye de Kadhafi est même de loin plus démocratique que les Etats-Unis d’Amérique, la France et tous les autres qui prétendent lui exporter la démocratie à savoir :
Et si la Libye de Kadhafi était plus démocratique que les Usa, la France, la Grande-Bretagne et tous ceux qui font la guerre pour exporter la démocratie en Libye ? Le 19 mars 2003, le président Georges Bush lance les bombes sur la tête des Iraquiens avec le prétexte d’y exporter la démocratie. Le 19 mars 2011, c’est-à-dire 8 ans plus tard et jour pour jour, c’est le président français qui lance ses bombes sur la tête des Libyens avec le même prétexte de leur offrir la démocratie. Monsieur Obama, Prix Nobel de la Paix 2009 et président des Etats-Unis d’Amérique, pour justifier qu’il procède à un déferlement de missiles Cruise de ses sous-marins sur la tête des Libyens a dit que c’était pour chasser le dictateur Kadhafi du pouvoir et y instaurer la démocratie.

B- CEUX QUI VEULENT EXPORTER LA DEMOCRATIE SONT-ILS DE VRAIES DEMOCRATIES ?

Kadhafi est dans le cœur de presque tous les Africains comme un homme très généreux et humaniste pour son soutien désintéressé à la bataille contre le régime raciste d’Afrique du Sud. Si Kadhafi avait été un homme égoïste, rien ne l’obligeait à attirer sur lui les foudres des Occidentaux pour soutenir financièrement et militairement l’ANC dans sa bataille contre l’apartheid. C’est pour cela que à peine libéré de ses 27 ans de prisons, Mandela décide d’aller rompre l’embargo des Nations unies contre la Libye le 23 octobre 1997. A cause de cet embargo même aérien, depuis 5 longues années aucun avion ne pouvait atterrir en Libye. Pour y arriver, Il fallait prendre un avion pour la Tunisie; arriver à Djerba et continuer en voiture pendant 5 heures pour Ben Gardane, passer la frontière et remonter en 3 heures de route par le désert jusqu’à Tripoli. Ou alors, passer par Malte et faire la traversée de nuit, sur des bateaux mal entretenus jusqu’à la côte libyenne. Un calvaire pour tout un peuple, juste pour punir un seul homme. Mandela décida de rompre cette injustice et répondant à l’ex- président américain Bill Clinton, qui avait jugé cette visite «malvenue», il s’insurgea : «Aucun Etat ne peut s'arroger le rôle de gendarme du monde, et aucun Etat ne peut dicter aux autres ce qu'ils doivent faire ». il ajouta : « ceux-là qui hier, étaient les amis de nos ennemis, ont aujourd’hui, le toupet de me proposer de ne pas visiter mon frère Kadhafi, ils nous conseillent d’être ingrats et d’oublier nos amis d’hier ». En effet, pour l’Occident, les racistes d’Afrique du Sud étaient leurs frères qu’il fallait protéger. C’est pour cela que tous les membres de l’Anc étaient considérés comme des dangereux terroristes, y compris Nelson Mandela. Il faudra attendre le 2 juillet 2008, pour que le Congrès américain vote une loi pour rayer le nom de Nelson Mandela et de ses camarades de l’Anc de cette liste noire, pas parce qu’ils ont compris la bêtise d’une telle liste, mais parce qu’on voulait faire un geste pour les 90 ans de Nelson Mandela. Si les Occidentaux sont aujourd’hui, repentis de leur soutien d’hier aux ennemis de Mandela et sont vraiment sincères lorsqu’on lui donnent des noms de rue et de places, comment continuer à faire la guerre à celui qui a permis la victoire de Mandela et son peuple, Kadhafi?

4- Kadhafi, l’Africain qui a permis de laver l’humiliation de l’Apartheid

Pour déstabiliser et détruire l’Union africaine qui va dangereusement (pour l’Occident) vers les Etats-Unis d’Afrique avec la main de maître de Kadhafi, l’Union européenne a d’abord tenté sans y parvenir la carte de la création de l’Upm (Union Pour la Méditerranée) Il fallait à tout prix couper l’Afrique du Nord du reste de l’Afrique. Cela a échoué parce que Kadhafi a refusé d’y aller. Il a compris très vite le jeu à partir du moment où on parlait de la Méditerranée en associant quelques pays africains sans en informer l’Union africaine, mais en y invitant tous les 27 pays de l’Union européenne. L’Upm sans le principal moteur de la fédération africaine était foirée avant même de commencer, un mort – né avec Sarkozy comme président et Mobarack, le vice-président. Ce que Alain Juppé tente de relancer, tout en misant sur la chute de Kadhafi, bien sûr. Ce que les dirigeants africains ne comprennent pas est que tant que ce sera l’Union européenne qui finance l’Union africaine, on sera toujours au point de départ, car dans ces conditions, il n’y aura pas d’effective indépendance. C’est dans le même sens que l’Union Européenne a encouragé et financé les regroupements régionaux en Afrique. Il était évident que la Cedeao qui a une Ambassade à Bruxelles et qui tire l’essentiel de son financement de l’Ue, est un obstacle majeur contre la fédération africaine. C’est ce que Lincoln avait combattu dans la guerre de sécession aux Etats-Unis, parce qu’à partir du moment où un groupe de pays se retrouvent autour d’une organisation politique régionale, cela ne peut que fragiliser l’organe central. C’est ce que l’Europe voulait et c’est ce que les Africains n’ont pas compris en créant coup sur coup, la Comesa , l’Udeac, la Sadc et le Grand Maghreb qui n’a jamais fonctionné encore une fois grâce à Kadhafi qui lui l’avait très bien compris.

3- Unions régionales comme frein à la création des Etats-Unis d’Afrique

Il est donc évident qu’après la Libye, la coalition occidentale déclarera sa prochaine guerre à l’Algérie, parce qu’en plus des ses ressources énergétiques énormes, ce pays a une réserve monétaire de 150 milliards d’Euros. Ce qui devient la convoitise de tous les pays qui bombardent la Libye et qui ont tous quelque chose en commun, ils sont tous financièrement en quasi faillite, les Usa à eux seuls ont 14.000 milliards de dollars de dettes, La France , la Grande-Bretagne et l’Italie ont chacun environ 2.000 milliards de dettes publiques alors que les 46 pays d’Afrique noire ont, au total, moins de 400 milliards de dollars de dettes publiques. Créer de fausses guerres en Afrique dans l’espoir de trouver de l’oxygène pour continuer leur apnée économique qui ne fait que s’empirer ne fera qu’enfoncer les Occidentaux dans leur déclin qui a pris son envol en 1884, lors de la fameuse Conférence de Berlin. Car comme l’avait prédit l’économiste américain Adams Smith en 1865, dans son soutien à Abraham Lincoln pour l’abolition de l’esclavage, «l’économie de tout pays qui pratique l’esclavage des Noirs est en train d’amorcer une descente vers l’enfer qui sera rude le jour où les autres Nations vont se réveiller».
Les 30 milliards de dollars saisis par M. Obama appartiennent à la Banque centrale libyenne et prévu pour la contribution libyenne à la finalisation de la fédération africaine à travers 3 projets phare: la Banque africaine d’investissement à Syrte en Libye, la création dès 2011 du Fonds monétaire africain avec un capital de 42 milliards de dollars avec Yaoundé pour siège, la Banque centrale africaine avec le siège à Abuja au Nigeria dont la première émission de la monnaie africaine signera la fin du Fcfa grâce auquel Paris a la mainmise sur certains pays africains depuis 50 ans. On comprend dès lors et encore une fois la rage de Paris contre Kadhafi. Le Fonds monétaire africain doit remplacer en tout et pour tout, les activités sur le sol africain du Fonds monétaire international qui, avec seulement 25 milliards de dollars de capital a pu mettre à genoux tout un continent avec des privatisations discutables, comme le fait d’obliger les pays africains à passer d’un monopole public vers un monopole privé. Ce sont les mêmes pays occidentaux qui ont frappé à la porte pour être eux aussi membres du Fonds monétaire africain et c’est à l’unanimité que le 16-17 décembre 2010, à Yaoundé les Africains ont repoussé cette convoitise, instituant que seuls les pays africains seront membres de ce Fma.

2- Fonds monetaire africain, Banque centrale africaine, Banque africaine des investissements

L’histoire démarre en 1992 lorsque 45 pays africains créent la société Rascom pour disposer d’un satellite africain et faire chuter les coûts de communication sur le continent. Téléphoner de et vers l’Afrique est alors le tarif le plus cher au monde, parce qu’il y avait un impôt de 500 millions de dollars que l’Europe encaissait par an sur les conversations téléphoniques même à l’intérieur du même pays africain, pour le transit des voix sur les satellites européens comme Intelsat. Un satellite africain coûtait juste 400 millions de dollars payable une seule fois et ne plus payer les 500 millions de location par an. Quel banquier ne financerait pas un tel projet ? Mais l’équation la plus difficile à résoudre était : comment l’esclave peut-il s’affranchir de l’exploitation servile de son maître en sollicitant l’aide de ce dernier pour y parvenir ? Ainsi, la Banque mondiale , le Fmi, les Usa, l’Union européenne ont fait miroiter inutilement ces pays pendant 14 ans. C’est en 2006 que Kadhafi met fin au supplice de l’inutile mendicité aux prétendus bienfaiteurs occidentaux pratiquant des prêts à taux usuraire; le guide libyen a ainsi mis sur la table 300 millions de dollars, La Banque africaine de développement a mis 50 millions, la Banque ouest-africaine de Développement, 27 millions et c’est ainsi que l’Afrique a depuis le 26 décembre 2007 le tout premier satellite de communication de son histoire. Dans la foulée, la Chine et la Russie s’y sont mises, cette fois en cédant leur technologie et ont permis le lancement de nouveaux satellites, sud-africain, nigérian, angolais, algérien et même un deuxième satellite africain est lancé en juillet 2010. Et on attend pour 2020, le tout premier satellite technologiquement 100% africain et construit sur le sol africain, notamment en Algérie. Ce satellite est prévu pour concurrencer les meilleurs du monde, mais à un coût 10 fois inférieur, un vrai défi. Voilà comment un simple geste symbolique de 300 petits millions peut changer la vie de tout un continent. La Libye de Kadhafi a fait perdre à l’Occident, pas seulement 500 millions de dollars par an mais les milliards de dollars de dettes et d’intérêts que cette même dette permettait de générer à l’infini et de façon exponentielle, contribuant ainsi à entretenir le système occulte pour dépouiller l’Afrique.
C’est la Libye de Kadhafi qui offre à toute l’Afrique sa première vraie révolution des temps modernes : assurer la couverture universelle du continent pour la téléphonie, la télévision, la radiodiffusion et de multiples autres applications telles que la télémédecine et l’enseignement à distance ; pour la première fois, une connexion à bas coût devient disponible sur tout le continent, jusque dans les zones rurales grâce au système par pont radio wmax.

1- Manque à gagner pour l’Occident à cause du Premier Satellite africain Rascom 1

C’est très inquiétant de constater que pour la première fois de l’histoire des Nations unies, on a déclaré la guerre à un peuple sans avoir exploré au préalable la moindre piste pacifique pour solutionner le problème.
L’Afrique a-t-elle encore sa place dans une telle organisation ? Le Nigeria et l’Afrique du Sud sont disposés à voter OUI à tout ce que l’Occident demande, parce qu’ils croient naïvement aux promesses des uns et des autres de leur donner une place de membre permanent au Conseil de Sécurité avec le même droit de veto. Ils oublient tous les deux que la France n’a aucun pouvoir de leur attribuer le moindre poste. Si elle l’avait, il y a belle lurette que Mitterrand l’aurait fait pour l’Allemagne de Helmut Kohl. La réforme des Nations unies n’est pas à l’ordre du jour. La seule manière de compter, est la méthode chinoise : tous les 50 pays africains doivent quitter les Nations unies. Et s’ils doivent y retourner un jour, ne le faire que s’ils ont obtenu ce qu’ils demandent depuis longtemps, un poste pour toute la fédération africaine, sinon rien.
Cette méthode de la non-violence est la seule arme de justice dont disposent les pauvres et les faibles que nous sommes. Nous devons tout simplement quitter les Nations unies, car, cette organisation de par sa configuration, de par sa hiérarchie est aux services des plus forts.
Nous devons quitter les Nations unies afin de marquer notre réprobation de cette conception du monde basée uniquement sur l’écrasement du plus faible. Tout au moins ils seront libres de continuer de le faire, mais pas avec notre signature, pas en rappelant que nous sommes d’accord alors qu’ils savent très bien qu’ils ne nous ont jamais interrogés. Et même quand nous avons donné notre propre point de vue, comme la rencontre de samedi 19/3 à Nouakchott avec la déclaration sur la contrariété à l’action militaire, ceci a été passé tout simplement sous silence pour aller accomplir le forfait de bombarder le peuple africain.
Ce qui arrive aujourd’hui, est le scénario déjà vu auparavant avec la Chine. Aujourd ’hui, on reconnaît le gouvernement Ouattara, on reconnaît le gouvernement des insurgés en Libye. C’est ce qui s’est passé à la fin de la Seconde Guerre mondiale avec la Chine. La soi-disant communauté internationale avait choisi Taiwan comme unique représentant du peuple chinois en lieu et place de la Chine de Mao. Il faudra attendre 26 ans, c’est-à-dire le 25 octobre 1971 avec la résolution 2758 que tous les Africains devraient lire, pour mettre fin à la bêtise humaine. La Chine est admise, sauf qu’elle a prétendu et obtenue d’être membre permanent avec droit de veto, si non elle n’entre pas. Cette exigence satisfaite et la résolution d’admission entrée en vigueur, il faudra attendre un an pour que le 29 septembre 1972, le ministre chinois des Affaires étrangères donne sa réponse avec une lettre au Secrétaire général des Nations unies pas pour dire Oui ou Merci, mais pour faire des mises au point, en garantie de sa dignité et de sa respectabilité. Qu’est-ce que l’Afrique espère obtenir des Nations unies sans poser un acte fort pour se faire respecter ? On a vu en Côte d’Ivoire un fonctionnaire des Nations unies se considérer au-dessus d’une Institution constitutionnelle de ce pays. Nous sommes entrés dans cette organisation en acceptant d’être des serfs et croire que nous serons invités à table pour manger avec les autres dans les plats que nous avons lavés est tout simplement crédule, pire, stupide. Quand l’UA reconnaît la victoire de Ouattara sans même tenir compte des conclusions contraires de ses propres observateurs envoyés sur le terrain, juste pour faire plaisir à nos anciens maîtres, comment peut-on nous respecter ? Lorsque le président sud-africain Zuma déclare que Ouattara n’a pas gagné les élections et change à 180° disant le contraire après une petite visite de 8 heures à Paris, on peut se demander ce que valent ces dirigeants qui représentent et parlent au nom de 1 milliard d’Africains.
La force et la vraie liberté de l’Afrique viendront de sa capacité à poser des actes réfléchis et en assumer les conséquences. La dignité et la respectabilité ont un prix. Sommes-nous disposés à le payer ? Si non, notre place reste à la cuisine ou aux toilettes pour garantir le confort des autres. D’ici là, en Libye, les bombes qu’on nous décrit comme des rosiers qui tombent du ciel pour reboiser le désert libyen, sont françaises, américaines, britanniques, italiennes, canadiennes, norvégiennes, mais les victimes sont africaines, toutes africaines. Oui, c’est une guerre déclarée à tout le peuple africain, pas à un homme, pas à un pays.

(*) Jean-Paul Pougala est un écrivain d’origine camerounaise, Directeur de l’Institut d’études géostratégiques et professeur de sociologie à l’Université de la Diplomatie de Genève en Suisse.

Jean-Paul Pougala pougala@gmail.com

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  vous avez écouter Farakhan la dessus....
wildcat ( 27/10/2011 20:37 )
À Villiers-sur-marne / France

http://www.youtube.com/watch?v=o2XwTHlj8jY

Bump!
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  QU'OBAMA AILLE SE FAIRE FOUTRE
F**** OBAMA ( 27/10/2011 22:06 )
À Liverpool / United States

QU'OBAMA AILLE SE FAIRE VOIR AVEC CES DECLARATIONS STUPIDE.

EST-CE QUE REAGAN-BUSH ET LUI MEME ON PUT FAIRE AUTANT POUR LEUR PEUPLE AMERICAIN?

OBAMA EST UN VAUTOUR COMME CES PREDECESSEURS.
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( 28/10/2011 02:56 )
À Évry / France

Ouais comme s'il n' était pas au courant de la situation économique de la Libye et comme s'il yavait la Démocratie aux USA... PFFF !

Les Dictateurs islamiques des sanguinaires qui terrorisent leur populations Il n'a que faire le bilan des vies humaines enlevées tant côté militaires et civils irakiens puis soldats américains et forces de la coalitions confondues, ne serait-ce que pour l'Irak et l'Afganistan : 2 guerres non fondées soient disant au non toujours de leur prétendue "Démocratie" à instaurer chez les sauvages
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( 28/10/2011 02:58 )
À Évry / France

APOCALYPSE : "les premiers seront les derniers"...
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( 29/10/2011 15:32 )
À Paris / France

L’OTAN a assassiné Khadafi !
50 ans après la mort de Frantz Fanon

samedi 22 octobre 2011, par Demba Moussa Dembele, Economiste, Chercheur, Vice-président du Réseau International Frantz Fanon

Les Etats-Unis, la France, la Grande Bretagne ont enfin atteint leur but en Libye : assassiner Kadhafi !
Les mensonges visant à faire croire que ce sont les « forces du CNT » qui l’ont assassiné ne tromperont personne. D’ailleurs, l’OTAN a reconnu avoir bombardé « un convoi pro-Kadhafi » le jeudi matin. Et comme par hasard, quelques heures après, on annonce « la capture » ou « la mort » de celui-ci

Un assassinat de sang froid
Il ne fait donc guère de doute que c’est l’OTAN, assistée par les Forces Spéciales des pays occidentaux, qui a assassiné Kadhafi, de sang froid. On remarquera que ce crime est intervenu deux jours après la visite de la Secrétaire d’Etat des Etats-Unis, Madame Hillary Clinton à Tripoli, au cours de laquelle, elle a dit à propos de Kadhafi : « j’espère qu’il sera bientôt capturé ou tué ».
C’est donc un crime d’Etat dont la responsabilité repose sur les épaules de Barack Obama, Nicolas Sarkozy et David Cameron, les principaux chefs de guerre de l’agression impérialiste occidentale contre un régime souverain. L’on se souvient que dès le début de cette agression, l’OTAN avait cherché à plusieurs reprises à assassiner le dirigeant libyen, dont un des fils et trois des petits-enfants furent tués lors d’un bombardement sur leur résidence.
Ainsi, cet assassinat de sang froid expose-t-il à la face du monde la nature barbare, tyrannique et cruelle de cette alliance impérialiste. Il faut voir le concert de discours de « satisfaction » de ses dirigeants, certains se disant même « fiers » d’avoir contribué à cet ignoble assassinat. Les dirigeants occidentaux ont ainsi montré leur nature sanguinaire, perverse et despotique. Ce sont des individus immoraux et qui n’hésiteront pas à mentir, à tuer et à massacrer pour arriver à leurs fins.

La complicité des Nations Unies
Ce qui également saute aux yeux de l’opinion mondiale c’est le rôle peu glorieux joué par les Nations Unies. Ban Ki-Moon, le Secrétaire Général, s’est empressé de lire une déclaration pour parler « d’une transition historique » pour la Libye et surtout proposer les services de l’ONU pour « aider » l’OTAN et ses mercenaires !
On sait déjà que les Nations Unies avaient été complices de l’assassinat d’un dirigeant africain, en la personne de Patrice Lumumba au Congo en 1961. Mais on pensait que cela ne se répéterait plus jamais. Le 20 octobre 2011 restera donc un autre jour d’infamie dans l’histoire de l’organisation onusienne.

Quel avenir pour la Libye ?
L’élimination physique de Kadhafi va peut-être mettre fin - pour combien de temps ? - à la résistance à l’occupation du pays par l’OTAN et ses mercenaires. Mais on peut affirmer que l’avenir ne s’annonce pas des plus heureux pour le peuple libyen. Le pays est déjà en voie de recolonisation. Les forces de l’OTAN et les Forces Spéciales ne sont pas prêtes de quitter la Libye. Les pays membres de l’OTAN, qui ont installé le CNT, vont imposer leurs exigences, non seulement pour le partage et l’exploitation des ressources naturelles du pays, mais également et surtout pour l’octroi de « facilités militaires », autrement dit des bases militaires terrestres, navales et aériennes. Faut-il rappeler que c’est Kadhafi qui avait fermé les bases militaires opérées par les yankees après sa prise de pouvoir en 1969 ?
Ainsi, la Libye risque-t-elle de se transformer en une nouvelle colonie, devenant ainsi une menace pour ses voisins.

Les leçons pour l’Afrique
En osant défier la horde impérialiste de l’OTAN tout seul pendant des mois, sans le moindre soutien de la part d’un Etat africain, essuyant même des trahisons comme celle du président sénégalais Wade, Kadhafi a donné une leçon magistrale aux dirigeants africains : une leçon de courage, de bravoure et de dignité dans l’épreuve. Il avait dit et répété qu’il ne quitterait jamais le pays de ses ancêtres et qu’il préférait y mourir plutôt que d’aller en exil. Il a tenu parole et est entré dans la légende. Jusqu’au bout, il a refusé d’accepter le moindre ultimatum, la moindre injonction de la part des despotes occidentaux.
Quel contraste avec le comportement de nombre de dirigeants africains, surtout parmi ceux qui ont été les premiers à le trahir, comme Abdoulaye Wade. Ils subissent quotidiennement des humiliations de la part de leurs maîtres occidentaux, recevant des avertissements, des ordres à propos de tout et de rien. Ils vivent dans l’indignité et le mépris de ces maîtres. Ce sont des individus prêts à satisfaire le moindre caprice de ces derniers. Comme le remarquait à juste titre, feu le Professeur Joseph Ki-Zerbo, des gens qui ne savent qu’imiter et obéir, ne méritent pas d’être appelés « dirigeants »
Kadhafi n’était certes pas un démocrate, loin de là. C’était un dictateur à bien des égards, un dirigeant parfois imprévisible. Mais c’était un dictateur éclairé qui aimait son pays et l’Afrique. Il se sentait africain et avait une vision et une grande ambition pour celle-ci.
Aucun Chef d’Etat du continent n’a fait autant pour faire avancer l’unité africaine, pour l’indépendance et la sécurité du continent.
C’est pourquoi on peut affirmer que la chute et l’assassinat de Kadhafi vont sonner le glas des efforts entrepris pour former les Etats-Unis d’Afrique, du moins dans un avenir prévisible. Des avancées qui avaient été faites dans la construction de l’unité économique du continent seront sans doute mises en veilleuse, voire abandonnées. C’est le cas de la Banque centrale africaine, du Fonds monétaire africain et de la Banque africaine d’investissement. Cette dernière devait justement être établie à Tripoli ! Kadhafi était la force motrice derrière ces projets et était prêt à utiliser les réserves de change de son pays dans ce sens.
Les attitudes racistes du CNT, illustrées par les massacres contre les Libyens noirs et les ressortissants des pays d’Afrique au Sud du Sahara, montrent que les dirigeants installés par l’OTAN ont d’autres priorités que la construction de l’unité africaine.
La conquête de la Libye par les pays membres de l’OTAN annonce de sombres perspectives pour l’indépendance et la sécurité du continent. Elle risque d’ouvrir grandes les portes de celui-ci à AFRICOM - le projet de militarisation du continent par les Etats-Unis - qui, jusque- là, n’avait pas trouvé de pays d’accueil sur le sol africain. Donc, la mise sous tutelle de la Libye par les occidentaux et l’assassinat de Kadhafi risquent d’être le point de départ de la militarisation de l’Afrique et de l’accélération de sa recolonisation.
http://www.frantzfanoninternational.org/spip.php?article281
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Mankoun N'zué ( 29/10/2011 17:58 )
À / France

obama ta mère c....
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( 29/10/2011 20:18 )
À Crawley / United Kingdom

En moins de 4 ans Obama a reussi a nous (les noirs) rendre plus meprisable que ne l'ont fait 4 siecles d'esclavage. Grace a lui la preuve est faite que quelle que soit sa position, le noir reste idiot.
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Mankoun N'zué ( 30/10/2011 02:36 )
À / France

obama dit à tes parents blancs de garder leur démoncratie-guerre-bombardements. On n'en veut pas. On n'en veut plus. !

D'ailleurs même est ce que démoncratie là c'est forcé ?

Un long TCHRROOOUUUUU

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  @ Crawley / United Kingdom
numéro 7 ( 30/10/2011 07:52 )
À Bezons / France

Ce n'est pas Obama qui rend les noirs méprisables, mais les noirs eux-memes !!! En GB, les jeunes noirs qui finissent dans les gangs, qui s'entretuent entre-eux, qui laissent derriére-eux des filles-méres en nombre, noires et blanches seules avec leur rejetons ( ceux qu'un noir de France, aurait du mal à faire ou ne ferait pas avec une fille de la bas ! ),ect................ En France, les Domiens qui se plaignent d'etre discriminés, méprisés et ignorés par la France, mais qui lorsque L'Etat Français, leur donne une trés rare occasion d'etre par exemple autonome politiquement , rejettent cette opportunité, en votant NON en masse,ect.................
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