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Olivier Besancenot victime d'espionnage |
Nombre de messages:
6
Pages:
1
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07/05/2008 12:16 )
À Paris / France
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Je travaille dans l'édition, sa compagne est responsable de la communication d'un gros éditeur parisien, tous le monde le sait dans ce milieu (je ne donne pas ici son nom). Elle a forcément un salaire rondelet. Alors le "facteur" qui joue les pauvres c'est un hypocrite. |
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kiko |
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07/05/2008 15:50 )
À Tart-le-haut / France
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comme les noirs qui parlent d'afrique sans jamais y avoir mi les pied et qui crache sur ce pays en en suçant tous les avantages |
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No Justice (
07/05/2008 17:06 )
À Dommartin / France
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reponse au message 1.
Pourquoi serait il hypocrite ? Qu'est ce qui te permet de dire qu'il n'a pas de convictions ?
Tu as bien assimilé la division que l'on veut te mettre dans le crâne : "seuls les pauvres défendent les intérets des pauvres, seuls les noirs doivent se défendre contre le racisme anti noirs, seuls les femmes doivent se défendre contre le machisme".
t'inquiète pas, les riches par contre défendent très bien leurs intérets et crée très bien la division chez leurs adversaires |
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07/05/2008 17:32 )
À Paris / France
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On ne peut pas avoir confiance en quelqu'un qui ment par omission.
il laisse bel et bien sous-entendre "je suis un pauvre facteur, j'ai comme vous des fin de mois difficile" |
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07/05/2008 20:08 )
À Tart-le-haut / France
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quand on a de l'argent on doit forcement etre de droite ? alors tout les politiques le sont et jue ne parles pas des chefs d'etats africains hahahahahha |
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Espionnage... inquiétant |
Daniel (
14/06/2008 23:07 )
À Paris / France
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A tous ceux qui ont peur d’être pris pour fous car ils ont un sentiment étrange : on les espionne, je dis ceci :
Certains, de peur d’être taxés de parano (un mot très à la mode en c e moment), n’osent pas exprimer ouvertement le harcèlement et les diverses pressions dont ils font l’objet. Le motif est souvent le « manque de preuves concrètes » nécessaires à la crédibilité. Ils ont tort. L’intuition s’avère souvent justifiée.
Les spécialistes de l’espionnage, par définition, sont formés pour ne pas être pris. Cependant, il existe des signes qui ne trompent pas et qui peuvent vous mettre sur la bonne voie… L’espionnage étant désormais à la portée de votre voisin de palier, il n’est pas nécessaire d’exceller vous-même dans l’art du contre-espionnage et de réunir des preuves avant de déposer une plainte légitime et fondée.
Un voisin qui, par exemple, convoiterait votre appartement et aurait recours à une société privée afin d’exercer des pressions de diverses natures sur vous n’aurait pas grand mal à entrer chez vous sans effraction afin de se « documenter ». Les systèmes de crochetage de serrures étant accessibles pour 130 euros par internet ou en magasins. Il pourrait également installer chez vous un mini micro et une mini caméra. Il a désormais aussi la possibilité de mettre vos téléphones sur écoute sans aucun problème. Plusieurs officines exercent en France et en Europe mais je citerai un exemple parmi des centaines: www.espion-on-line.com , ce qui vous renseignera non seulement sur les produits accessibles aux particuliers et aux agences de détectives diverses (plus ou moins honnêtes)… mais, surtout, cela vous laissera imaginer ce qu’il est possible de faire dans le « non-dit » et « l’officieux » beaucoup moins avouable… En effet, si légalement il est possible de se procurer de tels produits d’espionnage, imaginez ce qu’il est possible d’obtenir « au noir » et « officieusement »… Tout ceci n’est pas rassurant pour le citoyen moyen. Sachez réagir intelligemment, être très prudents, n’accordez pas votre confiance aveuglément à une personne qui vous semble honnête car elle vous est « voisine ».
Concernant mon expérience, j’ai été victime d’espionnage et quand j’ai eu l’idée d’utiliser un système de surveillance de mon appartement pour savoir qui y pénétrait en mon absence, plus aucune intrusion (normal puisque un système de surveillance vidéo en marche émet un signal à plusieurs dizaines de mètres à la ronde qu’un intrus équipé très modestement peut capter). Aussi, il sait qu’il ne faut pas rentrer chez vous quand il est en marche.
Cependant, lorsque j’ai eu l’idée de commencer à fouiner dans mon appartement à la recherche de micros éventuels, deux jours plus tard, une panne d’électricité de 10 bonnes minutes ayant touché quelques immeubles à la ronde, a laissé mon appartement sans surveillance jusqu’à mon retour, le soir, quelques heures plus tard. C’était un jour où je devais rentrer plus tard que d’habitude… (situation idéale pour un espion afin qu’il puisse retirer le ou les micros et ou mini caméras qu’il aurait installés chez moi).
J’ai également constaté que la seule et unique main courante que j’ai déposée à la police (ayant trait à une autre histoire) a pu être exploitée et utilisée par ce même personnage et sa compagnie. Comment se l’est-il procurée ? . Mais, là encore, j’ai été imaginatif et j’ai inventé un détail dans la main courante que j’ai déposée (et par précaution…) qui n’existait pas dans la réalité des faits que j’avais rapportés. Ce détail n’a donc pu être reproduit que par des gens ayant eu accès à cette main courante déposée au commissariat de police… C’est ce détail qui m’a permis de constater la nuance. Photos à l’appui.
Exemple : si quelqu’un vous menace par téléphone au point que vous déposiez une plainte, au moment où il s’agira de faire pression sur vous, il sera bon de savoir qu’un tel événement vous aura déstabilisé. Ainsi, l’espion pourra reproduire le schéma vous laissant croire à « de vieux démons… ». Aussi, je me méfie même d’une certaine police.
Comme M. Calvi le disait dans son émission récente (suite aux affaires Besançenot et Thibaut), un ancien flic reconverti dans le privé pourrait utiliser des fichiers qu’il aurait stockés depuis bien longtemps et bien avant les « fameuses lois restrictives » dans le domaine (dont je crois fortement, à l’ère de la piraterie informatique, qu’elles sont tout à fait contournables) qui protègeraient par un « code » l’accès à des « infos police ».
Il existe des cellules de police honnêtes spécialisées qui lutte contre l’espionnage sauvage. Faute de mieux, faites-leur confiance… Mais surtout laissez la trace d’une plainte déposée en bonne et due forme dans un commissariat qui n’est pas forcément celui de votre arrondissement. Une enquête sera ouverte et vos voisins trop curieux et malsains verront d’autres surveiller « leurs » affaires.
Pour ma part, lorsque j’ai constaté qu’on pénétrait chez moi sans effraction, j’ai eu recours à des petites astuces qui l’ont confirmé (bien que n’établissant pas une preuve en soi puisque j’étais le seul témoin) mais quand j’ai réalisé que j’étais sur écoute, que mon ordinateur était sous surveillance, que mes comptes en banque avaient été épluchés, que mon répondeur était écouté, que mon interface de gestion avait été piratée, que j’avais été suivi de manière ouverte afin de tenter une intimidation et que, parallèlement, je croisais immanquablement et un nombre considérable de fois le même « individu voisin » qui évoquait immanquablement la même question et me suggérait de lui vendre très rapidement mon bien immobilier « pour mon bien », j’ai compris qu’il s’agissait d’une petite crapule aux méthodes ordurières avec la gueule de con d’un bonhomme ayant l’air honnête ne payant pas de mine et au demeurant très sympathique au premier abord. Là où cela devient dangereux et un peu fort de café, c’est que mon état de santé s’est subitement dégradé au moment de ces événements (Avril/Mai 2007). Je sentais des picotements sur le corps, des chaleurs, mes yeux piquaient, état de nervosité anormal, insomnies. Cela a duré plusieurs semaines. Il a fallu que je m’exile un mois chez mes parents pour que tous ces symptômes disparaissent aussitôt. Quand je me suis aperçu, quelques jours plus tard, et avec un peu de recul, qu’il y avait un rapport avec ma toilette. En effet, c’est après avoir utilisé mon champoing et mon gel douche, que les malaises les plus intenses arrivaient. Dans ces cas là, votre premier réflexe est de raconter ce qui vous arrive à vos proches. Mais comme vous êtes dans un état de nervosité et de malaise provoqué par le produit qu’on a mis en votre absence dans votre champoing, on vous prend pour un fou. Et le tour est joué. Vous êtes isolé, même votre famille témoignera de votre mauvais état de santé mentale en cas «d’accident »… Car, si les enjeux financiers sont conséquents (ce qui n’est n’était pas mon cas) le harcèlement peut conduire une personne faible jusqu’au suicide (pour que son appartement soit à vendre, ce serait donner peu cher de la vie… non ?). Toutefois, en ce qui me concerne, j’ai dû lutter seul assez longtemps et j’ai même rédigé un testament qui lègue tous mes biens à mon frère Jacques au cas où il m’arriverait malheur à la condition qu’il ne vende pas mon appartement à quelqu’un de mon immeuble ou ayant un lien de parenté avec un de ces derniers et, surtout, à condition qu’il ne vende pas avant une période de 20 ans.
Bref, mes soucis ont fini par s’atténuer car je suis du genre à vaincre ou mourir. Mais faut-il en venir à cette extrémité pour avoir le droit de vivre normalement sans craindre des pourris mal intentionnés avec des moyens policiers à leur disposition ?
A savoir : quelqu’un qui vous surveille par définition à votre insu est à même d’attendre le moment propice pour passer au stade de « l’intimidation » voire de « l’action » : problèmes sentimentaux, professionnel, financiers, psychologiques, visite d’anciennes fréquentations « alcoolisées » et « alcoolisantes » (ce qui rend d’autant moins crédible), baisse de moral… C’est ce qui m’est arrivé.
Ne laissez et ne Vous laissez Jamais faire, multipliez les plaintes et soyez « malins », je tairai mes méthodes pour coincer les salops bien que j’en meure d’envie de vous en faire part car mon affaire est en cours… mais réfléchissez, vous pouvez obtenir des preuves en utilisant leurs méthodes… Entre autres.
N’abandonnez Jamais et ne Laissez Pas faire. Vous ne devez pas faire le jeu des crapules. Refusez de devenir une Victime !
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