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RD Congo : ça se calme à Goma ! |
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Pitié pour mon pays |
Mwana mboka (
30/10/2008 16:48 )
À Antwerp / Belgium
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Hier, MOBUTU, malade, tombait. Pour nombre de mes compatriotes, MOBUTU étant le diable personnifié, n'importe quel quidam pouvait venir. On ne pouvait de toutes les façons pas avoir pire que lui, disaient-ils fièrement.
Où en sommes-nous aujourd'hui?.
Jamais, dans l'histoire des Etats africains, un pays n'a connu de situatiuons aussi invraisemblables qu'abracadabrantesques comme ce qui se passe dans le paysd de mes ancêtres.
jamais on n' avait connu et enregistré un tel degré de collusion et de complicité entre les dirigeants d'un pays et les ennemis de ce même pays.
Aujourd'hui, le petit Rwanda met le CONGO à genoux, à travers ses hommes de paille.
Et qui, du côté congolais, doivent conduire le front pour faire face à ces attaques?. Ce sont les généraux KABILA Joseph, commandant en chef de l'armée gouvernementale ( en sa qualité de président de la république) et AMISI alias Tango fort, chef EM de la force terrestre.
Et qui sont ces rwandais bombardés congolais?. L'un, le premier, fur quasi un enfant soldat, porteur de mallettes d'un certain KABAREBE ( l'actuel chef de l'armée rwandaise); le deuxième n'est ni plus ni moins que le propre parrain ( au civil) de NKUNDABATWARE avec qui, ils ont longtemps combattu et fait leurs classes dans l'armée rwandaise du temps de sa conquête de pouvoir.
Rien d'étonnant dans tout cela que, périodiquement, KABILA et AMISI jouent la comédie en livrant régulièrement à leur frère NKUNDABATWARE de l'armement.
Ajoutez à cela le fait que le grand parrain rwandais, conscient de ce qu'avec un nouvelle administration aux commandes aux USA, il lui faudra du temps pour bâtir de nouveaux réseaux, voudrait bien mettre tout le monde devant le fait accompli. en annexant l'est congolais de facto.
Voilà la donne actuellement dans mon pays.
Il faut tout au plus 18 mois pour former un bon soldat. Déjà sous MOBUTU, c'était connu, en paupérisant l'armée au détriment d'un milice personnelle, hier la DSP, aujourd'hui la GR, on créait les conditions pour que mon pays n'ait jamais d'armée. Et croyez bien que c'est un fils de militaire ex-FAZ qui écrit ces lignes.
Où sont aujourd'hui les généraux d'opérette les NUMBI, les RAUS et ces autres katangais?. Ils sont très prompts à tirer sur des pauvres civils de Bundu dia Kongo, ils sont très efficaces lorsqu'ils s'agit de débusquer les militaires bembistes, ils sont très efficaces lorsqu'ils s'agit de faire la chasse aux ressortissants de l'Equateur.
Aujourd'hui, à l'heure où la nation entière est en train de subie une énième humiliation du chef de NKUBA où sont-ils?.
Décidément, la fuite des NZIMBI et autres BARAMOTO ne s'en spouviennent-ils pas?.
Le mal de mon pays, c'est KABILA aux yeux de qui NKUNDA, KABAREBE et, à plus forte raison KAGAME n'est qu'un minable.
Tant que mon pays aura des dirigeants pareils, ce sera toujours la descente aux enfers.
MOBUTU zonga!. |
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30/10/2008 18:35 )
À Brussels / Belgium
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LES CONGOLAIS MEURTS DE LEURS BONTE,LA LA BIBLE A TUER CE PEUPLE.............. |
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A qui profite le crime |
yuotam (
30/10/2008 18:52 )
À Weyersheim / France
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Et comme par hasard, après l'accrochage, de Kabila avec le 1er ministre Belge, et un autre député, au sein du parlement Européen, qui a dit notre créature nous échappe.
Et comme par hasard, que Kabila parle d'une coopération franche avec la Chine.
Et comme par hasard, les Indiens et Chinois et les Coréens s'intéressent a l'Afrique, pour une coopération sud sud.
Et comme par hasard, on voit l'après moi le K.O.
En Afrique du sud on assiste a l'implosion du parti de Mandela, le Darfour s'enflamme, les despotes encouragés a mettre leurs pourritures pour assurer la relève de papa.
Le Pays de patrice Lumunba, est en feu et en sang.
A qui profite tous ces crimes sur notre continent.
Les crimes coloniaux et néo-coloniaux contre notre continent, sèment toujours leurs lots de désolations et désastres.
Sur une population de plus de 14 millions d'habitants en RDC a leur accession a l'indépendance, il n'y avait que 17 personnes qui avaient une éducation universitaire, le plus instruit était un curé.
Il n'y avait pas de docteur, pas de dentiste, pas d'avocats, aucun professionnel d'aucune sorte. (...) Il n'y avait aucun ingénieur.
Les Belges ne leur avait pas permis d'en développer, en plus il nous liquide le seul fils d'Afrique digne qui était capable de sortir ce bled, de l'auberge belge.
Et puis aujourd'hui a l'ONU ils nous versent des larmes de crocodile sur le sort des populations civiles, la France et la Belgique proposent d'envoyer 1500 soldats, tout ceci me rappel étrangement les années 1993 juste avant Génocide Rwandais. |
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ILS SONT CONNU |
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30/10/2008 19:37 )
À / France
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OLD PIRATES |
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Une bande de pilleurs |
CONCORDE (
30/10/2008 21:17 )
À Villefranche-de-rouergue / France
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Ces danseurs de ndombolo de FARDC ne pensent qu'à piller au lieu de defendre leur pays. Et ceci ne date pas d'aujourd'hui. Leurs ainés dans l'armée de Wazabanga excellaient déjà dans cet art de combattre. Mise à sac des territoires libérés avant que l'énnemi ne revienne. On les a vu à la télé avec des postes de télévision et autres meubles sur leurs têtes après qu'ils aient fait reculer les hommes de Kagamé lors de son offensive en 1991 contre Habyarimana du Rwanda. Ils avaient été envoyé par Mobutu pour aider les F.A.R. (ex forces armées rwandaises).
Quant'à toi Mwana mboka, je trouve que tes critiques sur la façon dont M. Kabila gère cette crise sont exagérées. Je ne voie pas ce qu'il pourrait faire de plus si les puissances ne lui en donnent pas les moyens. Si toi tu crois que tu es plus malin, tu peux nous faire part de ce que tu ferais à sa place. Au lieu de passer tout ton temps à critiquer, il serait plus constructif si tu donnais de temps en temps tes propositions. N'est ce pas? Dieu te garde. |
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trop d'enjeux économiques |
wildcat (
30/10/2008 22:07 )
À Vitry-sur-seine / France
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Cette situation est inquiétante pour une simple raison la Guinée risque d'avoir le même sort. Sol riche, pouvoir civil et militaire affairiste et corrompu, trempé dans les guerres civiles des pays frontaliers, dissension ethnique. Le soucis est que nos leaders pensent qu'ils sont comme les diamants de leur sol riche à savoir: éternel. |
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31/10/2008 00:31 )
À Magny-le-hongre / France
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yuotam
je suppose que quand tu as mal au ventre et que tu as du mal a faire caca c'est que tu vient juste d'echapper a une tentative d'assassinat!!! |
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FAUX POMPIER. |
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31/10/2008 07:29 )
À / France
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CEE LAISSEZ l'AFRIQUE AUX AFRICAINS .500 ANS EST ASSEZ . |
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@00h31 |
yuotam (
31/10/2008 09:37 )
À Weyersheim / France
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La vérité, ne peut faire fendre la tronche q' un idiot du village comme toi.
Nos populations, eux ils ont mal aux ventres tous les jours.
Ce qui est con avec les petits blancs qui essai de venir prendre leurs pieds sur ce site.
Vos petites anecdotes d'école primaire ne nous font plus rire du tout, va jouer aux billes avec les petits garçons de ton espèce dans la cour de récréation.
A moins que tu ne soit Belge, bon je t' avoue sérieusement, que tes histoires Belge ne font pas rire du tout même avec la meilleur volonté du monde.
Argumente, contredit moi, dans mes dires, pour l'amour du ciel arrête de sortir des blagues a deux piécettes. |
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l'ami de mon ennemi |
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31/10/2008 11:11 )
À / Satellite Provider
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je lis: A l’origine de cette phobie générale, la rumeur sur le siège de la ville, qui serait tombée la veille entre les mains des assaillants. Al'arrivée de kabila père,la population ne fuyait pas la ville au contraire à Kinshasa la population a applaudi l'entrée de l'AFDL avec entousiasme allant jusqu'à immoler les ruandais à Kinshasa quand ils ont voulu renverser KABILA PERE.
Avec NKUNDA ,la population ,qu'il prétend combattre pour ,fuit la ville: signe que cette population ne veut pas de ces bandits soutenus par RUANDA, et qui continuent à piller le pays en bradant ses ressources naturelles aux occidentaux.Tout l'argent que vole NKUNDA, qu'a-t-il déjà bati comme route ou que sais-je? même le processus de démocratisation financée par l'occident qui a conduit aux élections, il l'a boycottée à la barbe de la communauté internationale et maintenant un seul individu doit remettre tout en cause. Et l'occident conseille la dialogue avec un monsieur pareil???Pendant que les gens meurent à l'est LOUIS MICHEL DEBARQUE COMME TARZAN AU CONGO AVEC PROMESSE DE 500 MILLIONS DE EUROS POUR LE DEVELOPPEMENT DU PAYS!!!!!DE QUI SE MOQUE-T-ON?L'ami de mon ennemi est mon ennemi.
Le sang innocent des congolais et la misère causée ratrappera d'une façon ou d'une autre tous ceux qui de loin ou de près contribuent à le verser.
declo |
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31/10/2008 13:45 )
À Magny-le-hongre / France
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yuotam
pourquoi tu me parles d'arguments, tu ne sais pas ce que c'est ! la seul chose que tu dit est une longue litanie rempli d'affirmation sans aucun fondements !
il n'y a aucune demonstration aucune argumentation.
si la guerre frappe au congo c'est juste a cause de l'ambition de quelques hommes qui se moque pas mal de tuer leur compatriote du moment qu'ils ont un certains pouvoir..
rien de plus |
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l'ami de mon ennemi |
jfede (
31/10/2008 15:47 )
À / Satellite Provider
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NKUNDA doit ètre vaincu militairement pour décourager des tels exemples dans un pays où vivent 450 ETHNIES. Et les congolais en sont capables seulement voila il n y a pas des mauvaises troupes en RDC mais des mauvais chefs soit incompétents soit cupides et pas du tout patriotiques. Un chef de geurre congolais dit 'MBUNZA MABE' entouré des proches dont il a confiance fera déguerpir NKUNDA de la RDC en moins de 24 heures comme JADIS à BUKAVU jadis .Mais pourqoui ne l'utilise -t-on pas???????????????????
declo |
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phuuuuuuuuuuuuuu |
Concorde (
01/11/2008 01:44 )
À Castres / France
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Il n y a pas de mauvais troupes, il n y a que de mauvais chefs!!! Ben voyons. Que pourrait faire un bon chef avec ce ramassi de pilleurs des ménages. Avec des anes on ne peut pas faire de bons chevaux de course. L'armée congolaise devrait être dissoute et faire venir les rwandais à la place. Pour ceci, Kabila père aurait du les garder à ses côtés (d'ailleurs ils étaient avant avant qu'il les trahisse). |
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A Concorde |
Mwana mboka (
01/11/2008 07:01 )
À Antwerp / Belgium
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Monsoer me fait penser à toux ceux, nombreux qui ot dansé le ndombolo en l'honneur de Kabila père. Le hic c'est qu'il continue lui d'encore danser.
La solution, la seule pour que le pays recouvre quelque dignité, c'est que le pays soit débarrassé de Kabila et de ses suppôts. Qu'un vrai fils du pays, ayant des couilles bien pendues prenne sa tête.
Si tout l'argent que vole Kabila et son système maffieux à la tête duquel trônent les Jaynet, mama SIFA, Junior Kabila, Katumba, des multimillionnaires en un éclair de temps. Je ne parle même pas des milliards détournés par les amis de Kabila père, les Mwenze kongolo et autres BUGERA - voyez le rapport des nations unies sur le pillage des ressources etc.-, sI tout cet argent était utisé pour construire une vraie armée, on en arriverait pas là.
A l'image de mercenaires, un militaire ne peut être motivé s'il n'est pas bien équipé et surtout s'il ne reçoit pas un solde conséquent, une sorte de contrepartie et d'assurance-vie seules susceptibles d'accepter le sacrifice suprême. |
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abulangando (
02/11/2008 17:02 )
À Lasalle / Canada
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Au nostalgique qui pleure Mobutu " Mobutu zonga".
Noko, tu semble oublier que Mobutu et sa clic était le premier a manger l'argent destiné au salaires des ex-Faz dont ton père fessait parti. On les a vu à la télé avec des postes de télévision et autres meubles sur leurs têtes et ce en 1991 bien avant la guerre avec les Taratibus Comment peux-tu regretter un aventurier comme Kuku Ngbendu ? Serais tu aveugle par un tribalisme primaire ? |
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Abulangando |
concorde (
03/11/2008 21:18 )
À Blagnac / France
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Je n'ai pas dit que je regrettais le "guide". J'ai seulement dit que les pillages systèmatiques et les mises à sac des villages conquis par les FARDC ne datent pas d'aujourd'hui, que malheureusement, leurs grands frère de l'armée (puisque il faut les appeler comme ça) de Mobutu étaient déjà des as en la matière. Et puis mon père ne faisait pas partie de l'armée zaïroise, je ne suis même pas congolais, mais je m'interresse à l'histoire de ce pays frère. |
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A Mwana Mboka |
Concorde (
03/11/2008 21:38 )
À Blagnac / France
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Mon frère, ton analyse n'est mauvaise. Mais un vrais fils du pays avec des coui.. bien pendantes comme tu dis, aura lui aussi l'occident sur son dos. Il devra choisir entre deux sorts: vivre longtemps et heureux comme Mobutu ou mourrir jeune et pauvre comme Lumumba.
Malgré ça, je soutiens ton raisonnement, pour s'en sortir, il en faudra des héros et beaucoup de héros. Des hommes qui en ont dans leurs pantalons. Nous avons le droit de rêver, mais le congolais n'est pas un moujahdine. Courrage Dieu n'abandonne jamais ses enfants. |
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Kagame hypothèque le ruanda |
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04/11/2008 00:13 )
À Évry / France
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Les Tushi aujourd'hui se prennent pour des invincibles aussi Mobutu se prit pour un invincible, aussi Savimbi se prit pour un invincible. L'ignorance est que l'abandon arrive rapidement lorsque le climat des interêts changent. Les ushi sont venus au Congo, on les a donné à manger, on les a donné un toit, on les a donné du boulot et aujourd'hui ils nous tuent pour notre bonté. Les Congolais n'oublieront jamais vos agissements sanguinaire, je demande à tous les Congolais d'acheter le livre de Pierre PEAN: NOIRES FUREURES, BLANCS MENTEURS, RWANDA(1990-1994) Edition Mille et Une Nuits (22 euros).
Kagame doit être traduit rapidement au tribunal pénal international pour crime contre l'humanité car il est l'organisateur de l'attentat qui a couté la vie à Habyarimana le 6 AVRIL 1994, il est l'instigateur du genocide, il est en train de transposer la même chose en RDC. Que fait le T.P.I, pourquoi on arrête pas ce ruandais de nkunda pour ses crimes. Ce monsieur n'est pas congolais, avez vous vu sa tête? un vrai ruandai. Il nya jamais eu de tushi congolais, il ya des Congolais, le Congo est un ensemble des éthnies minoritaires. S'ils se croient maltraités au Congo, le ruanda est à deux pas, ils n'ont qu'à renter chez eux au ruanda. Je sais qu'ils n'ont rien à bouffer chez eux (voire l'état des maigreurs de ces gens) mais ils n'ont qu'à demander auxbelges t aux anglais qui leurs fournissent des armes à la place des tracteurs.
Un pays comme le ruanda qui vit sous pérfusion de la famaeuse communauté internationnale hypotheque bêtementson avenir et son devenir. Je demande aux ruandais de se débarasser de kagame, il est en train de foutre l'avenir du ruanda dans l'emmerde totale. A bon entendeur salut.
Le Congo vaincra et colonisera le ruanda pour remettre la paix à l'est.
KONGO DIA NTOTILA |
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04/11/2008 00:35 )
À Évry / France
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La partition du Congo démocratique est-elle acceptable ?
Le temps des crises internationales généralisées est généralement le temps des grandes manœuvres des régimes impopulaires qui en profitent pour se livrer à tous les coups bas. Une analyse du timing de certains actes répréhensibles qui ont marqué les deux dernières décennies dans de nombreux pays de gouvernance totalitaire, permet de confirmer cette assertion de façon incontestable.
[Yaoundé - Cameroun] - 30-10-2008 (Shanda Tonme)
Profitant de la crise financière internationale et de la fièvre de l’élection présidentielle américaine, le Rwanda, qui est devenu un véritable cancer au cœur de l’Afrique Centrale, a relancé son vieux projet d’annexion d’une partie du Congo démocratique.
La situation du Congo est en effet de plus en plus inquiétante au regard de l’avancée des troupes rwandaises sur le terrain sous le couvert d’une rébellion officiellement emmenée par le général Laurent Kunda dont personne n’ignore plus qu’il n’est que le petit pion aux mains du très ambitieux et insatiable Paul Kagamé. Le simple fait de parvenir à occuper des villages, des villes, et des installations militaires congolaises, laisse entrevoir dorénavant, une planification politico militaire dont le but ultime ne peut être que la partition du pays.
Il importe de faire un peu d’histoire pour se souvenir que la partition du Congo n’est pas un projet nouveau. Fruit de l’imagination des puissances coloniales qui n’hésitèrent pas à assassiner Patrice Lumumba après avoir vainement tenté de créer une République du Katanga avec à sa tête un certain Moïse Tsombé de triste mémoire, l’émiettement du Congo, pays vaste et riche en ressources minérales risque d’entrer dans les faits à très brève échéance.
Comprendre la stratégie de Kagamé
De prime abord, il est important de souligner, n’en déplaise à quelques chancelleries puissantes, que monsieur Paul Kagamé qui dirige le Rwanda de fait depuis 1995, est l’un des plus redoutables et le plus dangereux dictateur en Afrique Centrale. Apôtre de l’épuration ethnique sous le couvert d’une unité nationale qui privilégie le pouvoir et la dictature Tutsi, l’auto proclamé général a trouvé un véritable fond de commerce intarissable dans le regrettable génocide de 1994 qui fit près d’un million de morts. Le Général-Président tient carrément aujourd’hui le monde entier sous une forme de chantage éhontée et aime bien se présenter en héritier des rescapés du génocide. La moindre l’on, enquête le mettant en cause ou le moindre article de journaliste discutant certaines idées reçues sur l’affaire, provoque à Kigali, une montée d’adrénaline et des procès. Par ailleurs, le régime a soigneusement bâti un réseau de lobby qui assure ses relations publiques à travers le monde et veille au maintien dans toute sa logique de même que dans toutes ses implications, les vérités inaltérables de ses historiens devenus des Dieux de la raison scientifique.
Il est pourtant clair, quoi que en dise, que Kagamé et le FPR, son front de libération devenu parti politique, sont responsable du déclenchement du génocide pour avoir préparé et mis en exécution, la destruction de l’avion du président Juvénal Habiryamana et la mort subséquente de ce dernier. Mais simplement parce que Kagamé s’est voulu ou s’est muer en tête de pont d’importants intérêts géostratégiques dans la Sous-région, il a du coup acquis une immunité de fait, devenant intouchable. Depuis son avènement au pouvoir, le pays est installé dans une dictature sans pareil, un régime policier qui a occasionné d’autres génocides dont les médias aseptisés ou trop corrompus, n’en parlent pas. Le Rwanda d’aujourd’hui n’est pas différent du Chili sous Pinochet et ce qui tient lieu d’élection, n’est que farce. Officiellement, le pays est sensé avoir dépassé les clivages ethniques et toute allusion à la discrimination, est jugée attentatoire à l’ordre public et à la morale publique. En réalité, c’est de la chasse de l’opposition qu’il s’agit. Il est strictement interdit de contredire le régime, de le critiquer, ou de se singulariser par rapport à ses mots d’ordre. En fait, toute opposition est proscrite, et tous les opposants sont contraints à l’exil.
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Le parallèle avec le Chili de Pinochet est saisissant lorsque l’on analyse l’attitude des grandes puissances et des institutions internationales. Dans le contexte que nous venons de dépeindre, le Rwanda est présenté dans la plupart des brochures et autres documents des organismes internationaux, comme un pays stable, un modèle de croissance et de réussite économique. Les auteurs de ces tracts propagandistes dont il n faut pas oublier de chercher les connections compromettantes, ferment les yeux sur les graves violations des droits de l’Homme et les truquages électoraux qui forment l’idéologie du régime.
Mais ce qui choque le plus tout en avalisant la thèse d’une planification diabolique, c’est le silence voire l’absence de toute réaction énergique de la part des grands pays si prompts à dénoncer ce genre de travers ailleurs. Il est absolument impossible que même en se servant de l’opportunité du contexte international de crise, l’on en soit dans les chancelleries occidentales particulièrement, à observer sans mot dire l’avancée des troupes rwandaises en territoire congolais. Le paradoxe voudrais justement que l’on en soi aussi, en juste retour de dialectique du diable, à se demander pour quelles raisons les mêmes puissances s’étaient-elles tant investies dans les efforts de stabilisation du pays après la mort de Kabila père. Il y a comme une volonté machiavélique soit de maintenir ce grand pays dans une instabilité relative et contrôlée, soit de le préparer pour une partition à long terme pour satisfaire alors des calculs anciens de maîtrise géopolitique et géostratégique.
L’éternelle équation ethnique et personnalisée
L’on serait tenté de comparer le Rwanda à Israël, par allusion au petit pays guerrier, battant, intelligent et bien gouverné qui se met débout contre plus grand, plus riche, et plus disant. Hélas, comparaison n’est pas raison et les éléments d’un contentieux réel et profond qui existent dans le cas d’Israël au proche Orient n’existent pas dans le cas du Rwanda dans les Grands Lacs. Rien à priori, ni dans l’histoire, ni dans la géographie, ni dans les articulations diplomatiques des Etats de la Sous-région, ne prédisposent le régime de Kigali, à se comporter avec autant d’arrogance et à se livrer à autant d’aventures et de provocations.
Par ailleurs, il est essentiel de souligner qu’en étudiant minutieusement les rapports des forces, il est impossible qu’un Congo Démocratique bien gouverné, soit à la merci de la volonté des dirigeants Rwandais. Ce qui est en cause effectivement, c’est la tradition des puissances coloniales qui consiste à maintenir des pays sous domination en usant soit des combines ethniques où l’on marginalise des ethnies trop entreprenantes et trop nationalistes, soit à tenir éloignée du pouvoir ou à éliminer physiquement toute personnalité charismatique et populaire.
L’histoire du Congo offre une photographie nette de la mise en œuvre à outrance de cette machination impérialiste qui a conduit à l’assassinat de Patrice Lumumba en 1960, et à la mise en accusation de Jean Pierre Bemba en 2007 sous le fallacieux prétexte de crime de guerre, de crime contre l’humanité, et de violation grave du droit international. En éliminant Patrice Lumumba, les colonialistes mettait hors jeu le principal obstacle qui se dressait à l’exploitation massive et sauvage des vastes ressources minières du pays et ouvrait la voie à l’installation d’un pantin à leur entière solde, de même qu’il délivrait un message retentissant à tous les nationalistes africains tentés de rêver d’une véritable indépendance nationale. En mettant Bemba en prison, ceux qui hier ont comploté contre le peuple congolais, ont réussi un coup encore plus lourd de conséquences.
En effet c’est seulement maintenant que l’on peut mieux comprendre comment et pourquoi Kabila père fut assassiné et pourquoi son fils a été hâtivement installé au pouvoir à Kinshasa. Les menées de Paul Kagamé n’auraient eu aucune chance de réussite si Jean Pierre Bemba avait été déclaré vainqueur de l’élection présidentielle qui a suivi le régime de transition arrangé et supervisé par l’ONU. Le peuple congolais paye très chèrement le prix d’une longue hibernation sous la dictature de Mobutu qui l’a transformé en peuple moribond incapable de se révolter. A Washington, Paris, Londres, New York, il n’a jamais été, il n’était pas, et il n’est un doute pour personne, que Joseph Kabila, fils de son père, n’avait pas de vraie légitimité et ne jouissait pas de la confiance de son peuple. Imposé pour un jeu d’intérêts dans lequel il n’est qu’un pion muet et passif, le petit que ses compatriotes déclarent être en réalité un Tutsi, n’a pas les moyens de contrer un Kagamé très sûr de lui, et surtout conscient de ce que les rouages du pouvoir de l’autre côté des rives du fleuve Congo, ne tient que sur des béquilles fragiles.
Au lendemain de l’occupation d’une base de l’armée congolaise par les troupes rwandaises, Joseph Kabila est apparu à la télévision pour appeler ses compatriotes à la mobilisation générale contre l’ennemi, mais l’on sait ce qu’il en est advenu. Dans les bars de la grande cité congolaise, l’on se plaît simplement à lui rire au nez et à lui conseiller d’aller chercher ceux qui l’on placé au pouvoir pour sauver les meubles. De fait, ce qui se profile à l’horizon n’enchante pas les congolais, mais ils auraient aimé s’impliquer autrement, ou après quelques mises au point et autant de conditionnalités dont la moindre n’est pas le recours à des élections anticipées à la tête du pays.
Kagamé quant à lui, sait jouer avec le temps et compte sur une décrépitude progressive du régime de Kabila qui conduira à une espèce de cessez-le-feu à partir des positions conquises par son armée sur le terrain. Si la première conférence de réconciliation entre toutes les parties avait abouti à des accords préservant l’intégrité territoriale du pays, il est presque impensable que la seconde, qu’il faut bien envisager, reprenne les mêmes termes de référence. La résurgence des mouvements armés dans le nord et ailleurs dans le pays, devrait être perçue comme le signal que les assaillants entendent occuper suffisamment d’espace pour aller imposer leur autonomie dans les négociations. Une fois de plus, il n’apparaît pas sérieux d’un point de vue objectif, de croire que l’ONU et les grandes puissances ont fait tout ce qui relève de leur pouvoir et surtout de leur autorité, pour décourager ces séditions en cascade qui portent atteinte à l’intégrité territoriale du pays.
L’impuissance embarrassante de l’Union Africaine
La dégradation de la situation au Congo et la menace réelle de partition du pays, placent l’Union Africaine dans l’un de ses plus grands dilemmes depuis qu’elle a succédé à l’Organisation de l’Unité Africaine. Il s’agit d’un dilemme aussi important que celui qu’avait représenté en son temps pour l’OUA, la rébellion du Biafra dans le Nigéria des années 1970 alors dirigé par le général Yakubu Gowon. La République du Congo Démocratique il convient de le dire, est un cocktail explosif constitué de tous les maux qui minent les pays africains et freinent leur développement.
Nous ne sommes certes ni dans les schémas du Darfour, ni dans celui de la RCA et encore moins du Tchad, mais nous sommes en même temps dans tout cela à la fois. Or si l’on peut contempler les bras croisés le Tchad vivre une rébellion à répétition qui n’en finit pas de faire tourner à la tête du pays de petit aventuriers improvisés soldats d’une ethnie ou d’une autre, il est insensé de faire la sourde oreille et de jouer les aveugles dans le cas du Congo. C’est à terme toute l’Afrique qui pourrait s’embraser à partir des rives du fleuve Congo, et c’en sera terminé pour quelques dogmes qui ont jusqu’ici permit aux régimes les plus pourris de vanter une stabilité autant pompeuse que trompeuse.
Une projection réaliste à partir des donnes fiables de la situation, n’offre plus que trois hypothèses raisonnables : la première hypothèse et la plus gentille, aboutirait à ramener effectivement la paix en annihilant les ambitions de partition du pays. Cela suppose que les mouvements de rébellion et leurs soutiens soient mis au banc de touche et payés en concessions diverses dans l’équation politique concrète. Evidemment, la clé dans cette figure passe par la maîtrise du Rwanda sur lequel seul les Etats Unis sont en mesure de faire pression avec succès. C’est le montant et la valeur de la monnaie d’échange qu’il faudrait déterminer. La deuxième hypothèse consisterait à avaliser une partition de fait, dans un Congo démocratique devenu république fédérale ou à défaut pays constitué de régions jouissant d’une large autonomie. Nous sommes dans ce cas de figure, sur une planète politique réaliste que beaucoup d’analystes ont par le passé encouragé en théorie. Il ne resterait plus qu’à rédiger une constitution taillée sur mesure pour plaire à tout le monde. Bien évidemment, l’option fédéraliste ou de large autonomie implique l’existence à l’Est du pays, d’un Etat indépendant de fait à la solde du Rwanda. La troisième hypothèse enfin, est celle d’une option brutale qui imposerait au pouvoir actuel à Kinshasa, une partition du pays et le règne d’un relatif désordre. Il est indiscutable que nous serions exposés très vite dans ce cas, à un coup d’Etat militaire dont il faut encore réfléchir sur les commanditaires et les exécutants.
Il n’y a, projeté à long terme, aucune situation pouvant mieux mobiliser les congolais, qu’une partition de fait de leur pays orchestrée par Paul Kagamé. Contrairement à ce que l’on serait tenté de penser au regard de la nonchalance de la population, il existe un véritable nationalisme congolais puissant et attentif incarné par la nouvelle génération de 25-35 ans. Cette génération est en mesure de réinventer une vigueur patriotique égale à celle des années 1960. C’est par ailleurs, une génération qui sort peu à peu du complexe d’esclave et de citoyen vaincu dans lequel l’avait installé la dictature trentenaire, obscurantiste et sanguinaire de Mobutu. Ce sont ces enfants qui ne reconnaissent aucune légitimité à Kabila, et qui ne font nullement confiance à l’ONU, pas plus qu’à une grande puissance quelconque.
Le dilemme pour l’Union Africaine se trouve exactement dans une alternative qui mettrait en jeu soit un coup d’Etat nationaliste, soit une partition de fait sous le patronage sournois des grandes puissances. Non seulement aucune des deux hypothèses ne rentre dans ce qui est acceptable pour l’organisation, mais plus grave, l’option fédéraliste, tirée d’une négociation à partir des positions sur le terrain ou imposée par la force des armes sous la houlette de Kagamé, sonne comme une mise à mort de certains Etats pressés par des revendications autonomistes. Au-delà des cas connus et récurrents du Sénégal, du Mali ou du Cameroun, aucun Etat n’est réellement épargné.
L’Hypothèque Hutu
Que l’on le reconnaisse ou non, le problème hutu existe aujourd’hui dans la Sous-région et encore mieux que celui des Tutsis qui est devenu le fond de commerce des dirigeants de Kigali. Il s’agit de comprendre à la fois le phénomène de confrontation ethnique permanent et ancien sur place, et d’évaluer le degré d’emprise sur les crises à répétition internes à tous les pays riverains. Sont concernés non seulement le Rwanda et le Congo que l’on retrouve aux avant postes du contentieux actuel, mais aussi le Burundi et l’Ouganda. Dans tous les quatre pays se retrouvent les deux ethnies dominantes que sont Tutsis et Hutus. Mais à la vérité, les Hutus sont largement majoritaires dans ces populations et c’est sans doute le nœud de toutes les crises. Lorsque l’on examine les dossiers des différents drames à l’instar de l’assassinat du premier Président Hutu rwandais Nelchior Ndadaye, l’on se rend compte que quelque part, une main obscure a travaillé de façon astucieuse pour parvenir au résultat qui existe aujourd’hui sur le terrain, c'est-à-dire une direction Hutu au Burundi d’une part, et une direction Tutsi au Rwanda d’autre part. Vu sous cet angle, le pauvre Ndadaye n’aurait été que la victime expiatoire d’une planification impérialo-machiavélique selon les termes de référence mis en exergue plus haut. Conviendrait-on alors que Kagamé serait un pur diable en mission pour ce plan ?
Nous ne l’avons que trop dit et répété, à savoir que tant que les dirigeants rwandais pourront tranquillement et impunément surfer sur les musiques du génocide, ils se permettront toutes les exactions. Il est par conséquent devenu urgent d’examiner ce problème en profondeur. Etre rescapé du génocide ou descendant de victime de génocide, ne confère point le droit à quiconque de se livrer lui-même à des actes de discrimination, de guerre, et de haine assimilables au crime contre l’humanité. Les milliers de congolais qui sont aujourd’hui jetés dans la rue et qui fuient dans tous les sens sans alimentation ni soin, sont les victimes de Kagamé au même titre que les victimes du génocide de 1994. Quand le Tribunal spécial pour le Rwanda aura clôturé ses comptes, il faudra bien mettre sur pied le Tribunal spécial pour le Congo pour juger les auteurs des crimes en cours. Comment pourra-t-il en être autrement, lorsque Charles Taylor est jugé pour son rôle supposé dans les crimes en Sierra Léone et que Bemba est embastillé à la Haye pour semble-t-il les crimes encore à prouver, commis en Centrafrique.
Ce qui est certain, c’est que le monde change et de nouvelles exigences plus rigoureuses, résultent de nouveaux rapports des forces. Kagamé a su invoquer toutes sortes d’arguties politiques et diplomatiques pour esquiver et même ridiculiser les conclusions des juges français qui l’ont mis nommément en cause. FPR devront répondre devant les tribunaux nationaux ou internationaux. L’Union Africaine devrait dès à présent utiliser cet argument pour tempérer les ardeurs conquérantes et revanchardes d’un Chef d’ Etat qui est devenu un cancer non plus seulement dans la région des Grands Lacs, mais pratiquement pour toute l’Afrique.
Enfin, il faudrait rappeler à tous ceux qui seraient dans le genre de planification géopolitique dont Kagamé est le vil instrument et dont la finalité est de tenir à l’écart du pouvoir les ethnies majoritaires, que les enseignements historiques prouvent à suffire, qu’ils sont voués à la défaite, la perdition et la honte.
SHANDA TONME
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Aux 2 annonymes ci-dessus |
concorde (
06/11/2008 02:20 )
À Montauban / France
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Camerounais et spécialistes de l'histoire du Rwanda et des tutsi! Je vais t'apprendre que les rwandais souffrent moins de la faim que tes frères camérounais. Tu ne connais pas le Rwanda, sinon tu ne raconterais pas ces idioties. Si au moins tu connaissais la façon dont ton pays le Cameroun est géré (je suis sûr que tu es un franco-camer qui n'a pas eu souvent les moyens de revoir son pays natal depuis des décenies). Je viens de sejourner, par deux fois au Rwanda. Tous ce que j'ai vu, c'est un peuple heureux, tout éthnie confondu main dans la main. Une ville de Kigali qui n'a presque rien à envier à une ville europeenne. J'ai visité pas mal de capitales africaines, j'en ai jamais vu une aussi propre que Kigali. Kagame refuse le désordre. Il a initié un changement de mentalité de ses concitoyens sans les forcer car ils leur a fait comprendrer que la discipline d'un peuple était la base du progrès et de la prospérité. Et pour celà vous le considerez dictateur, sanguinaire. Vous n'êtes même pas capable de citer un nom d'une seule de ses victimes supposées, s'il y en avaient, vous ne vous seriez pas géné les nommer.
Et quand tu dis que les tutsi (et pas tushi) ne peuvent pas être des congolais, ça demontre à quel point tu peux ignorer l' Afrique, jusqu'à affirmer qu'une simple frontière, souvent tracée par le colonialiste pourrait empecher une tribu ou une ethnie de se trouver naturelement d'un côté ou d'un autre. Sais-tu comment et quand les Beti ou les Bamileke sont arrivés au Cameroun?
Un conseil. Puisque tu ne sembles pas connaître aussi bien le Rwanda que tu ne le crois, je te suggere que t'interresses plutôt à ce qui se passe dans ton Cameroun natal, car, crois-moi les choses ne vont pas aussi bien que tu le penses. La plupart de tes compatriotes ne sont pas moins chétifs que les rwandais. Et laisses les congolais se defendre tous seuls, ils n'ont pas besoin des individus comme toi pour voler à leur sécours, car tu ne connais pas leur histoire. Ils y arriveront tôt ou tard, et ce ne pas Kagame qui a l'intention de les en empecher, il n'en a ni les moyens, ni l'intérêt.
Dieu te garde. |
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