Si je meurs un jour,
Ce ne sera pas de vieillesse
Puisque c’est une autre jeunesse
Mais bien de l’amour...

Si je chante un jour,
Ce sera pas pour de la tune
Je n’envie nullement la lune
Mais bien pour l’amour...

Si je mange un jour,
L’amour aura touché cette âme
Qu’on appelle “divine femme”
Pour choir dans ma cour...

Si je marche un jour,
Je drainerai la terre entière
Avec mon coeur sur la civière
Pour semer l’amour...

De l’amour, un jour,
Nous chanterons le grand partage
Entre les races et les âges
Loin de cette cour!

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Jules Kébla,
Paris, Richemont 24 rue de Joinville
le 11 avril 2001