a propos des visas pour l'Afrique
Par gowone, lundi 5 juin 2006 à 11:34 :: Général :: #1083 :: rss
Pourquoi l'afrique devrait rester le marché ouvert où tout le monde pourrait venir sans aucune vérification et en plus gratuitement alors que les africains continuent d'enrichir l'europe ne se rait ce qu'en finançant le fonctionnement des ambassades européens. Pour une réciprocité du traitement des autorisations de séjour et que l'on arrête le 2 poids 2 mesures contre nous mêmes!
Juste un coup de sang pour exprimer toute ma frustration sur le probléme de la liberté de mouvement des africains en général.
Je trouve absolument inadmissible (mais vraiment ) que l'on demande des centaines de preuves au plus respectables des africains pour partir 15 jours en france, une vraie enquête! On est pas présumé innocent mais supposé coupable. D'un autre côté, un français qui veut venir passer ses vacances en afrique, n'aura même pas à se demander s'il y a un consulat du sénégal en france; il lui suffit d'avoir son billet ( même s'il aura mis 6 ans pour l'avoir) et de débarquer chez nous.
On nous fait croire que c'est pour les rentrées d'argent du tourisme. Foutaises! La plupart va crécher chez des amis ou dans des gîtes à la gestion des plus bizarre.
Dans 6 mois il faudra débourser encore plus d'argent au niveau des ambassades des pays Schoengen pour demander un visa quoiqu'il puisse advenir de la demande. Ca fait une sacrée somme à la fin de l'année, vous trouvez pas?
Demandons également aux français qui veulent venir chez nous d'aller voir à quoi ressemble nos consulats et de casquer la même somme. Tiens ça permettrait peut être de créer des centres d'accueil pour les enfants de la rue.
On peut faire plein de choses avec et me donnera l'impression ( et pas qu'à moi ) que mon passeport vaut autant que n'importe quel passeport. Arrêtons de nous complaire dans ce foutu complexe d'infériorité qui voudrait que l'européen vienne enrichir notre pays et que nous sommes censés aller dépouiller la france. L'histoire a montré que c'est plutôt le contraire qui s'est toujours passé et pire, ça continue.
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