Introduction

Nous nous posons souvent la question de savoir ce que Dieu veut au juste. Ne faites pas ceci, ne faites pas cela… Certains essaient par sa grâce de marcher par la foi tant bien que mal en méditant sa Parole dans la Bible, en suivant les instructions de son Saint-Esprit et en dialoguant avec leur Père céleste dans des moments intimes de prières dans un culte personnel du Dieu Vivant en qui ils sont.

Mais pour beaucoup, nous pensons qu’Il nous demande des choses qui nous dépassent et, parmi ceux-ci, certains vont jusqu’à Le taxer d’être injuste, nous demandant des choses qu’Il ne devait pas.

Voulant faire des choses comme bon leur semble, la sagesse moralisante de l’Evangile et de la Parole en général de Dieu trouble leur conscience souillée par des envies mondaines, et ainsi, ils écartent Dieu de leurs affaires.

Si parmi les hommes en général du monde cela se passe au vu et au su de tout le monde, les choses publiques, la politique donc, se séparant très nettement des choses spirituelles, dans nos communautés, cela se passe sournoisement. Certains serviteurs de Dieu font passer leurs désirs, leur volonté, leurs envies comme si tout cela était la volonté de Dieu et les prêchent comme tel. Ainsi, puisque la Parole de Dieu n’est pas prêchée et présentée comme la Parole de Dieu, puisque les hommes, soit disant serviteurs de Dieu, prennent la vedette et usurpent la gloire de Dieu, Dieu ne peut pas appuyer les paroles humaines, même si elles sont empreintes d’un peu de sagesse humaine.

Ceux qui viennent donc chercher la paix dans nos communautés se trouvent chargés des choses inutiles et en succombent. Pris au piège de ces enseignements mensongers et destructeurs, ils ne suivent plus le Seigneur, mais se réclament de tel ou tel autre pasteur, de telle ou telle autre confession ou communauté chrétienne, créant ainsi sans le savoir une religion, alors qu’ils ont été appelés à la Vie qui est en Christ, le Seigneur.

Que ne voyons nous certains serviteurs de Dieu interdire à «ses» fidèles d’aller glorifier Dieu avec tels ou tels frères, dans telles ou telles autres communautés, simplement, non seulement parce qu’ils ont peur qu’ils ne reviennent plus, mais parce qu’ils considèrent que ce sont « ses » fidèles à lui, pour son église à lui. Est-il écrit quelque part dans la Bible que l’église de tel pasteur ? Il ne me semble pas… Mais il est écrit, pour prendre l’exemple sur le frère Nymphas dans Colossiens 4, 15, «…Saluez l’Eglise (sous entendu de Jésus-Christ) qui est (ou qui se réunit) dans sa maison… »

Et lorsqu’on suit l’Evangile de YéShWa HaMeShYa (Jésus- Le Christ), lorsqu’on suit et l’on médite sincèrement ses enseignements, nous nous rendons compte par la Révélation de son Esprit que son joug est léger comme Il nous le dit.

Puisque Christ-HaMeShYa a tout pris sur Lui en montant sur la Croix et en y versant son sang pour nous, notre seul joug est de Lui obéir et le malin ne pourra rien contre nous.
Parce qu’Il a tout accompli sur la Croix en vertu de son sang versé pour nous tous, les pécheurs, tout celui qui croit en Lui est libéré de tout joug démonique, diabolique et humain en son Nom tout Puisant pour servir le Dieu Vivant. Amen. Ainsi, serviteurs de Dieu doivent arrêter de charger les fidèles de Jésus-Christ qui sont sous leur responsabilité et de leur montrer la Voie de Jésus-Christ aussi fidèlement que l’enseigne l’Evangile de HaMeShYa, notre Seigneur.

QUE VEUT LE SEIGNEUR ?

Selon le verset cité en référence, le Seigneur veut :

1. Que nous pratiquions la Justice.

Quelle Justice ?

Il ne s’agit pas ici de la justice du monde. Jésus-Christ est notre seul Avocat et notre seul Juge. Nous devons par contre chercher à savoir pourquoi devons nous pratiquer la Justice, quelle Justice et selon quel crime, quel péché ?

Nous devons savoir de prime abord que l’homme et la femme (Adam et Eve) n’avaient pas péché sciemment dans le jardin. La parole de Dieu dit que l’on pardonne à l’ignorant, mais à celui qui connaît, i n’y a pas de pardon.

Dieu, en proclamant la sentence réservé au serpent dans le Jardin de l’Eden, nous a donné le sens de ce que sera sa Justice : « Je mettrai inimitié entre ta descendance et la descendance de la femme, celle-ci t’écrasera la tête… »

Comme l’homme et la femme, étant sous la Loi édénique, n’avaient pas encore reçu l’Esprit de la sagesse de Dieu pour connaître Dieu et les choses de Dieu, sachant que cet Esprit ne s’acquiert que dans Christ, Dieu avait envoyé Lucifer, alors chérubin protecteur de ce que Dieu avait de pus précieux dans le jardin (Ezéchiel 2811-19) pour donner à Eve la parole de la conception du Fils qui devait ouvrir la maternité de la femme pour être en toute chose le premier. Colossiens 1, 15-17.

Puisque toute la plénitude habitait en Lui, c’est Lui qui devait les faire d’abord naître en nouveauté de vie en Lui selon Jean 1, 12-13 pour les faire entrer après dans la plénitude de sagesse et dans le sabbat de Dieu de façon éternelle.

Ainsi, en nous rappelant comment la gloire de Dieu était entrée dans le temple que le roi Salomon avait bâti pour YHWH, le Seigneur, Dieu serait entré dans son temple afin de régner sur Toute la création.

Mais Lucifer qui savait et connaissait Dieu dans toute sa puissance et le plan Dieu dans toute sa splendeur, avait désobéi librement au lieu de Le craindre. Lucifer avait donc désobéi librement, ne craignant pas Dieu, afin que l’homme restât sous sa garde, sous son joug, dépendant toujours de lui. C’est ce qu’il essaie de faire tous les jours avec ceux qui ne connaissent pas Dieu. Il savait très bien que s’il délivrait le message à Eve, et que le Fils venait dans le monde, il devait, lui, Lucifer, plier ses genoux devant l’homme dans lequel le Seigneur YHWH allait s’incarner dans son Esprit pour régner sur le monde et dans tout l’univers. Car il est écrit que quand Dieu avait introduit de nouveau dans l’Univers le Fils, son premier né, Il dit : « Que tous les anges L’adorent ! » Hébreux 1, 6 ; Psaumes 97, 7-9. Or l’homme avait été créé à l’Image de Dieu, et Le Fils étant l’Image du Dieu invisible. Amen.

Donc en faisant tomber l’homme dans le jardin, Lucifer avait touché la prunelle de l’œil de Dieu. Il avait donc affaire à Dieu. Il avait touché le Corps de son Epouse, La Parole de Dieu… Prenant l’exemple sur la vie de Ruben, fils premier-né de Jacob (Genèse 35, 22 ; 49, 3-4), c’est comme si Lucifer avait souillé la couche de son Père et Créateur. En touchant Eve dans ce qu’elle avait de plus cher et en ne lui donnant pas la Parole de la conception du Fils qu’elle attendait, c’est comme si, comme Ruben avec Bilha, la concubine de Jacob, il avait souillé le Corps de Christ, Epouse de Dieu, son Créateur. Et maintenant l’homme souffre, non de l’erreur qu’il avait commis sciemment, mais lorsqu’il était encore sans intelligence, Lucifer l’a trompé afin qu’il ne reçoive pas ce que Dieu lui avait promis dans son plan et qu’il demeure sous sa botte.

Dieu doit remettre les choses comme Il les avait prévues dans son plan éternel. En rétablissant toute chose, Lucifer et tous les anges rebelles doivent plier genoux devant Christ et devant l’homme créé selon Dieu.

Comment donc pratiquer cette justice ?

La Justice de Dieu est dans le Sang de l’Agneau. Amen. La Bible déclare dans le Livre de l’Apocalypse, je cite : «Ils l’on vaincu à cause du Sang de l’Agneau et à cause de la Parole de leur témoignage… »

Jean le baptiste, présentant HaMeShYa à ses disciples et à ceux qui l’écoutaient, dit : « Voici l’agneau de Dieu qui efface le péché du monde… »

Et dès le début de ses enseignements dans les jours de sa chair, le Seigneur nous conseille en disant entre autres, je cite : « Cherchez premièrement le Royaume et la Justice de Dieu… »

Le serviteur de Dieu doit savoir et faire savoir à tous ceux qui l’écoutent que HaMeShYa, Le Christ, avait déjà payé le prix que réclamait la loi du péché de nos premiers parents dans le jardin. Le serviteur de Dieu doit savoir et faire savoir à tout juif, celui qui l’est dans sa chair et qui l’est dans son esprit en Christ, que sur la croix en versant son sang, HaMeShYa, Le Christ, avait payé le prix que réclamait aussi la Loi mosaïque qui les avait gardé comme un pédagogue jusqu’à ce que vienne le Shilo, le Christ, HaMeShYa, Le Fils révélé.

La Bible déclare que « sans effusion du sang, il n’y a de pardon», et comme Christ avait déjà versé son sang sur la Croix, tous ceux donc qui reçoivent le Christ dans leur cœur comme Seigneur et sauveur et qui se font baptiser conformément à sa mort, sont ressuscités en Lui conformément à sa résurrection et sont éternellement vivant en Lui jusqu’à son retour, quand bien même qu’ils seraient morts dans leurs chairs sur cette terre. Gloire à Dieu !

Nous n’avons plus besoin que l’on impose des préceptes traditionnels et coutumiers, des interdictions religieuses : mais suivant la Parole de Dieu et l’Esprit de l’Evangile qui nous vivifie et dont nous témoignons avec foi et conviction, nous proclamons l’Amour de Dieu et du prochain qui accomplissent toute la loi et les prophètes dans le sacrifice de HaMeShYa, notre Sauveur, sur la Croix. Amen.

Ainsi nous pratiquons la Justice de Dieu en invoquant le sang de Jésus-Christ sur nous-mêmes, sur nos familles, nos conjoints et nos enfants, sur nos frères, nos sœurs, nos amis et connaissances et tous ceux qui nous écoutent dans nos communautés, dans la rue, dans nos lieux de travail et partout où Dieu nous conduit dans notre ministère, et nous méditons et partageons la Parole de Dieu en achevant dans nos chairs les souffrances de Christ, chacun assumant en Christ sa part de pain et de coupe pour le salut de ceux qui sont encore sous le joug du diable. Car, jusqu’à ce que l’Evangile soit annoncée à « toute » la création, Christ, HaMeShYa, travaille dans les corps de ses serviteurs qui ont livrés leurs membres comme un sacrifice de bon odeur pour la gloire de Christ, notre Seigneur et Dieu. Amen.

Le Seigneur qui vit en nous a à manger une nourriture que nous ne connaissons pas. Laissons nous donc conduire par le Saint-Esprit afin que le Seigneur nous amène où Il veut pour manger. Sa nourriture étant de faire la volonté de son Père, Il le fera par nous au moyen de notre chair afin d’accomplir toute justice. Amen.

« Si vous ne mangez pas ma chair, dit-Il, si vous ne buvez pas mon sang, vous n’aurez pas la vie en vous-même. Car mon sang est vraiment un breuvage et ma chair est vraiment un aliment.»

C’est là la Véritable Sainte Cène, je vous le rappelle. Il faut méditer la Parole de Dieu et la partager avec d’autres. En le faisant ainsi, vous partager le Corps de Christ et asperger son sang en vérité. Rappelez vous que tous ceux qui ‘ont reçu la parole de Dieu, donc le Fils, donc le pain de Vie, le Pain de vie elle-même a fait d’eux les enfants de Dieu en les engendrant dans le sein de Dieu. Faites votre part, bien-aimés, tous les jours, sans relâche, priez Dieu par l’Esprit en Le louant et en L’adorant par-dessus toute chose, méditez la parole de Dieu, annoncer l’Evangile, partagez la Parole de Dieu, invoquer le sang de l’Agneau et asperger le sur tous au Nom de Jésus-Christ en vertu de son œuvre sacrificationnelle sur la Croix, vous aurez accompli au jour le jour la justice de Dieu dans la vie de tous ceux qui vous côtoient, qui vous écoutent et qui reçoivent le bout de pain de Vie que vous leur donnez. Et vous-même, au jour le jour, comme un plante verdoya,te, vous serez nourris, abreuvés et bénis par-dessus toute chose, en sagesse, matériellement, au-delà de toute votre espérance : car tout est en Christ, notre Seigneur.

Ne vous étonnez donc pas, si un jour, l’on venait vous dire que telle personne qui est je ne sais où et qui fait je ne sais quoi de glorieux en Christ, c’est Jules SIMBA : c’est parce que Christ me bénit et me bénira encore plus afin que je continue ce ministère glorieux à cause de l’excellence de la sagesse de l’Evangile que Dieu met à la portée des hommes par Christ dans sa Lumière ineffable. Amen…

Que veut dire cette parole de l’apôtre Paul, parlant de la sainte cène : «chaque fois que vous buvez le sang et que vous partagez le pain, vous annoncez la mort du Seigneur jusqu’à ce qu’Il vienne ! »

Chaque fois que nous partageons la Parole de Dieu, puisque la Parole sanctifiée par le Sang versé sur la Croix est encore plus puissante pour établir la Justice de Dieu dans ceux qui nous écoutent, nous devons proclamer, invoquer sa mort, dire pourquoi il est mort, pour qui, comment et quel en est le bénéfice pour nous, et cela jusqu’à ce qu’Il revienne. Nous tiendrons dans cela avec une fidélité parfaite au Nom de Jésus-Christ et par sa grâce, implorant Dieu dans les adorations et les louanges afin que nous ne défaillons pas, mais que nous continuons et y persévérions jusqu’à obtenir notre couronne de gloire. Amen.

Ainsi nous libèrerons les âmes encore captives du diable et ses anges et nous les amènerions à l’obéissance de l’Evangile au Nom de Jésus-Christ, notre Seigneur et Dieu, L’unique Sauveur.

2. Que nous aimions la Miséricorde.

La Misère du Cœur

Je dis toujours que le diable n’a pas d’amour en lui. C’est pourquoi, en s’approchant de l’homme, il ne pouvait sentir ce que les hommes allaient vivre en les faisant pécher. Mais a Bible déclare que Dieu a TANT aimé le monde, c'est-à-dire les hommes, qu’en conséquence de ce grand et insondable et incommensurable amour, Il est descendu sur terre Lui-même comme Fils unique afin de nous sauver.

Lorsque je dis que la faiblesse de Dieu, c’est son Amour envers nous, je voudrais seulement dire que nous ne pouvons avoir le Seigneur que dans son amour envers nous. Nous devons toucher du doigt de cœur cet amour, le vivre intensément, tous les jours, à fond, chaque jour pareil… Et nous saisirons que Le Dieu Très haut nous aime vraiment. Non seulement parce qu’Il nous avait créés à sa ressemblance, mais parce que nous sommes en Lui dans Christ et Lui est en nous dans Christ. Amen. Nous sommes la chair de son Esprit, c'est-à-dire la chair dans laquelle son Esprit doit s’incarner, la Chair de sa Chair, Le Corps de son Epouse bien-aimé en qui Il a mis toute son affection.

C’est pourquoi, l’apôtre Paul nous fait une grande révélation : « Personne n’a haï sa propre chair ! » Amen. Le Seigneur ne nous lâche pas quand à nous exhorter afin que nous pratiquions et vivions l’Amour. Un amour véritable établi en Lui afin que le monde voie, que nous sommes vraiment de Dieu. L’apôtre Paul, Jacques et Pierre et Paul, nous exhortent dans le même sens dans toutes leurs épîtres. Et lorsque nous sommes scellés dans l’amour, le malin ne peut pas entrer. Il cherchera à séparer pour s’immiscer entre des frères, des sœurs, les membres d’une même famille afin de semer la zizanie et le désordre et les séparer. Mais ceux qui sont en Jésus-Christ s’aiment d’un amour évangélique puissamment fortifié en Christ et scellés par le sang de l’alliance établie en Christ et par Christ et pour Christ, notre Sauveur.

Mais la pratique la plus vivante de la miséricorde, s’exercera pour ceux qui ne connaissent pas Dieu, pour ceux qui nous ont offensé, pour ceux qui nous ont fait du mal, pour les faibles dans la foi, pour les novices, pour les ignorants, non par pour le diable et ses démons, mais pour les hommes et les femmes, nos frères et nos sœurs.

La Bible déclare en effet, que ce que Dieu a voué à l’interdit, il ne faut pas y toucher. Nous ne ferons donc pas comme Saul qui regarda les veaux gras, les épargna alors que le Seigneur lui avait demandé de tout voué à l’interdit. Mais nous marcherons comme Lui, notre Seigneur avait marché, écrasant le serpent ancien comme la sentence qui avait été prononcée dans le jardin par le Seigneur. Nous n’avons aucune offrande à faire au Seigneur sinon celle d’accepter le sacrifice de Christ dans nos vies et laisser le Christ, en qui nous sommes et avec qui désormais nous ne formons une seule chair par la foi, faire de nous ce que Dieu veut pour sa seule gloire.

Cet amour doit nous stimuler et nous pousser à exceller, à rester fidèle pour que Dieu nous utilise et qu’au travers de nous plusieurs qui ne connaissent pas Dieu, viennent à la foi en Christ et qu’ils soient sauvés. Amen. Nous devons rester fidèles ç Dieu dans la sainteté et la pureté, ne laissant pas un trou, une brèche par lequel le diable peut entrer. Car ce sont les péchés, tout péché, que le diable utilise pour nous affaiblir. Ainsi comme il n’est personne qui ne pêche, lorsque nous ne commettons pas un péché qui attriste le Saint-Esprit, nous devons à tout instant, implorer le pardon du Seigneur intimement, nous devons confesser nos péchés afin que par le sang de Christ, le Seigneur nous le pardonne. En faisant cela, nous empêchons le diable qui nous tend toujours et à tout moment, des embûches tous les jours, de rentrer dans nos vies spirituelles. Il ne trouvera en nous aucune brèche par où il pourra entrer pour nous troubler et perturber notre travail.

Nous ne devons pas juger les autres, ni les condamner d’avance, mais laissant à Dieu le jugement, nous devons aimer ceux que Dieu nous envoie et que nous croyons dans notre pèlerinage terrestre. A moins que Dieu nous dise le contraire selon ses instructions spirituelles. Nous devons accueillir les autres qui qu’ils soient et les exhorter avec amour.

Mais attention l’amour ne veut pas dire faiblesse et laisser aller. La Tolérance n’est pas de l’amour, ce de la haine cachée. Il faut aimer l’autre et non le tolérer. En l’aimant, nous lui disons toute la vérité dans le C’amour de Christ, notre Seigneur, mais en le tolérant, nous avons peur de l’offenser et nous lui dirons ce qui lui feras plaisir. Non au nom de jésus, que l’Amour l’emporte sur tout au Nom de notre Seigneur.

Le Seigneur, dit aux juifs de l’époque de sa chair : « Si vous saviez ce que veut dire j’aime la miséricorde plus que le sacrifice et que la graisse des béliers, vous n’auriez pas condamné des innocents… »

Gardons-nous donc de juger et de condamner et laissons à Christ ce rôle en tant que Créateur et Maître de sa parole. Exhortons nous dans la Paix et dans l’Amour au Nom du Seigneur. Car nous devons savoir que le Seigneur dira à certains d’entre nous « retirez-vous de moi, je ne vous ai jamais connus », simplement parce qu’ils n’auraient pas donné un verre d’eau à celui-ci ou à celui-là, ne sachant pas que ne faisant pas cela à eux, c’est au Seigneur qu’ils refusaient le verre d’eau. Faisons attention et craignons donc.

3. Marcher humblement avec ton Dieu.

L’humilité ne veut pas dire marche la tête baissée. Au contraire, ne faisons pas comme des religieux qui ont de la piété formelle une forme de service, mais ils renient Celui qui donne à la Piété véritable sa force même. Les hommes qui marchent la tête baissé, sont des loosers, ceux qui ont perdu d’avance et qui n’osent pas regarder les choses en face… LMes visages des autres les effraient.

Marcher humblement avec son Dieu, c’est marcher, vivre sa foi et travailler en ayant pleinement reconnaissance envers Dieu, en L’adorant par-dessus toute chose, en se soumettant à Lui, en Obéissance aux injonctions de son Esprit en obéissant à sa Parole, en aimant les autres comme Il l’exige.

Marcher humblement avec Dieu, c’est de reconnaître son autorité en restant homme, créature de Dieu. Ainsi, ayant la crainte de Dieu qui nous confère sagesse et intelligence par l’Esprit de Jésus, nous marcherons dans la joie, librement en disant à ceux qui nous le demande le motif de notre joie afin que toute gloire soit à Jésus-Christ, notre Seigneur et Dieu. Amen.

Marche humblement avec son Dieu, c’est de vivre sa foi en ne se considérant pas comme supérieur aux autres, mais en ayant la marque d’humilité qui caractérisait notre Comme l’apôtre Paul, soyons con avec les cons afin de les gagner à Christ, soyons bêtes avec les bêtes afin de les gagner à Christ…

Mais, faisons quand même très attention pour ne pas confondre les choses. Regardons ce qui est mal comme mal et appelons bien ce qui est bien selon l’Evangile de notre Salut.

Nous ne pouvons putasser avec ceux qui putassent pour les gagner à Christ ! Nous ne pouvons pas voler avec ceux qui volent pour les gagner à Christ ! Il y a des gens à qui nous devons parler, les conseiller et prier pour eux, mais par obéissance à l’Evangile, nous ne pouvons pas nous mettre dans leur condition pour les gagner à Christ.

Que l’on ne se mette pas dans une situation où l’on sait que nous avons encore des faiblesses, puisque, bien que l’Esprit soit bien disposé, la chair est faible. Nous devons fuir le péché, fuir très loin. Amen.

Dans notre marche humble avec notre Dieu et Seigneur, nous lui laisserons toute la place afin qu’Il agisse au travers de nous, qu’Il vivre au travers de nous, qu’Il aime, qu’il sauve, qu’ils exhorte et qu’Il vive pour la gloire de son Nom pour toute l’éternité. Amen.

Que Le Dieu de paix que j’adore par-dessus toute chose, bénisse votre esprit et vos âmes au travers de cette exhortation.

Justin Jules SIMBA. Simple frère et serviteur de Jésus-Christ, pour la seule gloire de Dieu.