grioo.com

[bolzogola]

je suis tombé sur ce documentaire en tapant "Afrique " sur Google Video.

Il raconte l'histoire des femmes enlevées (plutôt arrachées à leurs parents) lors de la colonisation.

Les enfants du blancs un autre coté pervers du colonialisme

Ca me rappelle des souvenirs
ma mère quand elle me racontait comment son père lui avait frappé pour lui dissuader de lier amitié avec la femme d'un enseignant.

Ou lorsque les vieux racontent comment leurs parents avaient tout fait pour éviter à leurs enfants de fréquenter l'école des Blancs. Jusqu'à une époque récente (dans mon village) les parents ne scolarisaient pas leurs enfants de plein gré.

Les établissements scolaires faisaient une liste des enfants à scolariser chaque année.
Je fais partie de la première génération d'élèves (de mon village ) scolariser volontairement. Mon oncle y est quand même aller volontairement ( de lui même ). Il a suivi son grand frère à l'école s'y est révéler brillant dès sa première année et a été scolarisé, il est maintenant professeur en faculté de physique.
Quand à moi quand je fût scolariser des bruits couraient dans le village comme quoi mon père "manger de la boue" puisque notre famille n'est pas nombreuse.

C'est dire combien les gens ont résisté. A nous de porter le flambeau.

On raconte que le Chef du Canton dont faisait parti mon village était très cruel et que lors des travaux forcés on rajoutait des cailloux aux hommes de petite taille pour qu'ils puissent portait correctement porter les troncs d'arbres devant être portés à deux.

Quand des gens essaient de nous faire admettre "les bons cotés du colonialisme" repondons leur sans nuance NO WAY

Petit clin d'œil aux chabins et chabines de Grioo

Aller j'arrête de raconter ma vie. Bon visionnage!!!

Je mets un lien vers cette page-ci dans le forum histoire puisque j'ai hésité quelque peu afin de savoir dans lequel des deux forum je devais poster.
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Quand on est jeune il ne faut pas remettre a philosopher et quand on est vieux il ne ne faut pas se lasser de philosopher. Car jamais il n'est trop tôt ou trop tard pour travailler à la santé de l'âme [...] Le jeune homme et le vieillard doivent donc philosopher l'un l'autre celui-ci pour rajeunir au contact du bien, en se remémorant les jours agréables du passé celui-là afin d'être quoique jeune, tranquille comme un ancien en face de l'avenir. ..
Epicure
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